Tant va le Temps… Tant va le Cul… 21 – Nestor et la soupe à l’Oignon… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… 21 – Nestor et la soupe à l’Oignon… par Verdon

Alors pour revenir à notre histoire où Nestor à fait connaissance avec ses voisins plus ou moins bi et homo, je lui propose qu’on se retrouve un de ces prochains week-ends, avec Finette, sa Chérie, et ses nouveaux amis, pour débattre sur la profondeur de nos trous du cul respectifs.

Le sujet est intéressant et aussi large que bien des trous du cul qui sont peut-être de genres différents mais finalement tous voués à des fonctions identiques tout au moins dans un sens, sachant que dans l’autre ils peuvent être soumis à des misères ou bien des faveurs qui dépendent de leur bonne volonté à se faire ou non, congratuler par de solides visiteurs.

Des trous donc, il y en a de toutes sortes.

Il y en a des petits ronds
Des fendus, des profonds.
J’en connais des tout rose
Qui aiment bien la chose,
Et des noirs, c’est heureux
Ouverts à de gros nœuds.
Il y a ceux qui baillent
Suite à grosse mitraille,
Joliment boudinés
Tant ils furent bananés.
Il y a en bonus
De jolies fleurs d’anus
Cachées sous des roustons
Qu’adore un vireton
Il y a le cul du tonton !
Ou celui du papa
Celui de la belle-mère
Un tantinet amer
Car très souvent cra-cra,
Et celui de la bru
Pas chiche pour son cul.
Des serrés, des cochons,
Des pisseux, des péteurs
Et des emboucanés,
J’en passe et des meilleurs
Qui vous chauffent le nez.
Au risque de se prendre
Une rouste très tendre…

Bon ! Restons-en là. On ne va pas commencer la journée à faire la tournée de tous les trous du cul du Monde… Mais je le redis, j’aime bien choisir. C’est vrai qu’avec Nestor, je ne risque rien, à commencer par le sien je sais qu’il s’y connaît en sommités rectales et que s’il m’appelle à l’aide c’est qu’il a quelque chose de bon à me présenter.

Alors allons-y gaiement. J’ai bien compris qu’il veut se payer la tapette pendant que je détourne l’attention du gros lard qui lui sert de mari et qui aime bien se faire chambouler la rosette en même temps.

Il m’a mis l’eau à la bouche, ce couillon…’un cul bien en chair’… humm ! Ça ne se néglige pas, bon sang… j’en bande déjà !….

Je vais donc nous arranger une petite soirée à passer dans un chalet en montagne, qui appartient à sa copine ‘Finette’ que je vous ai déjà présentée.

Cependant je ne vais pas passer ma nuit à m’user la pine sur le fendu du pépère. Moi il me faut autre chose. Si vous avez bien lu la liste du début, il me faut de la diversité. J’ai comme vous les gars… une pine qui renâcle, le trou de balle qui démange, la langue gourmande, quand elle n’est pas assoiffée. J’aime les nanas et leurs fesses en particulier… (vous avez remarqué !)

Ah ! Les soumises, les salopes et les bonnes ménagères…humm ! J’en ai déjà la pine qui tressaute !

Tout va pour le mieux.

Finette est venue avec moi. Norbert me l’a prêtée pour l’occasion. Il est brave ce garçon. Elle me donne un sacré coup de main et je ne suis pas avare de récompenses en retour.

– Use-la bien par le cul, qu’il me dit. Avec toi elle aime bien, alors encule-la pour moi, faut pas lui gâcher son plaisir et moi ça me flatte, d’autant que je l’aime bien moi aussi ta bite !
– Pas de soucis, je vais bien lui entretenir sa rosette à ta poule.

Ce n’est pas la première rencontre de ce genre que l’on fait ici. On a nos habitudes, nos amitiés et nos dépravations, et Finette elle est toujours au top. Mais c’est vrai, côté pile elle n’est jamais partante, ça fait râler Nestor qui a bien du mal à lui fourguer ses bijoux dans le petit tiroir. (Avec moi par contre ça marche toujours bien, elle m’adore… alors son p’tit cul… je ne vous dis pas !).

A l’extérieur, la neige tombe en abondance dans un silence impressionnant. A l’intérieur une bonne chaleur alimentée par un feu vif dans la cheminée, et l’éclairage vacillant de plusieurs lampes à pétrole, provoquent en l’instant une ambiance sereine particulière, propice au futur défoulement de nos esprits et de nos corps.

Sur le rebord de la cheminée reposent deux petites statuettes pas énigmatiques du tout quant aux différentes positions dans lesquelles on peut les assembler. Il s’agit bien sûr de deux personnages nus et rondouillards, prêts à s’enfiler dans tous les sens, suivant l’esprit plus ou moins tortueux de celui qui les tripote. J’adore,… rien de tel pour enflammer la libido de quelques bons convives, quand je leur dépose ces beaux objets dans les mains ! J’ai refilé un jour, la poterie grivoise dans les mains d’une niaise cousine de Nestor… du genre hautaine et distinguée…. Oh putain, elle en a pissé dans sa culotte ! Et le soir je l’ai retrouvée dans mon lit… (la cousine, pas la poterie !…).

Au mur j’ai accroché des dessins de ma composition, des nibars et des jolis culs qui ont bien voulu profiter de ma plume au sens propre comme au sens pas du tout figuré… je vous l’assure… Ah les bons encriers !

Dans un coin plus sombre, j’ai affiché la photo très agrandie d’une charmante écuyère nue, qui n’est pas, figurez-vous, sur son étalon, mais plutôt en dessous…Oh les vilains ! Mais que font-ils donc ?… (En tout cas rassurez-vous… je n’ai jamais reçu de faire-part de naissance…). Oups !

J’ai choisi la petite chambre d’en haut, pour y fixer sur un vieux mannequin, un joli godemichet en bois d’olivier. Fabrication maison et lissage avec les moyens du bord (vous vous en doutez…), un vrai piège à filles, elles y gobent toutes… et je ne parle pas de leurs mecs… ce ne sont pas les derniers à monter dans la chambrette !… et vous, chers lecteurs et lectrices, je vous vois venir, mais je ne vous dirai pas où ça se trouve !…Na !

– Finette ! Veux-tu pas toucher !… ce n’est pas encore le moment, la soirée n’a pas commencé… petite vicieuse impatiente ! (Non ! mais pas facile à tenir en laisse la garce !).……………

Pour peaufiner, on prépare la réception dans la grande salle qui fait à la fois cuisine, séjour et dortoir ou ‘baisodrôme’ (c’est selon). Sur une grande table en bois brut, trône un fameux jambon, cadeau d’une paysanne du coin. (mais non pas le sien !… celui de son cochon!… je vous vois venir… bande de petits saligauds !). Quoique de ce côté-là, la Bergère, elle en a à revendre du bon gras… nom de dieu ! Et je sais ce dont je parle. J’ai goûté aux deux…

– Alors quel est le meilleur ! Allez-vous me dire…
– Eh bien, là aussi, c’est selon les circonstances, vous pensez-bien !

J’ai ajouté quelques salades (pour essuyer le cul des saligauds), des fromages (parfum d’anus pour les plus finauds), et beaucoup de boissons… sans oublier quelques saucisses, on ne sait jamais… ça peut servir… il y en a pour tous les goûts… (…voyons ! J’ai bien écrit : ‘pour tous les G..oûts !).Je n’ai pas prévu de champagne, ni de coupes, sachant qu’on pourra se servir directement à la source de bonnes productrices, ou même emboucher de vigoureux goulots.

Peaux de bêtes sur le parquet, couvertures et coussins moelleux sur les banquettes… Dans un coin de la pièce, un lit immense et surélevé permettant des dispositions adéquates pour ceux qui aiment être à la hauteur de la situation face à quelques orifices un peu fainéants. Couchés sur le ventre ou sur le dos avec l’entre cuisse au grand air, c’est au plaisir de qui voudra… Tout a été pensé ! (Et puis, je vous avoue, on a fait un petit essai avec Finette…).

Un peu en retrait de l’entrée, il y a un vieux paletot accroché au mur. Sur d’autres patères, un soutif pend à la recherche de seins perdus… ainsi qu’une petite culotte marquée « je t’aime » au rouge à lèvres, là où justement on « aime »…sur une autre on peut lire : «Aglaé». Sur celle-là, une petite tâche brune sur le fond, en dit long sur les fréquentations du jardin parfumé de ladite Aglaé, avant qu’elle n’aille pendre son suave tissu sur ce perchoir ! Tiens et si je la faisais venir cette Aglaé !
Un décor… Un rêve … Le Paradis… Je m’approche du joli linge. Je palpe le soutien-gorge, je hume le cache sexe… La bonne odeur ! Eh Oui…c’est Éric qui l’avait sautée en dernier celle-là ! Je m’en souviens… Une invite à la débauche… le rappel de joyeuses parties… Tu devrais accrocher la tienne, que je lui dis à Finette…

– Je n’en ai pas…

Je vérifie… (juste du bout du doigt…).tiens il ressort café au lait…

– Mais petite cochonne ! tu n’as pas essuyé ton cul ce matin !…
– Bof…. ce n’est pas toi qui va-t’en plaindre… Voyou !

Voyez-vous, on savait recevoir de ce temps-là. Oh ce n’est pas qu’on en faisait plus… mais on y mettait du goût, on prenait son temps

Ah mais je bande déjà en attendant mes convives, je m’impatiente… bon dieu mais que foutent-ils ?

Enfin, j’entends frapper et la porte s’ouvre brusquement avant que j’intervienne. Les voilà tous les trois, ils entrent, couverts de neige et enveloppés dans des fourrures qui les font ressembler à des nounours sortis du bois voisin. Dès qu’il retire sa capuche je reconnais Nestor, mon pote qui s’ébroue vivement avant de retirer son manteau. Les deux autres en font autant, non sans un peu plus de retenue, le temps de se retrouver au chaud près du feu et bien à l’abri de la tempête.

Je m’avance vers eux et je les aide à se débarrasser de leurs encombrants vêtements.

Tandis que l’un se sépare facilement de ce qui l’entoure, ce doit être Jo, le mari, l’autre, plus petite, sa compagne sans doute, hésitante, semble quémander timidement un peu d’aide pour se mettre à l’aise, ce que je fais volontiers.

Alors, flatté, je découvre dessous ses volumineuses fourrures, une délicate personne vêtue légèrement d’un chemisier clair par-dessus une courte robe chasuble rouge. Des escarpins rouges et des bas noirs, soulignent ce bel assemblage ponctué par une coiffure blonde et abondante.

D’après son petit air emprunté et délicat et le mouvement de son arrière-train, je réalise assez vite devant qui je me trouve et jouant le jeu je l’enserre dans mes bras et après lui avoir déposé un baiser fripon sur les lèvres :

– Bonjour Mademoiselle soyez la bienvenue dans notre petit paradis ! Mais quel est votre doux prénom ?
– Jackie…me répond-elle, d’une petite voix grave,… pour vous servir !

Pas beaucoup de poitrine, un ventre plat et sous sa robe, des formes rebondies très féminines, je la serre encore plus fort, en laissant ma main gauche glisser sournoisement sur le bas de son dos, histoire de la tâter davantage afin de confirmer mes premières convictions. Mais elle se raidit la coquine, serre ses jambes et j’arrête là mes investigations. Je n’en saurai pas plus pour l’instant, ce qui n’a pour effet que de renforcer ma curiosité et mon excitation.

Après cette randonnée frileuse, un petit vin chaud va les enchanter et les réconforter, puis on passe aux présentations.

Nestor vous le connaissez déjà un peu… vous savez qu’il est bon vivant et qu’il a sa bite plus souvent dans un trou du cul que dans sa poche. D’ailleurs vous allez le découvrir davantage au fur et à mesure de nos exploits.

Des deux autres personnes, vous savez qui est le fameux époux que je dois me taper pendant que mon ami Nestor le cocufie avec Jackie qui m’a l’air bien primesautière et elle va vite se découvrir telle qu’elle (il) est. Elle est déjà en petite tenue. Mais elle bande la Jackie ! Et comme elle a scotché sa pine entre ses cuisses, son gros clito ne tenant plus, prend du large et nous apparaît insolent de bandaison, dans sa p’tite culotte blanche qui le laisse fuiter sur le côté. Un peu honteuse et déçue, elle quitte sa culotte. Elle est superbe et excitante notre « femâle » avec cette bite prétentieuse au-dessus d’une paire de jolies résilles noires.

Au point où elle en est, Jackie se débarrasse du reste de ses vêtements, gardant simplement ses chaussures à talons hauts, ses bas et sa perruque blonde, elle se présente nu, imberbe avec deux petits seins dont la légère enflure ajoute à la superbe indécence de son corps. Elle opère un demi-tour sur elle-même et confirme, tout de même ses belles qualités de tantouze en nous révélant un cul à faire damner un Pape !

C’est un cul bien dimensionné. Ferme, légèrement opulent. Sous la fesse, il s’ouvre un peu plus qu’un cul féminin, ce qui lui donne beaucoup de prétention et d’attirance. Des roustons dans le creux de ses fesses et ses bas qui remontent jusqu’en haut de ses cuisses, renforcent sa qualification, d’autant que sa grosse bite maintenant libérée se ramollit et se détend doucement entre ses cuisses, reprenant gentiment son beau rôle de pédé.

Devant un tel spectacle, Jo se lève. Il est fier de nous présenter sa tantouze.

– Regardez mes amis, comme elle est belle ma lopette ?

Il la prend par la main, la fait se tourner, lever les bras, lui titille les seins et écarter ses jambes pour montrer son joli phallus. Et pour compléter l’inventaire il lui fait ouvrir la bouche , montrer ses belles dents et tirer sa langue dont on devine de suite, la perversité.

– Baisse-toi ! montre leurs à mes amis ton joli cul, mon chou !

Elle s’exécute, sourit, tortille du cul, jette des œillades provoquantes à chaque invité. Elle s’entoure de ses deux bras au cou de son chéri, en se frottant contre lui.

Il lui écarte les fesses pour nous faire admirer son bel anus, et puis il la repousse, lui tapote le cul…

– Allez, va faire plaisir à nos invités !
– Sublime ! répond Nestor qui déjà nu, la saisit par les hanches en l’embrassant dans le cou, puis lui malaxe une fesse.

Consentante elle s’abandonne à ces faveurs.

Pour ma part c’est à mon tour d’être scotché (le visage …pas la bite !) par ce que je découvre. Je me lève pour rejoindre Nestor et partager avec lui l’autre fesse de notre invitée que je trouve bien agréable à caresser. Elle n’en est que plus fière et remue son cul comme une vraie salope. Je lui pince les fesses et les seins qu’elle n’a pas bien gros mais très réceptifs aux attouchements.

Jo vient nous rejoindre. Il lui présente sa queue qu’elle engloutit dans sa bouche et commence à le pomper tout en lui mettant un doigt dans le trou du cul. Il aime bien cela Jo.

Nestor s’est placé derrière Jackie et la colle au cul. Il bande Nestor, il est impatient de la pénétrer… Elle miaule, il lui pince les tétons.

Jo les deux mains sur le crâne de sa tantouze, lui enfonce son gros nœud jusqu’au fond du gosier. Derrière lui, je lui saisis les couilles qui sont comme de grosses prunes et je sens qu’il va bientôt se lâcher dans la bouche de la gourmande…

Ben oui, c’est fait il lui envoie toute la sauce. Oh oui c’est bon ! Elle avale tout. Elle s’étouffe tant il y en a. Jo retire sa pine. Ça dégorge de tous les côtés. Ça coule sur ses joues et sur sa poitrine. Nestor termine le travail en prenant entre ses lèvres le gland juteux qui libère les dernières gouttes d’un fameux nectar.

– Humm !…Tu m’as noyée !… Putain que c’était bon ! … c’est Jackie qui s’écrie ainsi tout en flattant de contentement la pine de son maître qui débande comme une lavette.

Comme entrée en matière, voilà un bon hors d’œuvre. C’est déjà un bon apéritif pour notre soumise et Nestor n’en a pas lui aussi laissé tomber une goutte.

J’allais m’occuper du cul de Jo qui pendant l’action m’avait fortement intéressé, mais voilà que Finette qui s’était tenue à l’écart pour terminer la cuisine, nous appelle pour nous mettre à table.

Elle est nue la Finette aussi. Et son petit cul qui tournoie autour de la table alors qu’elle fait le service, n’est pas sans rencontrer de nombreuses mains qui s’amourachent de ses formes.

– Ah tu as vraiment un joli cul que je lui dis en y fourrant mon index, alors qu’elle me sert la soupe à l’oignon…. (c’est un prêté pour un rendu… je parle d’oignon, hi, hi !).

On mange, on boit, on discute, on déconne… on est vraiment une bande de joyeux lurons qui ne pensent pas qu’à manger, à boire et à baiser, car côté cul, nibars, et bites, chacun a ses occupations et ses petits gestes préférés.

Bientôt Jackie se retrouve à quatre pattes sur la table et son cul autant que son phallus ont les faveurs de tous les invités. Je me suis agenouillé devant elle et je lui refile ma pine qu’elle embouche.

– Putain tu suces bien ! Humm va s’y c’est bon !…
– Oh qu’elle est bonne ta pine ! (d’autant que je l’avais trempée justement, dans la soupière !).

Et Nestor qu’est-ce qu’il fait pendant ce temps ?

Eh bien Nestor il a pris une saucisse et il la présente, le cochon, devant l’anus de l’affamée qui lui tend son cul impatiente ! (ben je vous l’avez-dit que ça pouvait servir ces petites choses…Hi, hi !). Je lui écarte les fesses pour faciliter le passage.

Ça entre bien. Il la ressort et il la suce… voyons c’est meilleur qu’à la sauce tartare ! Il a l’air de se régaler le cochon. Il la rentre de nouveau (il y prend goût, on dirait !).

Oups ! Elle se casse la saucisse. Bon dieu, il en reste un bout dans le trou. Il est désolé Nestor, mais pas de soucis, c’est Jo qui le remplace et il lui bouffe le trou de balle à sa vorace.

Putain un vrai hot-dog ce petit cul avec cette saucisse coincée entre ses deux fesses !… Hé les gars !… vous en avez déjà goûté des hot-dogs pareils ?

– Eh bien pousse salope ! Chie-la ta saucisse ! oui comme ça !… elle a bon goût, humm !

Elle pousse Jackie, le cul écarté et le ventre comprimé, elle pousse si fort que le petit bout délicieux fuse entre les dents de Jo, dans son palais…. hop ! et elle pousse encore.

– Oh ! Arrête ! ça suffit !… n’envoie pas la moutarde avec… Salope !

C’était pas prévu, mais elle pousse tellement qu’il y a quelque chose d’autre qui suit la saucisse et qui n’est pas du goût de Jo. Alors je ne vous dis pas la fessée qu’elle se reçoit l’égrillarde… et crottes de bique sur la table !

Voilà donc une soirée bien engagée. Chacun a droit à sa petite gâterie.

N’oublions pas que Nestor est venu pour se payer la tapette, moi c’est le mari que je reluque, et la Finette voudrait bien se faire gamahucher le minou par Jackie.

Donc on se retrouve tous sur le fameux grand lit.

Jackie déjà à quatre pattes et en train à grands coups de langue, de laminer la chatte de Finette, tandis que je m’active derrière le gros lard de Jo qui se branle le nœud.

Nestor et derrière Jackie. C’est un calme le Nestor, un goûteux. Il apprécie lentement les bonnes choses et en l’occurrence, il n’a pas l’intention de sauter comme une brute sur ce petit trou qui s’égaye devant lui.
Il commence par bien écarter les deux fesses pour estimer la fraîcheur, le moelleux, la souplesse du petit orifice. Il aime prendre son temps pour admirer le travail qu’il va faire. Il lui faut d’abord glisser son index dans l’anus, le pénétrer, estimer son élasticité.

C’est beau un trou du cul. C’est parfois rétif. Ça ne veut pas s’ouvrir. Il suffit de sucer son doigt et puis de pousser. Surprise, soudain le voilà qui s’entrouvre. Alors là il faut l’enfiler complétement. C’est le premier signe de soumission. Ne pas oublier de crocheter l’index tout en le faisant tournoyer dans le petit couloir, et c’est l’euphorie, la béatitude, l’anus qui se détend et le gars qui gémit…elle n’est pas belle, la vie ! (vous êtes tous passés par là…alors ne me dites pas qu’un doigt dans le cul c’est comme un doigt dans la bouche !).

C’est un connaisseur, en plantant sa langue pointue au plus profond de l’anus du prétendant, il sait à qui il a affaire. Rien de tel qu’une bonne langue pour découvrir l’état d’anxiété ou de quiétude du gars qui va se faire enculer. Suivant la chaleur du petit endroit, et selon qu’il serre ou qu’il évase sa rondelle, Nestor va l’enfiler avec douceur ou bien avec rage.

Il sait être très doux en général le Nestor, par contre devant un petit trou bénévole mais indocile il fait du rentre dedans, le sauvage ! Eh bien quoi ? Un coup… c’est oui, un coup… c’est non… alors… hop ! et ça y est… il l’a jusqu’au trognon le bon gars, et à sec… Alors bien sûr, ça pousse des cris de belette effarouchée… cris vite rattrapés par le ‘cri de l’enculé’ cri de bonheur que tout bon enculeur a la joie d’entendre. Ça lui procure la satisfaction d’avoir bien effectué son travail ! … la prochaine fois ça ira mieux…d’ailleurs, à voir maintenant comment il bouge son cul, le soumis, on est rassuré… on est tantouze ou on ne l’est pas…

Non, avec Jackie ça ne se passe pas comme ça. Elle est tendre Jackie. Elle sait ce qu’elle veut et d’ailleurs avec Jo elle a vite été au courant et si son petit trou est un peu fendu…

– C’est pour mieux t’aimer ma chérie, qu’il lui dit son mec ! (c’est beau l’amour !).

Aussi vous pensez bien que maintenant que le travail a été fait par Jo, Nestor a le plus grand plaisir à la sauter la tapette. Elle est facile, elle en veut, elle se soumet en remuant son popotin et en miaulant comme une chatte de gouttière, la coquine.

Il se la bourlingue dans tous les sens, et quand son gros nœud se détend un peu et s’échappe du bon tuyau, elle se retourne et elle l’embouche, le suce et lui redonne du panache pour remettre ça. Elle en a des moustaches brunes autour des lèvres, tant sa mousse dans son trou de balle.

– Salope ! Tu l’aime ma bite, hein !
– Ouiiii ! il a bon goût ton vireton…remet-le moi !
– Il a le goût de ton cul… ce bon goût de tantouze … et en la prenant par les épaules il se l’enfile encore plus, ras ses roustons.

Quand il a fini de se vider en elle, il ‘décule’ et fait signe à Jo…

– Tiens, je te la rends. Elle est bien bonne, il faut l’achever…

Ce dernier n’y va pas par quatre manières…

– Salope, traînée…tu donnes ton cul à tout le monde…tu vas voir qu’est-ce que je vais lui faire à ton cul !

Et il se la bouscule à son tour… qu’est-ce qu’elle se prend la gazelle ! J’ai plaisir à voir sous son ventre, sa grosse paire de couilles et son phallus en déroute, se trimballer en avant, en arrière comme des castagnettes.

– Oh Oui, c’est bon !… j’aime ton gros machin !

Mais il est fatigué le bonhomme. Il est épuisé, il a déjà donné et comme je vois qu’il a besoin de remontant et la croupe en bonne position, sans même lui demander, je me permets d’enfourner ma pine dans son trou béant.

Waouh ! Il est vachement surpris mais content. Il aime ça et comme il est bien rembourré, je le fous de bon cœur. C’est un doux plaisir que de sentir mon bas ventre s’enfouir dans la raie de son cul, entre ses grosses fesses. Malgré son embonpoint il a le trou assez serré ou du moins c’est lui qui resserre bien son anus autour de ma pine. Je sens que c’est un habitué qui sait maîtriser son sphincter pour gâter celui qui le sodomise.

Je me retire de son colon pour m’y représenter aussitôt. Sa rondelle s’ouvre comme une fleur, ou plutôt comme les lèvres d’une bonne suceuse.

Je rentre juste mon gland et puis je le retire et cela plusieurs fois de suite.

– Oh putain, c’est bon…oh oui recommence…tu fais ça si bien !

Ah il est heureux Jo ! Je l’enfile à fond et je recommence mezzo / mezzo sur son petit trou…la tête enfouie dans le matelas, il jubile…

A ce régime-là je finis bien sûr par lui foutre la dose…

-Oh c’est bon !

Maintenant ça coulisse mieux tout en faisant un sacré bruit d’égout et on copule ainsi pendant de bonnes minutes.

Quand finalement on se sépare, il appelle sa lopette et lui ordonne de lui laver le cul. Et elle y va la salope à grands coups de langue mais en faisant une sacrée grimace…

Mais c’est son rôle, elle s’y tient c’est normal… (ben oui, on l’a dit…c’est l’amour !)…de toute façon elle sait qu’elle va recevoir une bonne compensation sur ses fesses… (il a besoin de décompresser Jo !). Alors grimace ou pas quand on est salope, on est salope ! Aussi dans la foulée elle me fait aussi le ménage… c’est une chic fille !

La soirée est bien avancée maintenant, tout le monde est fatigué. Le feu dans la cheminée a besoin d’un peu de bois que rajoute Nestor pour faire une bonne flambée. Le froid se fait sentir et chacun se couvre un peu les épaules et le ventre et puis on s’installe autour de la table pour manger encore une fois une bonne soupe à l’oignon (on sait bien que l’oignon c’est bon !).

Soupe servie par Finette qui infatigable a veillé à la préparation comme une vraie mère de famille.

– Qu’elle est bonne ta soupe, lui dit tout le monde1
– Eh bien c’est que j’ai pissé dedans mes amis… n’est-ce pas qu’elle est bonne !

Ils se sont tous essuyés la bouche… (mais ils en ont tous repris !…).

Si vous avez bien suivi l’histoire, vous vous êtes aperçus, sans doute, que la Finette n’a pas pris son pied dans cette soirée !

Eh bien c’est que la Finette (je vous l’ai dit précédemment) elle n’est pas du tout ‘trou du cul’… elle n’aime pas la chose de ce côté-là, ni de l’autre côté d’ailleurs. Elle est plutôt gouine.

– Le petit trou, c’est pour faire caca qu’elle dit…

Et elle a raison, car elle en fait de jolies crottes. D’ailleurs, avec son beau petit cul elle ne peut faire que de jolies choses ! Mais ce n’est pas donné à tout le monde de voir l’artiste. à l’ouvrage elle est très pudique alors ce soir … c’est niet !

Humm… pourtant, devant l’ambiance et l’insistance de la compagnie, il semble qu’elle va fournir un petit effort. Dépasser la honte, ça a du bon … parfois.

Elle monte sur la table, et s’accroupit, On lui glisse une assiette blanche sous le postérieur et c’est le silence total… (Et oui, le cul c’est comme l’esprit…ça doit se concentrer !).

Alors elle vous pond un de ces colombins noir, luisant, épais et mou, tandis que d’un très astucieux mouvement du cul, elle vous le dépose en colimaçon, rond et pointu, comme une meringue sur un plateau de dessert, à faire pâlir le plus renommé des chefs pâtissiers de la planète.

Pour terminer et avec une désinvolture extraordinaire, elle clôture le joli tableau en lâchant un petit pet vicieux à l’accent du Midi accompagné d’une petit musique de chambre et de piquantes exhalaisons, dont je ne vous décrirai ni la tonalité, ni la fragrance…

Tout le monde applaudit. Elle se fait lécher le cul par chacun et file à ses affaires.

On ne sait pas ce qu’est devenue l’assiette. On a des doutes avec la soupière… (Mais cette fois- ci personne n’a songé à redemander de la soupe…).

Toute la troupe épuisée s’est finalement retrouvée en perdition sur le grand lit, les uns sur les autres et un silence pesant a recouvert la maisonnée perdue dans la campagne, enfouie sous la neige …

Sauf que dans la petite chambre en haut, si vous tendez l’oreille, vous entendrez des miaulements, des halètements, des bruits de copulation dirait-on !

Mais c’est la Finette et Jackie, bonté divine !

Elles se gamahuchent comme deux véritables gouines.

– Oh ma gentille lopette, tu fais cela comme une vraie gonzesse… que c’est bon ! Oui, tortille-moi le clito avec la pointe de ta langue… Oh que c’est bon, oui lèche-moi la pastille !

Alors savez-vous ce qu’il arrive à la gentille lopette ?

Eh bien c’est qu’elle se met à bander comme un homme la Jackie. Oui, moitié tapette, moitié gouine, elle bande la salope ! (c’est son droit…).

Du coup elle présente à Finette un super vireton à ramoner un tuyau de poêle non de dieu ! Il est raide, il est dur et le trou de Finette, ne fait pas un pli ! Direct façon cosaque, d’abord le con, après le cul… (On est dans les années après-guerre…vous le savez…).

Elle a crié la Finette. Elle a dit ‘Nonnn’ (comme toutes les nanas) et puis elle a dit ‘Ouiiii !’, même qu’elle a ajouté ‘c’est bon’ ! et puis ‘encore’…elle a oublié qu’elle était gouine, c’est sûr !

Les autres, ils se sont réveillés en sursaut… mais groggy et les couilles molles, ils se sont rendormis aussitôt…

Du coup la Jackie, elle lui a remis ça…

C’est qu’elle en redemande Finette !

Ben voilà, elle a repris goût à la bite, Finette !

Elle a viré sa cuti… (Ah, c’est Nestor qui va être content !).
…………………………………………..
Alors demain, parions que ça va être sa fête à Finette !

20/07/2023

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Tant va le Temps… Tant va le Cul… 21 – Nestor et la soupe à l’Oignon… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Décidemment j’adore cet auteur dont la décontraction dans la baise semble être le maître mot, ses récits alertes sont aussi efficaces que le Viagra et il n’y a pas de contre-indication.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *