Ma vie de cocu 2 – Une nuit chez Jacques par Roxy01

Notre première expérience nous avait vraiment satisfait, et apporté un réel plaisir, un peu de piment dans nos relations sexuelles. Marie revit Michel plusieurs fois, mais sans ma présence. Elle prenait goût à ces relations particulières, et moi tout autant. Je lui laissais une totale liberté. Ses tenues vestimentaires toujours coquettes et sexy, devenaient de plus en plus osées ; elle sortait régulièrement le samedi soir en boîte de nuit avec des amies. Elle en profitait pour draguer. Parfois elle regagnait le foyer seulement le lendemain dans la matinée : je savais alors qu’elle avait passé une nuit câline en compagnie d’un beau mâle ; cela m’excitait beaucoup.

C’est un de ces matins, que je fis la connaissance de l’homme qui était son amant depuis un mois environ et avec qui elle venait de passer la nuit : Jacques avait 37 ans, bel homme corpulent, issu d’un milieu aisé. Il était 9 heures lorsqu’ils entrèrent dans la maison.

– Julien, je te présente Jacques ; il te connaît car je lui ai parlé de toi, il souhaitait te rencontrer.
– Et bien, tu as bien fait ; Asseyons-nous. Pourquoi tenez-vous à me voir ?
– Je voulais mettre un visage sur l‘homme que j‘ai cocufié ; Marie m’a raconté votre première expérience. Si vous le souhaitez, je peux vous faire franchir un cap important dans la soumission. Êtes-vous partant ?
– Puis-je en savoir un peu plus ?
– Seulement que la soirée se passera chez moi en présence d’un ami ; pour le reste ce sera pour vous une surprise. Mais je veux votre consentement total, mon ami n’aime pas être déçu.

J’étais prêt à aller plus loin, et le côté secret m’attirait ; je donnais donc mon accord.

Quinze jours plus tard, nous nous rendons à la belle et vaste propriété de Jacques. C’est une belle et chaude journée d’été. Il est 19 heures. Notre hôte embrasse tendrement Marie puis nous indique que son ami arrivera plus tard. Dans la maison, il nous dit :

– Mon ami Fred a un faible pour les travestis. Tu vas donc revivre ta première expérience, Julien. !

Il me montre les vêtements posés sur une table : une robe noire courte transparente, un soutien gorge, un string, une perruque, ainsi qu’un collier de cuir. Il continue :

– Ce sera ta tenue ; mais avant, tu vas aller te raser les aisselles, les jambes, le sexe et le cul ; je te veux imberbe.

Nous allons à la salle d’eau ; je me rase avec application. Marie termine le rasage des fesses. Ensuite elle passe au maquillage de mon visage, puis me pose la perruque. Ma transformation se termine par le port du soutien gorge et du string, de la robe et enfin du collier de cuir.

– Comment te trouves-tu ma chérie ? Me dit-elle
– Assez bien, dis-je, la voix pleine d’émotion.

Dans la glace, il me semblait voir une vraie pute. Mon épouse n’avait pas lésiné sur le maquillage ; la robe m’arrivait au ras des fesses et le collier de cuir était pour moi le symbole de la soumission ; de retour au salon, sur ordre de Jacques, je faisais les cent pas pour m’habituer à marcher avec les escarpins à talons hauts.

C’est à 21 heures que Fred arrive. Il est de stature imposante, au regard dur. Je frémis d’angoisse et de plaisir en songeant à la nuit que je vais vivre ; pourrai-je tout accepter, surtout devant ma propre femme ? Je n’en suis pas sûr. Assis sur la terrasse autour d’un verre, la discussion se lance :

– Fred, je te présente Marie, ma charmante compagne, et Julie, beau travesti, quand penses-tu ?
– Adorable, comme je les aime ; viens t’asseoir près de moi Julie !

Je prends place sur une chaise proche de la sienne. Il me saisit par le collier, attire mon visage contre le sien et me roule une pelle.

– Sois douce ma chérie !

Il pose une main sur ma cuisse, remonte jusqu’au string et presse fermement mon sexe. De leur côté, Jacques et Marie sont en pleine action. Elle est nue dans toute sa splendeur. Agenouillée devant son amant, elle lui quitte son pantalon et son slip, puis s’occupe de son membre à l’aide de ses mains et sa bouche. A sa demande, je dois déshabiller mon mec, puis faire comme mon épouse. Je le branle du mieux que je peux, puis il fourre sa queue dans ma bouche, l’enfonce au fond de ma gorge par de lents va et vient. Il me demande de me mettre à quatre pattes, face à Jacques qui saute ma femme. Je m’exécute ; il remonte ma robe pour découvrir mes fesses, écarte le string de la raie :

– Je vais te pénétrer moi aussi !

Sentant sa queue contre mon cul, j’ai un recul :

– Non, pas ça,
– Comment pas ça ? Tu n’as pas bien compris que ce soir, tu ne décides rien, tu subis.
– Attends, dit Jacques, on va te corriger.

Il me saisit le bras et me conduit à la terrasse, suivis de Marie et Fred. Pendant que celui -ci m’enlève ma robe et mes escarpins, il part dans un cabanon et en revient avec de la corde. Toujours sur ses ordres, je monte sur deux tabourets distants d’un petit mètre l’un de l’autre ; les jambes écartées, Fred descend le string sur mes cuisses :

– Et bien ma pute, tu bandes bien !

En effet, la situation m’excite énormément, il y a longtemps que je rêvais d’être ligoté. Il attache la corde à mon bras, puis fait passer celle-ci par dessus une poutre du toit de la terrasse, la tire jusqu’à ce que mon bras soit en totale extension puis l’arrime à un point d’encrage ; l’opération est renouvelée pour l’autre membre.

– Tu es prête Julie pour le fouet dit Jacques ?
– Oui, je suis prêt
– Comment tu dis ? Prêt ? Mais je rêve! Tu n’es pas un mec Julie!

Le voilà repartit à l’intérieur pour en revenir avec une bougie.

– Tiens Fred, fous lui dans le cul à cette salope !

De ses doigts Fred me fouille et me dilate l’anus, puis m’enfonce progressivement la bougie dans l’anus ; j’essaye de bouger le moins possible pour ne pas tomber des tabourets. Je n’aurais jamais imaginé ressentir d’aussi fortes sensations. La bougie dans le cul, jambes et bras en croix, je reçois dix coups de fouet qui marquent mon dos et mes fesses, dix coups sur la poitrine, le ventre et le bas ventre ; je n’ai pu retenir des gémissements de douleur, je n’étais pas loin d’atteindre l’orgasme…

On me détache ; mes pieds retrouvent enfin le sol ferme. Fred vient vers moi, me serre contre lui et m’embrasse, tout en exerçant une pression sur la bougie.

– Ça va ma poule ? Tu as envie que je t’encule ?
– Oui, je veux bien.
– Allons nous coucher !

Nous rentrons tous les quatre, et montons à l’étage où se trouve une chambre à deux lits. Marie et Jacques se couchent ensemble, Fred et moi dans le deuxième lit. Et c’est partit pour une folle nuit. Je dois satisfaire tout les caprices de Fred ,la fellation bien sur, mais aussi lui lécher l’anus, et ce que je redoutais le plus, me faire enculer, tout en entendant les mots doux de Marie pour Jacques, ceux de Jacques pour Marie… il retire la bougie, puis après s’être protégé me pénètre ; ses coups de reins s’accélèrent progressivement, se font plus violents ; dans un râle rauque, Fred décharge en moi son sperme chaud, tout en me serrant de ses puissants bras, ses lèvres me sucent le cou…

Marie et Jacques se lèvent prendre une douche

– Ça va, me demande ma femme, tu as passé un bon moment ?
– Oui, sincèrement, oui, aucun regret! Et toi ?
– Pour moi aussi, c’est super.

Ils disparaissent dans la salle de bain. J’ai une envie folle de lui faire l’amour, mais comment m’imposé ainsi travesti…

– Tu as vraiment aimé ? Me demande Fred, tout en me caressant mon sexe qui réagit.
– Oui, beaucoup.
– Et voir ta femme avec Jacques, ne te perturbe pas l’esprit, ils ont l’air de s’aimer.
– Non, c’est mon fantasme, je suis content de le réaliser.
– Qu’as-tu apprécié le plus ?
– Tout, mais peut-être plus spécialement d’être attaché et fouetté…

La liaison de Marie et Jacques durera pas loin d’un an, jusqu’au départ de celui-ci pour d’autres horizons.

Ce contenu a été publié dans Confessions, Histoires, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Ma vie de cocu 2 – Une nuit chez Jacques par Roxy01

  1. Ghislain dit :

    Wow excitant, j’adore, je rêve !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *