Une voisine très compréhensive
par Daniel952
On sonna à la porte. Je regardais l’heure et vit qu’il était un peu tôt pour que ce soit Julie. J’allais donc regarder qui sonnait, quand je m’aperçus que ma tenue n’était pas très décente, nu sous ma robe de chambre.
– Attendez, s’il vous plait.
J’enfilais rapidement un jean et un teeshirt, jetant ma robe de chambre sur le canapé.
– Voilà, voilà.
Je regardai au travers du judas et vit ma voisine d’en dessous qui venait me rapporter le passe du parking que je lui avais prêté hier soir. Elle avait en effet oubliée le sien et avait été très contente de me rencontrer, surtout à 2 heures du matin. Sans cela il aurait fallu qu’elle gare sa voiture dans une rue alentour, et cela aurait peut être posé un problème dans notre quartier assez chaud.
Oh, ce n’était pas les prostituées de tous genres qui travaillaient dans cette rue qui auraient pu poser un problème, mais plutôt leurs clients éventuels, ou autres curieux qui déambulaient par ici.
J’ouvrai la porte et découvrit une étonnante créature, dans le judas je l’avais tout juste reconnue mais là, je pouvais la contempler, et je dois dire que c’était une pure merveille qui s’offrait à mes yeux.
Vêtue d’une petite robe à bretelles orangée très légère, un peu évasée et surtout très courte, elle était adorablement bronzée. Je restai muet en la détaillant sans retenue. Ses épaules ressortaient magnifiquement, sa petite poitrine libre de tout soutien m’interdisait de la regarder longtemps dans les yeux grâce à un décolleté très échancré, ses cuisses musclées défiaient toutes décences, prolongées par des mollets bien galbés.
Son visage ovale, entouré de ses cheveux longs légèrement bouclés d’une blondeur éclatante, s’illuminait de ses yeux bleus perçants. Son petit nez fin lui donnait une personnalité très douce. Elle inspirait instantanément une tendresse troublante. Elle était un peu plus petite que moi, malgré des chaussures à haut talons qui lui donnait une silhouette à damner tous les sains. Par pure réflexe de mâle, j’aurai voulu la prendre dans mes bras, la serrer très fort, l’embrasser partout sur son corps que je devinai enivrant.
Elle ressemblait beaucoup à Julie, mon amie depuis quelque temps.
– Et bien, je vous fais de l’effet apparemment.
Hein, quoi, que se passe-t-il. Avec ses paroles prononcées pourtant avec douceur, me voici sorti d’un rêve splendide… Réveille-toi Damien, la demoiselle te parle.
– Oh, excusez-moi, je suis confus. Ne m’en voulez pas. Vous désirez quelque chose ?
En voilà une question idiote. Si elle était là, devant ma porte, c’était évidemment pour quelque chose, mais j’étais tellement troublé.
– Je vous rapporte votre passe. Vous m’avez bien dépannée cette nuit, sans vous quelle galère pour me garer.
– C’est tout naturel voyons, je n’allais tout de même pas vous laisser à la merci de tous ces hommes. Entrez mademoiselle, vous allez bien prendre quelque chose avec moi.
– Non merci, mon ami m’attend. Par contre, et pour vous remercier, venez prendre un verre avec nous. J’ai parlé de vous à Batiste, et il voudrait bien faire votre connaissance. Après tout on ne se connait pas du tout, ce sera l’occasion. Vous venez ?
Ouille, elle avait un homme. C’était bien ma chance, mais une telle créature ne pouvait pas être toute seule. Je me faisais bien des illusions.
– Je ne veux pas vous déranger, et mon amie devrait arriver dans une petite heure. Et puis, regardez comme je suis, je viens de me réveiller. Une autre fois si vous le voulez bien.
– Mais non voyons, vous êtes très bien comme ça. Et puis, demain, on doit partir pour quelques jours. Allez, ne faites pas votre timide, venez comme vous êtes. Pour votre amie, laissez-lui un mot en lui disant où vous êtes pour qu’elle vous rejoigne, d’accord ?
Un peu gêné, je me voyais dans l’obligation d’accepter, mais je ne pouvais pas m’empêcher de penser que je n’avais pas eu le temps de mettre un sous vêtement sous mon jean, mais bon, ce que femme veux…
– Bon, eh bien c’est d’accord, je vous suis.
Le temps d’écrire un petit mot pour Julie, et je me trouvais dans l’entrée avec la demoiselle.
– C’est gentil de venir, Batiste va être content. Vous savez, nous avons emménagés depuis peu, et nous ne connaissons personne ici, vous êtes le premier.
Ses paroles étaient prononcées avec douceur tout en descendant l’escalier, et une certaine tendresse pointait dans sa voix. Décidément ma voisine était très troublante, et j’avoue que je la détaillai tout à mon aise profitant qu’elle me précédait. Sa silhouette était des plus ravissantes, sa taille fine se terminait par des hanches bien formées et son fessier ondulant ne me laissait pas indifférent. Si Julie avait été là, elle ne m’aurait pas contredit, sans aucun doute. Elle apprécie les belles femmes, et ma voisine était tout à fait son genre. En fait, et pour tout dire, notre genre à tous des deux.
Elle poussa la porte de son appartement.
– Entrez, heu vous avez bien un prénom je suppose, moi c’est Claire.
– Et moi, Damien.
– Batiste, voici Damien, notre voisin du dessus. Tu sais, le monsieur qui m’a bien dépanné cette nuit.
– Ha oui, entrez Damien, prenez place. Heureux de vous rencontrer.
Je m’assis sur le canapé, Batiste à côté de moi.
– Je reviens, faites connaissance tous les deux, dit Claire.
– C’est gentil d’avoir prêté votre passe à Claire cette nuit, je ne sais pas comment elle aurait fait pour trouver une place pour se garer. Ce quartier est très fréquenté, surtout à 2 heures du matin…
– Oui c’est sûr, mais c’est bien normal et comme je lui disais, je ne pouvais pas la laisser toute seule, avec tous ces hommes qui trainent par ici.
– Oh je connais bien Claire, elle sait se défendre, mais bon c’est gentil tout de même. Vous habitez ici depuis longtemps ?
La conversation dura un petit moment, le temps que Claire reviennent avec, sur un plateau, des petits gâteaux et du champagne.
– Vous aimez le champagne Damien ?
– C’est ma boisson préférée.
– Dites les enfants, on pourrait se tutoyer. Après tout on devrait avoir à peu près le même âge, avança Batiste.
– D’accord pour moi, répondit Claire.
– Bien sûr, pas de problème, dis-je.
– Met-toi à l’aise Damien, me dit Batiste.
J’étais déjà à l’aise en jean et teeshirt, mais je me mis plus enfoncé sur le canapé pour lui faire plaisir.
Batiste était un bel homme de taille moyenne, apparemment pas très musclé, avec un visage fin très agréable à regarder, peut-être un peu efféminé, en tout cas c’était ma première impression. Un homme sympathique et avenant.
Claire avait retiré ses hauts talons et s’était assise en face de nous dans un large fauteuil, ses jambes repliées sous elle. Cela eu pour effet de faire se relever beaucoup plus sa petite robe qui dévoilait ainsi le haut de ses cuisses magnifiques. Je pouvais même entrevoir le début de ses petites fesses. Ce n’était pas pour me déplaire, mais mon regard avait beaucoup de mal à quitter cette vue splendide et j’étais gêné vis-à-vis de Batiste.
Apparemment, ni l’un ni l’autre ne se rendait compte de ma gêne, ni de la position assez décontractée de Claire.
– A notre rencontre, proclama Claire.
– A votre santé.
Le champagne était excellent, et Batiste nous en reversa sitôt les coupes à peine vidées.
– Alors comme ça ton amie devrait nous rejoindre, si elle lit ton petit mot. Elle s’appelle comment, l’heureuse compagne de ta vie ?
– Julie.
– Elle habite avec toi ?
– Bientôt, pour le moment nous nous retrouvons aussitôt que nous le pouvons.
– Désolée d’être curieuse à ce point, mais j’adore connaître la vie des personnes que je rencontre. Curiosité féminine…
– Pas de problème.
– Alors attention, je peux être très incisive.
Tout ceci était dit avec légèreté sur un ton un peu moqueur, avec un sourire un peu coquin. Batiste me regardait souvent et avec insistance, au point de me mettre un peu mal à l’aise. Lui aussi était inquisiteur, à sa façon.
– Cela ne la dérange pas que tu habites dans ce quartier ?
J’avoue que je ne m’étais jamais posé la question.
– Non je ne pense pas, et nous sommes un couple assez libre.
Oups, qu’est ce qui me prenait de me dévoiler ainsi devant ce couple que je connaissais à peine, le champagne sans doute.
– Tiens nous aussi, c’est drôle. Nous étions donc faits pour nous rencontrer alors. J’ai hâte de faire sa connaissance, je suis sûr qu’elle est mignonne.
– Oui en effet, d’ailleurs elle te ressemble beaucoup, c’est même assez troublant, tu verras.
Re oups, décidément mes paroles sortent à une vitesse incontrôlée, j’espère ne pas paraître trop déplacé à en dire trop.
– C’est gentil, je suis flattée.
Une autre bouteille suivie, et je me sentais très bien. J’avais l’impression de connaître mes hôtes depuis très longtemps.
La conversation allait bon train, puis Batiste se leva et quitta la pièce.
– Excusez-moi, je reviens.
Je restai seul avec Claire. Ce n’était pas pour me déplaire bien sûr, mais alors pourquoi étais-je gêné à ce point ?
– Encore un verre Damien ?
– Volontiers.
Claire changeait de position pour me servir, et à chaque fois c’était un délice pour mes yeux. Je pu voir un petit bout de sa petite culotte rose qui me mettait dans un état très ennuyeux. Je craignais qu’elle s’aperçoive de la bosse qui commençait à devenir difficile à cacher.
– Tu fréquente le quartier parfois ?
La question était assez directe et évasive à la fois, compte tenue justement de la fréquentation de prostituées près de chez nous. Mais, le champagne aidant, je me lançais dans des confidences assez légères.
– Oui, cela m’est arrivé, ce serait dommage de passer à côté des occasions qui se présentent aussi facilement.
– Je suis parfaitement de ton avis, et comme je te comprends, ce serait dommage en effet. Et tu le fréquente encore ?
– Quoi donc ?
– Le quartier Damien, le quartier…
Sur cette remarque troublante, elle rechangea de position. Cette fois elle mit ses petits pieds nus par terre, le buste bien en avant, les coudes sur ses cuisses avec ses deux mains jointes, ce qui eut pour effet immédiat de dévoiler presque entièrement ses deux petits seins, me laissant admirer ses tétons bien grossis. Elle écarta légèrement ses jambes, tout en me regardant droit dans les yeux.
– Heu oui, j’avoue que cela m’arrive encore, j’aime les bonnes choses.
– Tu as bien raison, on ne vit qu’une fois, n’est-ce-pas.
C’était une invitation ou je n’y connaissais plus rien…
– Tu me semble bien troublé Damien. Je comprends que je ne te laisse pas indifférent, surtout que j’aperçois quelque chose qui me le confirme sans aucun doute possible.
Son regard s’était baissé sur la bosse de mon pantalon qui trahissait sans équivoque mon émoi.
– Ne soit pas timide, approche-toi.
– Mais, et Batiste…
– Ne pense pas à lui. Il ne te vient pas à l’idée qu’il ne sera pas jaloux, même s’il nous voit.
C’en était trop, je n’en pouvais plus. Tout se troublait dans ma tête. Je me levais, et m’approchai de cet admirable démon de désirs.
– Accroupit-toi, dit-elle avec tendresse.
Je m’exécutais en m’approchant de ses cuisses, et me mis à genoux devant elle. Mon visage était maintenant entre ses jambes qui s’étaient bien ouvertes. J’attrapai ses fesses en les pelotant un peu. Elle prit ma tête entre ses mains et l’attira vers son petit minou bien épilé. Elle avança ses hanches et étira son corps en arrière en exerçant des mouvements de bascule avec ses reins.
Mes joues frottaient ses cuisses brûlantes. Ma bouche touchait sa petite culotte mouillée que j’embrassais, mais que je m’empressais d’écarter pour sentir son sexe chaud avec mes lèvres.
Tout devenait désirs. Ma langue léchait sa chatte déjà toute trempée de sa mouille, titillant son clitoris gonflé, la rentrant entre ses lèvres pour aller loin dans son vagin, ma bouche écrasée contre son sexe. Je bougeai ma tête de bas en haut pour amplifier mon mouvement. Elle pressait fort mon visage contre son intimité.
– Oui comme ça, aspire-moi, lèche moi, entre ta langue. J’adore ça Damien.
Elle aida mes mouvements en se soulevant, puis en se reculant. Nous étions aux anges. Ceci dura, elle aimait cela et moi aussi. Elle remuait de plus en plus vite, se soulevant à chaque coup de langue, gémissant à chaque mouvement.
Je n’avais rien entendu, rien vu non plus. Claire stoppa ses mouvements et recula ma tête de sa chatte ouverte. Batiste, enfin je devinais que c’était lui, nous regardait manifestement excité de nous voir ainsi.
Je me doutai que c’était lui. Pourtant il était presque méconnaissable avec ses bas résilles soutenus par des portes jarretelles, sa petite robe moulante verte relevée au raz des fesses était gonflée à son entre jambes par son sexe bandant. Je pus voir qu’elle était tâchée par sa mouille abondante. Il portait une perruque rousse entourant son visage émincé.
J’étais assez surpris, mais aussi très troublé devant Batiste qui caressait sa verge au travers de sa robe mouillée.
– Tania, tu peux te joindre à nous, vient. Tu veux bien Damien ?
J’avais bien entendu. Il, ou plus exactement elle maintenant, se faisait appelé Tania… J’étais très excité, surtout que Tania se mit accroupie près de moi et entrepris de me caresser le dos.
Mes vêtements avaient volés depuis longtemps dans la précipitation de nos ébats, et je me trouvais nu comme un vers, à la merci de ses mains fouineuses.
J’étais encore accroupi devant les cuisses de Claire, et Tania, puisqu’il faut bien l’appeler ainsi, en profitait pour me pétrir maintenait les seins. J’aimais sentir un corps chaud dans mon dos, tout contre moi, des bras autour de mon torse, et des mains me pelotant les seins. Je sentais son sexe bandant contre mes reins, qui se frottait de bas en haut pour bien me faire sentir son envie. Claire reprit ma tête et la replaça sur sa chatte brûlante tout en la remuant d’envie, bougeant mon visage pour que ma bouche dévore son minou ouvert à toutes les pénétrations que ma langue gourmande pouvait lui infliger.
Je bandais comme un cerf, Tania y était maintenant pour quelque chose aussi, en prenant l’initiative de prendre ma bite dans ses mains qui s’avéraient expertes.
Elle me masturbait avec lenteur, et je m’étonnais d’apprécier de me faire branler de la sorte, en léchant la chatte de Claire, et me surpris même à faire des mouvements de bascule avec mes hanches, réclament d’autres caresses plus intimes.
Tania, heureuse de me plaire, aventura une main sur mes fesses, les malaxant avec envie.
Quelques doigts baladeurs s’aventuraient à présent vers mon anus. Ceci réveilla en moi un désir que j’éprouvais assez souvent avec Julie qui adorait cela.
Je pressais mon cul vers ces doigts inquisiteurs, amplifiant mes mouvements de vas et viens, stimulant mon envie d’aller plus loin dans la recherche de mon plaisir.
Claire se masturbait intensément, les jambes maintenant relevées pour mieux me sentir, mélangeant ses doigts avec ma langue et ma bouche qui dégustait son liquide si bon. Je la buvais réellement, appréciant son gout et son odeur. Elle se pelotait ses seins, dans un besoin de sexe et de plaisirs. J’effleurais l’intérieur de ses cuisses qui s’écartaient de plus en plus, autant que cela soit possible, en s’offrant littéralement à mes caresses.
Ma langue se permit de descendre sur son petit trou et essaya d’y pénétrer, avec ma salive et sa mouille j’y parvins au grand plaisir de Claire qui amplifiait ses mouvements. Elle se doigtait le cul maintenant, entrant légèrement un doigt, puis deux dans son anus, avec ma langue qui goutait l’odeur de son cul.
Tania, sentant mon excitation, mit doucement ses doigts dans mon cul, fouillant mon trou qui se dilatait. Elle pliait des doigts pour mieux me sentir, et me branlait l’anus. J’en éprouvais une jouissance infinie. Plus elle enfonçait ses doigts, plus je léchais la chatte de Claire. Je me cambrais un peu plus pour offrir mon cul à Tania. Elle m’excitait de plus en plus et me donnait une envie folle d’être enculé, maintenant, dans cette position. Tania le compris assez vite et approcha sa bite encapotée près de mon trou. Je voulais la sentir bien profond dans mes entrailles.
Elle finit par entrer sa bite énorme dans mon cul accueillant. Je n’eus aucun mal à la recevoir, tellement j’étais mouillé et dilaté d’envie. Tania me baisait, me faisant sentir sa grosse queue contre mes parois sensibles. Je remuais de la croupe, sentant ses couilles frapper contre mes fesses ouvertes. Elle accéléra ses va-et-vient, et plus Tania accélérait, plus Claire s’agitait contre ma bouche qui la dévorait littéralement.
– Remet ton jean Damien.
– Tania, descend ta robe. Allez vous assoir, vite.
– Voilà j’arrive, prononça Claire en se rajustant.
On avait sonné à la porte, et je pensais instantanément que ce devait être Julie. Je n’eus pas le temps de remettre mon teeshirt, tant pis, après tout il faisait chaud, mais je ne pensais vraiment pas que cela fasse illusion pour Julie. Plein de choses trottaient dans ma tête, qu’allait-t-il se passer, comment Julie allait prendre la chose en nous voyant, moi torse nu, Batiste travesti en Tania effondrée sur le canapé, Claire les cheveux défaits et les pommettes rouges d’excitation, avec sa robe chiffonnée. On avait beau être un couple libre, je comprendrais fort bien qu’elle le prenne assez mal.
– Bonjour, vous êtes Julie n’est-ce pas ?
– Oui bonjour, Damien est là ? Il m’a laissé un mot, et…
– Oui bien sûr. Entrez, moi c’est Claire et voici Bat…. heu Tania. Entrez, entrez, ne restez pas sur le palier voyons.
C’est vrai que Julie, apercevant le spectacle, avait eu un grand moment d’hésitation. Elle entra timidement, mais restait debout, sans bouger.
– Approche ma chérie, avançais-je.
Ce qu’elle fit avec un certain étonnement dans les yeux.
– Mais Damien que se passe-t-il ici, explique toi.
– Et bien nos voisins, Claire et Tania m’ont gentiment invité à boire un verre pour me remercier d’avoir dépanné Claire cette nuit. Je t’expliquerai.
– Un verre ou deux, sinon plus… Dit-t-elle en regardant le plateau par terre.
Près du plateau justement, je m’aperçus qu’était restée la petite culotte rose de Claire, jetée dans la précipitation. Evidement Claire la vit aussi.
– Et çà c’est ton mouchoir, évidement.
– Heu non, mais…
Claire vint à mon secours.
– Asseyez-vous près de Damien, Julie. Vous prendrez bien une petite coupe ?
– Volontiers, je pense en avoir un grand besoin, dit-elle en regardant droit dans les yeux Claire qui soutenait son regard.
Julie s’était assise entre Tania, qui ne disait mot, et moi, sur le bord du canapé. Je ne pensais pas une seconde que Julie imaginait qu’il s’agissait d’une simple visite de courtoisie, mais elle eut la décence, ou la politesse, de ne rien dire qui nous mettrait tous dans l’embarra, malgré qu’elle ne quittait pas des yeux la petite culotte restée par terre.
Je regardai Claire et Julie. Elles étaient aussi belles l’une que l’autre, et se ressemblaient d’une manière impressionnante. On aurait dit deux sœurs.
Julie était vêtue, elle aussi, d’une petite robe légère qui remontait sur le haut de ses cuisses quand elle s’asseyait. J’étais certain qu’elle n’avait pas mis de culotte, comme à son habitude lorsqu’elle me rejoignait. Ses petits tétons pointaient fièrement au travers du tissu. Rien qu’en la regardant je bandais de nouveau, c’était intenable et délicieux à la fois.
Tout en portant son verre à ses lèvres, elle mit sa main sur mon torse en pressant un peu un de mes seins. Elle savait qu’en agissant de la sorte, elle provoquerait immanquablement chez moi une érection incontrôlable.
– Tu n’as pas froid chérie, ton corps est brûlant, dit-elle d’un ton coquin.
Claire s’était rassise dans son fauteuil dans sa position préférée, nous dévoilant ainsi ses cuisses superbes. Elle essayait d’entrer dans les pensées de Julie en scrutant son regard. Elle se lança.
– Julie, je peux me permettre de vous dire que vous êtes très jolie. Vous formez un très beau couple tous les deux.
– Merci, vous n’êtes pas mal non plus.
Puis, se tournant vers Tania :
– Tania, c’est comme cela qu’elle vous vous appelez n’est-ce pas, vous êtes amies toutes les deux ?
– Oui nous vivons ensemble, répondit Claire en prenant les devants.
– Tania s’il te plait, vas nous chercher des petits gâteaux.
Tania éloignée, Claire confie :
– Elle est très timide, ne lui en voulez pas Julie. Au fait, on peut se tutoyer si vous voulez, on se tutoie déjà avec Damien vous savez.
Ça y est, les dés sont jetés, les pièces du puzzle se mettent en place.
– Ha oui ? Et bien Damien m’avait caché cela, dit-elle en me regardant avec un petit air de reproche.
Puis ajouta :
– Pour le tutoiement c’est d’accord, vous heu…, tu me semble sympathique. Buvons à notre rencontre pour le moins impromptue.
– Oh, n’en veux pas à Damien, notre rencontre est très récente.
– Et bien de mieux en mieux, murmura Julie en me prenant le bras.
La conversation allait timidement, avec beaucoup de mal. On avait l’impression que chacun pensait la même chose, mais que personne n’osait faire le premier pas. Puis, à ma grande surprise, ce fût Julie qui se leva et alla s’assoir sur un bras du fauteuil de Claire.
– C’est de la soie ? Dit-elle à Claire en touchant le haut de sa robe, et en prenant bien soin de frôler volontairement ses seins avec le dos de ses mains.
– J’adore cette matière, tu as d’autres vêtements dans ce tissus ? C’est très doux.
– Oui bien sûr, je pourrai t’en prêter si tu veux.
– Si j’osais, j’essayerai bien celle que tu portes.
– Quoi, maintenant ?
– Et bien, je n’avais pas envisagé cela, mais après tout, pourquoi pas…
Claire se leva et entreprit un striptease qui me mit dans un état plus que surnaturel.
Julie en fit autant, et elles s’échangèrent leurs robes sans les revêtir, tout en se détaillant mutuellement.
– Tu es vraiment très belle, Julie.
– Toi aussi. Tu es assez troublante.
Tania entra dans la pièce et les virent toutes les deux, nues comme des vers. Elle me regarda me lever pour m’approcher de Julie qui était admirable de beauté, son corps était parfait, et je dois avouer que le corps de Claire n’avait rien à lui envier.
Je l’avais à peine prise dans mes bras que Tania se frotta contre moi en prenant ma poitrine, et posa sa tête sur mon épaule, une main s’aventurant sur ma bite chaude et bien bandée.
Claire, se pressant contre Julie, entreprit de lui embrasser les seins. Julie roucoula d’aise et prit Claire dans ses bras. Elles s’embrassèrent avec une envie folle, se mélangeant leurs langues gourmandes. Leurs sens soudain libérés, elles étaient livrées à leurs instincts féminins. Leurs mains s’agitèrent sur leurs poitrines, se caressant les seins en les malaxant comme des fruits d’amour. Elles s’aventuraient sur leurs pubis épilés, leurs doigts se pressant contre leurs petits boutons, ce qui les fit se trémousser comme des gamines.
Tout naturellement, elles se couchèrent sur le tapis. Les jambes se frottaient, les cuisses se contractaient les unes contre les autres. Elles écartaient leurs intimités pour recevoir leurs doigts coquins, les hanches s’avançaient en remuant, tout leur corps s’offraient à l’autre dans une demande de caresses mutuelles et voluptueuses. Elles faisaient tout pour assouvir la demande de leurs sexes mouillés d’excitation. Après s’être embrassées tendrement sur tout leur corps, elles se retrouvèrent très vite en position de soixante-neuf, et dans un élan mutuel, se sucèrent le minou en entrant leurs langues dans leurs vagins, et léchant leurs clitoris gonflés.
Nous n’existions plus pour elles, Tania et moi. Et pourtant nous étions tous les deux avides des mêmes caresses, des mêmes envies de sexe et d’amour.
Tania avait pris mon sexe démesuré et me masturbait tout en me suçant, me léchant avec envie. Je l’attirais par terre en branlant sa bite tendrement. Une soudaine pensée me perturbait l’esprit, avec le spectacle de nos deux amies.
A me sucer de la sorte, Tania me donna une envie irrésistible de la pénétrer, de prendre sa bite dans mes mains et d’enfoncer la mienne très profond dans son trou déjà tout mouillé.
Elle senti ce que je voulais faire, attrapa un petit coussin tombé du canapé et le mit sous ses reins, allongé sur le dos. Elle replia ses jambes contre elle tout en se masturbant l’anus avec ses doigts dégoulinant de salive, le temps que j’enfile une des capotes que j’avais remarquées, glissées sous le canapé.
A genoux, face à son petit cul occupé par ses doigts qui s’agitaient, j’approchais mon gland, prêt à entrer dans le trou du bonheur, qui n’attendait que cela.
La voir dans cette position, avec ses bas résilles et porte jarretelles, sa robe retroussée, le cul en l’air en train de se masturber l’anus, me faisait bander au plus haut point. La façon dont elle était habillée décuplait mon envie de la baiser. Je pénétrais ma queue dans son cul rempli d’envie. Je la baisais d’une manière presque sauvage. La façon dont elle était habillée décuplait mon envie. J’adorais baiser Tania en travesti, c’était un véritable bonheur de l’enculer en la branlant.
Mes vas et viens s’accéléraient. Elle avait remis ses pieds par terre pour pouvoir soulever ses hanches et me recevoir au plus profond de ses entrailles, les remuant en criant de bonheur. J’approchais une main prés de sa bite dégagée pour la branler encore, en prenant ses couilles de l’autre et les malaxer, de manière à augmenter son plaisir et le mien.
Nos deux coquines s’en donnaient à cœur joie à côté, se pelotant les seins, les cuisses, les fesses, tous leurs corps, excitant de plus en plus leurs clitoris. Enfonçant leurs doigts dans leurs vagins, et leurs pouces dans leur anus, elles se donnaient du bonheur et du plaisir en exacerbant leurs chattes et leurs culs en même temps. Elles gémissaient de plaisirs, et jouirent en criant leurs bonheurs.
Je rentrais ma bite dans le trou de Tania et la ressortait, en accélérant mes mouvements de hanches pour la limer de plus en plus vite, encore et encore.
Julie, nous voyant faire, approcha son visage rougi d’ivresse et m’embrassa à pleine bouche, mélangeant nos langues gourmandes. Elle descendit sa main pour rejoindre la mienne sur la bite gonflée de Tania. Elle la branlait accompagnée de ma main, allant et venant, de son gland à la racine de son membre, en étirant bien sa peau. A chaque mouvement de Julie, accompagné par mes coups de butoir dans son trou béant, Tania gémissait de bonheur. Parfois elle serrait les fesses pour mieux sentir les vas et viens de ma bite qui perforait son cul. J’aimais ses moments, car ses parois intimes exerçaient des pressions plus fortes le long de ma verge bandante, et me faisait me dresser davantage.
Puis Julie descendit sa bouche, mordillait mes seins au passage et m’embrassait le bas ventre puis ma bite, accompagnant mes vas et viens avec sa langue qui léchait ainsi l’anus de Tania. Elle prit sa verge dressée, et la mit dans sa bouche pour la sucer tout en la masturbant, tournant sa langue autour de son gland violacé.
Ses lèvres avides de bite aspiraient le jus de Tania qui, n’en pouvant plus, finit par éjaculer dans sa bouche. Julie, qui était à quatre pattes en train de se faire doigter la chatte et l’anus par Claire, reçu le foutre de Tania qui, s’agitant, en mit partout sur son visage tendu. Sa langue léchait tout ce qu’elle put récupérer autour de ses lèvres pour gouter et avaler ce sperme chaud, sorti du corps de Tania.
S’apercevant de l’action, Claire lécha le visage de Julie et l’embrassait à pleine bouche, la serrant contre son corps, et faisant passer le sperme de Tania de la bouche de Julie à la sienne.
Cette vue me fit jouir à mon tour, éjaculant dans la capote, avec des cris d’extase. Aussitôt sorti du cul de Tania, Claire se jeta sur moi pour m’enlever la capote et m’aspirer les dernières goutes de sperme qui sortaient encore de mon sexe jouissant. Sa bouche à peine remplie, elle m’embrassa goulument, mélangeant nos langues avec mon sperme.
Julie voulu y gouter aussi, et remplaça la bouche de Claire par la sienne. C’était un délice de volupté. Nous jouissions tous pour nous avoir donné l’un à l’autre avec tant d’amour et de sexe. Le mot qui me vint à l’esprit à ce moment précis était « extase ». C’était si bon de s’être lâchés à ce point, d’avoir laissés parler nos sens librement, sans tabou.
Un pur bonheur nous envahissait.
Nous étions comblés. Julie s’approcha de mon oreille.
– Merci mon amour. Je t’aime.
– Moi aussi ma chérie. Merci de t’être lâchée à ce point. Il faut que je te dise, j’ai adoré te voir avec Claire. Vous allez bien ensemble.
Julie se retourna vers sa complice de sexe et d’amour.
– C’était délicieux Claire, j’ai adorée.
– Moi aussi Julie. Il faudra remettre ça, tu veux bien ?
– Oh oui, quand tu veux avec Tania aussi.
Julie ajouta :
– Tu sais Tania, j’ai adoré ton sexe. Cette ambigüité que tu inspires m’a plu au plus au point. Tu es très féminine. Rien que d’y penser j’ai envie de recommencer.
– Gourmande, dit Tania.
Et, enlevant sa perruque :
– Au fait, quand tu me rencontreras dehors, moi c’est Batiste.
– D’accord Batiste, mais j’aime bien Tania aussi, dit-elle avec un clin d’œil complice.
– Oui deux en un, quoi…
Nous éclatâmes de rire tous les quatre et nous nous sommes promis de se faire une petite bouffe un de ces soirs. Après tout, nous n’étions pas loin les uns des autres, et entre voisins, cela se fait, non ?
Post scriptum : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous…
Oh Lala mes chéries, quelle excitation !
Plein de bonne choses dans cet excellent récit
Mais c’est un petit bijou ce texte, il m’a terriblement excité