Un réveillon particulier – Invité par mes voisins par Sexnotaboo

Je suis ce qu’on appelle un bel homme, et j’ai du succès auprès des femmes. Hétéro pur jus, je n’avais jamais regardé un homme, ni même imaginé l’idée d’une expérience homosexuelle. Une année, pour les fêtes de fin d’année, j’ai eu l’occasion de participer à une soirée sexy qui a changé ma façon de voir dans le domaine de la sexualité.

Récemment arrivé dans la région, je ne connaissais personne et mes voisins, Luc et Marine, un couple charmant qui, me voyait toujours seul m’ont invité pour le réveillon du nouvel an en me précisant qu’ils avaient invité une amie et un autre couple

Monique, célibataire, est superbe, 1m75, fausse blonde, yeux verts, 95C-78-90. Très sexy, et vêtue très légèrement comme les deux autres femmes de la soirée d’ailleurs.
Le soir venu nous nous retrouvons à trois couples dans leur pavillon. La soirée est très sympathique, le repas bien arrosé, et, d’allusions coquines en allusions coquines, la discussion dérive inévitablement sur le sexe. Il apparaît vite que « le coincé » de la soirée, c’est moi ! Je suis en effet en le seul à leur dire ne pas avoir fait l’amour en groupe.

Je me sens vite très gêné sous leurs gentils quolibets. J’avais fait du pied à Monique qui m’avait bien répondu, je croyais la chose acquise me voyant bien finir la nuit, seul avec elle mais il semblait bien que nos hôtes avaient autre chose de très précis en tête.

Luc et Marine paraissent particulièrement excités et lorsque sonnent les douze coups de minuit, le rituel des embrassades a lieu sous le gui, et à ma grande surprise, les femmes nous embrassent tous sur la bouche, cela n’a rien à voir avec la bise du nouvel an, ce sont bel et bien des grosses pelles baveuses que tout le monde échange. L’alcool aidant, je participe allègrement, commençant à me décoincer et à apprécier la soirée.

Puis il y a un jeu où les filles doivent offrir au garçon de leur choix un petit présent très personnel que les garçons doivent montrer à tout le monde. L’objet le plus insolite sera déclaré vainqueur.

Marine offre une bague à son mari Luc, Mireille offre à son mari Jacques, une de ses boucles d’oreille, et je reçois de Monique un string ficelle en dentelle rouge. Tout le monde l’accuse de tricher, il fallait un objet personnel. Monique rétorque naïvement :

-« mais c’est très personnel, c’est le mien, j’avais oublié le détail du cadeau car je me croyais seule sans cavalier ! Alors je suis allée aux toilettes pour enlever mon string, c’est celui que je portais en arrivant »

Il y a un silence, et tout le monde éclatent de rire, à part moi qui ne sais plus où me mettre, puis Marine exprime ses doutes demande à voir. Son mari et l’autre couple prennent la balle an bond et tapant sur la table crient

« On veut voir ! On veut voir ! ».

Monique rougit un peu mais sans se démonter, monte sur la table basse du salon et relevant sa minirobe, tourne sur elle même exhibant sans la moindre gêne sa nudité, elle est magnifique. Sans culotte, elle montre son cul superbe et sa chatte entièrement rasée, lisse comme un œuf encadré par les jarretelles qui retiennent ses bas résilles. Tout le monde rit, sauf moi un peu paniqué. Monique exulte,

« J’ai gagné, j’ai gagné ! »

Les autres :

« Oui c’est vrai elle a gagné ! Elle a gagné ! » Chantent les deux couples. En disant elle a le droit de demander quelque chose !!!

Monique sourit vicieusement et annonce :

– « Je veux voir tous les hommes à poil. Et le dernier à poil aura un gage ! ».

Eclat de rire général, et bien sûr je suis bon dernier. Je rougis tout le monde me regarde avec un sourire vicieux en scandant

« Un gage ! Un gage ! Un gage ! »

Monique s’avance vers moi en souriant et me présente sur le bout de son index le string qu’elle m’a offert deux minutes plus tôt :

« – Mets-le » dit-elle d’une voix vicieuse.

Tout le monde rit et la situation me fait bander malgré moi. Plutôt honteux, et un peu humilié par celle qui me faisait du pied 10 minutes auparavant, je m’exécute devant les deux couples, gêné malgré moi, par mon érection naissante.

Il est décidé que je devrais le garder tout le reste du réveillon. Il y a ensuite un strip-poker, où tout le monde se retrouve à poil sauf moi qui porte toujours le string de Monique.

Les femmes jouent leur homme et les hommes jouent leur femme puis les couples se mélangent avant de faire un groupe de six où tout le monde baise tout le monde. C’est à ce moment là que je perds toute notion.

Marine est assise sur la bouche de Mireille qui se fait bourrer la moule par Luc, Je suis avec Monique, couché sur le côté, je lui lèche le clitoris, pendant qu’elle me suce la queue, Jacques se branle et se fait sucer par Marine qui abandonne sa fellation pour jouir en criant dans la bouche de Mireille. Jacques se retourne et vient vers nous se couchant derrière Monique il entreprend de la pénétrer alors que je lui lèche toujours le clito.

Je vois cette bite bien raide s’approcher et entrer sans effort dans la chatte trempée de Monique qui coule comme une fontaine. Le sexe de Jacques entre et sort de son sexe trempé, juste sous mon nez. Les mouvements font dévier ma langue et mes lèvres qui entrent régulièrement en contact avec la queue ou les couilles de Jacques. Trop excité par la situation, je ne fuis pas le contact avec cette bite raide qui va et vient en Monique. A plusieurs reprises la queue de Jacques s’échappe du sexe de Monique. Je me recule et je regarde le sexe raide de Jacques qui cherche le sexe de Mathilde. Voyant ses difficultés à retrouver le trou dans la position peu commode où il se retrouve, je ne sais pas ce qui me prend, mais je saisis son sexe tendu et le guide vers la moule de Monique.

A la troisième fois, je ne bouge pas et Jacques cesse ses mouvements et sa queue s’immobilise juste sur le clitoris de Monique que je lèche toujours. Son sexe est bien en contact avec mes lèvres. Monique s’immobilise aussi. Je ne comprends pas encore aujourd’hui pourquoi je ne me suis pas retiré ? Pourquoi je suis resté sans bouger avec ce gland au contact de ma bouche ? Il s’est écoulé quelques secondes qui m’ont parues être une éternité pendant lesquelles nous sommes restés tous les trois parfaitement immobiles. Puis Jacques, a poussé légèrement du bassin en avant et c’est là que j’ai réalisé qu’il ne cherchait plus le sexe de Monique mais bel et bien ma bouche.

Lorsque je réalise cela, je suis trop excité pour chercher à me retirer, Monique s’en aperçoit et passe une main derrière ma tête pour m’empêcher de me dégager. Il est trop tard pour faire marche arrière et malgré la honte et l’humiliation que je ressens à ce moment là, l’excitation l’emporte et j’ouvre mes lèvres encore serrées pour accueillir cette bite bien raide dans ma bouche. J’entends Monique qui dit

« Luc, Marine, Mireille, venez voir ! Il suce la bite à Jacques, c’est super excitant ! »

Jacques se redresse et je m’installe à quatre pattes pour mieux sucer. Je les entends parler et rire entre eux

– « Tu crois qu’il va sucer jusqu’au bout ?
– Ho oui, regarde comme il tête bien,
– Tiens-lui la tête Jacques pour éjaculer dans sa bouche ! » J

Je me sens très excité par cette situation, je réalise mon plus vieux fantasme : « sucer une bite ». J’avais toujours refoulé ce fantasme. Les filles s’excitent :

– « Alors Jacques il suce bien ce cochon ? Raconte-nous comment ça fait ? »

Pour ma part, je continue à sucer surexcité par leurs commentaires salaces. Jacques commence à gémir,

– « Hooooouiiiii c’est bon il tète super bien ce salaud il suce mieux que vous les filles ouiiiiiiiii »

Dans la position où je suis, le cul en l’air bien cambré, je sens mon petit trou frémissant, je me sens offert impudique. Jacques ne tarde pas à gémir prêt à jouir, je tente de me retirer mais les filles veillent et elles m’en empêchent, Monique et Mireille me retienne la tête sur la bite de Jacques qui éjacule dans ma bouche sous les rires et les moqueries. Les filles me traitent de
– « Salope ! Suceuse de bites, pédale Bouche à foutre etc. … » Ce qui m’excite d’autant plus.

Je me relève et la bouche pleine de foutre j’embrasse goulûment Mireille qui est ravie de partager le sperme de son mec avec moi.

Luc bande comme un taureau et lorsque je cesse d’embrasser Mireille il me présente sa bite. :

– « A mon tour de me faire sucer par celui qui suce mieux que vous les filles !»

Il est assis sur la table basse du salon et à quatre pattes, je m’empresse de le pomper. Je sens tous les regards sur moi et je ressens à nouveau une étrange sensation d’appel au niveau de mon anus. Je réalise que j aimerai bien me faire prendre par le cul bien que la honte et l’humiliation m’empêche de le demander.
Est-ce l’intuition féminine, le vice qui fait dire à Marine ?

« Moi, quand je suis dans cette position, je donnerai n’importe quoi pour qu’on m’encule » et là dessus elle vient me tripoter la rondelle.

Je sens sa langue me titiller, et me pénétrer, et c’est ensuite avec un doigt, puis deux doigts, qu’elle me fouille le cul. Malgré moi, je me tortille, me cambre bien pour lui faciliter la tâche et lui faire comprendre le désir qui me tenaille. En me doigtant l’anus elle s’écrie

– « Quelle salope ce mec, il aime ça, il se tortille comme une femelle j’en étais sûre quand je l’ai vu se cambrer comme ça, qu’il avait envie de se faire enculer mais ??? Mais ??? J’y crois pas, ça le fait bander !!!! Alors les mecs ! Qui va se le faire en premier ce joli p’tit cul de pucelle? ».

Monique suce Jacques pour le faire rebander, et lorsqu’il est bien dur, il s’avance vers moi. Marine écarte mes fesses, et Monique guide sa bite vers ma rondelle pleine de salive. Le gland pénètre difficilement provocant une vive douleur qui me fait gémir je sens mon sexe ramollir. Malgré ça Jacques s’enfonce en moi jusqu’à la garde et se cale bien à fond dans mon cul où il reste immobile un moment. Je souffre terriblement mais je suis très excité et je supporte la douleur en silence. Quelques instants plus tard, il ondule doucement du bassin et ses va-et-vient, réveillent la douleur annale initiale. Mais progressivement la sensation de brûlure, se transforme en douce chaleur, en une agréable sensation jusqu’alors inconnue qui m’envahit tout le corps et je sens mon sexe se redresser. Ce qui n’échappe pas aux filles qui en profitent pour se moquer de moi.

– « Il bande il se fait enculer et ça le fait bander !!! Quelle sale petite pédale!! »

Malgré une légère douleur persistante, je sens la jouissance monter progressivement en moi, elle m’envahit entièrement. Je gémis mais cette fois de plaisir, et soudainement je jouis, je jouis très fort et j’éjacule juste au moment où Luc m’inonde la bouche de son sperme chaud et gluant.

Jacques me lime encore quelques instants avant d’exploser à son tour, se vidant les couilles dans mon cul de femelle en chaleur. Plus tard dans la nuit alors que nous avons tous les trois les couilles bien vidées, les femmes toujours chaudes, sortent un gode ceinture pour faire l’amour entre elles en se moquant gentiment de nos défaillances érectiles. Après avoir joué un moment entre elles, elles nous regardent avec vice en murmurant entre elles. C’est finalement Marine, qui annonce la couleur, équipée du gode ceinture elle s’approche de Jacques en lui disant :

– « Si tu bandes plus tu pourrais peut être me sucer ? »

Elle est plantée devant lui, mimant la masturbation masculine en caressant le gode qu’elle arbore fièrement. Elle passe une main derrière sa nuque et de l’autre guide le gode vers sa bouche en feignant de prendre du plaisir lorsque Jacques l’embouche.

– « Allez ma salope suce le bien, salive si tu veux qu’il glisse bien dans ton cul de pucelle quand je vais t’enculer ».

Jacques hésite mais pour finir, il se laisse aller et bientôt, c’est sa femme, Mireille qui s’occupe de conduire le gode de Marine entre ses fesses pour qu’elle le pénètre. Un peu plus tard, Monique sodomise Luc. Entre temps nous avons récupéré et nous bandons à nouveau tous les trois. Jacques et Luc se sucent entre eux sous la direction de Mireille. Marine se couche sur le dos et en écartant les cuisses largement et m’invite à la baiser. Lorsque je suis bien calé en elle, elle me saisit par les fesses, les écarte en me disant :

– « Tu vas voir comme c’est bon le sandwich ! »

A ce moment là je réalise que Monique est derrière moi équipée du gode ceinture, je la sens s’allonger sur moi et se frayer un passage entre mes fesses avec son pénis artificiel qu’elle dirige adroitement vers mon cul. Je sens le gode sur ma rondelle qui cède sous la pression qu’elle exerce. Cette fois la douleur est moindre et la sensation de chaleur m’envahit rapidement. Malgré mes efforts, je ne peux pas résister et c’est très rapidement que j’éjacule en criant dans la chatte de Marine qui jouit aussitôt en criant aussi son plaisir.

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