Découvertes 6 – L’éducation de Clarisse par Fafalécureuil

Notre nuit fut courte mais réparatrice, Anne et moi étions assommées et nous avons dormi d’une seule traite jusqu’au coup de sonnette qui nous a réveillées. Tandis qu’Anne passe une nuisette, je me blottis sous le drap. Dehors, le temps est au beau fixe. Ce n’est pas Clarisse qui vient d’arriver, mais Jean. Une autre voix m’informe de la présence d’une femme que je ne connais pas. Anne apparaît en catastrophe.

– Merde, j’avais oublié qu’ils venaient manger avec nous !
– Oh ! Je ne le savais même pas.
– Pas grave, je leur ai expliqué qu’on avait fait la fête hier soir et qu’on venait de se réveiller. Je les ai installés sur la terrasse, je vais leur proposer un apéro.
– Et Clarisse ?
– Elle va débarquer d’un instant à l’autre.
– Ne t’inquiète pas. Je passe en vitesse sous la douche et je prends le relais.
– Ok

Je me levais rapidement, gagnais la salle de bains et 5 minutes après j’étais présentable. Je passais une petite robe plutôt sage et restais pieds nus. Je les rejoignis sur la terrasse. Jean, assis en face de la porte fenêtre se leva pour me saluer et me présenta son amie, Gaëlle. A première vue, elle paraissait assez mignonne, les cheveux châtains courts, des yeux noisette pétillants. Sans cérémonie, elle me fit une bise et se rassit. Je m’installais à mon tour et Jean me proposa d’attendre tout le monde pour ouvrir le champagne qu’ils avaient rapporté. Anne s’excusa et fila à la salle de bains. Jean et Gaëlle formaient un couple sympathique, sans le montrer de façon démonstrative, il était évident qu’ils étaient faits l’un pour l’autre. Ne sachant si Anne avait prévu un déjeuner, je leur demandais s’ils avaient des préférences en matière de cuisine. Jean sourit,

– Anne m’a expliqué que vous aviez oublié notre passage, mais si tu veux on peut commander une pizza ou faire les fonds de frigo.
– Oh, je pense qu’on doit pouvoir trouver quelque chose à manger, le frigo est plein à craquer.
– Alors jetons un œil à la cuisine !

Son enthousiasme était communicatif et il nous proposa de nous préparer des pizzas maison ce qui serait quand même meilleur que des pizzas en carton. Alors que Gaëlle me demandait si elle pouvait faire quelque chose, la sonnette retentit à nouveau. C’était Clarisse, et elle avait sorti le grand jeu, sa robe légère ne cachait pas grand chose de son petit corps appétissant. Elle m’embrassa, et je l’avertis que nous avions de la visite. Elle était un peu déçue et peut-être aussi tendue par cette nouvelle, mais après l’avoir présentée à nos invités, elle se détendit. Jean la mis à l’aise en lui proposant de nous aider à la préparation du repas. Et lorsqu’ Anne arriva, elle trouva une armada de cuisiniers en herbe au travail. Elle fit semblant de me gronder.

– Fabi, tu n’as pas honte, faire travailler nos invités !
– Si, absolument, en même temps, ils ont insisté…
– Heureusement, sinon, nous étions bonnes pour commander des pizzas.
– Tu n’aimes pas la pizza ?
– J’ai gaffé ?
– Oui, nous sommes justement en train de préparer des pizzas !
– Wooops ! Si, je vous rassure, j’adore ça, du moment que la pâte est fine, qu’il n’y a pas d’anchois, pas trop de fromage, des olives, des fonds d’artichaut…
– Attention, il va y avoir des suppléments si tu continues ta liste !
– Ok, alors je m’arrête là. Par contre pour le dessert, je ne vous avais pas oubliés, le seul hic c’est qu’il faut chercher la commande chez le pâtissier avant 13 heures.
– Dans ce cas, il faut se dépêcher.

Je leur proposais d’y aller, et, ne sachant pas où c’était, Gaëlle m’accompagna. Dans l’ascenseur, je ne pus m’empêcher d’imaginer son corps débarrassé de sa chemise et de son pantacourt. Elle avait une belle poitrine et on devinait qu’elle n’avait pas besoin de soutien-gorge. Histoire de meubler, je lui demandais si elle avait beaucoup de travail en ce moment. Elle m’expliqua qu’elle avait perdu un de ses plus gros clients la semaine passée, et que du coup, elle était en vacances un peu forcées. Je ne voulais pas aller trop vite en besogne et alors que j’ouvrais la voiture, je lui demandais quel genre de photos elle faisait. Pendant le trajet jusqu’à la pâtisserie, elle m’expliqua qu’elle faisait souvent des photos en studio, qu’elle travaillait de temps à autres avec des journalistes ou des agences de mannequins. Elle me raconta qu’elle avait même fait des photos érotiques à une époque. En me garant devant la pâtisserie, je lui demandais en souriant si elle en faisait encore. Le magasin était bondé et après 10 minutes, le gâteau était sur le siège arrière et nous pûmes reprendre notre conversation. Gaëlle se tourna vers moi,

– Tu me demandais si je faisais encore quoi ?
– Des photos érotiques.
– Non, ça fait longtemps, c’est sympa un moment mais ça saoule vite. Et c’est difficile de trouver la limite entre la photo d’art et la photo « cul ».
– Je comprends, mais si tu avais un gros contrat, tu t’y remettrais ?
– Je ne sais pas, ça dépend également du commanditaire.
– Si c’était moi ?
– Toi ?
– Oui, moi…
– Eh bien, il faudrait que je sache dans quel cadre travailler.

Je lui expliquais mon métier et l’informais qu’il me faudrait peut-être réaliser un catalogue de produits « sexy ». Gaëlle me demanda si j’étais sérieuse.

– Oui, tout à fait, je ne suis pas encore sûre de pouvoir te proposer ce boulot mais Jean m’avait parlé de la perte de ton client. Comme j’étais en train de préparer ce dossier, je me suis renseignée pour savoir s’il était possible de faire faire un catalogue. Je connais un peu les tarifs en général, mais si tu me fais un devis bien ficelé et que tu y joins quelques photos, je dois pouvoir faciliter les choses.
– Attention, je préfère t’avertir que je ne suis pas bon marché.
– Si ton travail est à la hauteur, tout peut se négocier.
– Il faudrait aussi que je sache exactement ce que je vais devoir photographier.
– Je te montrerai un exemple à la maison.
– Ok
– Je pense même que tu dois pouvoir faire quelque chose de moins formel que les catalogues que j’ai vus.
– Ça dépendra de ce que je dois photographier. Mais dis-moi, tu bosses souvent sur ce genre de dossiers ?
– Non, c’est la première fois, les collègues se sont débinés et j’ai accepté, je trouve ça plutôt amusant.
– Et ça ne te fait pas un peu peur ?
– Non, pas trop, en fait je suis plutôt curieuse…

Nous étions arrivées, et lorsque je poussais la porte de l’appartement, Jean nous cria de nous dépêcher. La bouteille de champagne à la main, il venait de faire sauter le bouchon et remplissait les verres. Nous passâmes un excellent moment à discuter et à rire, l’ambiance était détendue et les pizzas délicieuses. Après le dessert, Anne proposa d’aller à la piscine. Jean accepta il avait ses affaires de piscine en permanence dans la voiture, Clarisse était partante, voyant l’hésitation de Gaëlle, je lui proposais de lui prêter un maillot de bain si elle le désirait. Elle me suivit dans la chambre et je lui tendis un maillot deux-pièces. Quelques instants plus tard nous plongions dans la piscine. Clarisse nageait comme dauphin et Gaëlle et elles se retrouvèrent à faire la course sous nos encouragements. Je n’aurais pas imaginé qu’elles étaient capables de telles prouesses nautiques. Gaëlle gagna d’une courte tête et Clarisse loin d’être vexée, la félicita. Pour ma part, je barbotais au bord de la piscine avec Anne et Jean. Nous nous prélassions au soleil, je discutais avec Gaëlle de notre éventuelle collaboration et lui montrais discrètement les catalogues dont je disposais. Loin d’être choquée, elle me dit simplement que ces catalogues étaient franchement mal foutus et qu’il y aurait moyen de faire quelque chose de plus esthétique.

– Tu penses à quoi ?
– A des mannequins qui font moins « pouffe » par exemple.
– C’est vrai que certaines sont assez gratinées, mais je pense que ça doit être difficile de trouver des personnes qui acceptent ce genre de photos.
– C’est sûr mais avec un peu moins de maquillage et un éclairage moins tape à l’œil, ça devrait déjà grandement arranger les choses.
– Je crois qu’on va bien bosser ensemble. J’en saurai plus demain, je pars aux Pays-Bas pour rencontrer plusieurs contacts.
– Si tu veux je t’accompagne, je verrai ça sur place, ce sera plus simple pour le devis.
– Tope là, on se retrouve à l’aéroport demain matin, ok ?
– Quelle heure ?
– 8h30, pour l’enregistrement des bagages, je pense qu’il reste des places sur le vol.
– Ca marche !

Ravie de ces projets, Gaëlle en parla à Jean, qui, amusé lui dit qu’elle devrait rester sage. Nous nous quittâmes à la piscine, Jean et Gaëlle rentraient chez eux et je me réjouissais de passer le reste de la journée avec mes amantes. Une fois dans la voiture, je sentis aussitôt des mains caressantes sur mon corps. Je commençais déjà à sentir mon sexe s’humidifier. Nous rentrâmes directement.

Une fois la porte fermée, les habits volèrent aussitôt et nous fîmes l’amour sur le carrelage de l’entrée, trop avides pour attendre d’être dans la chambre. Nos corps s’entremêlaient sur les dalles froides, nos bouches, nos langues se retrouvaient enfin. Clarisse massait mes seins avec ses pieds alors qu’Anne se mit à califourchon sur mon visage. Je léchais son sexe avec application, insatiable. Anne nous proposa de rejoindre la pièce du haut et nous nous retrouvâmes sur la dalle chaude de béton. Je goûtais la sueur qui perlait sur le corps de mes amantes. Allongées côte à côte, Anne et moi profitions des caresses de Clarisse. Elle y mettait du sien et alternant sa langue et ses doigts agiles, elle nous fit jouir presque en même temps. Encore insatisfaite, je me mis à quatre pattes et invitais Anne à en faire de même. La langue de Clarisse se remit aussitôt au travail et lorsque je sentis son doigt pénétrer mon anus, je l’encourageais vivement à continuer. Clarisse me doigtait le cul avec délectation. Elle prit soudain l’initiative de présenter sa main devant ma chatte. Anne se leva et se présenta devant mon visage pour que je puisse lui faire subir le même traitement. Je glissais doucement ma main dans sa chatte après avoir enfilé successivement tous mes doigts. Clarisse n’étais pas en reste et s’était glissée sous moi, continuant à me fister. Elle avait planté un beau gode dans sa chatte et je le saisis avec la bouche pour la branler. Notre équilibre était précaire et je dus m’abandonner à Clarisse qui me fit jouir, la main enfoncée dans ma chatte trempée.

Anne m’arrêta alors qu’elle était sur le point de jouir. Elle se leva et descendit à la cuisine pour revenir l’instant d’après avec un grand verre. Elle nous demanda ensuite de la faire jouir et de recueillir son nectar dans le verre. Elle se mit debout devant nous, jambes écartées et je décidais de m’occuper de ses seins que je pinçais fortement. Sous ses encouragements, Clarisse alla chercher des pinces et en plaça quatre sur ses grandes lèvres avant de les écarter à l’aide d’une chaînette. Anne chancelait et nous décidâmes de l’attacher à une poutre horizontale à l’aide de cordes. Je pris un malin plaisir à emprisonner ses seins et à les faire saillir. La poutre idéalement située, nous permit de lier ses bras et ses mains à hauteur de ses épaules. Pour compléter le tout, nous attachâmes à ses chevilles des bracelets de cuir. Puis, avec une corde ses jambes furent maintenues écartées. Satisfaites de notre travail, Clarisse et moi admirions le corps d’Anne, offert à toutes nos envies. Clarisse chercha l’appareil photo et prit quelques clichés de notre victime consentante et visiblement de plus en plus excitée. Je tendis à Anne les boules de Geisha pour qu’elle les lèche. Ce n’était pas nécessaire mais elle adorait ça, alors pourquoi la priver… Enfin je plaçais les boules dans son sexe béant, écartelé par les pinces. Puis, j’enfonçais dans son anus préalablement lubrifié par Clarisse, un petit gode vibrant que je me gardais de mettre en route pour l’instant.

Pour la faire languir, devant Anne, immobilisée, Clarisse m’embrassa, plongeant sa langue dans ma bouche, lécha mes seins, mon ventre, mon sexe. Puis, elle me mit le gode ceinture autour de la taille, se mit à genoux et commença à le sucer. Elle prit ma main et la plaça sur sa tête pour que je guide sa fellation. Clarisse voulait que je la baise comme une chienne ? Soit, je pris ses cheveux et la forçait à entrer la totalité du gode dans sa bouche. Heureusement il n’était pas trop gros et en y allant progressivement elle ne s’étouffa pas. J’attrapais l’appareil photo et pris des clichés de la petite blonde qui s’activait sur le gode. Puis je lui dis de se lever et de se tourner. Clarisse se mit en levrette et sans autre forme de préliminaires, j’appuyais le gode contre sa chatte. Elle était étroite et je la ménageais quand même un peu. Néanmoins j’enfonçais doucement mais inéluctablement le gode en elle et Clarisse se mit à gémir. Anne nous regardait, je voyais son ventre se contracter, elle jouait avec les boules de geisha, ne pouvant faire mieux. Arrêtant mes mouvements, je dirigeais Clarisse vers Anne pour qu’elles puissent au moins s’embrasser. Je repris ma pénétration alors que leurs langues s’entremêlaient. Clarisse lécha ensuite les seins d’Anne, mordant les tétons sans ménagement. Je sentais Clarisse venir et pour accélérer sa jouissance, j’enfonçais un doigt dans son anus serré que j’avais humidifié avec sa mouille. Clarisse appréciait visiblement mon traitement et étouffa ses cris de jouissance entre les seins d’Anne. Après un instant de répit, j’enlevais le gode et proposais à Anne de le nettoyer. Elle se régala du nectar intime de notre amante et nous supplia de la faire jouir. Clarisse m’attira vers elle et, ceignant le gode à sa taille me dit que c’était mon tour. Je lui tendis des mules à talons rouges. Elle les chaussa pour moi.

Sans un mot, je me mis à genoux et embrassais ses pieds, passant ma langue sur ses chevilles, ses orteils. J’aimais faire ça et Clarisse leva une jambe pour me faciliter la tâche. Après cela, elle me demanda de lécher le gode, ce que je fis avec plaisir. Anne nous regardait avec envie mais je ne pouvais rien faire pour elle, c’est Clarisse qui menait le jeu. Elle me demanda de me tourner et investit ma chatte brûlante. Le gode était assez fin et Clarisse me dit qu’elle avait décidé de me sodomiser. Pour toute réponse je me cambrais et lui offrais mon petit trou. Je sentis sa langue chaude enduire mon œillet de salive pour préparer le passage du gode. Clarisse l’enfonça en moi d’un seul mouvement, instantanément remplie, je la suppliais de m’enculer à fond. Elle ne se fit pas prier et elle me pilonna sans retenue. Puis elle alterna le gode entre ma chatte et mon cul. C’était divin et je sentais que j’allais bientôt jouir. Mais Clarisse ne l’entendait pas ainsi, elle ôta le gode de mon cul et se présenta devant moi. Je le pris en bouche, loin d’être dégoûtée par les sécrétions âcres, je m’enivrais de mes propres odeurs intimes. Ensuite, Clarisse s’allongea entre les jambes d’Anne et me regarda.

– Maintenant, tu vas t’empaler sur le gode et tu vas lécher Anne en même temps.
– Oui, Clarisse, je ferais ce que tu veux
– Allez, viens !

Et, accroupie sur le gode je l’enfonçais dans mon cul. Clarisse posa sa main sur ma chatte et commença à me doigter alors que je donnais des coups de langues à Anne. Sa chatte ruisselait de mouille et je me régalais alors que Clarisse plongeait sa main (heureusement très fine) dans mon sexe. Doublement remplie, j’avais du mal à me concentrer sur le sexe d’Anne. Soudain, une vive douleur m’arracha un cri, Clarisse venait de me pincer le clitoris et le triturait avec ses ongles. Elle remarqua qu’elle y avait été un peu fort, mais comme je la suppliais de continuer, elle reprit de plus belle la torture de mon petit bouton gonflé. Ma langue allait de la chatte d’Anne à son cul, je jouais avec les petits fils sortant de ses orifices, elle gémissait. Puis, concentrée sur mon orgasme, je m’enculais à fond sur le gode et j’explosais, étouffant les cris de ma jouissance entre les cuisses d’Anne. Clarisse me demanda de me relever et fit de même, elle caressa de sa main luisante de mouille le visage d’Anne qui cherchait désespérément à lécher ses doigts. Puis, Clarisse ôta le gode de sa ceinture et l’essuya sur ses propres seins avant de tendre sa poitrine à la langue d’Anne. Je me sentais un peu honteuse en voyant des traces un peu douteuses sur les seins de Clarisse mais notre amante prit un grand plaisir à tout nettoyer.

Je décidais que le moment était venu de faire jouir Anne et je mis le petit gode vibrant en route. Aussitôt elle se trémoussa de plaisir. Clarisse l’embrassait, suçant sa langue comme si c’était un petit pénis. En même temps, elle malaxait ses seins, les appuyant l’un contre l’autre. Quant à moi, je m’occupais de sa chatte et fis sortir doucement les boules de geisha. Je le fis tellement doucement qu’Anne ne jouit pas et elle nous suppliait à présent de la laisser jouir.

– Je n’en peux plus, faites-moi jouir !
– Ok, ma chérie, tu vas partir au septième ciel !
– Oui, allez-y, prenez-moi !

Clarisse s’approcha de moi et me chuchota une idée à l’oreille. J’acquiesçais et je me remis à lécher le sexe d’Anne. Clarisse descendit et remonta un instant après. Elle tenait un petit objet métallique de la taille d’un briquet en main. Je ne savais pas ce que c’était, elle me demanda de me redresser et lécha mes seins, les enduisant de salive. Lorsqu ‘elle effleura mes seins avec l’objet, je sentis comme un fourmillement loin d’être douloureux et, finalement, agréable. Anne comprit instantanément en regardant mes yeux ce que c’était et lorsque Clarisse le posa doucement vers sa chatte, elle eut d’abord un mouvement de recul. Puis, Anne avança vers le petit boîtier métallique. Elle cambra ses fesses pour plaquer son sexe sur la main d’Anne. Elle ne put contenir un cri de plaisir et je me remis à l’embrasser et à malaxer ses seins. Anne n’en pouvait plus, Clarisse et moi relâchâmes un peu la pression pour la laisser souffler. Elle n’avait toujours pas joui.

– Je vais venir,
– D’accord, nous sommes prêtes.
– Clarisse, mets-le entièrement en moi s’il te plaît…
– Tu es sûre ?
– Il n’y a pas de danger ?
– Non, le voltage est bien trop faible, mais je te préviens que l’effet est terrible.
– Ok, vas-y, mais bâillonne-moi avant.

Je pris un foulard et bâillonnais Anne. Clarisse la branla encore un court instant puis, elle attacha une fine chaînette à l’objet avant de l’enfoncer dans le sexe béant d’Anne qui se mit à se remuer dans tous les sens, visiblement, et malgré ses cris étouffés, elle prenait un pied d’enfer. Son corps s’arc-boutait sous les spasmes du plaisir et j’approchais le verre de son sexe lorsqu’elle explosa. Fascinées par les flots de mouille qui sortaient de son sexe, Clarisse et moi restions bouches bées devant ce spectacle. Le verre qui devait bien faire plus de 25 centilitres se remplit presque d’un liquide légèrement blanchâtre. Clarisse but les dernières gouttes à la source et sortit les vibros des orifices d’Anne, pantelante puis, elle détacha Anne et ôta ses pinces. J’ôtais son bâillon, portais le verre à ma bouche et bus son nectar. Ça n’avait pas d’odeur particulière et lorsque je tendis le verre à Clarisse, elle fit boire Anne également avant de vider le verre. Tout ceci m’avait à nouveau excitée et je commençais à me masturber doucement.

Anne avait une autre idée en tête, elle nous emmena dans la chambre et demanda à Clarisse de revêtir une tenue de soubrette. Porte-jarretelles, bas noirs, jupe courte noire et chemisier transparent qui laissait voir ses tétons piercés. Des escarpins noirs parachevaient la transformation. Anne demanda ensuite à Clarisse de se tenir à notre entière disposition.

– Tu es d’accord Clarisse ?
– Oui, je serai à votre entière disposition.
– Ça veut dire que tu feras ce qu’on te dira de faire sans discuter !
– Bien, j’ai compris
– Soit, alors pour commencer, tu vas ranger un peu la cuisine pendant que nous prenons un bain.
– Ok.

Et Anne m’entraîna vers la salle de bains où elle fit couler un bain. Je ne tardais pas à m’installer dans la baignoire, Anne s’assit sur la cuvette, écarta les jambes et urina devant moi, me faisant profiter du spectacle. Puis, sans bouger, elle appela Clarisse.

– Oui ?
– Viens dans la salle de bains.
– J’arrive.
– Nettoie-moi.
– Bien…

Clarisse s’agenouilla et lécha le sexe d’Anne jusqu’à ce qu’elle la remercie. Anne lui demanda si elle avait fini à la cuisine et sa réponse étant affirmative, elle lui ordonna de rester dans la salle de bains, au cas où nous aurions besoin d’elle. Puis, Anne me rejoignit dans la baignoire. Sous le regard envieux de Clarisse, nous nous enlaçâmes. Anne lui ordonna d’en profiter pour nettoyer la salle de bains et elle s’exécuta, profitant la situation pour nous montrer son petit cul, son sexe humide, ses tétons dressés. Après un moment, Anne lui ordonna de chercher le téléphone, histoire de voir si nous pouvions agrémenter notre soirée d’une présence masculine.

Par chance, Hakim et un de ses amis étaient libres ce soir et nous proposaient de nous rejoindre à l’appartement. Nous sortîmes de la salle de bains et sous le regard attentif de Clarisse, Anne m’habilla. Elle choisit de me mettre la robe de latex ouverte sur les seins, des bas résilles autofixants et mes mules à talons rouges. Quant à elle, elle choisit de mettre des dessous chics et un tailleur. Elle savait que j’aimais ça et elle me faisait plaisir. Hakim arriva vers 19h, avec une bouteille de vin. Nous avions demandé à Clarisse d’aller ouvrir la porte et d’accueillir notre invité.

Cette petite cochonne lorgnait déjà vers sa braguette mais nous avions d’autres projets pour elle. Nous nous installâmes autour d’un verre, au salon et Clarisse fit le service comme une vraie petite soubrette, se tenant à côté de nous prête à obéir à nos moindres demandes. Anne ouvrit le jeu, elle renversa un peu de jus de fruits sur la table de verre.

– Clarisse, viens donc nettoyer ça !
– Bien, je vais chercher une éponge…
– Qui te parle d’éponge ?
– Je suis désolée, je…
– Allez, vas-y, je ne veux plus voir une trace !

Et Clarisse se pencha sur la table et lécha longuement les quelques gouttes sur le verre. Evidemment il restait toujours quelques gouttes de salive et Anne lui fit la remarque. Clarisse baissa les yeux. La sonnette retentit et elle alla ouvrir la porte. Elle revint accompagnée d’un homme assez imposant qui lui avait déjà collé la main aux fesses. Hakim nous présenta Roland, et nous nous présentâmes à notre tour à ce cinquantenaire un peu enveloppé.

Je lui présentais Clarisse, qui ne disait rien alors qu’il lui palpait toujours les fesses.

– Roland, je te présente Clarisse, elle est là pour nous servir ce soir, elle est à notre disposition.
– Parfait, j’aime les petites cochonnes dans son genre…
– Vous voulez une démonstration de ses talents ?
– Pourquoi pas ?
– Clarisse, suce Monsieur Roland !

Et Clarisse se baissa, massa doucement la bosse qui déformait le pantalon et en sortit un sexe décalotté et rouge. Elle posa sa bouche dessus, l’ouvrit et suça Roland devant nous. Anne avait déjà sorti la caméra et filmait notre petite soubrette, faisant des gros plans sur ses lèvres rouges enserrant le sexe de Roland. Elle s’appliquait, n’hésitant pas à frotter avec plaisir cette belle hampe contre son visage d’ange, à lécher les bourses poilues et vigoureuses. La soirée promettait d’être longue pour Clarisse…

Roland ne tarda pas à prévenir Clarisse qu’il allait jouir. Anne lui demanda de jouir son corps. Clarisse, docile se posta devant la queue gonflée, continuant à masturber Roland. Il explosa sur son visage, ses cheveux et son cou. Quant à moi, je me dirigeais vers lui pour nettoyer sa queue avec ma langue. Rien pour Clarisse qui dut se contenter de l’odeur forte de la semence de Roland. Souillée, et excitée, elle se posta devant nous attendant un ordre.

– Tu es toute souillée, je crois qu’il te faut une bonne douche, suis-moi !
– Bien…

Et Clarisse suivit Anne. Elles disparurent un instant et Anne nous appela. Elles étaient sur la terrasse, Clarisse était agenouillée, en équilibre, les mains derrière la tête. Anne s’était postée au-dessus d’elle.

– Répète à tout le monde ce que tu veux, petite catin !
– Je veux que vous me nettoyiez…
– Soit…

Et Anne releva sa jupe, et tranquillement se mit à uriner sur le visage de Clarisse, dirigeant son jet sur sa chevelure, sa bouche et son cou. Clarisse ouvrit sa bouche pour recueillir un peu de liquide qu’elle avala avec délectation. Anne la regarda.

– Remercie-moi ! Dis-moi que tu as apprécié !
– Oh oui, c’était délicieux, j’aime quand vous me faites faire tout ça.
– Alors continuons notre soirée.

De mon côté, Hakim avait commencé à s’occuper de mes seins, les écrasant doucement l’un contre l’autre. Je dirigeais ma main vers la braguette de son jean qui ne me résista pas longtemps. Sa queue jaillit et je le caressais doucement. Roland, à côté de moi, glissa sa main vers mon sexe ruisselant. Je sentis bientôt sa langue sur mon sillon, il était agile et je sentais ma chatte se liquéfier. Anne assise devant nous présentait son sexe à Clarisse qui ne se fit pas prier pour y plonger son visage encore trempé. Je m’agenouillais à mon tour et suçais tour à tour les queues d’Hakim et Roland. J’avais hâte de les sentir en moi. Roland le comprit le premier et me demanda de me relever, souleva ma robe de latex et sans autre forme de politesse m’informa qu’il allait me prendre comme une chienne. Je repris la bite d’Hakim en bouche alors que Roland pénétra mon sexe. Il savait y faire et il me fit jouir après quelques instants. Ma chatte ruisselait de plaisir alors qu’ils changèrent de place. Je goûtais mon nectar sur la queue de Roland maintenant.

Clarisse embrassait Anne sur la bouche et la suivit à l’intérieur. Mes deux étalons continuèrent à me pilonner jusqu’à leur jouissance qu’ils étalèrent sur mon visage et mes seins. Puis je leur proposais de me nettoyer. Ils eurent un peu de mal, mais ils réussirent quand même, après un moment à diriger leur jet sur moi. C’était tout simplement délicieux et je prenais un malin plaisir à les encourager en leur avouant que je n’étais qu’une catin, et que j’aimais quand ils me traitaient comme telle.

Je nettoyais de mes doigts les coulures de sperme et de pisse et portais le tout à ma bouche sous les commentaires des deux hommes ravis. Je me demandais ce que faisaient Anne et Clarisse… Entraînant mes amants, je les précédais à l’intérieur. Dans la salle de bains, Anne était nue, allongée sur le sol et Clarisse agenouillée sur son visage. A notre arrivée, elle se releva brusquement et Anne se redressa, passant sa langue sur ses lèvres. Elle proposa à Hakim et Roland de prendre notre petite soubrette en guise de récompense et ils se mirent aussitôt au travail, Clarisse commença rapidement à gémir sous leurs coups de boutoir.

Anne embrassa mes seins, elle apprécia le goût fort du mélange qui les maculait. Puis je sentis son doigt caresser mon petit trou. Elle le pénétra et je fis de même, puis, elle prit ma main, et lécha un à un mes doigts, me faisant comprendre qu’elle attendait mon autre main. Je la lui tendis et elle lécha longuement le majeur qui venait de quitter son orifice. Elle m’embrassa, sa bouche avait un goût fort et un peu âcre mais je me plongeais corps et âmes dans ce baiser. Ensuite, Anne me demanda de me tourner, ce que je fis. Puis je sentis bientôt sa langue parcourir le sillon de mes fesses, puis mon petit anneau accueillant. Sans toucher à mon sexe, elle me lécha jusqu’à la jouissance, faisant entrer sa langue et parfois ses doigts dans mon anus. Je me sentais presque un peu honteuse d’être fouillée ainsi, mais je jouis fortement alors qu’Anne embrassait mon cul sous les yeux attentifs de nos amis qui n’allaient pas tarder à exploser dans la chatte et le cul de Clarisse qui, pour une des premières fois se faisait sodomiser (assez doucement, il est vrai).

Chancelante je m’appuyais sur le rebord de la baignoire alors qu’Anne alla embrasser Clarisse sur la bouche. Cette dernière, répondit à ce baiser de façon brutale et passionnée, plongeant sa langue dans la bouche de ma compagne. Anne demanda à Roland de l’enculer, un instant plus tard, il était en elle. Les deux femmes continuaient à s’embrasser, à l’unisson, les hommes éjaculèrent dans leurs culs offerts. Un instant plus tard, Roland et Hakim, d’un commun accord, se dégagèrent. Anne me demanda de nettoyer leurs queues poisseuses. En les regardant dans les yeux je léchais longuement ces bites maculées. Anne et Clarisse continuaient à s’embrasser. Je leur proposais de me présenter leurs culs. Elles se relevèrent, se tournèrent et je commençais à lécher et à embrasser leurs fesses. Me dirigeant lentement vers leurs anus, suintants de sperme. N’hésitant plus je léchais maintenant leurs culs, plongeant ma langue en elles, goûtant leur parfums intimes mêlés de jouissance. Je crois que je jouis, rien qu’en m’enivrant de ces parfums interdits.

Hakim et Roland reprenait un peu de vigueur alors que Clarisse et Anne les branlaient. J’étais anéantie par mes orgasmes et je commençais à vaciller.

Je me réveillais dans la nuit, sous les draps, Anne à mes côtés. Je m’étais évanouie ! Le réveil indiquait 4 heures du matin, Anne dormait, je ne voulais pas la réveiller et je me rendormis aussitôt.

Le réveil nous tira du lit à 6 heures, un peu tôt à mon goût mais il fallait que je me prépare pour mon voyage. Anne s’étira et me raconta la fin de la soirée, mon évanouissement et la suite. Je me levais, pris un rapide petit-déjeuner avec ma compagne et passais sous la douche. Il fallait que j’aie les idées claires pour la journée et pour une fois, la douche ne se transforma pas en séance de baise. Je passais ensuite mes vêtements, un string, une jupe, un chemisier léger et mes sandales à talon. Fin prête je bouclais une petite valise qu’Anne avait préparée pour moi et je sautais dans la voiture après avoir embrassé mon amie.

À suivre…..

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Une réponse à Découvertes 6 – L’éducation de Clarisse par Fafalécureuil

  1. Claire dit :

    Et voila, après une petite pause je viens de me farcir le chapitre 6. S’il y en a encore d’autre comme ça, je vais finit l’après midi dans un drôle d’état

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