Revue danoise (Maud la prof – 2) par Bernard_le_photographe

Pour notre rendez-vous suivant, le temps était superbe, et j’allais voir
Maud, un midi à son lycée, nous devions être début juin ou fin mai, les
vacances se sentaient déjà dans la chaleur, l’odeur des pins…
Je la vois arriver avec une collègue, cette fois, elle l’abandonne, traverse
la rue, elle était en robe serrée à la taille et évasée vers le bas,
au-dessus du genou, un ravissement… Grand sourire, elle se penche par ma
fenêtre de voiture ouverte et après quelques paroles m’embrasse à pleine
bouche. Puis, je lui dis :
– On peut te voir, tu t’en fous ?
– Totalement, dans un mois, je ne suis plus ici, je me sens libre, ça me
fait du bien !
On démarre pour retourner dans le coin tranquille où il pleuvait la fois
d’avant. J’étais déjà très excité de voir ses cuisses à demi nues, Je le lui
dis :
– Moi aussi je suis excitée, ça me plait d’aller comme ça s’aimer dans la
nature, il fait chaud, on se fera bronzer, hein, vas-y vite qu’on s’aime
encore !
Je lui caresse les cuisses :
– Tu as une culotte, j’espère ?
– Bien sûr, Monsieur, je suis une prof sérieuse !
Elle relève sa robe et une fine culotte blanche apparaît. Je la touche, lui
écarte ses cuisses tout en roulant, lui touche la poitrine et nous arrivons.
J’avais pris une grande rabanne et une serviette, elle s’y allonge aussitôt
sur le dos, les genoux relevés. Sa robe glisse laissant voir sa culotte,
mais je n’avais pas d’appareil aujourd’hui, hélas !
Je sors un kilo de cerises pour déjeuner et les photos de son pipi dans
l’herbe mouillée. Ça la fait rire :
– Mon Dieu ! Je n’aurais jamais pensé qu’un jour on me verrait en train de
faire ça sur une photo, mais je m’en fous, si ça te fait plaisir !
Je la remercie, lui mets quelques cerises dans la bouche et commence à
caresser ses cuisses, les parcours de baisers, et ma bouche arrive sur sa
culotte. Elle allonge ses jambes, les écarte en grand :
– Oh, oui fais-moi un gros bisou là, j’ai envie de sentir ta langue !
Je lèche son entre cuisse, sentant son odeur intime, puis j’enlève ma
chemise et mon pantalon car il fait chaud et je m’installe à plat ventre
entre ses cuisses. J’écarte petit à petit sa culotte, retrouvant sa fente
rose et ses petits poils blonds, je la fouille de ma langue, goûtant son
nectar, mes doigts découvrent son clito pour mieux le sucer. Elle apprécie
beaucoup ça à entendre ses gémissements presque continue, puis elle me fait
arrêter pour enlever sa robe :
– Je vais arriver toute froissée, ça ne se fait pas !
Je l’aide, on la range proprement dans la voiture et tandis qu’elle est
penchée vers l’intérieur, je descends sa culotte et lui léchouille les
fesses ! Elle a un cul superbe et je le lui dis, lui prouve en l’embrassant.
Elle finit par se retrouver un genou sur la banquette arrière, l’autre sur
le dossier, donc très ouverte. Je la lèche encore puis elle me demande de la
prendre. Mon slip vole, mon sexe tendu s’approche, je la frotte le long de
la fente, moment magique, parce que juste  » avant  » elle gigote, me disant  »
d’y aller « . Je présente mon gland contre ses pétales roses entre lesquelles
je me glisse lentement. Elle a comme un hoquet, retiens son souffle et quand
je suis à fond dedans, elle pousse un gros soupir, puis elle se pousse vers
moi disant que c’est bon !
On fera ça pendant quelques minutes, mais c’est inconfortable pour elle et
on se remet sur la serviette, où quand même on grignote les cerises, se les
passant de bouche en bouche. Je lui sors les seins du soutien-gorge, lui
lèche les tétons, je lui enlève ensuite.
On est nu au soleil, c’est un régal et elle me caresse partout, puis me
masturbe et me prend dans sa bouche, un délice de douceur. Et d’un coup, je
me souviens avoir amené quelque chose pour elle :
– Maud, j’allais oublier, j’ai une surprise pour toi !
– Une surprise ? J’adore les surprises ! C’est quoi ?
Je vais dans mon coffre et reviens avec une grande enveloppe :
– Tiens, regarde, ça devrait te plaire !
Elle ouvre et découvre une revue danoise carrément porno :
– Oh ! Oui, on en avait parlé, c’est vrai !
Au précédent rendez-vous elle m’avait dit avoir trouvé dans les affaires de
son fils de dix-sept ans, une petite revue porno, et ça l’avait un peu
choquée de voir des images aussi explicite, bien que n’étant pas  » arriérée
« , mais c’était peu courant à l’époque. Elle m’avait dit qu’elle l’avait
remise à sa place, mais qu’au fil de la journée, elle avait eu la curiosité
de la reprendre, de la détailler, de la ranger à nouveau. Mais dans l’après
midi ne faisant qu’y penser, elle alla la chercher, s’installa sur son
canapé et s’excita toute seule en regardant les photos ! Je lui avais dit :
– Mais, excitée au point de te masturber ?
– Ben oui, ça ne m’arrive pas souvent mais je me suis envoyé en l’air comme
une jeune fille frustrée !
Elle commence à feuilleter cette revue inconnue, à plat ventre, son superbe
cul bien cambré :
– Oh, dis donc, c’est bien aussi, ça !
Il s’agit d’un couple qui flirte, puis commence à faire l’amour, mais un ami
du mari arrive à l’improviste. Les photos sont très bonnes, la fille
mignonne, avec des seins assez gros, elle est encore en soutien gorge quand
l’ami arrive et est mal caché par un peignoir. On comprend qu’ils expliquent
ce qu’ils faisaient à l’ami que la situation excite et bientôt la fille
aussi se prend au jeu. Cela se termine par une partie trio et une double
pénétration après sodomie par les deux gars !
Pendant qu’elle regarde avidement tout ça, je me suis allongé sur elle, la
caresse, l’embrasse dans le cou, les oreilles.
Je commente les photos au fur et à mesure, elle aussi du genre :
– Quelle queue il a !
Ou :
– Qu’est ce qu’elle se prend la fille !
– Et toi tu as déjà fait ça, la sodomie ?
Elle répond que de temps en temps, elle ne refuse pas, mais ça fait mal. Moi
:
– Il faut le faire plus souvent, je pense, et avec deux gars, ça t’est
arrivé ?
– Non, jamais, ça plairait à mon mari sans doute ou avec une autre femme
plutôt !
– Et toi ?
– Je ne dirais pas non, il ne faut pas mourir idiot, non ?
Mais le temps passe, je la caresse partout, l’excite encore alors elle
contemple toujours les photos, puis elle murmure :
– Bernard, j’ai envie, je voudrais jouir avec ta langue et après tu me
prendras !
Elle se met alors en levrette, très cambré, le visage sur la revue et me
laisse faire. Sa vulve est superbe, ma langue la parcourt du clito au petit
trou. Elle respire fort, gémit, je lui tiens les fesses écartées au maximum
et tout en suçant son clito, je lui titille l’œillet d’un bout de doigt et
je lui enfonce doucement en insistant sur le clito et elle jouit en poussant
de petits cris rapprochés et je l’entends encore me dire :
– Oh ! Merci, merci de me faire ça !
Je ne dis rien savourant son plaisir, mais je me place derrière elle, mon
sexe contre sa fente, je la caresse avec, l’humecte de son jus, puis le
présente à nouveau entre ses pétales gonflés et cette fois j’y entre d’un
coup de rein ! Elle pousse un gros  » OUF  » et commence à se tortiller
superbement disant que c’est bon d’être prise ainsi. Je la tiens par les
hanches, m’active, comme elle d’ailleurs qui se pousse et on jouit
superbement. Je me vide en elle par saccades, on se calme, on se désunit, et
elle me dit :
– Vite, donne-moi ma culotte !
Je la lui tends, elle l’enfile vite :
– Comme ça cet après-midi, je sentirais ton sperme couler dans ma culotte en
faisant mes cours !
Jamais je n’avais entendu ça !

La fois suivante fut brève : je viens la chercher un soir pour lui éviter le
car et l’emmène à la gare. Elle fut donc un peu en avance. On resta à
discuter dans la voiture. J’appris quelle quittait à telle date
l’établissement et me demanda si un midi je pourrais venir l’aider à charger
sa voiture et j’acceptais évidemment.
Puis d’un coup, elle me dit :
– Je vois qu’il y a deux élèves pas loin, ils ont du me voir ! Embrasse-moi
!
Je suis surpris, je lui fais quelques bises, elle tourne la tête et sa
bouche s’empare de la mienne, goulûment !
Je repère où doivent être ses élèves, car un des deux regarde et visiblement
fait signe à l’autre de regarder ! Je l’embrasse de plus belle, mais elle
regarde l’heure :
– Hum ! Merci, c’était délicieux, ils vont fantasmer sur moi, ces petits
vicieux !
Elle sort de la voiture, rayonnante et disparaît dans la gare !
Décidément le hasard fait très bien les choses si on le bouscule un peu !

A suivre !

Bernard
Première publication sur Vassilia, le 28/10/2001

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