Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 15 – Le fantasme de Taylor

Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 15 – Le fantasme de Taylor

Bon, j’ai compris, Stanley me fait rechercher ? J’ignore pourquoi, mais il commence à me les briser, ce mec. Maintenant que je sais où il est, c’est moi qui vais m’occuper de lui !

Oh, mais, s’il me recherche, il ne faut pas qu’il me trouve ! Je me ravise.

– Tout bien réfléchi, si ce mec vient me revoir, il risque de devenir collant, si tu le revois fais le lanterner, dis-lui par exemple que l’on t’a indiqué que je serais absente plusieurs jours. Indiquais-je à Hawkins.
– Ah, bon ?
– Oui, je peux compter sur toi, j’espère ?
– Oui, bien sûr vous êtes une gentille fille !

C’est bien vrai, ça !

– Tu reviendras me voir ! Lui demandais-je en minaudant.
– Dès que j’aurais un peu de sous.
– Tu fais quoi dans la vie ?

Il me dit qu’il travaille épisodiquement chez un fermier des environs, que je ne connais pas, Le mec devient bavard et d’après les détails qu’il me fournit, je pense qu’il dit la vérité.

Après le départ d’Hawkins, je m’empresse de prévenir Dorothy.

– Je sais où est Stanley, et je crois savoir comment le coincer. Tu me laisses faire ?

Elle m’a quand même demandé quelques détails, mais je me suis bien gardé de tout lui dire. Et elle a accepté de me prêter sa cariole.

Et après m’être revêtue d’une tenue beaucoup moins provocante que mes froufrous de saloon, je prends la direction de Norton City

Et une fois sur place je me dirige directement vers le bureau du shérif en espérant que l’adjoint Taylor ait hérité de la fonction, sinon ce sera un peu plus compliqué.

Mais non, tout va bien, il est là derrière son bureau à lire ce qui doit être une gazette locale.

– Vous ! S’exclame-t-il.
– Bin, oui, moi ! J’espère que vous êtes content de me revoir.
– Ah ! Si vous saviez…
– Je viens vous apporter des nouvelles de Stanley…
– Le magot ?
– Le magot je ne sais pas, mais il a piqué la caisse du Pretty Saloon et il est en cavale…
– Mais qu’attendez-vous de moi ?
– On m’a signalé qu’il serait à Stomonton.
– Et vous voudriez que je fasse quoi ?
– Vous avez un bon motif pour l’arrêter…

Taylor semble hésiter, je me demande bien pourquoi ?

– S’il est au courant pour le magot, rien ne dit qu’il parlera… et je ne peux pas me permettre de le passer à tabac s’il est innocent, on me le reprocherait après. Rétorque-t-il.

C’est donc ça, je lui suggère donc la bonne solution :

– Vous l’arrêtez, vous le mettez en cellule un jour ou deux, pas davantage. Ensuite vous le libérez sous un prétexte quelconque, mais vous l’interdisez de séjour et vous lui conseillez d’aller se faire prendre ailleurs… et vous en profiter pour le filer.

Il est d’accord ! Ouf !

Stanley ne comprend pas. Ce que lui rapporte Hawkins n’a aucun sens.

– En fait ils vous ont peut-être dit qu’elle allait revenir alors que ce n’est pas ça du tout. Me voilà guère avancé ! Comment faire pour savoir où elle est passée ?

Hawkins qui n’est pas complètement idiot à une « solution » toute simple :

– Je peux retourner là-bas et essayer de faire parler l’une des filles…
– En principe les filles ne sont pas trop bavardes, mais on peut toujours essayer… Tu iras demain et tu monteras avec Cindy, c’est la moins maline.

Malin Hawkins, son petit stratagème c’est de revenir me voir, en sachant que la passe sera payée par Stanley, et il me demandera ce qu’il faudra qu’il lui dise en retour….

Le shérif Taylor prend ses flingues et son chapeau.

– Bon j’y vais ? Vous faites quoi, vous rentrez ? demande-t-il
– Je vais venir avec vous, je servirais de témoin.

Ben oui, d’une part, je veux m’assurer qu’il va bien l’arrêter et puis si Stanley se met à parler de moi et à débiter des conneries, je préfère être présente !

– Est-ce bien nécessaire ?
– Bien sûr, et une fois qu’il sera en cellule, Je me ferais un plaisir de vous offrir un petit câlin !
– Dans ce cas…

Il n’y a pas quarante endroits à Stomonton et nous avons trouvé rapidement Stanley.

– Les mains en l’air, vous êtes en état d’arrestation !
– Hé, j’ai rien fait, vous vous tromper… Mais qu’est-ce qu’elle fait là, celle-ci ?

Celle-ci c’est moi !

Taylor s’empare de la sacoche de Stanley et l’ouvre.

– C’est quoi cet argent ?
– Je l’ai gagné au poker !
– Quand ça ?
– Je n’ai pas à justifier me gains !

Le shérif trouve une fiche en plein milieu des billets « Werner 8 $ – Dolittle 6,30 $ »

– Et ça c’est quoi ?
– Je me souviens plus, j’ai dû ramasser ça sans faire attention…
– Vous savez ce que c’est, vous ? Me demande Taylor.
– Bien sûr ! Werner et Dolittle sont des clients du saloon, la fiche c’est leur ardoise !
– Alors Stanley vous avez gagné des ardoises au poker ?

La tronche qu’il nous tire, Stanley, tout d’un coup !

Mais il reprend vite sa superbe :

– Bon, j’ai eu un moment d’égarement, ce sont des choses qui arrivent, on peut peut-être s’arranger, non ?

Taylor ne répond pas et lui passe les menottes.

– Vous n’allez quand même pas me balader avec ces machins aux poignets, je vais me taper la honte de ma vie, je ne suis pas un criminel…
– Si t’as la honte tant mieux, de cette façon on ne te reverra pas dans le coin. Maintenant, tu t’assois et tu la fermes.

Taylor espérait que quelqu’un ne manquerait pas de le remarquer lors de l’entrée en ville, cela ne rata pas !

– Alors shérif, déjà un client ? L’apostrophe le vieux Jim en mâchouillant sa pipe en terre.
– Bof, un petit voleur sans envergure ! Répond Taylor.

Le bouche à oreille devrait fonctionner tout seul et bientôt toute la ville sera au courant.

Arrivé à son bureau, Taylor enferme Stanley dans l’arrière-salle équipée d’une cellule barreaudée et demande à ses deux adjoints de nous laisser seuls avec lui.

– Maintenant on va pouvoir causer… Commence Taylor.
– Vous n’allez quand même pas me faire pendre pour ça ? S’énerve Stanley.
– Ça dépend ! On peut faire un deal. Explique- nous ou est l’argent piqué chez McGregor et je te libère.
– Non mais ! Eructe Stanley ! Vous ne voyez pas que cette salope vous manipule ! C’est elle qui est au courant pour le magot.

Je m’attendais à ce genre de sortie et c’est bien pour cela que je tenais à accompagner Taylor pendant l’arrestation de Stanley.

– J’ai un magot à ma disposition et je reste tranquilou dans le coin en faisant la pute dans un saloon ! Très crédible !
– Parce que tu t’es fait doubler par ton complice…
– Ah, oui ? Quel complice ? Demande Taylor.

J’ai craint à ce moment-là que Stanley ait des soupçons sur William Buchanan.

– Ben, Davy Donaldson évidemment !

Pour ceux qui sont un peu perdus, précisons que Davy Donaldson est l’ancien régisseur du Pretty-saloon et il est pour le moment en fuite

Oups !

A quoi joue Stanley ? Il est évident que ne pouvant connaître la véritable raison de la fuite de Davy, son idée se tient. Mais autre chose m’inquiète, Il a appris que les shérifs de Norton city me considéraient comme une piste dans la recherche du magot, d’autre part j’avais été placé en punition par William Buchanan. Donc en toute logique c’est ce dernier qu’il devrait désigner comme « complice » et non pas Davy.

Je ne sais plus quoi dire d’autant que maintenant Taylor s’adresse à moi :

– Vous en pensez quoi, vous ?
– Je n’ai rien à voir là-dedans, et pour le reste je n’y comprends rien.

Et puis soudain je crois comprendre quelque chose : Stanley veut envoyer délibérément Taylor sur une fausse piste, et une fois libre il ne va pas cesser de m’emmerder afin de savoir ce qu’a fait William du magot.

La situation devient compliquée. J’ai tout intérêt à confirmer la fausse piste afin de me protéger, la confiance que j’ai en Taylor n’étant pas garantie. Mais pour le reste ça ne va pas être simple…

– Attendez ? Demandais-je à Taylor. Qui était au courant que McGregor avait un magot chez lui ?
– Personne ! Me répond-il. Quoi qu’au début de l’enquête il avait parlé de sa femme avec laquelle il est séparé…

Ça me parait farfelu.

– Ce serait donc elle l’instigatrice ? Mais ça ne tient pas debout dans ce cas elle se serait adressé à un spécialiste et non pas à Davy qui n’a rien d’un malfaiteur. Poursuit Taylor
– A moins répliquais-je, que dans cette affaire Davy n’ai joué qu’un rôle subalterne, de la reconnaissance, de la surveillance, et peut-être qu’à un moment donné il s’est retrouvé seul avec le magot et qu’il a faussé compagnie à ses complices… C’est parfois l’occasion qui fait le larron !
– Pas idiot ! Commente Taylor

Il m’informe ensuite qu’il va passer informer le maire (pourquoi donc ?) et qu’il me tiendra au courant le lendemain. Autrement dit je suis gentiment invité à foutre le camp.

– Je rapporte l’argent au saloon ? Lui demandais-je.
– Non, c’est moi qui m’en chargerais, je passerai demain en fin de matinée.

Il n’a pas vraiment confiance en moi, Taylor.

Le maire de Norton-City qui est également éleveur de chevaux est justement en train de s’occuper de ses bêtes.

– Ben alors, Taylor, il paraît que vous avez arrêté un voleur.
– Oui, il a piqué la caisse du saloon de Colsontown.
– Et bien bravo ! Faites-le pendre, ça distraira la population… mais faites ça dans les règles, prévenez le juge avant…
– C’est que l’individu semble savoir des choses au sujet du magot du père McGregor !
– Ah ! Et il sait quoi ?
– Disons qu’il a peut-être une piste. En fait il soupçonne Davy Donaldson, l’ancien régisseur du Pretty Saloon qui s’est enfui sans raison.
– Et on sait où il est ce Donaldson ?
– Non, mais ce Stanley le sait peut-être…
– Oui, bon on va éviter de perdre notre temps, libérez-le sous un prétexte quelconque et faites-le suivre par l’un de vos adjoints. Si au bout de 10 jours on n’a rien de nouveau, on l’arrête de nouveau et on l’envoi se balader au bout d’une corde. Ou plutôt non, on ne va pas s’encombrer de procédures, si la filature ne donne rien, liquidez-le.

Evidemment Dorothy devint folle de joie quand je lui appris que l’argent de la caisse lui serait restitué le lendemain.

J’avais néanmoins quelques appréhensions, n’ayant qu’une confiance très limitée envers le nouveau shérif Taylor.

Mais le lendemain, il était là, il rapporta l’argent comme prévu. J’étais justement en grande discussion avec Dorothy

– Il en manque peut-être un peu, il n’est pas impossible que Stanley se soit servi un peu. Précisa l’homme.

Je rigolais en mon for intérieur car j’imaginais très bien Taylor prélever quelques monnaies pour le mettre sur le dos de Stanley, mais comme on dit, c’est de bonne guerre.

– Je ne sais comme vous remercier ! Répond Dorothy
– Je n’ai fait que mon devoir mais accordez moi un petit moment intime avec Lilly !

Alors je tombe des nues ! J’avais promis un câlin à Taylor en échange du service qu’il rendait à ma patronne (et à moi aussi par ricochet), mais on pouvait faire ça n’importe où, n’importe quand, pourquoi diable fallait-il que cela se passe ici ? La réponse est pourtant claire mais ahurissante : Ce n’est pas la femme qu’il veut sauter, mais la pute !

Du grand n’importe quoi comme si j’étais une femme différente dans ma vie privée et dans mon boulot ! Bref, il y a des réactions de la part de certains bonhommes qu’il me faut renoncer à comprendre. En fait j’ai compris un tout petit peu plus tard, mais n’anticipons pas.

Et en chambre il commence par me la jouer romantique.

– Ah Lilly ! Si vous saviez quel bonheur je vais avoir à faire l’amour avec vous !
– J’en suis flattée, mais ne vous méprenez pas, je ne suis qu’une pute.
– Ne vous dépréciez pas ! Vous êtes une très belle femme !
– On le dit, on le dit ! Je vous avais promis de vous récompenser en vous offrant mon corps pour un moment intime entre nous. Le faire ici sera forcément différent.
– Pourquoi donc, je vous respecte, et je serais votre gentil client !
– Soit on va faire comme ça ! Je suppose qu’on se déshabille ?
– Oui, bien sûr !

Il est marrant à poil, musclé par les travaux manuels. J’ignore ce qu’il fabriquait avant d’être adjoint du shérif puis shérif lui-même, et je m’en fous un peu. Sa peau de roux est très pâle, il est très peu velu, tant mieux je n’aime pas les gorilles. Il ne sent pas très bon, je suis habituée aux odeurs pas trop nettes, mais là c’est un peu spécial. Bof, je ferais avec !

Je suis nue à mon tour. Il tombe en arrêt devant ma poitrine. Ça je commence à en avoir l’habitude ! Qu’est-ce qu’elle a ma poitrine ? il me demande gentiment l’autorisation de me la tripoter. Je ne saurais refuser !

Il bande comme un taureau, c’en est impressionnant une raideur pareille !

– Tu veux que je te suce ?
– Oui, mais j’aimerais aussi une petite fantaisie.
– Dis-moi, J’adore faire des fantaisies, ça me change de la routine.
– Si tu me mettais un doigt dans le cul ?

S’il n’y a que ça pour lui faire plaisir… Je lui réponds avec un grand sourire, je lui passe un linge humide sur la zigounette sans qu’il ne proteste, puis, je me baisse…

– Non je préfère sur le lit !

Ce n’est pas un problème, bien au contraire, ce sera moins fatigant. Taylor se couche sur le dos et envoie ses jambes au ciel, dégageant par là-même son trou du cul.

Et allons-y, sa bite dans ma bouche, et mon doigt dans son cul. Je m’efforce de synchroniser tout ça, titillement du gland et pompage par devant, doigtage frénétique par derrière. Et tout cela semble le ravir.

Très souvent, je propose aux amateurs de doigtage anal de remplacer mon doigt par un godemichet. Mais là je n’ose pas, allez donc savoir pourquoi ! Mais lui n’a pas ces scrupules.

– T’aurais pas un gode… pour essayer ?

Un peu étonnée tout de même, je ne l’aurais pas cru friand de ce genre de choses ! Je vais donc chercher l’engin, lui mets sous le nez, puis m’apprête à le lui enfoncer dans le fondement.

– Fais le moi sucer un peu, avant ! Me dit-il.

De mieux en mieux… et là je me dis que si nous avions baisé en amoureux sur un tas de foin, la chose n’aurait pas été possible. Serait-ce pour cela qu’il a voulu que ça passe ici ?

Toujours est-il qu’il suce le machin avec avidité en fermant les yeux, en plein dans ses fantasmes… Et il n’est nul besoin d’être grand clerc pour deviner ce doivent être ces fantasmes !

Ça y est, il a le gode dans le cul et je le fais aller et venir, il en rouge d’émotion, le garçon !

– Je peux me permettre une réflexion débile ? Me demande-t-il.
– Bien sûr, ici tu as tous les droits… sauf de me faire mal !
– Non laisse tomber, c’est idiot !
– Mais si ! Dis-moi, tu en meurs d’envie !
– Je me demande ce que ça donnerait avec une vraie bite ?

Gloups, je m’attendais à quelque chose dans le genre. Je peux me tromper, mais il me paraît évident qu’il a déjà essayé, mais je ne vais pas aller lui dire.

– La meilleure façon de savoir, c’est d’essayer ! Répondis-je simplement.
– Tu vas me prendre pour un sale pervers.
– Mais pas du tout, tu n’es pas tout seul à avoir ce fantasme ! Tiens, pas plus tard qu’hier, j’ai monté un mec qui voulait se faire prendre. On a ce qu’il faut ici pour ce genre de choses. Alors on l’a fait et le mec était tout content !
– Ah, bon ! Tu me dis qu’il y a ce qu’il faut ici ?
– Tout à fait ! Tu voudrais essayer ?
– Je ne sais pas…
– Allez lâche-toi, tu en meurs d’envie.
– N’exagérons pas !
– Si tu ne fais pas, tu regretteras de ne pas l’avoir fait.
– T’as raison, autant ne pas mourir idiot ! Ça peut se faire quand ?
– Tout de suite si tu veux !
– Alors allons-y

Et soudain, je comprends plein de choses. Normalement en pareilles circonstances, le client paie double prestation ! Sauf qu’en ce moment nous sommes en prestation offerte par la maison. Je ne me vois pas lui demander un supplément ! Voilà donc pourquoi il voulait me rencontrer au bordel ! Il voulait une sodomie gratuite ! Un peu salopard, le Taylor, mais je ne lui en veux pas !

Je demande à Taylor de m’attendre et je vais rejoindre Chang en cuisine en lui demandant de monter discrètement.

Chang pénètre dans ma chambre. Petit moment de flottement, Taylor étant maintenant au pied du mur. Il bredouille quelque chose d’incompréhensible.

– Ça va bien se passer ! Le rassure le cuisinier, le gens sont toujours content de mes services

Il se déshabille et s’astique la bite.

– Je peux sucer ! Bredouille Taylor
– Tout ce que vous voulez. Chang est à votre service.

Alors Taylor embouche la bite de l’asiatique et la suce comme s’il s’agissait de la gouteuse des friandises. Impressionnant de voir ça, d’autant que contrairement à ce que j’ai fait croire à Taylor, la chose sans être rare, n’est pas si courante. En fait ce spectacle à quelque chose d’excitant.

Ben quoi, les hommes bandent quand ils regardent deux femmes se gamahucher. J’ai bien le droit d’être troublé par cette scène !

La suite était écrite, Taylor a rejoint le lit et positionné en levrette, il offre son cul aux assauts de l’asiatique qui le lime avec une énergie dont je ne le croyais pas capable.

Taylor se masturbe frénétiquement pendant que l’autre l’encule. Il ne tarde pas à éjaculer un incroyable jet de sperme et s’affale, satisfait.

Cheng se retire et nous salue à la chinoise en inclinant son corps.

– Je te donnerais les sous tout à l’heure ! Lui chuchotais-je

J’ose espérer que Dorothy le paiera sur sa caisse, sinon, j’en serais de ma poche…

– Ça a été ? M’enquérais-je auprès de Taylor
– Une bonne expérience, oui…
– Tu veux autre chose ? Demandais-je hypocritement.
– Non, il va falloir que j’y aille.

Il s’est rhabillé, m’a gratifié d’un très chaste bisous, et il est parti ! Sacré Taylor !

A suivre

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3 réponses à Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 15 – Le fantasme de Taylor

  1. Chung dit :

    La bite, il n’y a rien de meilleur !

  2. Vigoureux dit :

    J’ai bien aimé le passage bisexuel, ça m’a rappelé ma propre histoire, jeune, je fréquentais une gagneuse qui me faisait faire des trucs cochons avec un gode (le lécher, me le mettre dans le cul) elle m’a demandé si cela m’intéresserait de faire ça avec un mec, j’ai d’abord refusé, mais ça m’a fait fantasmer et finalement j’ai fini par lui donner mon accord. Je me suis vraiment régalé et quand la fille m’a proposé de me faire enculer par le client, je n’ai même pas hésité une seconde je lui ai offert mon cul et il m’a fait ça comme un chef. Ce fut le début d’une longue série, parfois, il y avait deux mecs, une fois trois., puis la fille a pris sa retraite, j’ai cherché l’équivalent mais sans vraiment le trouver à l’exact, il faut dire que ces séances n’étaient pas triste, la fille était très décontractée et avait beaucoup d’humour en plus de son charme.

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