Vouvoyer, quel érotisme ! 2 – Nuit mémorable à trois – Michèle nous attendait… par jeanmysapo

Vouvoyer, quel érotisme !
2 – Nuit mémorable à trois – Michèle nous attendait…
par jeanmysapo

Je m’étais couché avant Mathilde et je me délectai de la fraîcheur de l’air sur ma peau. Un léger courant d’air faisait frissonner le fin voilage de la porte fenêtre donnant sur la terrasse ; j’étais entièrement nu, au dessus des draps.

Par la porte de chambre mal fermée j’entendais les deux femmes parler dans la salle de bain toute proche. Mathilde devait savoir que j’entendrai leurs propos ; Michèle, non.

– C’est fabuleux ce que nous avons vécu cet après-midi, Mathilde ! Je devrais avoir honte de m’être laissée aller comme ça !
– Comment, ma chérie ! Pourquoi honte ? Tu nous as dit toi-même que tu nous avais trouvés, Jacques et moi, très beau quand nous nous sommes donné l’un à l’autre, comme ça, dans les dunes. Je ne pense pas que l’on nous ait vus.
– Oui, mais, quand même, que va penser Jacques ? Je me suis quand même laissé aller ; Je me suis fait jouir devant lui, sans pudeur. Il m’a vue toute nue ; il m’a fixée avec passion quand je me masturbais. J’ai honte ! Pas toi ?
– Mais, c’est bon, la honte, non, dit Mathilde en riant de bon cœur. Que dirais-je moi qui me suis laissé « enfiler » en levrette, devant tes yeux ! Mais que c’était excitant de savoir que tu nous matais .Tu as vu quel bel étalon que mon Jacques ?
– Oh ! Oui ! Mais…
– Quoi, ma chérie ?
– Il est trop beau ton amant ! J’ai une envie folle de me laisser aller dans ses bras ! Ce n’est pas possible ! Tu vas vraiment me le « prêter » ? Cette nuit ? J’en tremble, regarde !
– Cela t’excite, n’est-ce pas ? Tu fantasme ? Mais, je ne te le prête qu’en ma présence, ma chérie. Cette nuit, on va te faire ta fête ! Tu vas « passer à la casserole » (rires irrépressibles des deux femmes)

Quand Mathilde s’est couchée à mon côté, nue et délicatement parfumée, j’ai fait mine de somnoler.

Avec une douceur infinie qu’elle effleurait mon visage puis mon torse velu et, enfin, mon sexe « au repos ». C’est là que j’ai commencé à me trahir. Sa douce et sensuelle caresse a eu pour effet immédiat de réveiller ma bite et de la faire s’ériger avec arrogance. Je ne dormais pas ; Mathilde en faisait le très agréable constat.

Je me suis décidé, cependant, à laisser planer le doute. Sa caresse se transformait peu à peu en branle expert et hyper excitant. Mathilde s’est alors redressée et, à genou sur le lit, elle laissa couler sa salive sur mon gland puis, avec douceur et progressivité, elle a entrepris de me sucer. Mais quel délice ! Sans un mot, je me laisse happer le gland puis la colonne et enfin la bite au complet par cette superbe bouche féminine. Mathilde n’est pas dupe : je ne dors pas, bien sûr ! Par moments, elle sort ma bite de sa bouche si sensuelle et l’enserre entre ses doigts pour la masturber ; elle alterne ces séquences avec une totale maîtrise de cet art de la fellation. Sucette ; branlette… Je suis au comble du plaisir ! Je sens la jouissance prendre naissance au creux de mes reins et dans mes couilles gonflées de désir. C’est trop bon ! Avec cet instinct qu’ont les femmes, Mathilde perçoit mon imminente éjaculation ; elle arrête alors son branle et se contente de me prodiguer quelques petits coups de langue sur le gland turgescent, la verge salivée puis sur mes couilles dont elle apprécie toujours le toucher. Je me retiens de gicler et demeure sur ce palier du plaisir qui est le délicieux prélude de l’éjaculation.

Quand elle reprend sa position allongée prés de moi, me laissant frustré, elle murmure :

– Mais, mon « cochon » c’est à Michèle que tu as envie d’offrir cette belle queue, non ? Tu as très envie de « te la faire », non ? C’est à elle que tu pensais quand je te branlais ? Dis-moi franchement.

– Oui, mon amour, je l’avoue : je me voyais la pénétrer pour la première fois. C’est toujours un super fantasme masculin : « Je vais la pénétrer ; m’enfoncer en elle » Mais, tu le sais, je te l’ai déjà avoué souvent. Pourquoi m’avoir laissé sur le chemin ? Ton branle était exquis ; tu suces toujours à merveille, mon amour. J’allais lâcher les freins et éjaculer comme jamais !

Sans attendre de réponse, je m’agenouille entre les cuisses de Mathilde et entreprends de la lécher comme elle aime tant. Par coups de langue dure et ferme, j’excite son clitoris toujours extrêmement sensible. Puis d’un, deux et finalement trois doigts, je fouille son antre ; branlant au passage ses petites lèvres et accentuant ma pression partout où je la sais « réactive »

– Oh ! Oui, mon amour, Oui ! Comme ça ! Oui…
– Tu aimes, dis ? Comme si c’était Michèle qui te faisait jouir ? Tu penses à elle ?

J’accentuai progressivement la masturbation en veillant à ne pas créer de suite l’orgasme qu’elle sentait tout proche :

– OUI ! OUI !! Vous me prenez tous les deux. Continue ! Je t’en prie !

Mais je m’arrête peu à peu, la laissant visiblement terriblement frustrée.

– Non, mon amour, non ! Réserve ta jouissance pour nos ébats avec Michèle. Chose promise, chose due ! Ta maîtresse a bien mérité que l’on s’occupe d’elle. Elle doit être dans un état !
– Tu es vache ! J’allais jouir comme une folle !
– Si tu savais combien de m’être arrêté juste avant l’éjac va me faire jouir plus fort tout à l’heure, dans la chatte de ta maîtresse ! C’est comme ça pour nous, les hommes. Se retenir à la dernière seconde ; l’éjac suivante est une véritable explosion de jouissance.

Mais, nous aussi, mon amour. Je vais multiplier les orgasmes, tout à l’heure, je le sens !

Quelques minutes de silence s’installent entre nous ; nous fantasmons chacun ; quelle délicieuse attente. Bientôt, sous les yeux de ma maîtresse, je vais baiser Michèle qui doit bouillir d’impatience et d’émotion.

La maison est sous silence absolu ; il est bientôt minuit.

– Viens mon chéri. Viens te faire jouir et récompenser Michèle de sa merveilleuse complicité. Viens, on va la baiser tous deux.

Mon trouble est à son comble. Vais-je passer un vêtement ? Vais-je me présenter nu comme un ver dans la chambre de Michèle ? A-t-elle laissé de la lumière ou est elle dans le noir ? Ça y est ! Voilà que je commence déjà à bander ! Ça promet.

Sans un mot, comme si cela était parfaitement naturel, Mathilde et moi pénétrons, nus, dans la chambre de notre amie. Aucune lumière si ce n’est ces rayons de lune qui, après quelques seconde d’accoutumance nous dessinent le corps nu, alangui de l’amante. Sans nous être concertés, Mathilde se couche à gauche et moi à droite de la belle dont le subtil parfum m’envoûte de suite.

Toujours dans un silence quasi religieux, Mathilde baise le front, les cheveux, la commissure des lèvres de son amie. Celle-ci réagit en s’emparant de la bouche de sa maîtresse et en l’embrassant très sensuellement.

Je sens ma verge s’ériger et un trouble délicieux m’envahir. Nous sommes sans doute tous trois aussi émus, troublés et excités. Je vais la baiser ! Hum ! Je revois son cul quand elle était allongée entre nous sur la dune ; je revois sa chatte totalement épilée…

Leur baiser se prolonge ; elles aiment vraiment beaucoup ces deux grâces. Ma main se pose alors sur la poitrine de Michèle et entreprend de la dessiner, de la palper, de la peloter…Que c’est bon ! Michèle réagit à ces caresses en accentuant goulument son baiser.

Peu à peu je presse ma bite bandée contre la cuisse de Michèle et lui fais ainsi sentir la puissance de mon désir. Je me masturbe un peu au contact cette cuisse de femme en chaleur

Mathilde quitte la bouche de son amante et allume la lampe de chevet dont la lumière douce commence ainsi à mettre en lumière l’érotisme exceptionnel de nos trois corps halés. Puis, elle s’empare de ma bite, la branle très lentement avant de la mettre dans la main de sa maîtresse. Quelles sensations ! D’emblée, Michèle me polit le gland, fait coulisser mon prépuce, me branle la verge, me soupèse les couilles… Je bande comme un âne !

C’est tout naturellement que je lui rends la pareille en lui excitant le clitoris et je la doigte savamment, pensant avec trouble que dans quelques minutes j’allais la pénétrer ! Hum !

En peu de temps, les positions et les jeux s’organisent : Michèle se présente à moi, en levrette (sans doute avait elle particulièrement son amie cet après-midi) Mathilde place ses reins sous la bouche de son amante qui lui lèche méticuleusement la chatte. Pas un mot n’a été prononcé. Quand je m’empare de mon pieu pour pénétrer la belle, je suis au bord de l’éjaculation précoce, tant mon trouble est intense. Les deux gouines commencent à roucouler et à se dire mille tendresses :

– Oh ! Oui, Ma chérie, lèche moi ! Oui !
– Oh ! Mathilde, ton homme ! Il va me sauter ! Oh !
– Oui, il est en furie. Je l’ai préparé avant de venir. Il va te la mettre !!!
– Michèle, je vais vous baiser ! Je vais vous pilonner ! Tenez, dis-je la voix enrouée par l’émoi.

Je présentai alors ma belle bite à l’orée de son antre et lui caressai le clito avec mon gland turgescent.

– Vous allez vous la prendre tout au fond de la chatte ! Je vais vous défoncer !
– Oh ! Oh ! Michèle !

Joignant le geste à la parole, je m’enfonçai lentement, mais à fond dans la gaine parfaitement lubrifiée de Michèle : ça ya est, me disais-je je la pénètre ! Je la baise ! Pour jouir du spectacle, je me retirai régulièrement et me regardai planter ma bite en furie dans ce sexe de femme si accueillant. Mathilde se redressa et me regarda aussi avec émoi. Le spectacle était d’un érotisme torride et Mathilde entreprit de se masturber en nous voyant baiser ainsi.

– Oh ! Mathilde ! Il me défonce ! Oh ! Oui ! Oui ! Oh !!!
– Vas-y mon amour, lâche-toi. Fais-toi jouir sans retenue. Elle ne demande que ça ma jolie maîtresse. Bourre là !

Ainsi que le l’avais prévu, d’avoir été « laissé sur le chemin » par Mathilde avant mon éjac libératrice, tout à l’heure décuplait la jouissance que je sentais monter au plus profond de mes couilles. Je sentais que j’allais exploser comme jamais.

– Vous allez vous en prendre plein l chatte, Michèle. Han ! Ha !!

Je la culbutai avec rage. Mes reins claquaient contre ses majestueuses fesses. Là encore, je pris le temps de me repaître du spectacle. Bandant.

– Oh !! Oui me lançait Michèle en agitant son superbe cul de gauche à droite et de bas en haut pour bien sentit ma grosse bite dans son sexe en chaleur.

Un terrible orgasme la secoua; elle sanglota longuement.

– Han ! Oh ! Ça vient !!! Je vais gicler ! Oh !

Terrible sensation, que de sentir la jouissance longtemps contenue irradier les reins. Cette fois encore, c’est sur le cul de l’amante que j’éjaculai longuement ; sous les yeux de Mathilde qui s’écroula elle aussi, prise d’un orgasme frénétique. Ma bite restait agitée de soubresauts sur les fesses de Michèle, elle se vidait jusqu’à la dernière goutte.

– Oh ! Mais quel cul ! Mais que c’est bon ! Je gicle !!! Ah !!! Répétai-je longuement.

Nous nous effondrâmes tous trois, nus et beaux sous les pâles rayons de lune, terrassés de jouissance.

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