Professeur Martinov 20 – La vieille horloge – 14 – Les cochonnes de Vaumaison par Maud-Anne Amaro

Professeur Martinov 20 – La vieille horloge – 14 – Les cochonnes de Vaumaison par Maud-Anne Amaro

Vendredi 7 juin

Claire a téléphoné qu’elle arrivait, c’est Achille qui lui ouvre, Jeannette a la délicatesse de ne pas venir de suite afin qu’ils puissent échanger quelques mots en son absence :

– C’est quoi ce délire, t’aurais pu me prévenir ?
– Elle m’a un peu mis devant le fait accompli !
– Mais t’es d’accord ? Y’a pas de lézard ? S’inquiète un peu Claire.
– Ça ne me dérange pas, ça peut être amusant.
– Elle m’a laissé entendre qu’elle pourrait participer ?
– Oui, elle m’a dit ça aussi ! Tu sais, rien ne t’y oblige si t’es réticente…
– Je ne suis pas réticente, mais ça va être un peu plus cher.
– Tu penses à tout, toi, mais ce n’est pas un problème.

Achille tape alors dans ses mains, signe qu’attendait Jeannette pour intervenir. Ces deux dames se présentent et se bisoutent, on se boit un jus de fruit et on file dans la chambre.

– Je m’assois ici, faites comme si je n’étais pas là ! Leur indique Jeannette.

Claire est un peu gênée au début de se déshabiller devant la femme de son client mais finit par ranger sa pudeur au vestiaire. Une fois nue, elle va même jusqu’à adresser un sourire de connivence à Jeannette qui le lui rend. Elle fait signe ensuite à Achille d’aller directement sur le lit.

Claire a soudain envie de s’amuser et de voir jusqu’où la Jeannette peut aller.

Aussi s’approche-t-elle de la bite d’Achille afin de lui prodiguer une jolie turlutte, mais elle prend soin de le faire dans la position la plus obscène possible, en levrette, les fesses cambrées, les cuisses écartées et tous ses trésors dans le champ de mire de Jeannette.

Cette dernière n’est pas insensible à cette vision, il faut dire que sa petite séance de l’avant-veille avec Agnès et Stéphanie a remonté en surface ses tendances lesbiennes qui étaient restées enfouies pendant trente ans.

Ce petit cul rebondi, ce petit trou mignon… elle s’excite et ne sait comment gérer la situation. S’en approcher ? mais Claire n’appréciera pas forcement la caresse d’une femme ! Se palucher toute seule sur sa chaise pendant qu’ils s’envoient en l’air devant elle ? Elle n’osera jamais !

Bref Claire s’amuse comme une folle, Jeannette ne sait plus où elle en est… Mais Achille me direz-vous ? Ben il est gêné, doublement gêné, même. D’une part par la simple présence de sa femme, Achille n’est pas exhibitionniste, mais quand elle lui a fait cette demande insolite il n’a pas su lui refuser, ne serait-ce que par principe, comment refuser quelque chose à une femme qui lui a tant prouvé son amour pendant la période noire qu’il vient de subir ? Et puis il est aussi gêné de façon beaucoup plus triviale, les petites fantaisies annexes auxquelles il se livrait d’habitude avec Claire seraient déplacées ici devant la voyeuse.

Il a beau être gêné, l’Achille, il bande quand même, et pas qu’un peu ! Ce qui fait que Claire se trouve obligée de cesser sa fellation afin d’éviter une fin de séance prématurée.

Notre coquine se couche sur le dos, écarte ses cuisses et demande à l’Achille de venir lui butiner la chatoune. Une attraction qui n’a jamais vraiment beaucoup passionné notre retraité de l’enseignement, il a grand tort, mais que voulez-vous c’est comme ça ! D’autant que dans cette affaire, c’est lui le client, et qu’il devrait pouvoir dire ce qui lui plait bien et ce qui lui plait moins.

Mais bon, notre Achille fait contre mauvaise fortune bon cœur (même si l’expression dans ce contexte est peu appropriée) et se met à lécher le minou offert.

Il est bien tard, la nuit est tombée et à cet heure, l’odeur du gel-douche n’est plus qu’un souvenir. Et Achille se surprend à retrouver une saveur qui ne lui avait pas déplu, bien au contraire.

En fait la coquine s’est volontairement pissé quelques gouttes sur elle afin d’en imprégner sa chatte.

– Brave fille ! Se dit Achille !

Du coup, il la lèche passionnément, la situation devenant carrément perverse puisqu’il se régale de l’urine de sa partenaire devant sa femme qui joue les voyeuses sans savoir ce qu’il fait exactement !

Et il la lécha tant et si bien que la jolie blonde explosa. Orgasme simulé ? Achille ne chercha pas à savoir.

Claire demanda à Achille de se remettre sur le dos et décida de le chevaucher dans la position d’Andromaque.

On sait que cette position fut décrite par le poète latin Martial quand il racontait comment Miss Andromaque faisait l’amour avec Hector, tandis que les esclaves cachés derrière le paravent se masturbait à tour de bras en les regardant.

Ici ce ne sont point des esclaves qui matent, mais Jeannette… et elle n’en peut mais et reste tétanisé

Alors quand Claire, après s’être empalée sur la bite d’Achille commence sa série de pistonnage, Jeannette se lève de sa chaise, et s’approche du couple, « pour mieux voir » tient-elle à préciser.

– Tu peux te déshabiller et venir sur le lit ! Lui suggère Claire qui devient facilement familière.

Fallait pas lui dire ça à la Jeannette, elle se dit alors que puisque ça s’est bien passé l’autre jour avec Agnès et Stéphanie, pourquoi en serait-il autrement avec Claire !

A moins que cette dernière n’aime pas les femmes, mais le fait de lui avoir suggérer de venir de plus près n’est-il pas bon signe ? Se dit-elle.

Elle se déshabille, rapido-presto et vient s’installer à côté des deux amants. Timidement, elle tend une main vers le cul de Claire, oh, juste une timide caresse, mais comme l’autre ne proteste pas, elle s’attarde un peu.

– C’est doux, hein ? La nargue Claire.
– Euh !
– Tu peux continuer, j’adore qu’on me tripote les fesses.

Alors Jeannette continue, timidement très timidement, elle lui tripoterait bien les seins mais en ce moment la chose est assez peu pratique.

Claire sent son partenaire proche de la jouissance, cela n’aurait pas été le cas, elle lui aurait sans doute proposé de terminer par une petite sodo, mais là ce n’est pas la peine, notre homme éclate son plaisir dans un râle !

Claire se désarçonne et avec précaution, retire la capote juteuse de la bite d’Achille, un petit kleenex pour nettoyer tout ça, et le tour est joué. Mademoiselle assure même le service après-vente !

Jeannette s’est couchée attendant qu’éventuellement Claire lui propose quelque chose et en oubliant qu’après tout c’est elle la cliente.

Mais Claire à l’esprit commerçant, et elle interpelle son ainée :

– Toi, ma grande, tu voudrais que je te lèche ou je me trompe ?
– Oh ! oui !

Claire plonge dans cette chatte offerte, il y a bien longtemps qu’elle n’a pas léché une femme. A Lyon, elle fréquentait une bande de jeunes oisifs se nourrissant de marginalité, ça buvait, ça fumait et pas seulement des cigarettes, ça partouzait aussi pas mal et ça se mélangeait sans trop de distinction de sexe. Bref une vie de bohème, elle était un peu l’égérie de la bande. Et puis un jour l’un de ses joyeux drilles fit une grosse connerie, mais vraiment la grosse connerie. Elle aurait pu être accusée de complicité ou de non-dénonciation de malfaiteur… Alors elle monta en Ile-de-France, et comme les cafés et restaurants sont encore un milieu où on arrive à trouver du boulot… fin de la digression.

Claire ne fut pas bien longue à faire jouir Madame Després, et quand celle-ci lui proposa d’inverser les rôles, la petite serveuse blonde accepta volontiers et cette fois ci, elle jouit pour de vrai sous la bonne langue de cette surprenante Jeannette.

La nuit tombe sur Vaumaison, une belle nuit éclairée d’une magnifique pleine lune, Claire est rentrée chez elle, les époux Després ronflent comme des bienheureuse, Agnès et Stéphanie se sont endormis dans les bras l’un de l’autre. Tout va bien, tout est calme.

Samedi 8 juin

Sauf que le lendemain, les choses se gâtèrent.

– T’as touché à l’ordi ? Demande Jeannette à son mari.
– Pas du tout !
– Tu sais les photos d’orchidées que m’avait envoyé Lulu, je ne les retrouve plus.
– Sont peut-être dans la corbeille ! Répondit Achille qui s’en fichait pas mal.
– Non, j’ai regardé !

Une demi-heure passa et Jeannette toute pimpante annonça à son époux !

– J’ai téléchargé un machin sur Internet, ça récupère les photos effacées, c’est génial, j’ai tout retrouvé… Mais Achille, qu’est-ce qu’il t’arrive, t’es tout pâle, je vais te chercher un sucre et de l’eau.

Après avoir avalé tout ça, Achille Després parvint à balbutier.

– Ça veut dire que si l’enquête était relancée…
– Mais pourquoi voudrait-tu qu’elle soit relancée ?
– On ne sait jamais ! Imagine qu’un expert aille fouiller dans l’ordi de ces deux salopes… et je suis bon pour la Cour d’Assise !
– D’abord ce ne sont pas des salopes !
– Bon alors d’accord ce ne sont peut-être pas des salopes, n’empêche qu’elles ont chez eux une épée de Damoclès, et que ça ne va pas du tout !
– Bon il y a une chance sur mille pour que l’affaire ressurgisse…
– Non, ces filles sont vénales, elles sont pour l’instant pleines de bonnes résolutions mais si un jour elles sont dans la mouise et qu’elles apprennent qu’on peut récupérer les photos, elles nous feront chanter. S’agace Achille.
– Tu deviens parano, mon pauvre vieux ! Ecoute, je t’ai sortie d’une merde pas possible, alors tu vas me faire le plaisir de te calmer, moi j’ai confiance en ces filles et le dossier du meurtre de Torre est clos. Tu comprends ça, toi : « clos ! ». Alors tu te calmes, tu prends une tisane et je ne veux plus que tu me parles de cette affaire. O.K.
– O.K. ma chérie, c’est promis je ne t’en parle plus !

Mais ce n’est pas pour cela qu’il n’y pensait plus et après un week-end à s’angoisser, il prit le chemin de Louveciennes…

Lundi 10 juin

– Encore vous ! S’étonna Béatrice en ouvrant la porte. Si c’est pour nous reparler de votre affaire pourrie, ce n’est même pas la peine d’essayer.
– Cinq minutes, juste cinq minutes, pas une de plus et après je m’en vais, vous ne pouvez pas me refuser cinq minutes.
– Martinov, c’est Achille Després, il veut nous parles cinq minutes.
– Fous le à la porte !
– Vous avez entendu ! Adieu, monsieur, inutile de revenir !
– D’accord, vous étiez mon seul espoir, maintenant, je suis un homme fini.

Ce quasi-chantage au suicide ne fonctionne pas, mais Béatrice se demande ce qui peut bien mettre le bonhomme dans un état pareil alors que tout semblait arrangé. Alors quand la curiosité féminine s’en mêle…

– Trois minutes ! pas plus !
– Là ? Sur le pas de la porte ?
– Oui, dépêchez-vous.

Alors il s’expliqua. Béatrice eut envie de lui dire que le risque était infinitésimal, mais il était évident que ce n’est pas le genre de discours qu’Achille souhaitait entendre. Alors il lui vint une idée…

– Attendez-moi , je m’habille et je vous retrouve dehors.
– Mais…

Béatrice prévient Martinov qu’elle s’absente un moment, puis rejoint Després.

– On peut parler où ?
– Dans ma voiture !
– Non ! Répond Béatrice qui n’a aucune envie de monter dans la voiture d’un assassin.

Ils allèrent donc au bistrot dans un coin tranquille.

– Bon, j’ai une idée, ça devrait marcher, mais il me faut 2000 balles.
– Tout de suite ?
– Non, mais sans l’argent je ne peux rien faire.
– Je n’ai pas de liquide !
– Faites-moi un chèque !
– Ça laisse des traces !
– Bon vous arrêtez la parano, sinon, je laisse tomber !
– Vous allez me faire six chèques de 300 euros, un que j’encaisserai de suite, un autre pour dans 15 jours, un autre pour dans un mois et ainsi de suite…
– Ça fait 1 800 !
– Vous comptez bien, complétez en liquide s’il vous plait
– Je dois n’avoir que 100 euros sur moi.
– On fera avec !
– Les chèques je mets quel ordre ?
– Moi Béatrice Clerc-Fontaine, si on vous demande des comptes vous direz que je suis une pute occasionnelle, ces sont les tarifs pour une heure…
– C’est quoi votre plan ?
– Je vous le dirais quand il aura fonctionné. Je vous laisse payer la conso, faut que j’y aille. On se retrouve ici même à 10 heures vendredi, garez votre voiture devant la maison de Martinov. Et Amenez-moi des fleurs !
– Des fleurs ?
– Oui ça se fait d’apporter des fleurs à sa maîtresse, et comme on va vous voir, ces piliers de bistrot pourront confirmer qu’on fait de ces choses tous les deux, je ne vous en parle même pas !

Ensuite tout alla très vite, Béatrice téléphona à Agnès.

– Salut ! Dis voir, je passe à Vaumaison demain, tu seras là ? Je t’aurais bien fait un bisou vite fait !
– Ça dépend, dis-nous quelle heure ?
– Je sais pas moi, 11 heures ?
– Passe à la maison, on va te donner l’adresse.

Et sur ce Béatrice s’en alla à la FNAC du coin acheter un ordinateur portable à 1 000 euros

Mardi 11 juin

Béatrice a pris sa journée et s’est habillée un peu sexy. A 11 heures elle sonne chez les deux filoutes. Bisous, bisous

– Salut les filles, vous êtes de plus en plus mignonnes !
– Toi aussi
– Dites voir, ça vous intéresse un ordi ? Je devais en refourguer un à Saint Germain, mais la personne m’a fait faux bond, C’est un produit tombé du camion comme on dit, c’est neuf emballage d’origine, ça en vaut 1 000, je vous le laisse à 500, facilité de paiements si ça vous arrange ?

Les deux nanas se regardent, semblent intéressées,

– Le nôtre est en fin de vie, le disque dur doit être endommagé, il a des trucs qu’on n’a pas retrouvé, rien d’important heureusement.
– Alors d’accord ?
– Mais il va falloir qu’on transfère nos fichiers, tout ça !
– Je peux vous le faire, je connais bien la procédure, et après on prendra l’apéro.

L’affaire fut rondement menée, et Béatrice expliquant qu’elle passait devant une décharge se proposa même d’y jeter l’ancien.

Pendant toute l’opération, Roxy, le chien de Stéphanie, curieux comme un pot de chambre venait se frotter contre les cuisses de Béatrice, Les deux filoutes le rappelait aussitôt à l’ordre, il se calmait quelques minutes puis recommençait.

– On est désolé pour le chien, il est collant parfois.
– C’est pas grave, il est mignon !
– Le souci, c’est que si parfois t’avais eu envie d’un câlin…
– Non, vous êtes mignonnes…
– On te fera rien payer, on a déj a eu un ordi à moitié prix.
– Je sens que je vais me faire avoir !
– On va enfermer le chien dans la cuisine !
– Pauvre bête !
– Sinon,, il est capable de faire des choses libidineuses !
– Parce qu’il en fait souvent des choses libidineuses ?
– Ça lui arrive, mais on gère ! Tu sais on est un peu givrées parfois !
– Vous voulez dire que vous faites des choses avec le chien ?
– Un petit peu, quoi ?
– J’aimerais bien… non rien !

Béatrice se remémore alors quelques expériences canines qui l’ont plus émoustillées que traumatisées. (voir les épisodes 8, 15 et 17)

– Tu voudrais voir ! Demande Agnès ?
– Pourquoi pas ?
– Tu vas voir, c’est rigolo

Agnès retire son pantalon et sa culotte, s’assoit dans un fauteuil, se tripote la chatte, puis attire le chien. Ce dernier fait comme s’il n’attendait que ça et vient lécher la cramouille de la petite rousse.

– Et en plus il fait ça bien ! commente-t-elle
– Tu veux essayer ? Propose Stéphanie.

Béatrice complètement partie, se défait à son tour et offre sa chatte à lécher au gentil labrador. Déjà elle pense à la suite :

« Est-ce qu’elles lui sucent la bite ? »

– Il a un gros zizi ! Lance-t-elle !
– Ça te dirait ?
– De quoi ?
– De lui tripoter !
– Vous le faites, vous ?
– Oui, tu veux qu’on le suce devant toi ?
– Allez, soyons folles !

Le toutou se laisse mettre sur le côté sans rien dire, Agnès s’est emparé sa bite et la lui lèche, invitant Béatrice à l’imiter. Elle a déjà fait ce genre de choses, mais ce n’est pas non plus dans ces habitudes, elle hésite donc quelques secondes, mais juste quelques secondes car l’envie est trop forte.

« Ça y est ! Se dit-elle ! J’ai la bite du chien dans la bouche ! Je suis vraiment une grosse salope ! Non pas grosse ! Juste salope ! Mais bon, je ne fais de mal à personne et pas même au chien qui reste placide, arrêtons de culpabiliser pour rien ! »

Et bien sûr, viens l’inévitable proposition :

– Tu veux qu’il te prenne ?
– Je ne sais pas si je le veux, mais je veux bien essayer. Euh, il n’y a aucun risque ?
– Non, les chiens n’ont pas le Sida ! On va juste lui enfiler des chaussettes pour ne pas qu’il te griffe. Euh, si tu te mettais à poil ?
– Pourquoi, le chien, il préfère ?
– Non, c’est nous qui préférons, t’es trop mignonne à poil !
– Vous aussi, alors ?
– Bien sûr ! Allez, mets-toi en levrette ma poulette !

Béatrice obtempère, un peu d’appréhension sans doute, mais elle veut vivre cette expérience.

Le souci, c’est que le clébard, allez donc savoir pourquoi, ne veut pas sauter Béatrice… du moins pas pour le moment.

– Ne bouge pas, on va arranger ça ! Dit Agnès, qui prélève de la mouille qui lui coule entre ses cuisses pour la déposer sur les intimités de la jeune chimiste..

– Allez Roxy, allez !

Mais le toutou interprète l’ordre de travers et vient lécher tout ça, c’est certes plutôt agréable mais ce n’était pas le but de l’opération.

– Remue ton cul et appelle-le, ça va le faire ! Suggère Stéphanie.
– Viens le chien, viens Roxy, viens me baiser !

Miracle, ça marche, le chien s’élance, excité comme un fou, et pénètre dans l’anus bien lubrifié de Béatrice.

– Oh, doucement, le chien, je suis fragile !

Comment voudriez-vous qu’il comprenne, il pilonne en haletant bruyamment, et ça dure et ça dure. Et si au début Béatrice n’était excitée que par l’insolite de la situation, elle a tôt fait des ressentir des ondes de plaisir. Son amant à pattes semble infatigable.

Elle a joui trois fois, peut-être quatre, allez savoir, et puis sans crier gare, le chien se décolle, et quitte la pièce, sans doute pour aller roupiller dans un coin.

Béatrice est épuisée.

– A boire les filles !
– Tu veux ma pisse ? Lui propose Agnès.
– Non, enfin, si ! Donne-moi quelque chose de frais, et après d’accord je boirais ta pisse !

Béatrice but son jus d’orange d’un trait puis s’assis sur le sol, tête en arrière et bouche ouverte tandis qu’Agnès vint se placer près d’elle de façon à ce qu’elle puisse lui uriner dessus..

Quand elle eut fini, Stéphanie, vint prendre le relais, puis approcha sa chatte de sa bouche afin que Béa puisse la lécher. En même temps Agnès attaquait de sa langue les intimités de la jeune chimiste encore imprégnées du liquide du chien. Complètement déchainée, elle lui enfonçait les doigts dans le cul et les ressortaient pour en lécher les secrétions anales avec gourmandise.

Ce triangle infernal aux variations multiples perdura jusqu’à l’épuisement.

– Et ben ! Quelle séance ! Conclut Béatrice, maintenant, j’ai besoin d’une bonne douche.
– On vient avec toi, on va te savonner !
– Mais vous êtes insatiables !
– Comme tu dis !

Elles étaient sur le point de se quitter.

– Si t’as d’autres occasions comme ça, pense à nous, il va bientôt falloir qu’on change de téléphone.

Tilt

« Ce con de Després n’est pas au courant qu’on peut aussi récupérer des photos effacées sur un téléphone ! »

– Je sais pas trop, mais je peux me renseigner, faites voir ce que vous avez comme téléphone.

Grâce à petit tripotage anodin, Béatrice se rend compte que les nanas prennent beaucoup de photos y compris récemment et que l’espace ne va pas tarder à être saturé. Une récupération s’avère donc hasardeuse avec les moyens classiques, le risque est donc extrêmement limité.

La jeune chimiste fait alors semblant de téléphoner.

– Non, mon copain n’a pas de téléphones en stock, c’est un peu compliqué les téléphones parce que les opérateurs, ils demandent des papiers tout ça..
– On demandait ça comme ça !
– Cela dit vous devriez les changer vos téléphones, vous allez manquer de place, ils en font des super maintenant…

Et le vieil ordinateur des filles sous le bras, Béatrice quitta Vaumaison, un arrêt à la décharge et l’opération était terminée : Bénéfice net : 1 400 euros en ne faisant quasiment rien !

Vendredi 14 juin

Béatrice a laissé poirauter Després avec ses fleurs dix minutes, histoire qu’il se fasse bien remarquer, elle arrive l’embrasse sur les lèvres, commande un café.

– J’ai changé l’ordinateur des filles, et elles ont acheté des téléphones neufs, le vieux matériel est à la poubelle. Affaire terminée, on va sortir ensemble bras dessus, bras dessous jusqu’à votre voiture, on va faire semblant de s’embrasser. Et après je veux plus jamais vous voir ! Jamais ! Vous avez compris, ça ! Jamais !

Petit mensonge pour les téléphones portables, mais il ne le saura jamais… en principe

Epilogue

Et le professeur Martinov ? Allez-vous me demander ? Rassurez-vous nous le retrouverons bientôt lui et Béatrice dans une nouvelle aventure qui sera je l’espère palpitante et excitante !

FIN

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

10 réponses à Professeur Martinov 20 – La vieille horloge – 14 – Les cochonnes de Vaumaison par Maud-Anne Amaro

  1. Sacha dit :

    Fallait oser… Bravo !

  2. Honorine dit :

    Et en plus il y a un chien ! Imaginez mon émoi !

  3. Voisin dit :

    Grandiose ! Le coup du chien m’a mis dans un état

  4. Muller dit :

    Mais om s’arrêtera Maud-Anne dans ces délicieux délires ?

  5. Darrigade dit :

    J’adore ce chapitre ! Ah, si les gens étaient comme ça dans la vraie vie !

  6. Baruchel dit :

    Que dire sinon que cette nouvelle histoire du professeur Martinov et de son assistante délurée nous a ravie une foils de plus

  7. Lucia dit :

    Une velle hsitoirre qui se termine en fanfare, candaulisme à l’envers avec prostitution occasionnelle et zoophilie ! Et tout cela avec une belle plume décontractée. Brovo Maud-Anne

  8. Forestier dit :

    J’ai lu tous les épisodes de cette histoire, c’est comme d’habitude très plaisant et très excitant à lire. Ce qui me gène c’est l’intrigue. Un mec a quand même commis un meurtre prémédité uniquement pas haine… et on fait tout pour qu’il s’en sorte !

    • Maud Anne Amaro dit :

      Ben oui, c’est la vie, les choses ne sont jamais toute blanches ni toute noires, personne n’est parfait, cela dit je conçois que ça puisse gêner. On serait dans les films américains au temps du Code Hayes, Achille se serait suicidé, mais on peut peut-être dépasser ça !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *