Sophie au bureau 1 – Mes collègues par Lolanoir

Sophie au bureau
1 – Mes collegues
par Lolanoir

Chapitre 1

Vendredi 25 juillet. Tour administrative ADONIS SA.

17 h : je ramasse mes affaires, je prends mes clés de voiture et je dévale l’escalier de mon bureau, jetant un  » bonnes vacances  » à ceux de mes collègues que je croise.

J’arrive sur le parking, je bipe ma télécommande, ma voiture est à deux pas. Je vais ouvrir la porte conducteur quand une main se pose sur mon épaule. Je sursaute, Jean, mon maître de stage depuis trois mois, est là derrière moi. Il a la quarantaine brun, barbe de trois jours, 1,85 m, 80 kg, Je continue mon geste et m’assoie à ma place.

– Alors Sophie, tu pars sans me dire aurevoir ?
– Je te croyais déjà partie (je le fixe dans les yeux, il regarde mon 95 c qu’il sait sans soutien-gorge, et se délecte de mes jambes non couvertes par mon tailleur pied de poule)
– Une jeune fille comme toi devrait saluer son supérieur avant de quitter son travail, me dit-il en caressant mes cheveux ébène, puis effleurant ma joue du dos de la main il descend vers mon sein gauche qu’il saisit à pleine main.
– Jean, on pourrait nous voir et que dirait je gens ?
– De moi rien je m’en fiche, mon divorce est consommé, de toi que tu es une petite salope ou une petite pute de stagiaire qui n’hésite pas à coucher pour réussir.
– Et alors ? Ça ne te gêne pas trop d’en profiter à ce que je sache..

Sa main descend vers ma jupe qu’il relève

– Montre-moi ta chatte.

Il écarte ma culotte est admire le mince filet de sperme coulant d’entre mes cuisses qu’il a lui-même déposé en compagnie de son collègue lors d’une petite escapade aux toilettes plusieurs dizaines de minutes avant mon départ.

– Dis donc tu ne t’es pas lavée après, salope !

Je rougis

– Non, je le ferais à la maison en arrivant. D’autres questions ?
– N’oublie pas, sinon ton mec va s’inquiéter, tu en as aussi sur les seins ?
– Oui.

En même temps ces doigts pénètrent mon intimité.

– Tu es vraiment une bonne salope, Sophie

Et il me met ses doigts humides dans la bouche pour que je lui lèche. Ils sentent le sperme, la cyprine et l’urine mais je m’applique à les lui nettoyer, ce mélange de goût ne me gênant pas. Il me caresse une dernière fois les seins, je ferme la porte et démarre. Direction la maison et ensuite cap sur l’Atlantique pour deux semaines où je vais me reposer avec mon chéri.

J’arrive plein tambours dans le parking de mon appart et saute de ma mini, courant attraper le premier ascenseur pour mon étage, le 6ème.

Mes seins roulent sous mon chemisier effleurant le tissu, ce qui a pour effet de dresser mes tétons. Je suis excitée et ouvre la porte rapidement. Ma valise est prête sur la table, je pose le dossier que je tiens en main, j’ai envie de mon gode, furieusement je le cherche. Tiroir de la table de chevet je trouve l’objet de mes désirs. Je baisse ma petite culotte toute tachée et l’introduit dans mon puits d’amour sans ménagement. Comme ce matin l’objet me donne très vite un plaisir intense, mais je le préfère au fond de mes fesses. Bien logé entre mes cuisses mon compagnon à piles attend les mouvements de ma main pour accomplir son devoir, je retire ma jupe et regarde le jean posé sur le lit que je vais enfiler avant de partir.

La sonnerie de mon portable retenti et rompt le charme.

Je me revoyais en pleine scène de sexe en cet fin d’après-midi dans les toilettes de la société. Jean m’y avais suivie et à sa demande, je m’étais déshabillée devant lui. Il glissait mon soutien-gorge dans la poche de sa veste et je gardais ma culotte de coton blanc à la main. Jean assis sur la cuvette son sexe bien bandé me pénétra, écartant violemment mes lèvres. Les seins offerts, il me pilonnait, lorsque François un chef de service près de la retraite ouvrit la porte.

Il sorti son dard raide et le logea entre mes seins. Une poignée de minutes après, Jean éjaculait abondamment dans mon vagin et François couvrait mes seins de son sperme chaud. Soulagés et heureux les deux hommes quittent la petite pièce exiguë en sifflant.

Je pu enfin faire mon pipi, puisqu’à l’origine j’était venue pour ça, puis une fois terminé, je sentis comme une envie de caca. Je poussais et évacuais tout ça dans cuvette avec soulagement. Et là je constatais que le distributeur de papier était vide. Non seulement je ne peux pas m’essuyer le cul, mais je ne peux non plus enlever le sperme que les deux autres obsédés ont laissé sur mon corps.

Je remets mes vêtements sauf mon soutif que Jean a gardé et me dirige vers mon poste. En passant devant le bureau de la chef comptable je souris en me disant qu’avec son physique et son demi-siècle elle ne connaîtrait jamais de pareille situation avec ses collègues.

Je décroche donc, les fesses en feu la jupe à la main.

– Mlle Simon ?
– Oui
– C’est Jocelyne du service compta vous avez oublié votre chèque de frais
– Ah zut !
– Je suis en bas de chez vous je peux vous le poser si vous voulez
– Euh oui, pourquoi pas, mais ..; enfin oui, montez porte 603 au 6ème

Merde faut que je range mon jouet et remette ma jupe.

La sonnette retentit, la coincée est déjà là. Juste le temps de remonter ma fermeture éclair. J’ouvre la porte, elle me sourit et me tend une enveloppe.

– Tenez, petite tête de linotte
– Merci Madame ! dis-je
– Vous avez vraiment rien dans la tête, ma chère Sophie

Lorsqu’elle prononce ces mots je sens le sperme couler le long de mes cuisses et je repense à ma fin d’après midi

– Vous devez avoir d’autres compétences ? Me dit celle que je fais entrer sans en avoir envie.

Elle m’examine d’un coup d’œil de la tête au pied et entre sans un mot.

– Vous voulez boire quelque chose ?
– Avec plaisir.
– Thé café jus de fruit ?
– Un thé. dit-elle en s’installant sur une chaise de ma ridicule cuisine de 6 m²

Je fais chauffer pendant qu’elle me questionne sur mon stage. Lorsque je m’apprête à saisir la casserole d’eau je sens sa main toucher mes fesses

– C’est pas avec celui-là plutôt que tu as gagné ton stage, Sophie ?

Pour la première fois elle me tutoie. Je me retourne elle me fixe :

– N’importe quoi, Madame !
– Je sais tout Sophie même ce que tu as fait cet après-midi dans les toilettes avec Jean et François.

Je rougis mais cela m’amuse.

– Tu es une salope Sophie je t’ai ramené ce que tu as oublié dans la poche de Jean.

Ce salaud lui a donc tout raconté !

Jocelyne remonte ma jupe et touche ma fine toison. Je le sais pas trop pourquoi je me laisse faire sans broncher. Ses doigts en profitent pour écarter mes lèvres et me pénètrent sèchement

– Dit donc Sophie j’espère que ce ne sont pas les restes de tes insanités que je touche en ce moment.

J’écarte mes cuisses, maintenant Jocelyne m’excite. J’ai envie de ces grosses fesses et de son 100 E

– Salope, salope ! Rouspète-t-elle, c’est toujours les bimbos comme toi que préfèrent les beaux mecs ! Petite pute, je n’ai pas droit à leur nectar moi

Elle s’agenouille devant moi et m’écarte les cuisses pour me lécher. Sa langue est agile, ferme et experte, mon bouton se dresse rapidement et le feu de mes fesses s’apaise tandis qu’elle réveille celui de ma chatte. Elle enfonce deux doigts dans ma rosette qui s’écarte sans aucune résistance.

Je me penche en avant afin qu’elle me donne tout le plaisir que m’aurait donné mon gode. Subitement elle arrête, retire ses doigts, les regarde avec surprise puis les porte à sa bouche.

– Ça ne sent pas la savonnette dis donc ! Tu ne t’essuie jamais le cul quand tu vas aux toilettes ?
– Enfin !! Je vous en pose des questions moi ? Sous vos airs de comptable coincée, vous m’avez l’air d’une grosse morue !
– Ecoute Sophie je te sens pressée de partir et quand tu reviendras-tu passeras chez moi, on pourra s’amuser toutes les deux et tu verras.

Non mais elle est malade la vieille ! Elle croit que je baise avec les meufs comme ça !

– Complètement mytho !
– Enfin il y a deux minutes tu disais pas ça. Tiens voilà mon adresse et mon portable.

Elle me salue d’un baiser dans le cou et s’en va.

En se retournant sur le pas de porte elle me jette un :

– Tu vas voir chérie on va avoir plus de plaisir toutes les deux qu’avec tes deux cracheurs de foutre, bisous.

Elle claque la porte et disparaît, je reste scotchée.

A suivre.

Les deux chapitres de ce texte ont été rewrité par la rédaction du site

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Une réponse à Sophie au bureau 1 – Mes collègues par Lolanoir

  1. Werber dit :

    Ça fourmille de bonnes idées, mais ça va trop vite

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