La croupe par Verdon

La croupe par Verdon

La croupe

Tant aimait les caresses
Ma très jolie maîtresse
Que je l’ai renversée
A fin de la trousser.

Elle était toute nue
Et m’offrait son joufflu
Où brillait tout au fond
De sa croupe fendue
Un tout petit bourgeon
Et voulait que j’y pose
Une feuille de rose.


J’ai goûté sur mes lèvres
La chaleur de sa fièvre
Et ma bouche a osé
Sur ses bords, déposer
De si tendres baisers
Que la Belle a crié
Et son ventre a versé
Des larmes de rosée.

J’ai lapé des rivages
Au goût de fleurs sauvages
Et j’ai senti vibrer
Son p’tit bouton marbré
Qui sensible aux tendresses
M’a fait la politesse
D’ouvrir à mes prières,
Sa fine boutonnière.

Oh ! Tant j’ai bichonné
Son p’tit trou boudiné
Que langue fourvoyée
Dans son anneau douillet,
La Dame s’est pâmée
Et sa croupe affamée
A voulu sans attendre
Que je vienne la prendre.

(22/09/1997)

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2 réponses à La croupe par Verdon

  1. Biquet dit :

    Baisse ta gaine Gretchen que je baise ta croupe

  2. Harivel dit :

    Emoustillante évocation

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