Marisa à l’hôtel – 1 – Chambre 215 par Sylvain_Zerberg

Marisa à l’hôtel – 1 – chambre 215 par Sylvain_Zerberg

Bonjour, je m’appelle Bertrand mon histoire s’est déroulée il y a 20 ans au début de l’automne, j’étais invité à une conférence sur le futur à Genève. J’ai été convié à cette manifestation car je travaille en particulier sur les projets d’applications qui changeront notre vie dans le futur. C’est une chance pour moi de rencontrer les meilleurs spécialistes alors que je n’ai que 25 ans. Tous les invités logeaient dans des chambres d’un grand hôtel très luxueux de Genève.

Sauf qu’à la suite d’un cafouillage dans les réservations, il n’avait pas assez de chambres pour tout le monde et qu’on me prévint donc que je devrais partager la mienne. Je ferais avec.

Lundi soir

Lorsque j’arrivai le soir à l’hôtel je passai à la réception prendre ma carte magnétique, puis montais par l’ascenseur jusqu’au 15e étage. Arrivé devant la porte de la chambre 215, j’introduis la carte dans la serrure, et à peine l’ai-je enfoncée que la porte s’ouvre, c’est donc la personne qui s’est vu attribuer la même chambre que je découvre en face de moi. J’ai l’heureuse surprise de constater qu’il s’agit d’une magnifique femme brune d’environ 35 ans.

– Monsieur, j’ai l’impression que vous vous trompez de chambre !
– Euh, on m’a donné la 215 !
– Mais ils sont complétement fous dans cet hôtel, ils m’avaient assuré que j’y serais seule. Je n’ai rien contre vous, mais je n’ai pas envie de partager ma chambre avec un homme que je ne connais pas, je vais descendre réclamer, ils vont m’entendre.

Je vais pour descendre avec elle mais elle m’en dissuade. Un quart d’heure après elle n’est pas revenue et je suis là à attendre avec ma valise à mes pieds.

Madame finit par remonter :

– Pas moyen de trouver un responsable, ça m’énerve.

Elle prend le téléphone, elle crie, elle hurle, je me demande si elle ne va pas casser quelque chose.

– Vous n’êtes pas responsable, je commence à le savoir ! Vocifère-t-elle dans l’appareil. Ça fait dix fois que vous me le dites, qu’est-ce que vous attendez pour aller me le chercher le responsable… je m’en fous qu’il soit en réunion… c’est ça on va me rappeler, je connais la chanson… Vous êtes un incapable, monsieur, un incapable et un connard !

Elle raccroche, furibarde, s’affale dans un fauteur, me regarde bizarrement.

– Ben vous faites quoi, vous ? Vous n’allez pas rester là !
– Je vous fais juste remarquer que je ne suis pas responsable de ce problème, on m’a donné la 215, la 215 c’est ici et je vais donc m’y installer ! Répondis-je fermement (mais calmement).
– Vous êtes célibataire ?

Qu’est-ce que ça peut bien lui faire ? Mais je lui réponds qu’oui. Elle semble réfléchir puis au bout d’un moment m’annonce comme de guerre lasse :

– Bon, je crois qu’on va être obligé de cohabiter dans la même chambre durant ces quelques jours, je m’appelle Marisa. Et vous ?
– Moi c’est Bertrand.

Je me dis à cet instant que j’avais énormément de chance de me retrouver dans la même chambre que cette très belle femme. On discute un moment pour faire un peu connaissance, j’essaie de la brancher sur l’informatique mais…

– Ecoutez, soyez gentil, évitons de parler boulot ici, déjà ils vont nous gaver avec ça pendant trois jours, alors… Bon, je vais prendre une douche…

Elle va dans la salle de bain et pendant ce temps je range mes affaires puis elle me demande si je veux bien lui apporter une serviette car elle l’a oubliée.

« Ils ne fournissent pas des serviettes, dans cet hôtel ? »

Il y a deux serviettes de bain en haut de sa pile d’affaires non rangées. J’en prends une et pénètre donc dans la salle de bain la serviette à la main, l’ambiance est très chaude et humide, tous les miroirs sont recouverts de buée. Et là qu’elle n’est pas ma surprise de la voir toute nue par transparence, à travers le rideau de douche accroché en haut de la baignoire, elle se passe le pommeau de douche sur les seins. C’est alors que je me rends compte qu’elle à été vraiment très gâtée par dame nature, qui lui a donné une poitrine très avantageuse. Elle a en effet des seins comme des melons, et elle a l’air de prendre vraiment plaisir à sentir le jet d’eau caresser ses mamelons, puis couler jusqu’à son entrejambe. J’entrebâille à peine le rideau de douche pour lui donner la serviette, et elle pousse un petit cri car elle ne m’avait pas entendu arriver. Elle prend donc la serviette un peu gênée, car elle doit se douter que je l’ai vu se donner du plaisir sous la douche. Heureusement qu’il y a le rideau de douche entre elle et moi car sinon je serais moi-même très gêné, vu la grosse bosse qui se dessine au niveau de ma braguette. Après s’être séchée, elle sort de la salle de bains, et je dois dire qu’habillée juste de sa serviette elle est vraiment très belle, et très attirante.

– C’est à votre tour d’y aller mon cher, profitez bien de cette douche elle est vraiment très agréable.

Je lui demande pourquoi, et elle me dit que je verrais bien. Cette réponse plein de mystère m’excite vraiment surtout que je ne me suis jamais retrouvé dans la même chambre qu’une femme de cet âge, presque nue, qui doit vraisemblablement avoir une grande expérience du sexe. Je rentre dans la salle de bain, je me déshabille, et je vois qu’elle a laissé ses affaires sur le petit placard, je suis tout de suite attiré par l’odeur très forte mais très agréable de sa culotte. Je la repose aussitôt de peur qu’elle rentre à ce moment là et qu’elle ne me voie à moitié nu, sa culotte à la main, je rentre donc immédiatement dans la douche. Toutes ces histoires m’ont tellement excité que je bande sous la douche, une véritable érection de jour de fête ! Sous l’effet de l’excitation je commence à me masturber, mais je m’interromps subrepticement car j’entends la porte s’ouvrir, et cette belle brune source de mon excitation rentre dans la salle de bain, c’est alors à mon tour de me sentir terriblement gêné, car je sais qu’elle me voit à travers le rideau translucide de la baignoire, tout nu avec la queue raide.

– Je vous apporte une serviette, vous avez oublié la vôtre. Vous êtes aussi étourdi que moi !

Je réponds « merci » d’une toute petite voix compte tenu de ma gêne.

– Ne soyez pas gêné parce que je vous vois tout nu, vous savez j’ai 36 ans, alors même si vous êtes jeune vous devez vous douter que j’ai déjà vu pas mal de mecs à poil

Je me suis mis carrément à rougir lorsqu’elle me dit :

– Et ne soyez pas non plus gêné parce que vous étiez en train de vous masturber, car quand vous êtes entré tout à l’heure je me touchais moi aussi, c’est normal de se donner du plaisir, et puis je vous l’avais bien dit que cette douche était très agréable.
– Oui, madame c’est vrai !
– Allons ne me dis pas « madame », je n’ai qu’une quinzaine d’années de plus que toi, je suis pas assez vieille pour que tu me dises madame et puis tu as pu te rendre compte que j’étais un joli petit lot, hein, je suis sûr que même les jeunes filles avec qui tu couches d’habitude ne sont pas aussi bien foutues que moi n’est-ce pas ?

La modestie ne l’étouffe donc pas… Mais j’ai à peine eu le temps de lui répondre que oui, qu’elle a vraiment un corps très excitant, qu’elle ouvre d’un coup le rideau de la douche, laisse tomber à terre sa serviette, et qu’elle rentre dans le carré de douche.

– Alors, tu vois t’as plus aucune raison d’être gêné nous sommes tous les deux complètement nus ! Tu as déjà eu des expériences avec des femmes de plus de 30 ans ?

Ce n’est pas possible, elle va me sauter ! Je suis tombé sur la nymphomane de l’étage !

– Non heu, c’est vrai vous êtes la première femme de plus de 30 ans que je vois comme ça toute nue en face de moi.
– En tous cas je vois que je te plais, t’as jamais dû avoir la bite aussi dure et bien dressée, comme ça ! Alors qu’est-ce que t’attends profites-en, touche-moi. Je dois te dire qu’en ce qui me concerne, ça fait un bon bout de temps que je n’ai pas couché avec un jeune homme de ton âge. Je suis comme toi très excitée.

Je peux me rendre compte que c’est vrai qu’elle est très excitée en regardant plus bas vers son entrejambe, car elle mouille déjà. Je n’en revenais pas, il y a à peine une heure je ne connaissais même pas cette femme, et maintenant je me retrouve tout nu en train de bander devant elle dans un carré de douche. L’atmosphère de cette pièce en ajoute à l’excitation car elle est très chaude et humide, nos deux corps se retrouvent ainsi vite en sueur alors qu’on n’a encore rien fait. Mais ça va changer car je n’en puis plus, j’approche alors ma main de son gros sein gauche, et je l’ai à peine touchée qu’il se met à pointer et que j’ai l’impression de le voir encore plus gros. Ça m’excite de penser à toutes les choses que cette femme frétillante allait pouvoir m’apprendre sur le sexe. Après lui avoir bien malaxé les seins, j’approche mes lèvres de sa nuque et je l’entends glousser de plaisir lorsque je l’embrasse puis la lèche dans le cou. Pendant que je lui donne du plaisir avec ma bouche, elle ne perd pas son temps, et j’apprécie assez qu’elle parcoure mon corps avec ses mains avant de s’en prendre à ma bite. Elle vient se positionner derrière moi.

– Tu vois, moi aussi je peux te branler, mais n’éjacule pas trop vite, on commence à peine, tu vas voir ce que tu vas voir. Les jeunes filles que t’a baisées jusqu’à présent ne connaissaient rien au sexe, je vais te faire découvrir la vraie jouissance au cours de ces trois jours.

« Prétentieuse ! »

J’aurais volontiers aimé qu’elle me suce, mais je n’ose pas prendre d’initiative. Elle me demande de m’allonger dans la douche, me met un préservatif qu’elle extrait de sa trousse de toilette et s’empale sur ma bite qui n’attendait que ça, pendant qu’elle va et qu’elle vient, s’enfonçant mon sexe de plus en plus profondément, je lui tripote les seins, les tire, les tord, ça les fait durcir et grossir, et c’est assez obscène de les voir se balancer comme ça, de haut en bas comme des élastiques.

– Allez, arrête de t’occuper de mes seins, laisse les se balancer, c’est bon, occupe-toi donc de mon petit trou du cul il est vide et j’aime pas ça.

Incroyable d’entendre des choses pareilles !

J’approche donc ma main droite de ses fesses, et après les avoir caressées, je réalise son souhait en lui fourrant un doigt dans son anus, puis deux, ce qui me permet de me rendre compte qu’elle n’a pas le trou du cul aussi petit qu’elle le dit. Je ne m’attendais pas à ce que le mouvement de mes doigts dans son cul lui donne autant de plaisir, à chaque fois que j’essaye de l’enfoncer encore plus profondément elle pousse des petits cris de jouissance.

Je sors mon doigt, pas très net.

– Qu’est-ce qu’il a ton doigt ? Il est un tout petit peu sale ! Quelle affaire ! T’as qu’à le lécher.
– Non…
– Et alors, ça va pas te tuer ! Il a un bon gout, mon cul !

Elle n’insiste cependant pas !

Elle reprend ses va-et-vient sur mon sexe et lorsqu’elle n’en peut plus, tellement elle crie sa jouissance, elle se retire, me finit à la main tout en me glissant un doigt dans le trou de mon cul, un geste auquel je ne m’attendais pas du tout, et elle m’implore de lui asperger la poitrine. Je lui éjacule donc sur ses seins et je dois dire que je n’avais jamais fait sortir autant de sperme d’un seul coup, surtout que je ne débande pas car ça m’excite de la voir prendre plaisir à se toucher les seins maintenant recouverts de tout mon foutre.

– On dirait que ça t’a surpris quand je t’ai mis un doigt dans le cul ? Me dit-elle.
– On ne me l’avait jamais fait ! Avouais-je !
– Le trou du cul d’un homme est une zone érogène mais la plupart des hommes ne le savent pas ou ne veulent pas le reconnaitre.

Elle me montre ostensiblement son doigt, j’ai peur qu’elle me demande de le lécher. Ça ne rate pas ! Je refuse.

– Ferme les yeux et fais-moi plaisir !

Son doigt est sur mes lèvres, j’ouvre la bouche, je lèche. Effectivement il n’y a vraiment pas de quoi s’enfuir en courant. Quelle surprise ! J’ai peut-être découvert quelque-chose ! Et histoire de lui montrer mes bonnes dispositions, je lui dis en m’étonnant moi-même :

– C’est spécial, je recommencerai !
– Ah, ben, tu vois !

Viens en face de moi, je vais te montrer quelque chose.

Je viens devant elle, ébloui par son corps splendide et ses seins volumineux enduits du jus de ma jouissance. C’est alors qu’elle m’attrape les tétons et se met à me les tordre, pas trop fort, mais un peu quand même.

– Ça te fais quoi ?
– C’est bon, ça m’excite !
– On dirait bien, ta bite est en train de pointer vers le ciel ! Il faut me faire confiance, je t’apprendrais plein de choses, mais il faut te débarrasser de tes tabous. De tous tes tabous ! Moins tu en auras plus tu prendras du plaisir. Tu as confiance ?
– Oui, j’ai confiance !
– Alors ça va ! Je vais pisser, tu veux regarder ?
– Oui bien sûr !

Voir pisser une femme fait partie de mes fantasmes secrets et aujourd’hui, elle est là belle et nue, sans aucune pudeur ! C’est mon jour de chance.

Le jet est dru et abondant, avec un sourire malicieux elle se mouille les mains avec son urine et s’en badigeonne les seins encore pollués par mon foutre.

– Viens me lécher les nénés !
– Comme ça ?
– Ben oui, comme ça !

Je suppose que si elle me le demande c’est que la chose se fait, j’ai dû déjà goûté à mon pipi un jour par curiosité, j’ai trouvé ça ni bon, ni mauvais, sauf que là c’est le sien et qu’il est sur ses seins, alors je lèche come un malade, le pipi mais aussi le sperme.

– Tu me lèches trop bien, mes tétons sont tout durs, mais maintenant, je tombe de fatigue.

On se prend vite une douche pour se débarrasser du sperme et se rafraîchir, et on se couche chacun dans notre lit, j’ai eu du mal à trouver le sommeil.

Mardi

Je sors lentement de mon sommeil, je bande comme un taureau. Marisa se glisse dans mon lit, rejette les draps vers le pied du lit, s’empare de ma bite et se met à me sucer.

Evidemment je me laisse faire. Marisa est déchainée, sa langue va partout, me fait le tour du gland comme s’il s’agissait d’un eskimo à la vanille, me lèche la hampe, remonte, recommence. Elle s’en va ensuite voir du côté de mes testicules qu’elle fait rouler dans sa bouche.

– Attends !
– Un problème !
– Ce serait mieux si je faisais pipi avant.

Elle se lève, me demande de la suivre dans la salle de bain.

Elle me prend la main et m’entraine dans la salle de bain et s’assoit dans la baignoire vide, puis m’invite à la rejoindre.

– Arrose-moi d’abord les seins !
– Tu veux que je te pisse dessus ?
– T’as tout compris !
– Mais je n’ai jamais fait ça !
– Il y a toujours une première fois ! Allez j’attends !

Ça ne vient pas tout de suite, la situation est inhabituelle et m’excite, j’ai donc tendance à bander, et pisser quand on bande n’est pas évident. Quand ça vient je lui arrose son opulente poitrine. Elle se la caresse avec l’urine et son aspect mouillé la rend encore plus désirable.

– Dans ma bouche ! Maintenant !
– Dans la bouche ?
– Je veux boire ta pisse, Bertrand !

Puisqu’elle me le demande… Je vise sa bouche et la voilà qui se met à avaler des grosses lampées d’urine.

– Ça va me mettre en forme, c’est meilleur que du thé !

Elle s’en régale !

– La pisse du matin, c’est la meilleure…

Elle se relève, s’empare à nouveau de ma bite, la masturbe un peu, lui redonne quelques coups de langue, puis me demande de m’allonger sur le carrelage.

Là, après m’avoir encapoté, elle s’empale le cul sur ma bite et se met à effectuer une série de montée-descente à un rythme hallucinant. Elle ne tarde pas à brailler. La voir ainsi excitée renforce ma vigueur, je me mets à travailler du bassin et je jouis à mon tour.

– Je vais faire caca, tu veux me regarder ?
– Non, non, ce n ‘est pas mon truc !
– Tu as tort, je crois que je vais faire un gros boudin, j’aime bien faire des gros boudins.
– Non, non !
– Fais pas ta chochotte, tu commences à regarder et si vraiment ça te dégoute, tu repars à côté.

La salope ! Au lieu de s’assoir sur la cuvette comme tout un chacun, elle s’accroupit en se tournant les fesses vers moi, les pieds sur la lunette.

Pour l’instant, il n’y a rien à voir sinon son cul magnifique, j’en profite car je me dis que dans un instant je vais me sauver.

– Ah ! Je sens que ça vient !

Un petit étron sort timidement de son cul ! Quelle idée de vouloir me montrer ça ? L’étron grandit et je reste là fasciné, tétanisé, ça me révulse, mais ça me fascine, Un long boudin sort maintenant de son cul, se détache, se tortille et atterrit dans la cuvette dans un grand floc. Et moi, je suis toujours là ! Un deuxième étron suit le même chemin que le premier. Et moi je suis encore là !

– Oh, Ça fait du bien de chier une bonne merde ! Tu veux m’essuyer.
– Y’a du papier à côté ! Répondis-je me plantant complétement sur ses intentions.
– Non, tu ne comprends pas ! Regarde et dis-moi si j’ai le cul sale ?

Elle écarte ses globes fessiers, effectivement il y a quelques traces brunâtres autour de l’anus, je le lui dis.

– Tu veux me nettoyer avec ta langue !
– Non !
– T’as bien léché mon doigt, hier ! Quelle différence ?
– J’ai pas envie de faire ça !
– Tu ne sais pas ce que tu perds ! La prochaine fois alors ?
– On verra !

On se prend une douche vite fait afin de ne pas arriver en retard à la réunion d’ouverture du colloque. Après s’être séchée elle me passe la main sur les fesses.

– J’ai hâte que cette réunion soit finie, j’ai envie de te faire voir plein d’autres choses, on ne va pas s’ennuyer ce soir, surtout que pour un débutant tu m’as vraiment fait jouir, j’en pouvais plus. Tu verras je vais bien m’occuper de ton petit cul. C’est dommage que je n’aie pas apporté de gode. Oh, mais j’y pense on ira en acheter un tous les deux…

Après s’être habillés, nous descendons donc assister à la réunion, qui est d’ailleurs très intéressante, mais à la pause elle me prend par la main et m’entraine précipitamment aux toilettes. A peine ai-je fermé la porte qu’elle enlève sa culotte, afin que je lui lèche la chatte. J’approche ma bouche de cette belle moule vraiment très odorante qui sent la pisse, et j’introduis ma langue dans sa fente, je la remue, je la lèche vigoureusement, et sans qu’elle n’ait besoin de me dire que je le fais très bien, je peux m’en apercevoir en sentant son chaud liquide vaginal arriver. Après à peine quelques instants j’ai déjà le visage recouvert de son liquide tellement elle mouille abondamment. Je ne connaissais pas cette sensation mais je dois bien avouer que c’est vraiment très agréable de lui lécher la chatte, et de remuer ma langue dans ces chairs chaudes et gluantes. Je sens de nouveau un liquide sur mon visage, mais cette fois c’est de l’urine, elle me pisse dessus, et je suis tellement excité que j’avale sans réfléchir. Mais c’est vrai que ce goût particulier n’est pas désagréable et que je commence vraiment à l’apprécier !

Après l’avoir fait encore bien jouir je me relève afin de me nettoyer le visage, je ne peux plus ressortir des toilettes comme ça, j’ai vraiment de sa mouille et de sa pisse sur tout le visage et ça commence à me couler sous le menton. Pendant que je me lave le visage au lavabo, je peux la voir dans la glace assise sur le WC, la jupe remontée, et deux doigts dans la chatte, je n’en reviens pas de son incroyable appétit sexuel, mais elle commence à me le transmettre. Une fois bien nettoyé, et elle épuisée, on ressort des toilettes pour retourner à la salle de conférence, mais au lieu de remettre sa culotte, elle l’enfouit dans son sac. Sans aucune gêne elle se promène donc au milieu de la foule complètement nue en dessous de la jupe de son tailleur. Cette femme commence à me plaire de plus en plus, pas juste parce qu’elle me fait découvrir les plaisirs du sexe, mais surtout parce que j’aime l’audace dont elle fait preuve, et que je n’avais connu chez aucune autre femme auparavant, du moins dans la vie réelle. Une fois de retour dans la salle j’espère quand même qu’elle ne va pas trop écarter les jambes, j’ai pas envie de ne plus savoir où me mettre devant tout le monde. Mais en fait je l’avais mal jugée car elle se comporte durant toute la cérémonie d’ouverture comme une vraie femme distinguée.

– Viens suis-moi, je vais te présenter du monde.

Elle regarde autour d’elle, semble chercher quelqu’un, mais n’insiste pas trop.

– Je ne le vois pas, je te le présenterais plus tard.

Bizarre cette attitude.

– Tu sais j’ai couché avec aucun de tous ces gens, si je connais du monde c’est tout simplement parce que je suis cadre dans l’une des meilleures entreprises, et que mon père est bien placé. Oh, certains n’auraient pas dit non, on m’a même proposé de me payer. Je n’ai rien contre le principe mais il se trouve que je n’ai pas besoin d’argent. Avant j’étais très timide, mais depuis mon divorce, j’ai décidé de me lâcher, et de faire plein de choses qui peuvent paraître anticonformistes, car après avoir été une femme bien rangée, j’en ai vraiment eu marre de cette monotonie. Je suis devenue addict au sexe, ça ne me pose aucun problème et j’ai l’impression que tu vas bientôt devenir comme moi, non ?
– C’est bien parti pour. Tu as envie de faire quoi maintenant ?
– Viens j’ai une idée.

Je la suis, elle m’entraîne au sous-sol, à la blanchisserie de l’hôtel, c’est une pièce assez grande avec du linge blanc partout, plein de draps et de serviettes. On va se cacher derrière une pile de draps, au cas où quelqu’un entrerait. Marisa me baisse le pantalon et mon boxer d’un seul coup.

– Tout à l’heure tu m’as bien léché, maintenant je vais te lécher aussi, tu me diras ce que tu en pense.

A ma grande surprise, elle me demande de me tourner, puis de me pencher un peu et d’écarter les fesses. Je pensais qu’elle allait me mettre un doigt comme précédemment mais ce n’est pas cela, c’est sa langue humide qui remue sur mon anus. La sensation est étrange et agréable et quand elle remplace sa langue par son doigt je m’abandonne à cette nouvelle et agréable caresse.

– Il faut absolument qu’on achète un gode, maintenant, tourne toi !

Et elle embouche immédiatement mon sexe presque bandé. Le mouvement rapide de sa langue enrobant mon gland me déclenche immédiatement une érection très dure. Elle me suce et me lèche jusqu’aux testicules, elle me pompe la bite tellement fortement que j’ai l’impression qu’elle va me faire sortir le sperme comme quand on aspire un liquide avec une paille. Je suis tout d’un coup très déçu, car elle se décide à arrêter la pipe avant que j’aie pu lui éjaculer en pleine face. Mais à mon plus grand bonheur, elle m’annonce qu’elle souhaite se faire enculer.

Après m’avoir enfilé un préservatif rose elle me fait lécher un peu son cul afin que je la pénètre plus facilement.

– Il a bon goût mon cul ?
– Oui j’aime bien.
– Ça ne te dérange pas qu’il sente un peu la merde ?

Elle m’énerve un peu avec ses tendances scatos.

Marisa quitte carrément son tailleur, et se met à quatre pattes le cul bien dressé. Je trouve un peu obscène mais tout de même très excitant de la voir dans cette position avec ses gros seins pendant qui touchent presque le sol, et son anus écarté pour que j’y pénètre.

Et je l’encule d’un seul coup, ça l’a fait pousser un cri, mais malgré ça elle en redemande.

– Vas-y bourre-moi bien comme une bête, pendant que tu le peux encore, car je t’ai tellement pompé la bite que tu ne vas pas tarder à décharger.

Je vais donc en avant et en arrière, je la bourre violemment, elle a les seins qui pendent, et ce mouvement les lui fait balancer comme de grosses masses molles. Je continue à la défoncer tant que je peux jusqu’à ce que je sente le jus arriver, je me retire alors vite, arrache la capote, et la retourne en la couchant au sol, cette fois c’est elle qui va en avoir plein la face. Je lui éjacule donc sur son mignon petit visage, et elle lèche pour ne pas en perdre une goutte. C’est à ce moment là, alors que je suis sur elle, la bite lui dégoulinant sur le menton qu’une jeune femme entre dans la blanchisserie et nous aperçoit dans cette position plus que gênante, sur le coup elle a un peu peur, mais surtout elle devient rouge comme une tomate. Marisa me dit que ce n’est pas à moi d’être gêné, qu’on avait décidé de repousser les lois de la morale puritaine, alors elle s’assoit les jambes écartées et se lèche le visage recouvert de mon sperme. Elle interpelle la jeune fille.

– Salut, toi comment tu t’appelle ?
– Sophie madame, mais excusez moi je pars tout de suite, euh, je suis désolée.
– Mais non, ne pars pas, ne soit pas effrayée, t’as quel âge, tu dois plus être vierge quand même ?
– Non, je suis loin d’être vierge, j’ai 25 ans, mais vous m’excitez tous les deux !
– Allons, si tu veux t’amuser un peu avec nous, ce sera avec plaisir.
– C’est vrai ?
– Ben oui, viens !

Je suis éberlué car cette fille qui a l’air d’une sainte nitouche vient vers nous, s’assoit à coté, et prend le sein de Marisa dans une main en lui disant.

– Et bien vous en avez de la chance, j’aimerais bien avoir des seins comme les vôtres.
– Mais ne soit pas timide, montre-les nous, tes petits seins.

Et Marisa lui enlève délicatement sa blouse de femme de ménage, puis lui retire le soutien-gorge, elle se laisse faire. Marisa lui dit qu’en effet ses seins n’étaient pas très gros mais qu’elle allait l’aider et d’un coup elle lui tire sur les tétons comme pour les arracher, la femme de ménage proteste.

– Aie, vous faites quoi ? Vous êtes folle !
– Mais non regarde tes pointes de seins, j’ai à peine tiré dessus, et ils sont déjà tout excités, ils pointent.
– C’est vrai ils ont l’air un peu plus gros, tirez-les encore.

Marisa ne se fit pas prier pour lui tripoter les seins, et les lui tirer. Sophie a l’air contente, elle n’a jamais été aussi excitée nous confit-elle. Après que Marisa l’ait encore plus chauffée en lui caressant les fesses, elle l’a fait s’allonger, et lui dit de se laisser faire.

– D’accord, allez-y ! Je me laisse faire, faites-moi tout ce que vous voulez !

Je tente de refaire avec Sophie ce que j’ai déjà fait avec Marisa, en lui léchant la chatte, mais à peine ai-je approché ma langue que je me rends compte qu’elle n’a pas la chatte aussi humide qu’elle, elle ne mouille pas assez pour que ce soit suffisamment agréable. Je commence alors par la pénétrer avec mes doigts, et je remue à l’intérieur tant que je peux, j’enfonce jusqu’à la faire crier, mais elle me dit de ne surtout pas arrêter.

– Encore, encore plus profond dans ma chatte. Je veux jouir.

Mais dès que j’aperçois son doux liquide commencer à couler du bord des lèvres, je me précipite pour pénétrer ma langue au plus profond de son chaud vagin. Pendant que je la lèche Marisa me caresse les fesses, et me lèche un peu de partout jusqu’à ce que je sois presque entièrement recouvert de salive. Quand Sophie atteint l’orgasme tant attendue, Marisa, sans la laisser souffler lui demande de me tailler une pipe du mieux qu’elle le pouvait, et pendant ce temps, on s’est livré avec Marisa à la plus mouillée des séances de baiser. On se mélangeait nos deux langues avec une telle passion qu’on avait de la salive qui coulait partout le long de notre cou. Une fois nos péripéties terminées, on se rhabille tous, puis on repart en laissant Sophie seule, mais en lui promettant de la revoir si elle souhaitait renouveler ces bons moments.

Avec Marisa on retourne donc à notre chambre, car on a bien besoin de prendre une nouvelle douche, cette fois on a en assez, on se douche juste, et on va se coucher, en se disant qu’on essayera de faire aussi bien le lendemain.

à suivre

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7 réponses à Marisa à l’hôtel – 1 – Chambre 215 par Sylvain_Zerberg

  1. Brunet dit :

    Quel festival, je bande comme un cochon !

  2. Werber dit :

    Je me range à l’avis général, ce récit fabuleux est d’une perversité inouïe !

  3. Sapristi dit :

    Un petit bijou de lecture érotique

  4. Muller dit :

    Complètement improbable mais qu’est ce que c’est jouissif !

  5. envibi dit :

    j’ai eu la chance d’être initié par une maîtresse, tout pareil sauf la lingère,
    vite la suite…

  6. Claire dit :

    Eh bien on peut dire que ça commence fort, cette affaire, là, si les autres chapitres sont du même tonneau on va se régaler !

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