Vacances au Cap d’Agde 2 – Eté 2019 par Marcus
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Je suis Marcus 51 ans, brun cheveux rasés, coupe bidasse, 1.76m 80 kg mais dans cette aventure, j’étais un peu plus jeune avec le même physique. (2019)
Nous nous retrouvons avec Sylvie vers 18h pour un apéritif au bord de la piscine de notre restaurant préféré.
J’ai mis mon pantalon et ma chemisette en lin blanc, ça fait assez classe je trouve, surtout que ça met en valeur le bronzage !
Sylvie arrive en robe moulante rouge mettant en valeur sa poitrine voluptueuse.
Mon Dieu qu’elle est belle cette sexagénaire sublime ! La brune à forte poitrine et cheveux longs dont j’ai toujours rêvé !
Sylvie s’assoit avec moi, on prend un cocktail puis la soirée se finit en restaurant.
Au restaurant, elle me dit :
– Bon on fait quoi après ?
– Petite virée en club ? Ça te dit ?
– Bof, je suis fatiguée de tout ça, je préfère rester tranquille ce soir
Devant son désarroi, je suis un peu déçu, pensant que je n’allais pas finir par une bonne soirée avec elle.
– Par contre, je ne suis pas contre une fin de soirée chez toi, tu ne m’as pas encore montré ton appartement.
– Avec plaisir Sylvie, mon appartement est plein de surprises !
Je vois son regard interrogatif et j’en souris !
Nous finissons de manger, une petite soirée sympa jusqu’à environ 23h au bar de la Bodega puis nous partons vers mon appartement situé à 100 mètres.
J’ai la chance d’avoir un bel appartement en duplex et terrasse avec en prime un baignoire thalasso, un atout merveilleux qui fonctionne comme un hameçon chez la gente féminine.
Arrivés à l’appartement, je demande à Sylvie :
– Champagne pour bien continuer la soirée ?
– Coquin ! Tu veux me saouler ? Me répond elle.
– Ah non ma chère amie ! Je n’aime pas les gens qui perdent raison avec l’alcool et je pense que nous avons déjà progressés dans le domaine de nos connaissances respectives, n’est-ce pas ? Dis je en riant.
– Tu as tout à fait raison ! Alors champagne c’est parfait !
– Mets-toi à l’aise ! Si tu veux faire des – bulles la baignoire thalasso est toute pour toi !
– Ahh ! ça c’est un argument intéressant dit-elle !
Je fais couler l’eau pour remplir la baignoire en même temps que le champagne dans nos coupes.
Sylvie a les yeux brillants de désir.
– Pourquoi ne voulais-tu pas sortir ce soir ? lui dis-je.
– Je suis un peu fatiguée du bruit et du monde, je préfère rester tranquille, et puis franchement, c’est tellement sympa chez toi !
– Merci, c’est gentil ! nous trinquons ensembles.
J’en profite pour enlever mes vêtements, nous sommes à Cap d’Agde au Natu après tout !
– Mets-toi à l’aise Sylvie si tu veux !
– Avec plaisir ! Enfin !
Elle retrousse sa robe moulante et je la redécouvre nue, sa belle toison pubienne et ses seins agressifs devant moi.
– Tu es quand même canon !, dis je ne pouvant retenir mon admiration.
– Merci mon cher ami ! me répond elle. Allons faire des bulles alors ! dit elle en riant.
Nous voici nous glisser dans la grande baignoire thalasso, les remous massant sont tellement agréables. Sylvie ferme les yeux mais je sens sa main sur ma cuisse. Je fais semblant de rien, à vrai dire à moitié, continuant à déguster ma coupe de Champagne. Ma main caresse sa poitrine, les tétons pointus dressés, les pinçant doucement.
– Humm coquin ! me dit elle en gémissant, toi tu sais parler aux femmes !
Je ris, en continuant ma manœuvre, et voici que Sylvie commence à me branler dans l’eau tumultueuse.
– Bon ça suffit ! J’ai trop chaud ici !
Je sors de la baignoire et m’allonge sur le lit encore trempé malgré l’essuyage avec la grande serviette.
Merde alors ! je bande dur encore ! Bon j’avoue que j’entretiens cette bandaison en me masturbant doucement.
Je regarde Sylvie avec un regard malicieux qu’elle me rend bien, car sortant du bain, elle vient s’assoir sur mes cuisses.
– Bon et maintenant ?
– Bouffe-moi la chatte couillon ! s’écrit elle en venant poser sa chatte trempée et poilue sur ma bouche.
Ahhh ! je ne peux résister et commence à lécher cette fente poilue délicieuse d’une mouille abondante.
Je lui aspire les nymphes, le clitoris et venant enfoncer ma langue dans son intimité vaginale, je profite pour lui titiller le méat urinaire. Mais quel vice !
Sylvie gémit, me traitant de salaud et de « oh mon Dieu » et bouge sur ma bouche en tirant le haut de son pubis poilu.
Quel bonheur d’avoir son goût dans la bouche, une sexagénaire perverse et obsédé, je suis au Paradis !
– Mon cochon ! Je vais te donner tout ! Je n’ai pas le temps d’aller aux chiottes !
– Ah oui ? Laisse toi aller !
Je titille de nouveau son petit trou à pipi !
Soudainement, Sylvie émet un cri en déversant son champagne personnel, elle m’arrose le visage de son urine chaude et délicieuse, j’ouvre la bouche pour boire ce divin nectar.
– Hummm ! J’adore ton urine délicieuse ! Je la bois avidement. Ta pisse chaude est mon nectar préféré Sylvie !
– J’en suis ravie ! dit-elle. Maintenant lèches moi le cul ! J’ai plein d’autres surprises pour toi mon cher wc personnel !
Oh mon Dieu ! Je passe ma langue sur son anus poilu et odorant, léchant ses poils collés. J’avoue que j’adore ça !
Soudain, alors que je rentrais ma langue profondément dans son cul, je sens son anus s’ouvrir pour lâcher un pet odorant.
– Humm, je suis aux anges ma chérie ! Tu es tellement perverse !
Je reniflais ses flatulences avec délice, j’avoue que j’adore ça ! De plus le goût devenait plus prononcé me faisant bander illico !
– Humm ! Continue de pousser lui dis-je !
Ce qu’elle fit prestement me lâchant une minuscule petite crotte sur ma langue.
Je l’avalais aussitôt en la dégustant, un peu surpris au premier abord par l’acte.
J’avais toujours rêvé de franchir le pas dans le domaine scato, mais franchement j’ai adoré ce moment et le goût moelleux de sa petite crotte.
Sylvie jouit sur le champ en me voyant avaler sa merde et je jouis aussitôt d’excitation ! Elle lécha le sperme sur mon ventre avant de m’embrasser goulument me faisant partager nos saveurs intimes.
– Merci mon Loulou me dit-elle ! On recommence quand tu veux !
– Merci Sylvie ! je repart demain, j’espère te recroiser l’été prochain.
Ainsi se termine cette histoire car nous sommes repartis chacun de notre côté sans malheureusement nous croiser de nouveau.
J’avoue qu’à chaque fois que je vais au Cap, je scrute les endroits communs de restauration pour essayer de revoir Sylvie.
fin
Elle est courte mais elle est bonne