Stoffer 7 – La structure diabolique – 8 – Farkan en galère suivi de trio chez Marcia par Nicolas Solovionni

Stoffer 7 – La structure diabolique – 8 – Farkan en galère suivi de trio chez Marcia par Nicolas Solovionni

L’amiral Lars Bolessian est fort énervé. Non seulement la mission envoyée sur Ramon4 tarde à revenir, mais voilà que Kalder Farkan devient muet.

– C’est peut-être simplement un problème de transmission ?… Non dans le doute il me faut agir…

Et l’amiral de concocter un plan machiavélique.

Cette fois ce n’est pas un espion qui partira sur Vargala, mais deux, le premier se présentera aux autorités locales et se fera repérer volontairement, pendant ce temps-là le second agira dans l’ombre.

Dans la presqu’ile après qu’il se soit libéré de ses liens, Farkan n’a d’autres option que de se diriger vers les lumières du camp des exclus.

Deux cents mètres, mais deux cents mètres dans le noir absolu, Il n’a rien pour s’éclairer et il titube plusieurs fois. De guerre lasse, il s’assoit à même le sol et attend que le jour veuille avoir l’extrême obligeance de se lever, et comme la nuit n’est pas si chaude que ça, il grelotte et se morfond.

Il réussit à s’endormir mais se réveille en sursaut, un gros lézard ayant eu l’idée incongru de venir lui faire câlin.

Il chasse l’animal d’un geste d’humeur, il est fourbu, il a faim, il a soif, il est épuisé, il n’est pas bien.

Et en plus il ne comprend pas.

« Il y avait des lumières hier soir, elles sont passées où ? »

Ben oui, c’est le petit matin, tout le monde roupille.

– Oh ! Oh ! Y a quelqu’un ?

Mais personne ne répond ! Il décide d’attendre et finit par se rendormir.

– Hé ! T’es qui toi ?
– Hein ?
– T’es sourd, je t’ai demandé qui tu étais ?
– Heu, Kalder.
– Moi c’est Mong ! T’es pas passé par le circuit habituel ?

Kalder Farkan est complétement largué. Certes, avant de débarquer sur Vargala il a bénéficié d’un briefing sur les particularités de la planète, mais il n’a pas porté grande attention à l’évocation de la presqu’ile estimant qu’il n’avait pas besoin de s’encombrer le cerveau avec ça !

Quelle erreur !

– J’y connais rien, on m’a largué d’une barge !
– C’est nouveau ça ? Et t’as fait quoi comme connerie ?
– J’ai pas fait de connerie !
– Alors pourquoi t’es là ?
– Mais j’en sais rien.
– Pas clair tout ça ! Viens avec moi, on va te présenter au chef.
– Vous n’avez rien à boire !
– On va t’arranger ça, alors tu viens ?

Les deux hommes arrivent dans le camp, en fait une sorte de petit bidonville constitué principalement de blocs en plastiques cylindriques renversés sur leurs champs, ceux-ci avaient longtemps servi à des transporteurs à véhiculer de la viande congelée; depuis peu ces contenants avaient été abandonnés et remplacés par des matériaux autodégradables. Il y avait aussi quelques cabanes en rondins maladroitement construites, et tout cela puait la vielle crasse.

Ils arrivèrent devant la plus grande des barraques, la porte constituée de branchages entremêlées était fermée.

– Ah, le chef roupille… ah non, on dirait qu’il baise, on va attendre.
– J’ai soif !
– Bouge pas je t’apporte de l’eau.

Une demi-heure après, une créature fort ambiguë et bien débraillée sortait de la cabane. Les deux hommes purent alors rentrer.

– Chef, j’ai trouvé ce type dans les parages…
– O.K. je suis Childéric, le chef de cette communauté, je suis le seul maître ici et j’ai droit de vie ou de mort sur tous ceux qui vivent ici, c’est clair ?

Childéric est une espèce de viking à la chevelure impressionnante. Il est simplement vêtu de ce qui a dû être autrefois un pantalon. Son torse surchargé de tatouages s’orne d’un lourd collier de coquillages.

Farkan se fait alors une réflexion insolite « S’il a des coquillages, cela veut dire que la mer n’est pas si loin ! »

– Je t’ai demandé si c’était clair ?
– Bien sûr, c’est très clair.

Farkan dû répondre aux mêmes questions que celles posées par Mong.

– Tu sais faire quoi ? Demanda Childéric.
– Je comprends pas la question !
– T’es bouché ou quoi ? Tu sais faire quoi de tes mains ? Tu sais bricoler ? Tu sais pêcher, chasser ?
– Je ne suis pas très manuel, mais je me débrouille.
– T’as intérêt à te débrouiller parce qu’ici si tu veux bouffer, il faut le mériter.
– Je ferais de mon mieux !
– On a quelques containers de libre, choisi en un, tu devras faire le ménage, ils sont dégueulasses. .Mong, chaperonne-le et demain tu me le fais bosser…

Farkan dû donc nettoyer le container qu’il avait choisi. Mong ne l’aidait pas mais lui apporta à manger.

– Je ne vais pas m’éterniser ici, on fait comment pour repartir ?
– Repartir, mais t’es un peu con toi !
– Ça ne répond pas à la question.
– Déjà quitter la presqu’ile c’est extrêmement compliqué, mais si tu reviens dans la cité la mafia va t’éliminer.
– Je ne comprends pas !
– Quand t’es exclu, t’es exclu, si tu reviens t’es mort.
– Et qui c’est qui me tuerais ?
– La mafia, ils ont des antennes partout !
– La mafia ?

Farkan se lança alors dans une explication farfelue :

– Je voyageais comme passager et j’ai eu une embrouille avec un gars de l’équipage, ils m’ont obligé à descendre sur Vargala, mais j’ignore tout de ce qui se passe ici.
– Ça me parait pourtant simple, le gars avec qui tu t’es embrouillé s’est arrangé pour prévenir la mafia qui est venu t’abandonner ici.

Farkan allait répondre naïvement que ce n’était pas la mafia qui l’avait transporté ici mais la police; mais il se ravisa :

« La police est peut-être noyautée par la mafia ? »

Il renonça pour le moment à poser des questions se souvenant des préceptes de sa formation « Tout problème possède forcément sa solution » et « Avant d’agir, recueillir le maximum d’informations »

Mais il était conscient que personne ne l’aiderait… à moins de tomber sur l’oiseau rare !

Le lendemain, il fut réveillé de bonne heure par Mong.

– Je t’emmène à la pêche ! On va voir comment tu te débrouilles !

Farkan est incorporé dans un groupe de six hommes dont deux avec un physique peu avenant, mais il y a aussi un jeune homme au physique de pâtre grec. Chacun porte sur son dos une hotte faite de branchages entrecroisés. Après une heure de marche dans la jungle, le groupe atteint le rivage de la mer. Une pirogue rudimentaire y est accostée…

Le travail est simple, il s’agit d’appâter les poissons (qui en fait ne sont pas des poissons mais ils s’en rapprochent) puis de les piéger dans une nasse.

Le groupe est peu bavard et personne n’adresse la parole à Farkan, lequel se dit qu’il serait judicieux d’envisager une échappée par voie maritime. Il ose demander…

– Vargala station, c’est par là ou par-là ? Demande-t-il à celui de la bande qui lui paraît le moins antipathique
– T’es con ou quoi, ici c’est une presqu’ile. Alors Vargala c’est par là, mais c’est aussi par-là !
– Oui mais le plus près ?
– Par-là ! Mais pourquoi cette question ? Tu vas pas me dire que tu veux te barrer par la mer. C’est complétement débile !
– C’est juste de la curiosité.
– Ben fait gaffe, les mecs trop curieux, ici on n’aime pas trop.

Brrr…

La centaine de poissons récoltés est ensuite répartie dans les hottes, on fait une pause, on picole un machin vaguement alcoolisé au gout indéfinissable et on pisse en chœur dans un grand élan de fraternité virile.

Farkan éprouve une réticence à imiter ses compagnons, il a pourtant autant envie de pisser que les autres. Il se fait charrier pour son attitude

Mais si encore, ses compagnons se contentaient de pisser… Mais non, l’un des vieux s’est penché pour sucer la bite d’un plus jeune et Farkan ne peut détacher ses yeux de ce spectacle. Pire il bande comme un sapeur.

Mong s’approche de lui.

– Ça t’excite hein ?
– Non c’est juste de la curiosité.
– Alors pourquoi tu bandes ?
– C’est juste une réaction pavlovienne.
– Tu parles ! Tu ne vas pas rester comme ça, tu n’as même pas pissé !
– Je bloque !
– Alors suce moi, ça te débloquera !

Voilà une proposition complétement inattendue. Certes Farkan se dit hétéro pur et dur mais lui reviennent en mémoire certains écarts au cours de ses soirées étudiantes dans lesquelles cela ne l’avais pas dérangé outre-mesure de sucer quelques bites. On était allé jusqu’à lui proposer plusieurs fois de faire « une bite au cul » bites. Il avait refusé jusqu’à ce qu’une bande de filles complétement allumées le mirent au défi de franchir le pas.

Alors dans un état quasi-second il se pencha pour porter en bouche la bite de son camarade.

Il trouva le gout assez fort (dame, il n’y a pas de douche dans le campement) mais il « fit avec »

Ce qu’il n’avait pas anticipé c’est que deux autres membres de l’équipe viendraient s’approcher, la bite à l’air réclamant à leur tour qu’on les suce.

N’ayant aucun échappatoire à cette situation Farkan s’en accommoda.

Et ce qu’il n’avait pas anticipé non plus c’est que tous ces types souhaitaient l’enculer.

– Mais pourquoi moi ?
– Parce que t’es nouveau et que la nouveauté c’est bien !

Farkan se demande comment s’en sortir ! Il n’est quand même pas question pour lui d’accepter de se faire sodomiser 5 fois !

– Ecoutez, un je veux bien, mais juste un !
– Et comment tu vas le choisir ?
– Tirons à la courte paille.

L’idée est adoptée et c’est un vieux grognon qui tira la plus courte. Farkan n’avait plus qu’à se baisser et à subir !

« Pas désagréable, mais il aurait pu lubrifier avant, ce con ! »

L’affaire ne dura pas très longtemps.

– Bon, je peux peut-être pisser maintenant ?

Et soudain Farkan réalisa ce que risquait d’être la suite quand il serait de retour au campement !

« Il vont tous vouloir me sauter ! Comment je vais gérer ça ? Il faut décidemment que je barre le plus vite possible.

– Il n’y a qu’une seule pirogue ? Demande-t-il à brule pourpoint
– Oui, faudrait qu’on en construise une autre parce que si celle-là nous lâche on va être mal. On a bien un canot, mais il ne sert à rien il est trop petit.
– Un canot ? Je ne l’ai pas vu !
– Il est un peu plus haut… mais dis donc t’es bien curieux toi ?
– Oh, tu sais je demandais ça comme ça !

Puis c’est le retour au camp. Le produit de cette pêche permettra d’assurer la nourriture de la communauté pour au moins deux jours.

Quelques semaines plus tard Farkan disparaissait. On ne le chercha pas ! Un jour on s’aperçut que le canot n’était plus là ! On ne fit pas le rapprochement. Toujours est-il que personne ne sut ce qu’était devenu l’ancien espion terrien. Noyé en essayant de gagner la cité de Vargala par la mer ? Ou rendu en ville et camouflé dans l’anonymat ?

Oufrani et Payoka sont arrivés ensemble sur Vargala à bord d’un vaisseau acceptant les passagers. Suivant le plan défini par l’amiral Bolessian. Ce sera donc Oufrani le visible et Payoka l’invisible.

Ce dernier se dégotte un studio puis se rend dans un premier bistrot où il tapote son spacephone. Aux rares curieux qui tentent de lier conversation il répond qu’il travaille sur une étude sur la sociologie des villes portuaires. De quoi décourager les plus hardis !

Quant à Oufrani, il a pris une option sur une buvette délabrée et s’en est allé faire une visite de courtoisie à Annabelle Jiker !

– Je remplace mes pauvres collègues, voici mon avis d’accréditation.
– Bien ! Et vous cherchez quoi exactement ?
– C’est assez compliqué ! Je vous avouerai que je n’étais pas très chaud pour accepter cette mission, mais disons qu’on m’a un peu forcé la main. En fait j’ignorais que cette planète était si dangereuse !
– Elle ne l’est pas tant que ça ! Il suffit d’en appliquer les règles.
– Mes deux collègues ont disparus, non ?
– Woldum a disparu de la circulation après avoir fait exploser un pauvre type qui avait eu le tort de se confier à lui… Quant à Farkan, vous appendrez sans doute que j’ai été obligée de l’appréhender suite à une tentative de meurtre sur un résident. Je l’ai relâché en douce en pleine nuit et j’ignore où il se planque ! Menti la fliquette.
– Il a cessé d’envoyer des messages à la Terre…
– Je ne vais tout de même pas faire une enquête sur sa disparition. Précisez-moi plutôt quelle est votre mission ici ?
– La découverte du capitaine Fernandez doit être étouffée. J’ai carte blanche pour mener à bien cette opération.
– Et cette carte blanche possède des limites ?
– Aucune !
– Je ne vous apprendrais rien en vous indiquant que le meurtre est de facto interdit sur la planète.
– J’essaierais d’en prendre compte !
– Alors bonne chance dans votre mission ! Je suppose que vous souhaitez que je vous communique les codes pour accéder aux bases de données du cosmoport…
– J’allais vous les demander !

Et une fois sorti, il les transmit à Payoka

Jiker m’a ensuite envoyé la photo de cet Oufrani.

– A priori ce n’est pas le genre à se mouiller de trop, mais attention, il cache peut-être son jeu.

Payoka est un petit malin, après avoir épluchée un paquet de données provenant des fichiers du cosmoport, il parvient à une première conclusion.

– Une équipe d’anciens baroudeurs de l’espace, aujourd’hui financièrement à l’aise sur la planère s’envole pour on ne sait où en embarquant un spécialiste des précurseurs. Y’a du louche là-dessous ! Mais comment procéder ? Je ne peux tout de même pas volatiliser tout un équipage en pleine ville ! En revanche je peux faire sauter leur vaisseau, mais il faudrait qu’ils y soient à l’intérieur ! On va réfléchir un peu, !

Et voilà que je reçois un message de Marcia (voir les épisodes précédents). Elle me demande de la rappeler…

– C’est grave ?
– C’est pas grave, mais c’est bizarre et ça peut t’intéresser ! Tu viens ?

J’y suis donc allé, me disant que de toute façon rencontrer Marcia et sa fille Carrie n’aura rien d’une corvée… bien au contraire !

Je me rends donc au Carrie’s bar… bisous, bisous… Elle a la peau trop douce Mamie Marcia !

– Regarde ce que j’ai reçu sur mon spacephone. Me dit-elle

Et devant mes yeux étonnés, je découvre la vidéo de la structure de Ramon4 en train d’écrabouiller le vaisseau du capitaine Mony ! Mais ce n’est pas tout, un court texte accompagne la scène légendé « Les précurseurs ne sont pas morts »… et c’est suivi des coordonnées spatiales de la planète et des coordonnées latitudinales du site de la découverte.

– Mais qui t’as envoyé ça ?
– Expéditeur inconnu. Je ne pense pas que ça m’était spécialement destinée Carrie a reçu le même message, Candice aussi et un client qui était là tout à l’heures l’a reçu aussi…
– Candice, ta nouvelle recrue ?
– Oui, en ce moment, elle est occupée…
– Ce serait donc une liste de diffusion ?
– Sans doute ! Alors qu’est-ce que tu en penses ?
– Faut que je réfléchisse.

Et sur ces entrefaites, Carrie descend l’escalier précédé de son client. Elle m’embrasse.

– Maman t’a montré ce qu’on reçoit ?
– Oui, on en parlait !
– C’est stressant, non ?
– Un peu, oui !
– Tu veux qu’on te déstresse, Maman et moi ? On va attendre que Candice redescende…

Je ne vais tout de même pas refuser

Candice descend, une jolie fille au sourire coquin avec laquelle j’aurais volontiers partagé quelques doux moments. Mais comme Carrie m’a pour ainsi dire invité, je ne vais pas aller me disperser.

On commence à bien se connaître tous les trois, aussi, une fois en chambre on se déshabille directement.

Les deux femmes s’assoient l’une à côté de l’autre sur le bord du lit en écartant les jambes ! Joli spectacle !

– Vous êtes trop belles, comme ça !
– L’essentiel c’est qu’on te fasse bander ! Répond Carrie ! Alors qu’est-ce qui te ferais plaisir ?
– Câlinez-vous un peut toutes les deux.
– Petits câlins ou gros câlins ?
– Je vous laisse improviser !

Les deux femmes s’enlacent et commencent par s’embrasser goulument sur la bouche avant de se lécher les tétons. Les mains ne restent pas inactives et viennent fouiller dans leurs intimité réciproque.

– Hum, tu as vu comme elle mouille, ma salope de mère ! Me nargue Carrie.

Je sais que c’est du bluff, elle ne mouille pas pendant ses passes, mais je suis bon joueur et ne vais pas la contrarier

– Tu veux nous regarder nous lécher ?
– Oui, oui !

Les deux femmes se mettent en soixante-neuf, la fille en dessous, la mère au-dessus.

Je m’approche pour aller mater le joli cul de Marcia. Je m’enhardi à lui tripoter les globes fessiers que j’écarte afin de pouvoir accéder à son joli petit trou fripé.

Et je ne vais pas me contenir de l’admirer bêtement, non, je le lèche alors que ma bite devient douloureuse à force de bander

Une bite bien raide devant un trou du cul accueillant ! Voici une situation propre à favoriser la sodomie. Je me laisserai volontiers tenter, mais cela aurait sans doute pour conséquence de mettre fin prématurément à cette petite séance.

Aussi m’éloignais-je de quelques pas avant de leur indiquer que moi aussi j’aimerais bien brouter de la chatte.

Du coup les deux femmes reviennent en position assises.

– Tu veux sucer qui ? Me demande Marcia
– L’une après l’autre, mais je vais commencer par toi.

Et cette fois la minouche de Marcia est vraiment mouillée. Par la salive de sa fille ? J’ai comme un doute, cet arrière-gout de miel n’a rien de salivaire. Mais qu’importe après tout puisque je me régale !

Carrie s’est levé, me contourne et m’introduit un doigt humide dans mon trou de balle. J’apprécie beaucoup comme vous pouvez vous en douter !

Du coup j’accélère mes mouvements de langue dans la chatte de Marcia et sollicite son clitoris. Simulera ? Simulera-pas ? Eh bien elle n’a pas simulé, je ne vous dis pas comment cela a flatté mon égo !

On permute ? Propose Marcia à sa fille. Du coup la maman passe derrière moi. Quant à Carrie alors que je pensais qu’elle allait m’offrir son minou, elle me tourne le dos (je devrais dire les fesses)

– Encule-moi !

Eh oui, la partie ne pouvait pas non plus durer éternellement… Je pénétrais donc le troufignon de la belle Carrie, puis tentait de modérer mes mouvements afin de pas décharger trop rapidement. Mais au bout de cinq minutes la montée du plaisir devint incontrôlable et je lâchais tout.

– Ça va ? T’es déstressé maintenant ? Me charrie Carrie.
– Super ! Mais je ne vous ai pas payé…
– Laisse c’est cadeau… à moins que tu insistes pour nous payer !

Quelles coquines !

A suivre

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2 réponses à Stoffer 7 – La structure diabolique – 8 – Farkan en galère suivi de trio chez Marcia par Nicolas Solovionni

  1. REaymond dit :

    Décidément, elle me plait de plus en plus cette planète !

  2. Benoit de Macadamia dit :

    Chic revoilà Marcia

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