Martinov 29 – L’archipel de Véga – 6 – Gérard au milieu de quatre femmes par Maud-Anne Amaro

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 6 – Gérard au milieu de quatre femmes par Maud-Anne Amaro

Les deux gendarmes pénètrent dans la chambré où Frederika et Béatrice se reposent et demandent à cette dernière de les écouter.

– Juste une question, Gérard Petit-Couture, ça vous cause ?
– Evidemment c’est un ami ! Pourquoi cette question ?.
– Vous l’avez vu quand pour la dernière fois ?
– Pourquoi ? Il lui est arrivé quelque chose ?
– Non rassurez-vous il va bien !
– Alors pourquoi cette question ? Ce sont des choses qui ne vous regardent pas ! Et je ne vois pas le rapport avec ma séquestration.
– Ne vous énervez-pas ma petite dame.

Lartigue prend le relais.

– Est-ce que ce monsieur était présent quand vous vous êtes fait enlever ?.
– Oui, mais il n’a rien pu faire (elle explique).
– O.K., on va sans doute revenir vers vous, pour le moment continuez à vous reposer.

Les deux gendarmes reviennent en salle d’interrogatoire.

– Comment avez-vous su que Mademoiselle Béatrice Machin-Truc était prisonnière à l’Archipel ?
– Avant d’être ministre, j’ai été agent de la DGSE, on y apprend certaines méthodes d’investigations.
– Et en clair !
– En clair, je suis allé trouver l’un de leurs donateurs et il a lâché le morceau.
– Et donc…
– Ben je venais la délivrer !
– Avec un flingue !
– J’ai un port d’arme !
– Et en effectuant une violation de domicile !
– Ben oui !
– Ce n’aurait pas été plus simple de faire appel à nos services ?
– Je l’aurais sans doute fait, mais je voulais faire une reconnaissance préalable des lieux.
– N’importe quoi !

Une nouvelle fois les deux gendarmes sortent.

– Bon manifestement ce type ne fait pas partie des ravisseurs, C’est un timbré qui se prend pour Zorro, on va lui expliquer que sa petite protégée est ici et lui demander de foutre le camp.

Grand moment d’émotion quand Béatrice et Gérard s’aperçoivent, ils s’enlacent tendrement devant le sourire narquois des gendarmes.

– Mais qu’est-ce que tu fous là ?
– J’étais à ta recherche, mais les gendarmes m’ont choppé, ils m’ont pris pour un bandit.
– Bon, monsieur, vous êtes libre, par conséquent je vais vous demander de quitter les lieux maïs de rester à notre disposition au cas où.
– Je vais venir avec lui ! Propose Béatrice.
– C’est que nous aurions besoin d’affiner votre déposition.
– Et bien affinez, vous voulez savoir quoi de plus ?
– Je t’attends dehors… euh il y a un café près d’ici ? Demande Gérard.
– A 50 mètres sur la gauche

Gérard sort et téléphone à Florentine.

– Ils m’ont relâché, attendez-moi au bistrot à côté de la gendarmerie, Béatrice est libre, elle va venir nous rejoindre.

Bea répéta une fois de plus aux gendarmes ce qu’elle savait puis avant de quitter les lieux tint à dire au revoir à Vermeer et à Frederika.

– Je viendrais bien avec toi ! Lui confie cette dernière.
– Eh bien, viens, je vais te présenter mes amis.
– Mais c’est quoi ce bordel ! S’énerve un gendarme, chacun fait ce qu’il veut, ça rentre, ça sort.
– Ben quoi, on est venu ici pour déposer plainte, vous n’avez pas à nous retenir ! S’exclame Frederika.

On fait les présentations, Gérard se retrouve donc au milieu de quatre belles femmes.

Partouze en perspective ! Se dira le lecteur.

Il a bien raison le lecteur

– Apparemment les gendarmes n’en ont pas fini avec nous. Il nous faut rester ici un jour ou deux. Que diriez-vous si je louais une suite ?

Et prévenant, avant de réserver, il achète à la pharmacie du coin, une boite de préservatifs

C’est un suite familiale, deux grands lits et un plus petit.

– C’est parfait un lit pour moi et Florentine, indique Gérard, pour le reste vous vous débrouillez…
– Béatrice, on dort ensemble ? propose Frederika.

Béa commence à la trouver légèrement envahissante, mais n’en soufflé mot.

Le lit monoplace se trouve en conséquence attribué par la force des choses à Gisèle.

– Je vais peut-être rentrer, je ne vous sers plus à rien. Indique cette dernière.
– C’est comme tu veux, lui dis Gérard, je vais te payer ton billet de train, mais je suppose que tu n’as rien contre le fait de faire la fête avec nous ?
– OK, je partirais après.

On fait monter du Champagne, on trinque

– Vous n’avez pas peur qu’on vous viole, monsieur Gérard ? Parce que quatre femmes autour de vous…. Intervient Frederika.
– Dans ce cas je me laisserais faire.
– Ce sera sans moi, je suis lesbienne exclusive
– Dommage !
– On fait quoi alors, on joue aux devinettes ? se gausse Gisèle.
– Tu voudrais un bisou ? Lui propose Frederika, qui voit là une belle opportunité de faire des choses coquines avec cette jeune personne qui lui a tapé dans l’œil.
– Je veux bien, j’adore les bisous !

En fait de bisou, ce serait plutôt le super french-kiss bien profond et bien baveux, avec mains baladeuses.

– Oh, les coquines ! S’exclame Béatrice en lançant un regard complice à Florentine.

Ces deux-là se connaissent par cœur mais ne se ne sont mais lassées l’une de l’autre.

Voici donc deux couples lesbiens qui n’en doutant pas, n’en sont qu’aux préliminaires. Et notre Gérard dans cette affaire se demande s’il ne va pas faire banquette. En fait il se serait volontiers approché de Gisèle, mais puisqu’elle est pour le moment accaparée par cette Frederika qui se dit lesbienne exclusive…

Les deux couples de filles en sont maintenant à se débrailler, et c’est moitié nues qu’elles se plotent à qui mieux-mieux.

Gérard prend alors la décision de se déshabiller et de se caresser la bite en attendant que celle-ci intéresse éventuellement une de ces dames.

S’immiscer dans le couple formé par son épouse et Béatrice ne l’intéresse pas pour le moment, ce genre de trio étant devenu un « classique », non ce qu’il lui faut c’est de la nouveauté… et étant donné que Frederika se déclare inaccessible à ce genre de choses, reste la belle Gisèle, mais comment procéder ?

En fait Gisèle n’aurait rien contre le fait d’aller taquiner la bite de Gérard, voire plus, mais pour l’instant elle se fait brouter la minette par la langue diabolique de Frederika..

Mais les choses ne se passent pas toujours exactement comme on le souhaiterait.

Florentine et Béatrice se sont fait jouir mutuellement, intensément et rapidement. Béa se relève après avoir repris ses esprits et se dirige vers Gérard, se glisse entre ses jambes et lui embouche la bite.

Ce n’est pas tout à fait la situation qu’il souhaitait mais quand une belle femme vient vous faire une pipe, on ne l’éconduit pas, ce serait une faute de goût !

En fait Béatrice a une envie folle de se faire sodomiser… Ce sont des choses qui ne s’expliquent pas

– Encule-moi, mon Gégé !
– Tu aimes ça, hein ?
– Tu le sais bien !
– Je me serais volontiers farci la Gisèle, mais elle occupée avec l’autre goudou.
– Espèce d’obsédé ! Encule-moi et je vais essayer de t’arranger ça.

Gérard, le cul enfoncé dans son moelleux fauteuil ne bouge pas de sa place, mais se saisit d’une capote (la boite n’était pas loin) et se l’enfile.

– Ben tu vas rester assis ? S’étonne quelque peu Béatrice.
– Oui, il est très bien ce fauteuil, viens t’empaler sur ma bite !

Et c’est parti pour une chevauchée qui à défaut d’être fantastique n’en est pas moins infernale.

Dans ce genre de position, c’est la femme qui se tape tout le boulot, ça monte et ça descend, on se croirait dans un manège de chevaux de bois !

Du coup Florentine momentanément sans partenaire s’approche des deux autres goudous en faisant des effets de poitrine.

Une arrivée qui fait le bonheur de Frederika. Quand il y en a pour deux il y en a pour trois, n’est-ce pas ?

Le trio s’emmêle, se bécote, se caresse, se lèche et se positionne en tous sens. Tout cela réjouit les yeux de Gérard qui trouve le moyen de lancer une œillade d’invitation à l’attention de Gisèle.

Et comme elle n’attendait que ça, elle se détache du trio et s’approche de Gérard mais ne sait pas trop comment s’immiscer. Elle a quand même l’idée d’approcher subrepticement ses tétons de la bouche de l’homme afin qu’il puisse lui sucer.

Béatrice ne fait pas attention à elle d’autant qu’elle chevauche son partenaire, les yeux fermés. Son plaisir monte, elle adore jouir du cul et le fait de façon très démonstrative en gueulant comme une baleine.

Gérard lui s’est retenu de jouir, c’est qu’il veut absolument la baiser, la Gisèle !

Béatrice se dégage, Gérard enlace Gisèle, l’embrasse sur la bouche et lui plote les nénés (eh oui passage inévitable, sauf dans les films américains, je sais, je me répète).

La Gisèle très passive dans un premier temps se laisse faire avant de mettre toute la bite de Gérard dans sa bouche et de la sucer avec une certaine vigueur.

Une goutte de pré-jouissance ne tarde pas à apparaître sur le méat de la bite de Gérard, elle stoppe en conséquence sa fellation invitant l’homme à la baiser

Mais ce dernier craint que ça aille trop vite, il se livre donc à quelques fantaisies, un peu de léchage de chatte et pas mal de léchage d’anus où les fragrances locales l’enivrent.

– Hum, j’adore l’odeur de ton cul
– Cochon !
– Un peu, oui ! Mets-toi en levrette sur le tapis, je vais te baiser.
– Avec plaisir !
– Dans le petit trou, je peux ?
– Commence classique et après tu pourras.

Un programme qui sied parfaitement à notre Gérard qui pénètre la belle en cadence pendant de longues minutes la faisant japper de plaisir, puis il change d’orifice et y jouit.

– Vous m’avez bien baisé, cher monsieur !
– Tout le plaisir était pour moi !

Et pendant ce temps-là Frederika et Florentine emmêlées comme des nœuds marins n’en peuvent plus de miauler d’extase tant le plaisir qu’elles se donnent est intense.

Et quand ils commandèrent de nouveau du Champagne, le loufiat de service fit l’indifférent devant tous ces corps dénudés, dont il n’était pas bien difficile de deviner ce qu’ils venaient de faire, mais ressorti de la suite en bandant comme un mulet !

De son côté Moineau cherche à joindre Woland et Rivière, surtout Woland parce que Rivière, il n’en a plus grand-chose à faire.

– Voyons ! Dans quel hôtel ont-ils bien pu aller ? ils ne connaissent pas la ville… A moins que cet hôtel restaurant très chic où nous sommes allés diner avec un généreux donateur…

C’était bien celui-là !

Quant à Nalon, il se remet plutôt bien de ses blessures et le médecin chef accorde aux gendarmes le droit de l’interroger.

– De toute façon, on ne va pas le garder, si demain il ne nous fait pas de complication; il pourra sortir.
– Bien, dans ce cas nous viendrons le chercher demain matin vers 10 heures. Répond le maréchal des logis Fremiot. Surtout ne le laissez pas partir. De toute façon, je vais demander à un collègue de rester en faction devant la porte.de sa chambre.
– C’est quoi ce vacarme dans le couloir, j’ai cru comprendre qu’on parlait de moi ! Demande Nalon.
– Je crois que la gendarmerie souhaite vous poser quelques questions ! Répond l’infirmier.
– Qu’ils aillent se faire enculer !
– Restez correct, Monsieur Nalon !

En fait Nalon a pratiquement tout entendu et dès que l’infirmier fut parti, il récupéra ses vêtements et ses chaussures, qu’on avait eu l’extrême obligeance de ranger dans le petit vestiaire, les enfila et sortit comme une fleur dans le couloir, puis quitta l’hôpital sans que personne ne lui demande rien.

Quant au gendarme qui devait surveiller la porte, il arriva trop tard.

Une fois dehors, il se rendit à pied jusqu’à L’Archipel de Véga, où un joli cordon jaune devant la grille indiquait « Scène de crime – Défense d’entrer, gendarmerie Nationale ».

– Il faut que je retrouve les deux idiots, je ne vais pas rester les bras croisés devant cette situation.

Les deux idiots ce sont bien sûr Abranka Woland et Jean-Bernard Moineau, il leur téléphone mais l’appareil de Moineau est désactivé. (Pas envie d’être géolocalisé par la gendarmerie). Quant à Woland il n’a pas de portable, il est contre… il y a des gens comme ça !

Moineau a demandé à Rivière d’aller faire un tour à l’Archipel, persuadé qu’il a oublié de récupérer des documents compromettants et de l’argent liquide.

Quand il revient c’est pour expliquer qu’il y a des scellés partout ainsi qu’une bannière jaune de la gendarmerie…

Woland et Moineau ne s’estiment guère et ne se parlent qu’à peine… à l’archipel ils se supportaient chacun trouvant avantage à la situation pour des raisons bien différentes. Moineau ne pensait qu’aux bénéfices pécuniers que l’escroquerie pouvait lui rapporter tandis que Woland prisonnier de ses délires analysait la chose au premier degré persuadé dur comme fer de l’arrivée imminente des extraterrestres.

Le souci c’est que les récents événements avaient considérablement modifié la donne. Pour Moineau, la source financière s’était tarie d’abord avec le coup de gueule de Michelet et la fuite des adeptes, ensuite avec la mise sous scellés de l’Archipel.

Woland, lui, tombait dans la dépression, les chimistes n’étant plus là pour découvrir le vaccin, cela signifiait l’élimination de l’ensemble de la population terrienne ce dont il se fichait mais aussi de la sienne ce qui le préoccupait bien davantage

– Faut qu’on trouve une solution, je sais bien qu’on ne voit pas les choses pareilles, mais on est obligé de collaborer, par la force des choses. Lui dit Moineau.
– Ça ne va pas être facile, vous ne pensez qu’au fric.
– Il faut bien vivre
– Pas en escroquant les gens
– Tout de suite les grands mots !. Examinons plutôt froidement la situation, Il nous faut un chimiste et il nous faut de l’espace.

C’est qu’il est malin Moineau et qu’il sait comment éveiller l’intérêt de son interlocuteur !

– De l’espace ?
– Évidemment, il nous faut recréer une communauté d’adeptes. On ne va pas accueillir vos extraterrestres en comité restreint.
– Ce ne sont pas MES extraterrestres.
– Oui, bon, ça va, vous n’auriez pas un autre endroit qui conviendrait, par hasard ?
– Non.
– Vous habitez où ?
– Qu’est-ce que ça peut vous foutre ?
– Ne soyez pas agressif, je cherche une solution.
– J’habite Marly les Violettes.
– Appartement ? Pavillon ?
– Non môssieur ! Grande propriété avec un beau terrain.
– Eh bien voilà !
– Ça n’ira pas, je ne peux pas y loger grand monde C’est une propriété bourgeoise, pas un dortoir !
– Ne soyez pas défaitiste, vous avez un terrain, on peut y installer des tentes, des caravanes, des mobil home….
– Hum, et pour le labo ?
– Une ou deux journées de travaux, non ?
– Et le chimiste ?
– J’ai une idée, Marly les Violettes ce n’est pas très loin de Louveciennes, non ?
– Pas trop, effectivement.
– Alors faites-moi confiance !

A suivre

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2 réponses à Martinov 29 – L’archipel de Véga – 6 – Gérard au milieu de quatre femmes par Maud-Anne Amaro

  1. Forestier dit :

    Non, ce n’est pas un concours d’endurrance. Je trouve que cette partouze respire comme un parfum de réalisme.

  2. Darrigade dit :

    Quatres femmes ! Faut assumer.. mais c’est vrai qu’avec le Viagra….

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