Tout mouillé par onclefri

Tout mouillé
par onclefri


J’étais arrivé depuis cinq minutes dans cette pièce, Sam devait me retrouver pour organiser notre soirée surprise pour l’anniversaire de Lucile. Il faisait chaud, je buvais beaucoup d’eau depuis tôt ce matin.

Sam est arrivée, plus radieuse que jamais, avec son top rouge moulant et sa jupe à pois blancs assortie. Elle s’assit en face de moi et nous commençâmes à confectionner des décorations. Dieu que cette fille sentait bon. Je me concentrais néanmoins sur l’abat-jour en papier que je faisais. J’eu une soudaine envie d’aller aux toilettes, on peut même dire une cuisante envie. Je me suis levé bizarrement en serrant un genou vers mon autre cuisse. Elle ne put s’empêcher de glousser, et ajouta même « Hou la pisseuse ! ».

Je rougissais à tout rompre et me précipitai sur la porte. J’eus un geste tellement vif pour l’ouvrir que la poignée céda dans ma main. Lucile en pleura presque de rire. Je lui fis remarquer que ce n’était pas très drôle, et aussi qu’elle aussi était enfermée. Elle me dit :

– Ce n’est pas grave en ce qui me concerne, et je sais que Luc passera ici avec Laure à 17h.

Elle me dit, rigolarde :

– Pour toi en revanche, c’est une autre affaire.

La pièce était close et les fenêtres ne s’ouvraient pas. Je lui dis alors:

– Je t’en supplie Samantha, donne moi ta bouteille d’eau, je dois faire ce que je dois faire

Elle me répondit, moqueuse,

« Non, et puis c’est dégoutant ce que tu propose ».

Je rougissais, désemparé, et là j’ai tout libéré dans mon jean, j’étais ridicule, humilié à vie. Devant elle en plus. J’ai carrément versé une ou deux larmes de honte. Elle toujours gaie, me dit alors,

– Oh la petite pisseuse pleurniche parce qu’elle a fait pipi dans sa culotte!

Je ne savais pas quoi dire. Elle me prit en photo avec son téléphone pour couronner le tout. Elle continuait à me faire bisquer, moi j’étais mouillé et ça picotais. Devant cette superbe femme, plus grande que moi en plus. Quand elle me parlait avec son humour condescendant je savais plus où me foutre. Mon regard s’est égaré sur sa superbe poitrine, dont je rêvais depuis des années déjà de caresser, de sucer, de cajoler. Elle rougit à son tour, en souriant avec un air encore plus moqueur qu’avant. J’étais trempé, et soudain, je me suis senti durcir.

Elle éclata carrément de rire à la vue de cette bosse coupable sur mon pantalon. Elle me dit :

– Non seulement tu es une pisseuse, mais en plus une cochonne!!! »

Je ne sais pas pourquoi elle me féminisait mais ca m’excitait terriblement. Certainement pour accroitre l’humiliation que je ressentais. Elle me gifla tout en gardant le sourire puis mis sa main dans ma culotte… mouillée! J’étais mort de honte, mais la chaleur qui irradiait autour de mon ventre me faisais un bien fou, elle commença à me branler doucement puis s’arrêta net.

Je me mis immédiatement à genoux pour la supplier de continuer. Elle me répondit alors :

– Et moi, quand est ce qu’on s’occupe de moi, moi aussi j’ai envie de pisser, mais je ne suis pas une cochonne comme toi. Viens sous ma jupe et bois-moi.

Je répondis :

– Quoi comment ?

Elle me dit

– Oui, tu a bien compris, sinon pas de branlette!

Mon sang ne fit qu’un tour, et je me mis sous elle, je baissai sa culotte, noire frisée de mauve et je mis ma bouche bien ouverte en position tout contre elle. Un jet me surpris et me coula un peu sur le visage. J’ai réussi à boire tout le reste. Une fois qu’elle eut terminé, elle dit :

– « Merci ma petite pisseuse, lève toi »

Sa main revint directement dans ma culotte où elle finit en douceur et en longueur ce qu’elle avait commencé. Elle fit une pause pour laisser tomber les bretelles de son débardeur rouge et défit son soutif. Elle se remit à me branler. Comme elle était plus grande que moi de deux têtes, j’avais le nez où il fallait. C’était une sorte de rêve, j’étais là, le jean baissé avec Sam qui me branlait d’une main dans mon slip tout pisseux. De l’autre main elle me caressait la tète qu’elle pressait doucement contre ses seins. Je voulais que ça dure des heures et des heures. J’étais un amant très moyen en termes d’endurance, du coup la décharge vint bien trop vite à mon gout.

Elle continua malgré tout quelques instants à me caresser la tête. Je me suis agenouillé à nouveau, sans qu’elle me le demande, et j’ai sucé les doigts de sa main qui m’avait si bien dressée, souillés de mon foutre. Ses caresses m’encourageaient. Je pris alors son majeur et son annulaire dans ma bouche, et je me suis mis à mimer une pipe goulue. C’était tout naturel pour moi. Au début elle ne bougea pas puis se prit rapidement au jeu. La main qui caressait doucement l’arrière de mon crane m’agrippa carrément, et je perdis le contrôle de ma pipe.

Elle enfonçait ses doigts au plus profond de ma bouche, pendant que l’autre main me secouait. Elle simula un garçon en train de se faire sucer, d’une façon moqueuse. Pour jouer l’orgasme elle retira ses doigts, s’agenouilla en face de moi et baissa son visage à hauteur du mien. Je ne pigeais rien. Et la elle me cracha une bonne dose de salive au visage. Quel délice! J’avais même le droit à une éjaculation faciale. J’eu droit aussi a une petite gifle et a un « merci ma cochonne. »

Le retour à la réalité fut nettement moins comique, Un agent de sécurité ouvrit la porte et nous ficha dehors. Je courus me refugier chez moi pour me changer.

Depuis ce jour la, Samantha me murmure à chaque fois qu’elle me voit, doucement à l’oreille, un petit « suce moi ma chérie ». Elle m’a aussi offert un Tee-shirt avec écrit « Blow job queen ».

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4 réponses à Tout mouillé par onclefri

  1. Jugan dit :

    L’illustration me donne envie de me branler ! Je peux, chef !

  2. Claire dit :

    Du gros délire, mais ça fonctionne bien

  3. Darrigade dit :

    Délicieusement pervers ! J’adore et je bande

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