La créature de la plage par Elian Lvekman

Merci à Michel L sans lequel ce récit ne serait pas.

Bonjour, Ce récit commence un jour d’été très chaud, je suis un homme d’une trentaine d’années. Je portais ce jour-là une casquette noire à la mode et aussi des lunettes fumées à petites montures. J’avais décidé d’aller me faire bronzer à la Playa del Corrazon. Un site merveilleux pour la pratique du naturisme.

Arrivant à destination, je marchais le long de la plage et approchais ainsi de plus en plus des corps intégralement dénudés. J’avais chaud, glacière verte à la main, sac à dos rouge et chaise de plage à l’autre main.

Mon regard commençait à s’enivrer de la vision des femmes et des hommes nus et déjà bien installés sur le sable chaud.

Je trouve une petite place parmi cette mosaïque de chair humaine bien bronzée.

Je me dévêts, puis aperçois une femme qui pose un regard sur moi. J’aime cette sensation de savoir qu’elle me dévisage tout discrètement. Je vois bien qu’elle reluque mes fesses, ma queue, mes cuisses assez musclées. J’en attrape même une petite érection toute discrète. J’essaie de me changer les idées car je me dis qu’une bandaison publique me compliquerait les choses.

Je place donc ma chaise et ma serviette. J’ai un regard amusé vers cette serviette. Je l’aime bien, c’est ma serviette fétiche, elle m’a toujours porté bonheur. Elle est lignée de plusieurs couleurs, du vert, du jaune, du rouge, du bleu et du mauve. Je me suis astucieusement placé de façon à ce que cette femme voie toujours mon membre se faire bronzer au soleil chaud.

Au soleil, mes testicules dansent et deviennent très mous, et mon scrotum très bas, mon pénis s’allonge et devient tout doré ! J’écarte davantage les jambes pour qu’elle puisse voir sous mes couilles, mon entre jambe et un peu de mon anus. Ne voyant pas mon regard grâce à mes lunettes de soleil, cette jolie femme prend plaisir à regarder mon organe génital et mon corps. Elle est couchée de dos face à moi. A peine une dizaine de mètres nous séparent. Pas un mot ne se prononce, mais nous savons tous les deux que nous nous apprécions mutuellement.

Par cette chaleur torride, je décide de me lever.

Elle me regarde avec encore plus d’intention ! Un regard fixe à mes yeux et à ma queue. Je peux voir ses jambes ouvertes me dévoilant à son tour son sexe, ses lèvres, cette chair qui ne demande qu’à être goûtée par ma bouche au soleil ardent. Ses seins déjà passablement bronzés, m’invitent déjà à les prendre comme des lingots d’or, une richesse et de ce fait, une beauté inestimable. Des seins bien ronds et au mamelon à faire rêver.

Le temps d’avoir retiré casquette et lunettes, elle découvre mes yeux en ce moment profondément vicieux et concupiscent de désir.

C’est alors que je me dirige vers l’eau, elle regarde mes petites fesses se dandinant de droite à gauche, les yeux littéralement fixés sur elles. Sa bouche devient gourmande de me manger mes petites joues.

Elle se décide à son tour de venir à l’eau. Je ne me doute pas de son arrivé. Je suis de dos pour elle et assez loin de la rive. Personne autour de moi. Je suis immobile face au large, l’eau au nombril et par conséquent ma queue qui flotte comme une petite bouée à la mer.

Soudainement, son visage surgit de l’eau peu profonde. Elle apparait tranquillement et ses yeux fixent ma bouée. Précédé d’un seul regard, elle pose sa bouche et sa langue sur mon membre surpris par la tournure de l’événement. Elle empoigne mes testicules et commence à me sucer doucement. Mon gland se gonfle dans cette bouche qui ne veut qu’une chose, me goûter, m’avaler.

Durant ce temps je me mets à regarder autour de moi et d’un air inquiet regarde si personne ne nous a vu faire. Non ! Personne en vue, nous sommes bel et bien seuls à cet endroit précis du plan d’eau.

Elle délaisse alors mes testicules pour porter un doigt à mon anus. Moi immobile et faisant semblant de rien pour ne pas nous faire repérer, j’écarte légèrement les fesses pour laisser passer son index sinueux à l’intérieur tout en continuant de me faire une fellation. Mes fesses se contractent légèrement par-devant, sentant ainsi son doigt dans mon cul tandis que ma verge devient très grosse dans sa bouche. Je ferme les yeux pour laisser mon esprit s’envahir par une nuée de fantasmes.

Le temps de rêvasser quelques instants, elle se retire soudainement.

Non ! Plus rien ? Je ne me pose pas de question. Je reste immobile pour quelques instants. Le temps pour nécessaire pour elle de regagner la rive et sa place. Moi, durant ce temps, mon sexe en profite pour débander et reprendre sa longueur normale de petit poisson.

Je regagne ma propre place avec un rythme cardiaque qui n’a pas décéléré. Plus j’approche de mon espace, plus mon cœur s’emballe. Elle, couchée au soleil et mouillée de partout m’observe, le regard désireux de renouveler l’expérience, ses jambes encore plus écartées pour me montrer son sexe humide de l’excitation récente. Elle a une main sur un sein, se pinçant ainsi le mamelon assez discrètement pour ne pas se faire voir.

J’arrive à destination, prends ma serviette de place, m’essuie le visage, remets ma casquette et mes lunettes en la regardant. Je m’allume une cigarette gauchement et en me levant pour une petite promenade, je la regarde avec insistance.

Elle a compris mon message de me suivre. Je marche sur la plage et elle me suit à une cinquantaine de mètres. Elle s’amuse même à essayer de mettre ses pas sur les miens dans le sable. Les yeux au sol. Moi je sais qu’elle est derrière moi.

Je décide d’accélérer la cadence de mes pas. Elle ne se rend pas compte que notre écart augmente car elle jette un œil trop rapide sur moi, et elle est concentrée sur mes pas imprimés dans le sable mouillé.

À un moment, elle lève les yeux et découvre que je ne suis plus devant elle. Un peu paniquée et inquiète, elle se met à me chercher du regard et m’aperçois à la limite du petit bois longeant la plage alors que je m’apprête à disparaître dans les buissons. Angoissée et du même coup inquiète, elle décide de me suivre, mais sans me voir désormais.

Elle entre donc à son tour dans la végétation et commences à me chercher. Elle avance tranquillement, sn cœur prend un rythme fou, elle est excitée, mouillée à l’idée de me retrouver. Elle est comme à la chasse à l’homme, mais pour une chose très précise : une sauvageonne dans le bois qui traque sa proie sexuelle.

Moi, la voyant s’approcher de plus en plus, je décide de me coucher par terre et entreprends de me masturber, espérant ainsi qu’elle me verrait et entendrait mon souffle s’accélérer. Elle a donc deux sens très aiguisés pour trouver ma piste. Elle marche un peu accroupie, prête à me sauter dessus. Elle ne me voit pas encore mais entends mes rauques gémissements sexuels. Je n’en peux plus d’attendre, je décide de précipiter les choses en faisant bouger les branches d’un buisson à mes côtés. Elle me retrouve, enfin ! Elle a su me rejoindre sans me voir, je l’ai juste un peu aidé à la fin !

Elle se met à quatre pattes comme une tigresse, les fesses et le sexe bien exposés vers le ciel, sa chatte mouillée et dégoulinante sur son passage, marquant ainsi son territoire sexuel. Moi, la voyant approcher au travers des buissons je deviens de plus en plus excité et dur, frottant ainsi mon membre et mon gland prêts à la recevoir, mes testicules chauds et dorés guidant le chemin qui sera le sien.

Elle arrive donc à moi. Elle écarte tout doucement le buisson qui tout à l’heure l’empêchait de me voir et elle découvre ma bite bien raide à quelques centimètres de sa bouche. Une bite décalottée, dorée, nervuré comme elle doit les aimer, un gland à faire rêver, mes boules dans leur sac pendant sur mon anus rosé. Elle est donc invitée à me prendre comme jamais elle n’a pris un homme. Un homme complètement nu devant elle, un homme à sa merci, un homme se donnant à elle.

Mes jambes sont donc ouvertes tout en me masturbant, elle approche encore plus près quand elle aperçoit sur le sol parmi les brindilles une sorte de petit bâton bien lisse au bout bien rond. Elle a l’idée de le prendre sans que je sache ce qu’elle va en faire. Elle s’avance vers moi, prends sa main et me cache les yeux. Que vas-t-elle me faire ? Je n’angoisse pas un instant m’abandonnant ainsi à elle complètement.

C’est alors qu’elle prend à deux mains ce curieux bâton pour me l’introduire en moi doucement, à deux mains. Elle avait pris le soin de l’enduire du jus coulant de son vagin pour faciliter son passage secret. Elle me titille l’anus avec le bout, me prends les testicules les relevant ainsi pour dégager mon entrée secrète. J’étais déjà assez dur, elle reprend à deux mains le bout de bois, (il doit faire environ cinq centimètres de diamètre) et me l’enfonce dans le rectum, sachant que mes jambes sont bien écartées et mon cul en l’air.

Elle l’enfonce et le retire, caressant mes entrailles interdites. Elle pose sa bouche sur mon gland le faisant ainsi disparaître pour un moment. Elle me suce donc tout en m’enculant avec l’aide de la nature !

Après un certain temps, elle décide de me baisser les jambes et de venir m’embrasser tout en laissant en moi ce corps étranger me donner de bonnes sensations.

Ma queue bien en l’air, elle décide de s’asseoir dessus. Donc tout doucement et en prenant le soin de diriger ma queue vers son sexe, elle me l’enfonce très profondément en elle, ses mains s’agrippant à mon torse poilu. Elle commence à faire des va-et-vient ondulatoires en imprimant des mouvements à son bassin sonnant ainsi la cloche de la récréation. Je lui prends les seins, énormes et bien ronds, je me cambre vers l’avant pour y goûter les mamelons, et cela les deux en même temps, rapprochant ainsi ces derniers l’un de l’autre. Sa tête part en arrière, me laisse deviner l’énorme plaisir qu’elle a à se laisser aller sur cet autre  » bout de bois « . Je la pénètre et elle me pénètre. Une sensation des plus divines et des plus excitantes s’emparent de nous.

Elle avait les yeux fermés. Soudain, elle les ouvre… pour s’apercevoir que nous sommes observés par un autre homme errant non loin de nous. Sur le coup, le temps d’une demi-seconde, elle devient mal à l’aise, mais la réalité la rattrape bien vite. Cela l’excitait donc que l’on la regarde s’appliquer à nos ébats sexuels. Moi, j’étais toujours dans cette magie sexuelle, j’avais les yeux fermés et ignorais que nous étions observés.

Elle se met à lui faire un sourire, un certain sourire qui l’invite à nous rejoindre. L’homme déjà bien bandé par l’excitation visuelle et tout en se masturbant s’approche de nous. Il se met lui aussi à quatre pattes, il s’approche d’elle et se met en position à genoux pour lui montrer son énorme membre viril de 17 centimètres de long. Elle n’en revient pas. Moi, je la regarde soudainement pour découvrir la présence de cette queue entre elle et moi ! J’ai un petit moment d’hésitation mais me rassure d’un seul regard. Elle empoigne alors ce dernier pour commencer à le sucer. Sa bouche très grande ouverte commence l’opération buccale. Moi voyant cela, recommence à la pénétrer plus fortement. Elle avait deux membres bien durs en elle. Elle est heureuse de pouvoir enfin réaliser ce grand fantasme interdit.

Elle sent en elle ce qu’elle sent dans sa bouche. Elle est absolument au septième ciel. Je lui donne la jouissance que l’autre homme lui donne. Elle sent tout son corps vibrer à nos rythmes respectifs. Sa main sur sa tête poussant cette dernière un peu plus profond sur son sexe et moi mes mains sur ses hanches poussant ainsi son sexe plus profond sur le mien.

Elle abandonne un moment la fellation de ce bâton de dynamite et se met à nous regarder alternativement plusieurs fois de suite sans prononcer un seul mot. Elle reprend le pénis bien gonflé de l’homme pour l’approcher de ma bouche et de la sienne en même temps. Elle commence à m’embrasser et à me présenter cette verge très dure devant mon visage. C’est à ce moment que je comprends qu’elle souhaite que je la suce avec elle. Moment d’hésitation. Son regard persiste, à la fois coquin et implorant. Je m’incline devant son désir ardent de prendre en bouche avec elle cette ravissante chose. Elle continue de m’embrasser et place cet énorme pénis entre nos quatre lèvres très mouillées. L’homme commence des va-et-vient, se masturbant entre nos deux bouches bien collées. Je recommence l’opération du lapin en elle. J’ai alors une étrange sensation de désir jamais ressenti auparavant. Je suis encore plus dur de par ce contact buccal. Je rends ce qu’elle recherchait, une dureté jamais vécue a envahi mon membre déjà assez dur ! Merci. ! Elle commence à se dandiner sur moi, l’homme va de plus en plus vite et moi de même. Tous les trois formons une bombe bien huilée prête à exploser d’un moment à l’autre.

Soudain l’homme s’écrie : « Je vais venir ! » Première parole entendue depuis le début de cette triple rencontre ! Il se retire à peine de nos deux bouches et commence à se masturber à l’aide de sa main. Nous, nos deux bouches ouvertes, joues bien collées, attendions ce moment de vérité qui allait être ma première expérience gustative de la semence masculine. Je continue à la pénétrer fortement pour qu’elle puisse et moi aussi, exploser en même temps que l’inconnu.

Et soudain, ça y est ! J’explose en elle par de forts jets de sperme chauds qui aurait percuté son col d’utérus, si je n’avais point chapeauté d’un condom mon engin reproducteur. Je ne lui arrose donc les entrailles que dans mon esprit. Elle cri du même coup, la mèche de sa bombe est consumée. Elle explose de plaisir et de jouissance, moi en même temps je m’agrippe à ses seins et nous jouissons en même temps.

Puis l’homme éjacule à son tour. de grands jets puissants atteignent en premier ses yeux gourmands et sa bouche fixant ce gland arroseur. Et c’est à présent mon tour de recevoir d’autres giclés de sperme, mais cette fois-ci atteignant la cible. Ma langue avait tout de même servi de bouclier prévenant l’arrivé trop rapide de cette liqueur dans le fond de ma gorge. Je la pénètre toujours.

L’homme venu s’est retiré tranquillement, a reculé de quelques pas. Elle décide de m’embrasser comme pour me remercier, me remercier de lui avoir fait l’amour, me remercier d’avoir accepté ses fantaisies, par passion et excitation.

Et puis elle s’accroupit au milieu des brindilles, dans une position obscène, comme si elle s’apprêtait à uriner sur le sol. Et je n’en crois pas mes yeux, là devant moi, elle fait pipi dans la nature. Malgré moi ce spectacle me fascine. Ce petit jet doré sortant de cette si belle chatte est un spectacle de premier choix. Mais elle s’arrête. Je ne comprends pas et j’ai bien l’impression qu’elle s’est retenue de tout lâcher. De nouveau elle t’approche de moi, me souris, puis se souvenant qu’il un avait un bâton en moi, me le retire d’un coup sec. Elle me demande de m’allonger sur le sol. Et elle me chevauche, à moitié accroupie, poursuivant son pipi un moment interrompu, mon sexe se mouille de son urine tandis qu’elle avance vers le haut de mon corps m’aspergeant les tétons et le cou. Rien ne semble pouvoir arrêter sa progression, et devinant ses intentions j’ouvre une large bouche recueillant les dernières gouttes de sa douche jaune comme le soleil.

Elle se lève d’un seul bond, regarde l’inconnu déjà au loin, me tends la main pour me relever, triomphante devant sa proie. L’allure fière, les seins bien sortis du thorax et sexuellement désirable encore, mon sperme et son urine coulant sur ses jambes. Elle me relève donc, se tournant vers la mer et reprenant en sens inverse le même chemin d’où nous étions venus. Je me mets à marcher derrière elle à une vingtaine de mètres, d’un pas un peu saoul dans ma démarche, indiquant ainsi sous les regards des étrangers que je viens de tomber sous les griffes…

…d’une sirène qui tient un pied bien sur terre.

© Elian Lveckman
Rewrinting d’une nouvelle signée Michel L, intitulé « Douce Sirène » et parue sur le site SophieXXX en 1999
Première publication sur Vassilia, le 04/11/2001, révisée en mai 2009

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2 réponses à La créature de la plage par Elian Lvekman

  1. Stablinski dit :

    Ça se voudrait sans doute poétique, mais ce style lourd ne fait que nous éloigner de l’action en péchant l’érotisme de s’installer

  2. Sapristi dit :

    Un texte très curieux, assez poétique, avec des passages bizarres (le bout de bois !), sans doute une réminiscence romancée d’un séjour au Cap d’Agde ?

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