Soif de toi par Frederique Wagner

Peux-t-on à quelqu’un « J’ai soif de toi » ? Je n’en sais rien mais c’est ce
que j’ai dit un jour à une amie que je connaissais depuis plus de 25 ans.

Imaginez la tête de la copine !

D’autant plus que tout cela se passait dans une laverie où Pascale et moi
suivions d’un oeil distrait (surtout elle d’ailleurs) la rotation de nos
machines respectives. Je m’appelle Frédérique, j’ai 38 ans, je suis
divorcée, maman d’une petite Claire de 8 ans. Assez grande (1,72 m), mince
(47Kg) pas trop mal (enfin, c’est ce que me disent mes copains de passage),
je suis rousse totale aux yeux très bleus, avec un visage qui a vu le soleil
à travers une passoire, comme me disait ma grand-mère. (Pour ceux qui ne
comprendraient pas j’ai plein de taches de rousseur !).

Je vis de petits boulots pas trop mal payés en relation avec les professions
artistiques qui vont de modèle pour peintres ou sculpteurs (pas de photos
merci), assistante de production au cinéma (et oui, j’ai aussi un diplôme de
l’IDHEC). Je n’ai donc pas de problèmes financiers majeurs autres que ceux
que tout un chacun a.

Ma copine Pascale, je l’ai connue au collège, nous avions treize ans et
étions inséparables. Après le bac nos chemins se sont séparés et nous nous
sommes retrouvées par hasard il y a quelques années, en vacances avec nos
maris et enfants au Club Med en Martinique. Depuis nous nous sommes revues
constamment, mon divorce n’a rien changé.

Pascale est une petite brunette, fine et menue, au visage délicat, elle me
fait penser à un petit lutin gracieux, le genre Björn en plus jolie. En elle
tout est menu, de petits seins parfaits, des jambes fuselées suivies de
petits pieds (elle chausse du 34 ! Tu parles d’un boulot pour lui trouver
des chaussures qui ne sortent pas du rayon enfant !), Une taille plus mince
que la retraite des vieux comme dirait Pierre Perret, un derrière d’enfant,
et le tout à l’avenant. Mais elle dégage un charme ambigu qui provoque un
désir de la protéger, de la prendre dans ses bras.

Ce jour-là, c’était en juillet dernier, il faisait une chaleur torride. Nous
étions toutes deux très légèrement vêtues, mois en pantalon de toile légère
et T-shirt, elle avec un short super short qui laissait apparaître son pli
fessier et la moulait comme une deuxième peau. On aurait dit qu’il était
peint sur elle, chaque détail de son anatomie ressortait nettement à tel
point que mon regard était attiré par son mignon derrière, et quand elle me
faisait face, par la fente de son sexe qui apparaissait avec précision. Pour
couronner le tout, elle portait un chemisier à manches courtes, noué
au-dessus du nombril, et elle ne portait pas, de toute évidence, de
soutien-gorge. Notre déplacement n’était pas passé inaperçu dans le quartier
et nous avions eu les regards courroucés ou jaloux des quelques femmes de
tous âges qui nous précédaient à la laverie.

Elle avait remarqué que mes yeux traînaient plus qu’il ne faut sur son
anatomie et avait du percevoir quelque chose dans mon oeil qui ne devait
plus être celui d’une copine.

J’avais eu quelques aventures féminines avant, pendant et surtout après mon
mariage, mais cela m’avait toujours paru être un pis-aller, une langue ou
des doigts ne valant pas, à mes yeux, un robuste sexe d’homme et tout ce qui
va avec…

Mais là je ressentais soudain une émotion inhabituelle, et c’est ainsi que
je lui déclarais tout à trac » J’ai soif de toi ! »

Plus ahurie qu’elle, y’avais pas !

Après quelques instants son visage passa de la surprise à l’interrogation,
« Soif ? De moi ? Qu’est-ce que tu veux dire par-là ? ». Je la regardais droit
dans les yeux :  » par-là, c’est précisément par-là que j’ai soif de toi. Tu
ne peux pas savoir l’effet que tu me fais, aujourd’hui, là, comme ça ! »

« Je m’en rends bien compte, cela fait même un moment de ça » ajouta-t-elle en
baissant les yeux vers en direction de mon entrejambe. Je m’aperçut alors
qu’une petite auréole d’humidité apparaissait sur mon pantalon qui passait
du bleu clair au bleu marine à cet endroit.

Elle ajouta en souriant « C’est bien la première fois qu’une femme me propose
la botte, car c’est bien à ça que tu penses ? » Ajouta-t-elle.

« Heu ? Ben… Ben oui, c’est bien à ça que je pense. Et toi ? Qu’en
penses-tu ? » Lui glissais-je à voix basse.

Nous étions seules depuis un moment dans la laverie, mais j’avais quand même
baissé la voix. « Mais tu ne m’as jamais draguée auparavant, depuis le temps
qu’on se connaît toutes les deux ! Depuis combien de temps penses-tu à moi
de cette manière ? ». Elle ne paraissait pas plus émue que ça, à ma grande
surprise et cela m’encouragea à aller plus loin.

Sans dire un mot je m’avançais vers elle. Elle ne recula pas et leva la tête
vers moi. Je la dominais de vingt bons centimètres et son petit visage aux
cheveux courts était celui d’un bel adolescent, ce qui me troubla encore un
peu plus.

« Depuis un moment, ce matin. Attends ! Ne dis rien ! ». Sans réfléchir je
l’entourais de mes bras, et me penchant, je déposais sur ses lèvres un doux
baiser.

Je laissais ma bouche sur sa bouche et je sentais son souffle sur mes
lèvres. Puis je sentis qu’elle me rendait mon baiser, avec la même douceur.

Puis sa bouche s’entrouvrit et sa langue se glissa dans ma bouche, cherchant
la mienne. Je lui rendis son baiser de plus en plus passionnément. Dieu
qu’une bouche de femme est douce, sans le râpeux des bouches d’homme. Dieu
que cette douceur est enivrante. Elle s’arrêta et reculant la tête, et me
dit : « Il y avait longtemps que j’avais envie d’essayer. »

Elle sourit et se pelotonna dans mes bras en se retournant. Elle dit :
« Allons, les machines sont finies, finissons-en. »

Nous rentrâmes en silence vers le parking, notre linge dans les panières.

Arrivée à la hauteur de sa voiture elle se retourna : « As-tu assez bu pour
ta soif ? Ou bien en veux-tu encore plus ? ». Elle avait un petit air coquin
que je ne lui connaissais pas. « Je meurs de soif, où et quand ? ». » J’en
reprendrais bien un peu » lui dis-je en souriant.  » Alors, chez moi, tout de
suite, suis-moi ! ».


Arrivées dans son appartement nous nous jetâmes dans les bras l’une de
l’autre, dans un long baiser passionné. Mes mains parcouraient son petit
corps délicat, caressant ses seins, ses fesses à peine recouvertes par son
short, et je sentait à travers le tissu une humidité qui commençait à
traverser le tissu entre ses cuisses.

Son mari était parti pour la journée et son fils était à l’école. Il était
10 h, cela nous laissait tout le temps nécessaire.

Elle me prit la main et me dit : « Viens ! » Et elle m’attira dans sa chambre.
Nos vêtements volèrent bien vite et je découvris enfin tout ce qui m’avait
été caché jusqu’à maintenant (bien peu de chose en vérité mais l’essentiel
pour moi).

Son sexe brun était peu velu et la pointe de ses seins, malgré une
naissance, était restée rose et mignonne. Elle me faisait penser à une
poupée Barbie brune à cheveux courts. Elle soutenait mon regard, tournant
sur elle-même pour que je n’en perde rien.

« Je te plais ? Tu aimes mes seins ? Et mes fesses, tu les aimes ? Et ma
touffe, elle te plaît ? ». J’étais tout à fait surprise de ce côté
exhibitionniste que je ne lui connaissais. Elle ajouta « Tiens, regardes, tu
auras bientôt plein de choses à boire ! » Elle posa le pied sur lit et
écartant le genou elle découvrit sa fente, bijou rose dans un écrin noir.

Elle était totalement impudique et adorablement désirable. Je le lui dis et
elle sourit de plaisir, gardant la pose, offerte.

Je m’approchais et m’agenouillais devant elle, le visage à la hauteur du
sexe, son humidité faisait briller ses poils et coulait un peu sur ses
cuisses. Une odeur un peu forte en sortait âcre et douce à la fois, avec
quelques relents d’urine qui m’excitèrent aussi. J’approchais ma bouche vers
ce sexe offert en fermant les yeux. Elle ordonna : « Non, je veux que tu
gardes les yeux ouverts et que tu me regardes dans les yeux. Je veux que tu
voies mon visage quand je vais jouir en toi. Je veux te voir me boire. »

Inutile de dire que mes doigts étaient dans mon sexe et que je me masturbais
comme une folle pendant que je buvais ma Pascale avec délectation et
ivresse.

« A moi maintenant ! « Dit-elle. Elle me releva et m’allongea sur le lit, le
fesses appuyées sur la bordure, mes pieds reposant par terre. Elle m’écarta
les jambes et plongea entre mes cuisses, les yeux dans mes yeux. « Jouis !
Jouis en moi ! « Dit-elle avec autorité. Ma petite et douce Pascale se
révélait être un petit mec, et j’acceptais avec avidité cette soumission
qu’elle m’imposait. Je n’en revenais pas, quelle découverte !

Elle me releva les jambes, les posa sur ses épaules et avança encore son
visage. Ses mains écartèrent mes fesses. « Ah ! Un vrai cul de rouquine, avec
ces petits poils roux autour, je vais le manger » ajouta-t-elle et sa langue
se promena sur mon anus, ses lèvres embrassèrent mon petit trou, le picorant
de baisers. Puis, je sentis sa langue en forcer l’entrée, ce qui me donna un
frisson que je ne pus maîtriser.

« Ah, tu aimes ça, attends, je vais t’en donner, du plaisir, puisque tu aimes
te faire enculer, je vais t’en donner, de l’enculage ».

Ma douce Pascale avec ce langage ? J’étais à la fois ravie et abasourdie.
Moi qui pensais l’avoir surprise en lui disant que j’avais soif d’elle !

Elle repoussa mes jambes, se leva et prit dans la table de nuit un objet que
je reconnus tout de suite, un godemiché avec une ceinture !

Une de mes amies de passage m’en avait fait essayer un il y avait quelques
années et j’avais trouvé cela intéressant, même si la copine en question ne
l’était pas beaucoup elle-même.

Entre-temps le petit lutin avait attaché la ceinture et était maintenant
muni d’une belle bite de plus de 20 cm et me regardait avec un air gourmand,
malicieux, innocent et pervers à la fois.

« Tournes-toi sur le ventre et remonte ton joli cul, que je vois bien ton
petit trou », me dit-elle. J’obtempérais sans mots dire. « Attends, on va
arranger quelque chose ! » Dit-elle et elle déplaça la porte de l’armoire. Le
miroir me renvoya mon image, le cul en l’air, ma main fourrageant mon sexe,
ma rondelle rousse telle une cible au centre de mon cul banc et rond, me
deux fesses bien écartées.

Elle se pencha et commença à me mouiller l’anus avec sa langue, regardant
dans la glace mon visage pour voir l’effet que cela me faisait. Je gémissais
de plaisir et je lui dis « Viens, encules-moi, mon petit homme, tu as un si
belle bite que mon cul n’en peux plus d’attendre. Pénètres-moi bien
profondément, laboures-moi. Je veux te sentir aller et venir entre mes
reins. Je veux te voir m’enculer ».

Elle n’attendait que ça et elle dirigea de la main le lourd sexe qui lui
pendait entre les cuisses et commença à forcer l’entrée de mon cul,
caressant de l’autre main ma chatte trempée. » Tu mouilles comme une folle,
hein ! ». Et elle commença un lent aller-retour dans mon anus, me lubrifiant
avec ma cyprine qu’elle prenait avec ses doigts dans ma vulve. Elle se
retira après que j’eus joui avec de violents spasmes.

« Tu sais, il y a longtemps que j’avais envie de toi, que ta peau de rousse
me faisait envie, que j’avais envie de ta chatte rousse, de sentir l’odeur
et le goût de ton sexe dans ma bouche. D’embrasser tes lèvres roses, autant
en haut qu’en bas, et surtout, de te manger le cul. Déjà à l’école, quand
nous étions au collège, j’en avais envie. Mais j’ignorais que tu aurais
voulu aussi. J’adore les filles et leur faire l’amour. Mon mari est un peu
mon alibi, mais je crois qu’il a de fortes tendances gay. Le godemiché,
c’est pour lui, il ne peut pas me faire l’amour sans que je l’encule avant.
Et ensuite il m’encule à son tour. Par devant c’est exceptionnel, il ne
jouit vraiment que dans mon cul. »

Vingt-cinq ans d’amitié et découvrir aujourd’hui nos attirances sexuelles
réciproques ! J’embrassais Pascale sur la bouche pour la faire taire, ma
bouche glissa vers chacun de ses seins, ma langue jouant sur ses mamelons
durcis, ma main droite sur son sexe, le médium caressant son clitoris, ma
main gauche sur ses fesses, l’autre médium entrant et sortant de son anus,
avec lenteur et force. Elle ferma les yeux et me demanda de continuer.
« Maintenant manges-moi le cul, encules-moi avec ta langue, comme une petite
queue. » Je lui obéis avec soumission et ses soupirs m’indiquait le plaisir
qu’elle prenait. « Mets-moi le gode dans le cul et viens me manger la chatte
maintenant. » Elle me donnait ainsi des instructions et je lui obéissais
aveuglement. Elle jouit ainsi plusieurs fois.

Le temps passant nous nous levâmes à regret. « Viens, allons prendre une
douche ! « Elle m’entraîna vers sa cabine de douche, d’une taille
inhabituelle, nous y tenions toutes les deux sans peine. « Mon mari a voulu
qu’on puisse se doucher et le reste- ensemble sans encombre !
« M’expliqua-t-elle.

L’eau ruisselait sur nos corps quand elle l’a coupa. « Assieds-toi par terre »
m’ordonna-t-elle. Je pensais qu’elle voulait prolonger la matinée par une
ultime caresse buccale et j’approchais mon visage de son sexe. De sa main
gauche elle arrêta mon visage à quelques centimètres de son sexe. Sa main
droite pinça les deux lèvres de sa chatte et je reçu en plein visage un
grand jet d’urine. « Ouvres-la bouche et bois, voilà pour ta soif ! ».
Surprise je fermais les yeux, puis, lui obéissant, j’ouvris docilement la
bouche. J’avalais un peu d’urine, qui me parut assez douce ; j’ouvris alors
les yeux, et posant ma bouche sur son sexe je finis de boire goulûment son
urine. Quelle découverte !

Je me levais, j’appuyais sur ses épaules et fis descendre son visage à la
hauteur de mon sexe, je lui baissais la tête, ouvris largement mes jambes et
forçais sa tête entre mes cuisses, le visage tourné vers mon entrejambe.

« Je vais te pisser sur la bouche, ouvre-la en grande que je t’inonde ! » Lui
dis-je.

A mon tour je me laissais aller sur elle, mon urine entrant et ressortant de
sa bouche, lui ruisselant, ruisseau doré, sur le corps, c’était superbe.

Nous nous quittâmes, heureuses et apaisées, et c’est depuis que nous vivons
ensemble notre passion, toujours aussi forte, toujours aussi douce.

Elle a quitté son mari et vis chez moi avec son fils que nous élevons
ensemble avec ma fille. Les enfants ont maintenant 16 ans et connaissent
notre passion qui ne les choque pas. Je crois qu’ils ont déjà fait l’amour
ensemble (j’ai trouvé des préservatifs utilisés dans la poubelle) mais nous
les laissons faire.

Seront-ils bisexuels comme nous, nous l’espérons pour eux, mais c’est à eux
de le découvrir, en attendant qu’ils prennent leur plaisir(et leurs
précautions), l’avenir n’est écrit nulle part.

Frédérique

Première publication sur Vassilia, le 16/12/2001

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2 réponses à Soif de toi par Frederique Wagner

  1. Darrigade dit :

    Dommage que les dialogues soient si peu naturels ! vous en connaissez des gens qui parlent comme ça, vous , surtout quand ils baisent ?

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