Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 7 – Topar, puis Indira par Nicolas Solovionni
Le capitaine Trujillo s’installa aux commandes et amorça sa descente, sortant son train d’atterrissage.
– Merde ! Trop court ! Je ne vais avoir assez de longueur de piste.
Il freina à mort mais rien n’y fit, il redressa le vaisseau afin de l’empêcher d’aller dans les décors.
– On recommence !
La seconde tentative fut pire, Topar s’agaça :
– Vous avez appris à piloter où ça ? A la fête foraine ?
– Vous commencez à m’énerver, prenez les commandes si vous n’êtes pas content !
A la troisième tentative le vaisseau parvint à se poser… de justesse
Topar s’empare du micro :
– Allô le dôme, ici la police galactique, nous allons procéder à une inspection de routine. A vous !
– Je vous rappelle de suite, répondit Baboukar avant de se précipiter chez Edina.
– J’ai entendu ! répondit cette dernière. On applique le plan rouge. Tu te souviens de tout ?
L’une des composantes de ce plan consiste à dissimuler l’entrée de l’appartement d’Edina derrière une cloison théoriquement indétectable, une opération qui ne prend qu’une petite minute.
Baboukar reprend le micro.
– Veuillez nous envoyer votre mandat.
– Nous n’en avons pas, nous sommes arrivés fortuitement dans votre système.
– Alors je ne vous laisse pas entrer.
– C’est comme vous voulez, mais on reviendra plus tard avec un mandat et en attendant on vous interdira toute sortie.
Edina dans l’oreillette lui indique de le faire entrer…
– Bon, c’est OK, mais une fois dans le sas, vous déposerez toutes vos armes.
Topar accepte se disant que ce détail pourra aisément se régler.
– Maintenant, dit-il à Trujillo, il me faut cinq hommes avec moi.
– Je vous ai déjà dit qu’il n’en était pas question…
– Je vous rappelle que j’ai pouvoir de réquisition.
– Ça ne marche pas s’il y a des risques, faites ce que vous voulez mais je ne vous fournirai personne.
– Connard !
– Et vous avez le droit de rester poli.
– J’irais donc seul, je suppose que vous avez une combinaison adaptée.
– Mais bien sûr, monseigneur.
– Pfff.
Sur l’écran de contrôle d’Edina le vaisseau est bien visible.
– On peut zoomer ? Demandais-je.
On zoome, ce vaisseau me dit quelque chose.
– C’est le Delphin, le vaisseau du capitaine Trujillo.
– Vous le connaissez ?
– Pas plus que ça. Mais ce n’est pas un vaisseau de flics, c’est un cargo !.
– On fait quoi ? Demande Edina qui commence à s’angoisser.
– Je ne sais pas trop, à mon avis il s’agit d’une bande d’aventuriers qui a pris le contrôle du vaisseau de Trujillo.
La vidéo de contrôle montre le sas du vaisseau qui s’ouvre, un homme sort, personne ne le suit.
– Un mec tout seul ! Ça n’a aucun sens ! M’écriais-je.
On attend, il se confirme que l’homme est bien seul. On le laisse entrer, il pénètre dans le sas et se débarrasse de sa combinaison antifroid pour revêtir une tenue banalisée mise à sa disposition, il tente d’y dissimuler une arme de poing.
– Posez cette arme, sinon on ne vous laisse pas entrer. Lui signifie Baboukar dans le micro.
Topar n’a d’autres options que d’obtempérer.
– Ne lui ouvrez pas de suite, je voudrais vérifier quelque chose. Suggérais-je à Edina
– Vous voulez faire quoi ?
– Juste un petit contrôle, j’aimerais qu’on me connecte à ce vaisseau.
L’opération fut rapide.
– Allô, le Delphin, ici le dôme, pourrais-je parler au capitaine Trujillo. ?
– C’est moi, qui vous a donné mon nom ?
– Je suis le capitaine Ajas Stoffer, ça vous dit quelque chose ?
– Oui…
– Je suis de passage ici. Vous pouvez parler librement ?
– Oui.
– La communication est sécurisée. C’est quoi ce flic ?
– Un cinglé.
– Il cherche quoi ?
– Il ne m’a pas précisé, il m’a juste fait comprendre qu’il s’agissait d’exfiltration.
– Il y a combien d’hommes avec lui ?
– Il est tout seul, il a voulu réquisitionner des gars de mon équipage, j’ai fermement refusé en usant de mon droit de retrait.
– Vous allez faire quoi ?
– Je ne sais pas trop, on décollerait bien sans l’attendre, mais il a peut-être signalé sa destination, ça peut être gênant.
– Ok, je vous rappelle.
Edina se tourne vers moi.
– J’ai compris, on le neutralise. Dit-elle.
– Attendez…
– C’est moi qui commande !
La maitresse des lieux donne quelques instructions à Baboukar.. Pourvu qu’elle ne fasse pas de conneries !
Baboukar et Arkon appréhendent Topar. Celui-ci après avoir élevé une protestation de principe se laisse conduire pacifiquement dans une petite pièce où il est invité à s’assoir.
Pendant ce temps, Indira s’en va fouiller dans le sas, confisque son arme et son spacephone puis déniche son badge d’agent galactique.
– C’est bien un flic ! Nous confirme-t-elle.
– Tout seul, dans un vaisseau cargo ! M’exclamais-je. Ce gars-là se la joue tout seul, il n’est pas en mission, à mon avis il cherche la prime.
– J’avais compris ! Dit Edina.
Elle m’énerve de nous faire croire qu’elle comprend tout avant les autres !
Baboukar commence l’interrogatoire. On ne voit rien mais on entend tout.
– Bon alors, vous cherchez quoi ?
– Je suis sur la piste d’Edina Von Graz.
– Ah ! On vous aura mal rencardé.
– On peut négocier ? Demande Topar
Ce mec fait décidément preuve d’un culot monstre !
– Négocier de quoi ? Vous cherchez quelqu’un qui n’est pas ici !
– Je la récupère et je vous laisse la moitié de la prime.
– Non, il n’y a personne à récupérer, on va vous raccompagner jusqu’à votre vaisseau et vous allez nous foutre le camp.
– Et je vais revenir avec toute une équipe et un mandat de perquisition.
– Vous bluffez !
– Peut-être que oui, peut-être que non !
Baboukar ne sait plus quoi dire.
Edina se lève, fort énervée.
– Bon, j’y vais, cette histoire commence à me prendre le chou.
– Vous n’allez pas vous dévoiler ? Osais-je.
– Laissez-moi faire !
– On peut venir avec vous ?
– Oui, mais c’est moi qui parle, seulement moi !
Le bonhomme est surpris, il dévisage Edina bizarrement.
– Vous êtes…
– Non mais il paraît que je lui ressemble, c’est sans doute ce qui a abusé votre informateur. Je me prénomme Eugenia Deglys. Maintenant que vous savez, faites-moi part de vos intentions.
– Si vous acceptez que je contrôle votre identité, nous en resterons là.
– Vous n’avez aucun mandat pour faire ça !
– Donc vous n’êtes pas Eugenia machin-chose, sinon vous vous seriez plié à cette formalité sans conséquences.
Ben oui !
Un moment à court d’arguments, Edina me souffle dans l’oreille :
– Vas-y, démoli-le !
Je vais me défouler…
– Ecoute pépère, tu te crois malin mais ton jeu est pourri. Tu espérais faire une opération de commando, mais tout a foiré.
– Je ne vous permet pas…
– Je n’ai pas besoin de ta permission, tu ne t’attendais pas à te trouver devant un dôme, tu ne t’attendais pas à être obligé d’agir seul… une opération comme ça, ça se prépare, tu n’es qu’un loser. Alors on t’a posé une question, on attend ta réponse.
Le moins qu’on puisse dire c’est que le gars paraît maintenant complètement déboussolé.
– On peut discuter ? Balbutie-t-il.
– Discuter de quoi ? On n’a pas que ça à foutre ! Lui répond Edina.
– Etes-vous retenue en otage ?
Gonflé le mec !
– Est-ce que j’ai l’air d’une otage ? Non mais franchement !
– Le syndrome de Stockholm, ça existe.
– Les imbéciles aussi ! Alors si vous ne voulez pas répondre, je vais le faire à votre place. Admettons qu’on vous relâche, vous allez revenir soit avec une bande de mercenaires, dans ce cas je vous souhaite bon courage avec les complications, genre partage de la prime… soit avec la police galactique, ce sera bien plus efficace et moins risqué, mais adieu la prime, d’autant que je ne suis pas la personne que vous recherchez…
– J’en doute !
– Soit je vous supprime, ce qui supprimera le problème en même temps.
– Mais comme j’ai laissé une instruction en cas de non-retour, vous aurez la police sur le cul.
– Mais comme c’est peu probable, je suis prête à prendre ce risque.
Il est tout pâle le type !
– Et maintenant une question, quel est l’auteur de ce tuyau foireux ?
– Et si je vous le dis, vous me laissez la vie sauve ?
– Si on te répond oui, tu ne seras pas obligé de nous croire, à toi de voir.
– Il me dit s’appeler Ravo, mais en fait il s’appelle Herman Schumacher, j’ai sa photo sur mon spacephone mais je l’ai laissé dans le sas.
– On l’a récupéré, intervient Baboukar, je vais le chercher.
C’est bien ce que je pensais, ce connard de Ravo a refilé le tuyau à tout le monde. Ils vont être combien à se pointer ici ? Cela promet pas mal de complications. Mais pour le moment j’aimerais savoir si Edina connait Ravo.
On refile le spacephone à Topar qui trouve de suite la trombine de Schumacher. Edina la découvre et me fait signe de sortir un instant. Je la suis.
– C’est le responsable de l’équipe qui m’a acheminé ici. Me dit-elle avant que nous regagnions la salle.
– Enfermez-moi ce connard ! dit simplement Edina. Conseil de guerre chez moi, faut qu’on cause !
Avec Dyane, je suis Edina dans ses appartements, Baboukar et Arkon nous rejoignent après avoir bouclé Topar.
– J’ai ma petite idée pour la suite, mais j’aimerais d’abord savoir ce que vous en pensez, Capitaine Stoffer ?
– C’est compliqué, ce type est un danger potentiel, j’ai peur que l’on soit obligé de l’éliminer…
– Vous vous en chargeriez, capitaine ?
– S’il le faut. Mais il y a autre chose, si vraiment Ravo a refilé vos coordonnées à tout le monde on n’est pas couché.
– Vous ne connaissez pas un coin de planète peinard où je pourrais déménager ?
– Les coins de planète habitables sont soit déjà occupés, ce qui risque d’être une source de problèmes, soit ils ne sont pas si habitables que ça…
– Parce que ?
– Les sales bestioles, les plantes agressives, les virus super-résistants, les volcans, les tremblements de terre, les grêlons…
– Arrêtez, vous allez me faire peur.
– Non, mais autant être réaliste.
Edina semble un moment perdue dans ses pensées avant de dire :
– Vous avez une suggestion ?
– Je suppose que vous ne souhaitez pas réintégrer la vie publique ?
– Vous supposez très bien.
– Il existe des planètes où des parcelles sont en ventes, les livraisons alimentaires sont assurées, La sécurité est assurée, des petits paradis en quelque sorte.
– Sauf que les journalistes vont venir me faire chier.
– Non, vous achèterez sous un nom d’emprunt.
– Et je le finance comment ? Mon compte a dû être bloqué par ma famille.
– Débloquez-le.
– Et du coup mon anonymat tombe. Non merci, je vais faire un communiqué que vous diffuserez dans lequel j’indiquerai que je ne suis plus otage, mais que je me retire de la vie publique. Au moins si les journalistes se pointent, ils ne franchiront pas le sas. Je rédige ça de suite, vous vous chargerez de la diffusion.
– C’est comme vous voulez.
– Ce soir on bouffera tous ensemble, ah j’ai quand même un petit service à vous demander …
– Si je peux…
– Si vous pouviez débarrasser le monde de ce Ravo !
– Hum, ce n’est pas si évident, il y a la loi de Vargala… mais je m’arrangerai.
– La loi de Vargala ?
– Je vais vous expliquer.
J’explique donc, mais le lecteur qui n’a pas lu mes précédentes aventures ni le cycle de Vargala Station voudrait bien être au courant.
Pour faire rapide, l’activité des capitaines sur Vargala intéresse l’empire terrien qui du coup peut faire l’économie de missions d’explorations aussi coûteuses qu’aléatoires. Seulement voilà, entre eux c’était la guerre avec règlements de compte sanglants permanents. L’Empire ne pouvait pas se permettre de voir la situation continuer à se dégrader.
Alors les agents impériaux réunirent une table ronde avec les personnes les plus influentes de la planète. Il fut convenu que tout crime de sang serait désormais interdit su Vargala Station, la mafia locale ayant pour mission d’exécuter les contrevenants. En échange, l’Empire fermerait les yeux sur certains trafics douteux, promesse qui n’engage pas à grand-chose.
Ceux, mais qui devinrent rares, transgressaient cette règle n’avaient d’autres choix soit de s’envoler vers l’Espace soit de se réfugier dans une zone attenante, la presqu’île des exclus géré par la pire lie de la planète.
Et du coup allons-y pour un petit flash-back.
La découverte du cadavre de Ravo n’eut lieu que quarante-huit heures (locales) après le crime, le gérant appela de suite Kloben, un type connu pour ses accointances avec la mafia locale.
Ce dernier se fit passer les derniers enregistrements de sa chambre. Topar fut vite repéré.
« Un traîne-savate qu’on voit un peu partout, sans doute un flic ou un indic… »
Dans ces cas-là la procédure est simple. Un coup d’œil sur le « bar du destin » passage quasi obligé quand on veut se rendre à la presqu’île des exclus ne donna rien. En revanche l’examen des sorties du cosmoport indiquait que l’homme en question avait embarqué sur le Delphin commandé par le Capitaine Luis Trujillo.
« On n’a plus qu’à attendre son retour et on le cueille comme une fleur ! » Se dit Kloben.
Fin du flashback
Quelques minutes avant le repas, Indira vint me trouver.
– Est-ce que je peux espérer que vous défendiez ma cause ?
– Pardon ?
– Je veux toujours partir d’ici.
– Ah bon, je pensais que c’était du bluff.
– Ben non !
– T’es malheureuse ici ?
– Non pas du tout, mais j’en ai un peu marre, je voudrais bien voir autre chose.
– T’es prisonnière ?
– Mais pas du tout, je pourrais partir avec le vaisseau ravitailleur mais je n’ai pas vraiment confiance.
– Parce que moi, je t’inspire confiance.
– Oui et si je me trompe ce sera tant pis pour moi.
Indira m’expliqua ensuite son rôle ici. En fait Edina possédait son petit harem qui lui permettait d’assouvir ses penchants pour le broutage de minettes. Les filles étaient recrutées dans différents bordels de cosmoports mal famés. Les filles étaient bien payées et quand Edina en avait marre, elles les échangeaient.
– Tu possèdes une formation quelconque pour être employée sur un vaisseau ?
– Rien du tout
– Il faudrait que je te prenne comme passagère gratuite ?
– C’est en effet ma requête.
– Je vais sur Vargala, tu y feras quoi ?
– Je trouverais bien, vous m’aiderez peut-être ?
Tu parles ! A force de conseiller des bordels à des pauvres filles en détresse, je vais finir par passer pour un maquereau alors que je n’en tire aucun bénéfice.
– Tu veux un câlin ? Me demande-t-elle.
– Si c’est pour influencer ma décision, ce n’est pas la peine, je veux bien t’embarquer, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai envie de te faire plaisir. Cela dit je ne refuse jamais un câlin !
– Je me disais aussi… je vais faire pipi avant… tu veux mater ?
– Avec plaisir !
Indira commence par se déshabiller entièrement, elle est trop mignonne avec sa peau légèrement dorée. Puis elle se pose sur la cuvette de telle façon que sa miction soit parfaitement visible..
Je m’approche, je m’accroupis entre ses jolies cuisses, j’ouvre la bouche et j’avale quelques rasades de son petit pipi. Je me régale.
– Et toi tu n’as pas envie ? Me demande-t-elle.
– Parce que tu voudrais…
– Ben oui ! J’aime bien moi aussi…
Dans ce cas, je ne vois pourquoi je lui refuserai ce plaisir !
Je sors ma queue de ma braguette, difficile de ne pas bander quand on a devant soi une si jolie donzelle, les nénés à l’air et le sourire enjôleur. Je me concentre, ça jaillit, elle avale, pas tout mais presque et même que le surplus lui dégouline sur le menton et sur les nichons. On se marre. Je l’aime bien c’est une brave fille.
Elle me fait signe d’approcher, et elle me gobe la bite dont le gland est encore imprégné de mon urine et elle me lèche tout ça avec gourmandise. Alors évidemment, maintenant je bande comme un bout de bois !.
Elle me lâche la bite, se relève, m’attrape la main et m’entraine sur la couchette… et nous voilà en soixante-neuf.
Sucer et être sucé en simultané, en voilà un petit bonheur dont on ne saurait se lasser. Je suis en dessous d’elle, normal la galanterie voulant que l’homme n’écrase pas la femme de son poids, le souci c’est qu’elle se place mal, car au lieu d’avoir sa chatte au niveau de son visage, c’est son anus qui vient me narguer.
Et, idiot que je suis, je réalise, elle n’est pas du tout mal positionnée, elle le fait exprès, mademoiselle aime qu’on lui lèche le trou du cul ! Pas de problème, c’est une caresse que j’adore prodiguer. D’autant qu’il est charmant ce petit trou, délicieusement plissé et assombri. Et puis ce petit goût particulier… Bref je me régale.
Et je me régale d’autant plus qu’Indira est loin d’être inactive, non seulement elle me suce la bite avec avidité mais elle m’a enfoncé un doigt dans le cul et le fait aller et venir.
Je vais devenir complétement fou à ce régime !
– Attends, ne me fais pas jouir de suite ! L’implorais-je.
Elle se redresse, elle est dans un drôle d’état, quasiment extatique, les yeux hagards, les cheveux en fouillis.
– C’est mon léchage de cul qui t’a rendu comme ça ?
– Prends-moi, prend moi dans le cul, comme une chienne.
– On ne peut pas faire une petite pause ?
– C’est comme tu veux, je suis à ta disposition.
Je m’approche d’elle, tout près, je l’embrasse, un vrai baiser, un french-kiss tandis que ma main lui pelote les nichons. Au bout d’un moment j’abandonne sa bouche pour venir butiner ses gros tétons, j’adore faire ça !
Je ne débande pas, j’ai une trique d’enfer.
La main d’Indira s’approche de ma bite et commence à la branler. Elle ne va pas me faire jouir comme ça quand même ?
– Non…
– Pourquoi, je ne branle pas bien ?
– Si, mais…
– Mais quoi ?
– Tu ne préfères pas que je te prenne ?
– Hi, hi ! Je te l’ai proposé tout à l’heure, tu t’es défilé.
– Je ne me suis pas défié je voulais faire une pause.
– OK.
Et la voilà qui se couche sur le lit, sur le dos, puis qui balance ses jambes à la verticale.
– Encule-moi dans cette position, c’est mieux comme ça, on peut se regarder, non ?
C’est effectivement un point de vue !
Je pénètre d’un coup dans son intimité rectale, je m’applique afin de ne pas partir trop rapidement. Pas facile de se contrôler quand on est dans un état d’excitation tel que le mien.
Indira commence à emmètre des miaulements de plaisir accompagnés de propos assez peu compréhensibles.
Elle transpire, son visage rougit, j’accélère, elle râle comme une bête en rut, j’accélère encore et décharge dans son cul.
Je décule, Indira baisse ses jambes, je me précipite sur elle et la couvre de baiser. Je suis content, c’était bien.
A suivre
J’ai, il y a quelques années, rencontré une nana en boite qui se prénommait Indira, d’origine indienne. C’était juste un coup d’un soir, mais quel coup !, une vraie bombe !
Dans l’espace profond personne ne vous entend crier votre jouissance