Richard et Louise sont dans la mi- trentaine, tout comme nous. Nous sommes tous connus à l’université. Avec le temps, Richard et Louise sont devenus nos amis intimes, au point que nous avons plusieurs fois pris nos vacances annuelles ensemble.
Louise est une grande blonde extrovertie et ne cache nullement le fait que la nature l’ait favorablement avantagé. Au contraire, Nicole est petite, les cheveux noirs et sait se faire discrète, mais elle ne donne pas sa place pour faire concurrence à Louise quand c’est le temps. Les deux femmes s’entendent merveilleusement bien.
Richard est grand, les yeux bruns, il porte une petite moustache et le corps bien développé par des années d’exercices. Je suis aussi grand que Richard, j’ai les yeux bleus, le corps plutôt mince, je suis l’intello du groupe. La passion commune pour des longues randonnées en vélo a scellé notre amitié.
Le repas de l’après- midi est pris sur le patio. Les femmes ensemble à un bout de la table, et nous les hommes à l’autre bout. Le temps chaud et ensoleillé invitait aussi à prendre un repas fortement arrosé.
L’alcool aidant, la conversation allait bon train sur l’actualité et une actualité assez particulière…
Comme le faisait remarquer Richard, il semblerait que tout le monde s’était donné le mot pour parler de sexualité. Comme les récents jugements des cours de justice dans certains états américains autorisant le mariage homosexuel, et un entrefilet dans le journal indiquant que mai serait le mois de la masturbation et que des manifestations auraient lieu un peu partout pour promouvoir le sexe solitaire.
– Non mais, on croit rêver, dit Nicole.
– Mon pauvre vieux père, dit Louise… s’il était encore de ce monde, il en ferait une syncope.
– Euh, dit Nicole. A propos de la masturbation ou l’homosexualité ?
– Les deux ! J’aurais été la honte de la famille si mon père avait su que je masturbais en cachette depuis mon tout jeune age, et le bouquet… quand je me masturbais, je fantasmais sur les hommes mais aussi sur les femmes !
– Mes oreilles me cillent, dit Richard, amusé.
Louise pouffe de rire.
– Oh, tu sais, ajouta Nicole, puisqu’on se raconte nos petits secrets intimes, si Jacques n’était pas arrivé le premier dans ma vie… Belle Louise, tu n’aurais pas eu à insister longtemps ! Je te trouve bien de mon goût ! Assez pour me convaincre d’essayer avec une femme, et ma meilleure amie en plus, je te le dis !
Je rigole sous ma cape. Richard aussi. Louise regarde Nicole intensément.
– Mhhhhh… Tu sais, t’es pas mal du tout !
Nicole embarque dans son jeu.
– Hey, Louise, viens que je t’embrasse comme seule sait faire une femme !
– Avec plaisir ! dit Louise.
Richard et moi, nous assistons en spectateur à un long et passionné baiser. Visiblement, nos femmes en rajoutaient pour la galerie.
– Qu’est- ce que t’en pense, ma belle Louise ?
– Ohhh…. j’ai encore un tout petit doute. Allez, on remet ça, chère Nicole, juste pour rendre nos gars jaloux !
Louise et Nicole remettent cela. Richard et moi nous les regardons, amusés.
– Ouauou ! Maintenant je n’ai aucun doute, Nicole !
– Aucun doute non plus, ma belle Louise. Si jamais ça marche pas avec nos hommes, nous savons quoi faire !
– Oh oui, je vire aux femmes et je te veux ! dit Nicole, en rigolant.
Rire généralisé.
– Mon dieu, ce que l’alcool nous rend joyeux, dis- je.
Eh oui, dit Richard… mais sérieusement, bien que je n’ai jamais couché avec un homme, je ne reste pas impassible non plus ! Par exemple, plus jeune, quand je m’entraînais au gym, aller au vestiaire me donnait chaud !
– Ce sont mes oreilles qui cillent ! Proteste Louise.
Richard sourit.
– Louise, avec cette demi nudité partout, il y avait de ces hommes au corps de rêve… et quel effet ils me faisaient ! Je bandais à mort, mes amis ! Et comme toi, quand je me masturbais le soir, je fantasmais aussi sur les hommes. J’aurais voulu coucher avec tous les gars du gym !
Nous rigolons de bon coeur, et nous profitons de la pause pour remplir nos verres.
– Sérieusement, de là à dire que je suis bi, j’en sais rien. Mais je ne peux rester insensible quand il y a un bel homme près de moi, dit Richard, en me regardant.
– Ouaou ! Suis- je le bel homme en question ? Dis- je amusé.
– T’es bien bâti mon beau, dit Richard amusé.
– Dans ce cas, viens que je t’embrasse… mon beau !
Richard embarque dans mon jeu, et il commence à me faire un petit bisou sur les lèvres.
Curieuse sensation d’embrasser quelqu’un avec une moustache ! Je m’habitue rapidement à sa présence, mais même en fermant les yeux, c’est bel et bien un homme que j’embrasse ! ! !
Et puis, je réalise avec surprise que ce baiser qui devait être juste de la frime pour impressionner nos femmes, Richard avait décidé non seulement de jouer le jeu, mais de faire monter les enchères !
Et du simple petit bec, je sens nos bouches qui s’ouvrent et c’est maintenant sa langue qui cherche la mienne. En bon joueur, je continue d’égaler l’offre. Ca m’excite. Je me demande bien jusqu’où Richard va aller !
J’entends les cris de nos femmes. Le spectacle leur plait, aucun doute là- dessus !
Je n’ai nullement l’intention d’arrêter, et visiblement, Richard non plus !
Richard embrasse merveilleusement bien. Je trouve singulièrement excitant que ce soit un homme qui m’allume ! Alors, j’embarque dans son jeu, à fond.
C’est finalement Nicole qui ose sonner la fin de la récréation.
– Dites les gars, avez- vous fini de déconner ? Aux dernières nouvelles, nous sommes toujours vos femmes ! dit- elle sur un ton faussement colérique.
Crac, c’est le fou rire pour Richard et moi.
De peine et de misère, toujours en rigolant, Richard finit par dire:
– Alors Jacques, conclusion ?
En pensant à la fameuse réplique de Louise après ce long baiser passionné avec Nicole…
– Richard, j’ai encore un petit doute ! On remet ça !
C’est le rire généralisé. Nous en profitons pour remplir à nouveau nos verres de vin.
Aucun de nous ne se doutait qu’à la fin de la soirée, les choses iraient beaucoup plus loin que des baisers !
– Ouaou ! Ah les gars, toujours les mêmes, ils veulent toujours nous impressionner, dit Nicole. Pas vrai, Louise ?
– Et comment !
Richard et moi nous nous regardons, amusés.
Louise se fit sérieuse.
– J’aime cette atmosphère, comme si nous vivions à quatre, sans pudeur. J’aime ça ! Et j’ai bien aimé aussi la conversation tout à l’heure, où nous pouvons raconter librement nos trucs intimes, sans pudeur.
– Moi de même, ajouta Nicole. Puisqu’on en est là, ma belle Louise, en parlant de tes fantasmes lesbiens, tu as dis une chose tout à l’heure. Tu as découvert la masturbation… très jeune ? C’est rare pour nous, les filles.
– C’est pourtant vrai, dit Louise,
– Et dire que moi, j’étais sur le tard pour un gars, dit Richard. 15 ans, presque 16 ans !
– 13 ans, dis- je. Je dois être dans la moyenne, j’imagine !
– 18 ans, dit Nicole, amusée. Comme bien des filles, nous n’en faisons pas une obsession comme vous les gars ! Et toi, Louise ?
– Comme un homme ! A 13 ans !
Sifflement admiratif de nous tous.
– Deux ans plus précoce que moi et par une fille. Ma réputation de mâle est foutue à jamais, dit Richard, sur un ton faussement catastrophé.
Nous faisons une pause, le temps de remplir nos verres, puis Louise continua.
– Devant vous tous, je peux bien vous le dire. Le hasard a été pour beaucoup dans ma découverte hâtive de la masturbation. Le hasard et aussi l’aide d’un beau jeune professeur de gymnastique !
– Ohhhhhh ! ! ! (tous en choeur)
– Vous allez arrêter de vous payer ma gueule, dit Louise. Ce n’est pas ce que vous pensez !
– Ben voyons, dit Richard, amusé.
– Et un beau prof de gym en plus, rien de moins, dis- je, jouant le jeu.
Nicole entre aussi dans notre jeu.
– Ouais ! Moi aussi j’aurais aimé être initiée à la masturbation par un beau prince charmant. Beau, tout musclé et fier allure et avec de belles mains ! Et dire que mon premier cavalier avait le visage ravagé par l’acné et faisait l’amour comme une planche à repasser. Trop idiot pour savoir faire jouir une femme, et c’est bibi ici- même qui se masturbait pour finir le travail bâclé !
Rire général !
Nicole renchérit.
– En tout cas, c’est pas juste, toujours les mêmes qui sont chanceuses !
– Mais non ! ! ! C’est pas ça du tout ! ! ! dit Louise
Louise, bonne joueuse, laissait courir les sous- entendus. Ce qui nous donne des occasions de rigoler, et aussi de refaire le plein des verres, ce qui alimentait aussi notre gaieté commune.
Puis, le visage de Louise se fit sérieux.
– Blague à part, ma découverte de la masturbation s’est faite à la suite d’un cours de gym particulièrement difficile. Je m’explique : « Il fallait grimper une corde jusqu’en haut et toucher le plafond du gymnase. D’habitude je me débrouillais assez bien avec la corde, mais va savoir pourquoi cette journée- là, rien ne marchait. Mes jambes glissaient constamment, et rapidement, je n’avais plus de force dans mes bras. Alors le prof de gymnastique m’a dit qu’il fallait que je me colle le plus possible à la corde et que je devais la faire passer entre mes jambes. Comme ça, en serrant de toutes mes forces, je peux prendre facilement la corde en étau. »
– Laisse moi deviner, dit Nicole. La corde… entre tes jambes… et en serrant de toutes tes forces… Mhhhh… Dis, ça devait frotter là où je pense, non ?
Louise pouffe de rire.
– Tu as tout compris, ma chère ! Oui, ça a aidé à grimper jusqu’en haut mais oh oui, ça a aussi… euh… frotté, avec les effets que tu penses pendant toute mon ascension ! Ouaou ! ! !
Nicole fait un clin d’oeil complice à Louise.
– Je comprends, dit- elle, amusée.
Louise poursuit.
– Quelle sensation, et une sensation complètement nouvelle pour moi ! Et c’était si bon ! A la maison, j’ai expédié mes devoirs en un temps record, au grand étonnement de mes parents. D’habitude, elle n’est pas très studieuse la Louise, mais ce soir- là, je mourrais d’envie d’être toute seule dans ma chambre, pour des études très particulières !
Rire général !
– Lorsque je suis arrivée dans ma chambre, j’ai enlevé mes vêtements en vitesse, et je me suis étendu sur le lit. Enfin nue ! Enfin libre de me toucher ! De mes mains, j’allais vers mon entrejambe. Je cherchais à recréer cette sensation de plaisir qui avait été si délicieuse pendant la séance de gym. Oh que j’ai senti ce même plaisir monter en moi ! C’était bon, je n’avais aucune idée où cela allait mener, alors j’ai continué de me toucher. Je sentais ça monter en moi. Je me sentais devenir chaude, je sentais tout mon corps qui se réveillait, et plus je me touchais, plus ça devenait bon. C’était tout nouveau pour moi, cela. C’est ainsi que j’ai connu mon premier orgasme. Je ne l’ai pas vu venir… mais lui il m’a vu venir et c’est comme ça je suis venue !
Rire général. Encore une fois, nous profitons pour regarnir nos verres. Le vin coulait à flot et visiblement, laissait tomber nos inhibitions.
– En tout cas, poursuit Louise, quel orgasme ! Jamais je n’avais pensé que ça allait finir par ce feu d’artifice. Et longtemps après avoir joui, je me vois encore étendue de tout mon long, toute souriante. Je planais toujours. J’avais la conviction que j’avais découvert quelque chose d’important… En tout cas, depuis ce jour- là, je suis devenue une très bonne grimpeuse, et c’est mon coté exhibitionniste avant l’heure, j’avais mon entrejambe en feu et ça m’excitait encore plus. Si les gens savaient que je m’envoyais en l’air devant eux et pas si innocemment que cela avec cette foutue corde !
Rire général !
– Alors, poursuit Louise, Je peux vous dire que le mois de la masturbation, à partir de ce soir- là, je l’ai vécu 12 mois par année et plusieurs fois par jour ! J’en étais une accro ! Et j’en suis encore aujourd’hui !
Nicole sourit.
– C’est beau ce que tu dis là, ma belle. Moi, j’ai découvert sur le tard la masturbation, mais comme toi, je me masturbais en moyenne une à deux fois par jour. C’était bon !
– Oui. Dit Louise. Et c’est ce qui est merveilleux de la masturbation… c’est là, c’est gratuit, Prêt à servir, comme bon nous semble. C’est comme l’homosexualité, ça fait partie de la nature humaine… il n’y a pas de honte à cela…
– Va dire ça aux moralistes de tout acabit qui veulent réglementer nos vies, dis- je.
Louise sourit.
Le vent s’est levé et quelques verres vides tombent sur la table. Je les ramasse. Louise profite de la pause pour regarder brièvement sa montre.
– Mon dieu ! Que le temps passe vite quand on est en bonne compagnie !
Louise fait mine de se lever, mais chancelante, elle se rassoit aussitôt sur sa chaise.
– Houlà ! Mais, je suis complètement saoule !
Richard renchérit.
– Je crains que moi aussi. Beaucoup trop pour conduire.
Je regarde Nicole, l’air interrogateur. Elle comprend mon message et me fait signe de la tête que c’est oui. Alors, je prends la parole.
– Ecoutez mes amis. Aucun de nous est en état de conduire. Les taxis sont rares en campagne et coûtent une fortune. Ce que je vous propose, c’est de passer la nuit avec nous. La maison est grande, il y a une chambre d’amis, avec un vrai lit, une salle de bain privée et tout ce qu’il faut pour passer la nuit.
– C’est que… Louise et moi, nous ne voudrions pas abuser de votre hospitalité, dit Richard.
Nicole intervient.
– Comme disait Louise tout à l’heure, c’est comme si nous formons un couple à quatre… alors vous abusez nullement de notre hospitalité.
– Richard, dit Louise. Demain c’est dimanche, il n’y a aucune urgence à être en ville, tu sais.
Richard sourit.
– Dans ce cas, c’est oui mes amis, nous restons ! Merci encore…
Une brusque rafale de vent frappe le visage le Richard.
– Ca va bien, même le vent se met de la partie !
– Ce matin, la radio avait annoncé des risques d’orage. Ca s’en vient, dis- je.
– Entre-temps, est- ce que nous restons encore sur le patio un petit moment jusqu’à ce que l’orage arrive ? demanda Louise.
– Il doit faire une chaleur étouffante dans la maison, dit Nicole. Restons dehors pour le moment. On verra quand le mauvais temps arrivera. Et puis, j’aime bien ce vent fort en ce moment, parce que je peux te dire que j’ai chaud en ce moment !
Richard en rajoute.
– Dites, puisque nous restons sur le patio, ça ne vous gêne pas que j’enlève mon T-shirt ? J’aimerais bien profiter pleinement de ce vent pour me ventiler pleinement !
– Bonne idée ! Je vais faire autant, dis- je.
Les filles regardent en connaisseur Richard et moi, entrain de nous déshabiller.
– Hé ! Nous ne sommes peut- être pas des Messieurs Univers, mais vous avez choisi des beaux bonhommes après tout, dis- je, en bombant le torse. Amusé, Richard joue le jeu et m’imite.
Nicole pouffe de rire.
– Ouais, mais ce n’est pas juste, renchérit Louise, sur un ton de reproche.
Nicole regarde Louise, puis compris l’allusion.
– Ouais, ce n’est pas juste, renchérit Nicole.
Richard et moi, nous nous regardons, interloqué. Je note au passage le sourire en coin de Louise et Nicole. Maudites vapeurs d’alcool, je perds de ma vivacité d’esprit.
Nicole brise la glace.
– Vous les gars, quand vous avez chaud, vous pouvez vous promener dans la rue le torse nu en toute liberté et ce n’est pas indécent. Vous croyez pas que nous les filles, nous n’avons pas chaud, nous non plus, n’est- ce pas Louise ?
C’était le signal qu’attendait Louise.
Louise enleva son t-shirt. Louise ne portant pas de soutien- gorge, donc, en un rien de temps, ses longs cheveux blonds encadraient ses seins, généreux et fermes.
Sûre de son effet, Louise poursuit.
– Vous savez, quand j’enlève mon t-shirt, mes attributs féminins deviennent des véritables attentats aux bonnes moeurs !
Nicole repart sur une autre quinte de rire. Visiblement, ma douce moitié s’amuse ferme.
Louise renchérit. Vous avez vu comment ils sont très féminins mes attributs ? Je peux battre bien des starlettes américaines du cinéma X sur leur propre terrain. Et ce sont des vrais ! Pas de rembourrage !
Richard et moi nous nous regardons, l’air amusé. Il me fit un clin d’oeil. Je souris.
– Veinard, va ! Dis- je, pour retourner ce clin d’oeil complice de Richard.
C’est maintenant au tour de Nicole d’enlever son T-Shirt.
Moi, je restais un peu perdu dans mes pensées, et aussi un peu dans la brume des vapeurs d’alcool. J’observais Richard qui visiblement se rinçait l’oeil à la vue du spectacle qu’offraient nos femmes. Je note une érection on ne peut plus visible dans ses shorts.
Je sens mon sexe en état de semi- érection. J’ai une folle pensée. Et si ça allait finir en une partouze à quatre ? Quelle belle pensée érotique, du sexe ensemble, peut- être même de la bisexualité et entre bons amis… non, c’est trop fou, me dis- je, ça ne peut pas arriver…
Par un coup de coude, Richard me ramène à la réalité.
– Non mais, Jacques, sommes- nous pas chanceux d’avoir d’aussi belles femmes ?
Je lève mon regard. Je vois Louise et Nicole souriantes et… seins nus.
– Tada ! Disent ensemble Louise et Nicole.
A mon tour de rire.
Richard regarde sa Louise puis ma belle Nicole. Il sourit.
Nicole lut ses pensées.
– Mes seins ? Vous savez, c’est à mon image. Tout en discrétion, rien de tapageur comme votre Louise ! Mais vous n’avez pas encore vu tous mes attributs féminins. Il en reste un bien caché en bas et j’en suis particulièrement fière, croyez moi !
Richard et moi rigolons, comprenant l’allusion. Louise sourit, l’air interrogateur. Visiblement elle n’avait pas pigé.
Nicole poursuit.
– Ah, vous savez, avec cette discussion que nous avons eu, ce n’est pas juste le haut du corps où j’ai chaud, mais le bas aussi !
Louise regarda Nicole interloquée. Le bas ? Quel bas ? Qu’est- ce qu’ils ont tes bas ?
Nicole décontenancée, ne répond pas immédiatement. Richard et moi nous nous regardons. L’allusion de Nicole était pourtant tellement évidente.
Richard me dit tout bas: Tu sais, moi aussi je commence à avoir chaud « en bas ».
– Je sais, dis- je. Ca fait un moment que j’observe ton érection, dis- je sur un ton amusé.
– Voyeur ! Tu sais, ton érection est pas mal du tout à regarder.
Je souris. Je saute sur l’occasion.
– Ouais, mais mon érection exige satisfaction. En ta présence, ça te gênerait ?
Richard me fit un clin d’oeil.
– Pas plus gêné que toi, mon beau…
Je souris.
Richard renchérit.
– Avec toute cette discussion sur le sexe, je me doutais un peu que ça allait finir ainsi. Entre amis intimes comme vous deux, je me sens en confiance, pour tenter l’expérience, dit Richard.
– Je pensais justement la même chose, dis- je.
De l’autre coté de la table, Nicole a de toute évidence entendu une grande partie de notre conversation.
– Je pense la même chose, mes amis. C’est oui sur toute la ligne, dit- elle à voix basse.
Louise souriante, regardait intensément Nicole. Pourtant, Louise avait du entre notre conversation, mais visiblement, elle n’a toujours pas pigé une ligne.
Nicola regarda Louise, puis dit, très doucement:
– Louise, le geste vaut mille mots. Tu me permets que je prenne ta main ? Laisse- moi faire, tu vas comprendre rapidement.
Nicole pris doucement la main droite de Louise et la glisse sous ses shorts.
– Sens ma fournaise, Louise…
Louise rougit, mais ne chercha nullement à enlever sa main posée sur le sexe de Nicole.
Après un long moment, Louise finit par dire:
– Ma pauvre, tu es toute mouillée.
Nicole sourit.
– Oui ma belle. A parler de sexe devant vous tous, aussi ouvertement et simplement, ça ne te fait pas de l’effet à toi non plus ?
Louise rougit à nouveau.
– Oui, moi aussi. Toute cette discussion m’a allumé moi aussi depuis un long moment… mais il y a plus que ça…
La main de Louise continue d’explorer l’intérieur des shorts de Nicole.
Nicole sursauta légèrement.
– Range tes griffes, s’il te plait, ma belle.
– Oh pardon. Dit Louise.
Nicole sourit.
– C’est bien la première fois que tu caresses le sexe d’une femme ? dit Nicole doucement.
Louise rougit.
– Nicole, Tu comprends, j’ai toujours fantasmé de faire l’amour avec une femme … et puis … en ce moment… tu comprends ?
– Oh, pardon, dit Nicole. Maudit alcool…
– Non, non, au contraire, j’aime ça… dit Louise, d’une voix rauque.
– Ma belle… si tu continues de me fouiller, tu comprends que… je ne suis pas faite en bois, dit Nicole.
Pour toute réponse, la main de Louise continuait de fouiller le sexe de Nicole. La montée du plaisir se lisait sur le visage de Nicole. Ce manège dura quelques temps, et par le mouvement de la main que l’on pouvait deviner à travers les shorts de Nicole, Louise masturbait Nicole consciencieusement.
Nicole ne dit mot, elle savoure le plaisir naissant.
– Maintenant, j’aimerais voir comment tu es faite, dit Louise.
Nicole soupira.
– Je me demandais si tu allais finir par le demander, dit Nicole, doucement.
Louise fit mine de défaire le short le Nicole.
– Un instant ma chérie.
Nicole leva la tête.
– Messieurs, mettez- vous aussi à l’aise. Ca fait un moment que j’observe vos érections. Moi aussi j’ai des fantasmes que j’aimerais concrétiser ! Je trouverais cela excitant de vous voir vous branler tous les deux devant moi pendant que nous faisons l’amour Louise et moi. Ca vous va ?
Richard et moi, nous nous regardons.
– Ca me va, dit Richard, amusé.
– Moi aussi, belle Nicole, dis- je.
Louise ne dit mot.
Puis Nicole se retourne vers Louise.
– Es- tu confortable à l’idée de me faire l’amour et en plus devant nos maris ? C’est beaucoup en même temps… Tu as prise beaucoup d’alcool, moi aussi d’ailleurs, mais le peu de lucidité qui me reste, je me sentirai tellement coupable si je te laisse faire des choses que tu regretterais ensuite…
– Regretter ? J’en ai toujours rêvé. Et entre amis, je trouve ça idéal.
Nicole sourit.
– Viens ma belle. Moi aussi, je meurs d’envie de voir comment tu es faite.
De notre coté, Richard et moi nous nous levons. Je ressens moi aussi les effets de l’alcool, et même doublement, car je commence aussi à sentir les effets diurétiques de l’alcool. Comme nous avons tous bu beaucoup, je me dis que mes invités doivent sûrement ressentir la même chose. J’espère qu’il ne faudra pas arrêter en pleine action pour une pause pipi !
Une fois que nous nous sommes déshabillés, Richard et moi nous bougeons la table vers un coin du patio. Comme ça, nous aurons tout l’espace voulu pour nos escapades sexuelles.
En revenant vers nos chaises, nous trouvons nos femmes assises à nouveau, mais cette fois- ci, comme nous, nos femmes sont complètement nues, et jambes écartées pour mettre bien en évidence leur sexe, et chacune prenait plaisir à observer l’autre.
Amusés, Richard et moi nous nous assoyons et nous faisons de même, montrant sans pudeur nos sexes en érection devant tous.
Je profite de l’occasion pour me rincer l’oeil !
Nicole, tout comme moi, nous avons le sexe rasé. Curieusement, en comparant avec nos invités, j’ai l’impression curieuse que cela nous donnait un air juvénile.
Le sexe de Louise était laissé au naturel. Je note son poil pubien, blond, peu abondant, faisait très belle apparence.
Le sexe de Richard, laissé lui aussi au naturel est une belle et longue bite bien droite, pointé en l’air comme un mat.
Et quant à moi, Je m’amuse à mater Richard et comparer l’apparence de nos bites respectives. Enfin je pouvais observer une belle bite en érection avec la permission de son propriétaire et en présence de nos femmes, que demander de plus !
Entre-temps, Nicole et Louise avaient fait comme nous, une inspection visuelle des entrejambes de tout le monde.
– Incroyable, je suis nue devant mes meilleurs amis et à observer votre nudité à tous, dit Louise.
Nicole sourit.
– Ca m’excite follement, rajoute Louise.
– Moi aussi, ma belle. Alors, belle Louise, me voilà en tenue d’Eve devant toi. Suis- je comme dans tes fantasmes lesbiens ?
– Tu es belle, et ton sexe est beau, dit Louise. Je rêve de te manger, dit goulûment Louise. Là où tu es, sur ta chaise… maintenant.
Nicole sourit. Louise se leva de sa chaise, titubante. Puis Louise se met à quatre pattes et se place juste devant Nicole.
– Fantastique. Juste à la bonne hauteur, dit tout bas, Louise.
Louise commence à lécher le sexe de Nicole.
A coté de moi, je vois que Richard a déjà commencé à se masturber. J’en fais autant, et ne voulant rien rater, j’observe en alternance Richard qui se masturbe et ensuite Louise et Nicole.
La langue de Louise s’activait de plus en plus sur le sexe de Nicole. Les mains de Nicole jouaient distraitement dans les longs cheveux blonds de Louise.
Je regardais ma belle Nicole, me demandant comme ça allait pour elle.
Elle a du lire ma pensée.
– Ma meilleure amie vit son fantasme et me fait un cunnilingus, pas désagréable du tout, pendant que je vous observe messieurs entrain de vous branler devant moi. Moi aussi je vis mon fantasme, dit- elle.
Nicole ferme les yeux, un instant. Sa respiration commence à se faire sifflante.
– Ma belle Louise, tu baises comme une déesse, dit- elle tout bas.
Nicole fait une autre pause. Visiblement, son plaisir montait.
– Et je ne durais pas bien longtemps à ce régime…
Louise en profite pour redoubler d’ardeur.
Moi, je ne cesse pas de me masturber. J’avais momentanément cessé d’observer Richard entrain de se branler pour me concentrer sur le spectacle qu’offre nos femmes. Je trouve cela fascinant d’observer les corps gracieux de nos femmes s’activer ainsi devant nous.
Puis, Nicole tente de me ramener à la réalité.
– Jacques… Jacques… regarde Richard…
Je tourne la tête. Je vois Richard, le visage crispé. Il se branle à toute vitesse. Visiblement, il est sur le point de jouir.
Je l’observe intensément.
Ca y est. Richard commence à éjaculer.
Je suis fasciné. Mes yeux sont maintenant rivés sur sa bite. Spasme après spasme, j’observe le sperme qui sort, comme au ralenti. Autrement que ma propre éjaculation, jamais ai- je eu la chance de voir d’aussi près la jouissance d’un homme.
Je suis étonné par la puissance de l’éjaculation de Richard et l’abondance du sperme. J’imagine les coups de butoir qu’il doit sentir et les vagues de plaisir qui doivent le frapper.
Je me masturbe furieusement. J’en peux plus. Quelques instants plus tard, c’est à mon tour de jouir.
Je m’abandonne au plaisir, oubliant complètement la présence de mes amis.
Après un temps infini, un long râle de Nicole me ramène brutalement sur terre.
C’est maintenant au tour de Nicole d’être au bord de l’orgasme. Ses yeux sont mi- clos, sa respiration est bruyante et saccadée. J’imagine son excitation entrain de la gagner.
Soudain Nicole pousse un autre râle, et ensuite elle projeta sa tête vers l’arrière.
Ca y est, c’est son tour de jouir. Des spasmes réguliers traversent tout son corps. Nous observons tous sa jouissance.
Bien longtemps après le dernier spasme, Nicole ramena sa tête vers l’avant, et nous regarde tous, un peu l’air hébété, puis elle sourit.
Louise regarde Nicole, observant intensément chaque geste et n’osait dire mot.
Je brise la glace.
– Ca va ma belle ?
– Je flotte… Encore sur mon nuage, Jacques… Mon dieu, j’ai rarement joui comme ça…
– Je pense que nous en sommes tous un peu là, dis- je, doucement.
– Moi aussi Nicole, dit Richard. Voir ma Louise te faire l’amour et Jacques qui se branle à côté de moi, moi aussi, j’ai rarement joui aussi fort.
Puis Nicole se penche vers Louise…
– Tu baises comme une déesse, ma belle… Merci….
Louise sourit.
– Mais de nous quatre, tu es la seule qui n’a pas encore joui, ma belle, dit doucement Nicole.
– Tu sais, j’ai réalisé mon fantasme. J’ai bien goûté à ton sexe, et je me suis bien masturbée aussi… et j’ai vu ton plaisir de près, de très près, dit Louise. Ce fut beau… très beau. Plus beau que tous mes rêves lesbiens, tu sais… Alors…
– Allez, il faut que je t’embrasse ma belle, dit doucement Nicole.
Nicole se penche, comme pour aller embrasser Louise et réalisant qu’elle allait perdre l’équilibre, elle se rattrape au dernier moment pour se rasseoir sur sa chaise.
– J’irais bien t’embrasser ma belle Louise, dit Nicole, mais je suis clouée à ma chaise !
– Problème ? Dis- je.
Nicole pouffe de rire.
– Trop saoule ! C’est ça le problème ! Trop saoule pour quitter ma chaise et autre dilemme, j’ai maintenant une furieuse envie de pisser, et je suis trop saoule pour me lever et me rendre à la toilette !
– Bah, je ne serais pas choqué si tu restes sur ta chaise et que tu pisses devant nous, surtout au point où nous en sommes, dit Richard.
Puis il se retourne vers moi et dit:
– Mais pour ce qui est du patio, par contre…
– Le plancher ? Oh, ça va, dis- je. Et puis, regardez le ciel, vous allez comprendre.
Des gros nuages noirs d’orage sont maintenant au- dessus de nous. L’orage est imminent.
– Même Le ciel va nous pisser dessus d’une minute à l’autre ! Et puis, même s’il ne pleut pas, ce n’est pas une petite flaque d’urine qui va ruiner mon patio, tout de même, dis- je.
– La flaque d’urine risque d’être plus grande que tu penses, mon beau, Moi aussi, ma vessie me travaille depuis quelques temps, dit Richard, en souriant. Et je pense faire comme ta belle Nicole, et pisser devant vous tous, et bien assis sur ma chaise !
– Hé ! Moi aussi j’ai envie de pisser ! dit Louise en rigolant.
Ma propre vessie commençait aussi à me parler sérieusement. Ca promet !
Je me faisais mentalement l’image de nous quatre entrain d’uriner tranquillement de façon innocente. A imaginer tous ces jets d’urine jaillir de nos sexes en même temps, je trouvais l’image vachement érotique !
Nicole se penche à nouveau vers Louise, dont elle n’avait toujours pas bougé, étant toujours entre ses jambes, son visage littéralement devant le sexe de Nicole.
– Avec toutes mes excuses, ma belle, ça devient urgent. Si tu peux bouger juste un petit peu…
A la surprise générale, Louise dit, sur un ton enjoué:
– Non ! J’en ai pas l’intention !
– S’il te plait, dit Nicole, je ne peux plus me retenir. Je vais t’arroser, si tu restes devant moi.
– J’y suis, j’y reste !
– Louise ! ! !
– Non ! ! !
– Bon… A chacun ses fantasmes, dit Nicole, tout bas.
Nicole place ses mains vers son entrejambe. Quelques instants plus tard, un mince filet d’eau dorée commence à jaillir, puis prit de la force, pour atteindre le visage de Louise.
Louise ouvre ensuite la bouche, et après une grimace, elle but quelques gorgées de cette eau dorée.
Puis le jet d’urine arrose son corps. De ses mains, Louise se massait les seins.
Nicole complètement ébahie observe ce qui se passe, impuissante.
De notre coté, nous voyons Louise, son corps luisant d’urine et ses beaux cheveux maintenant partiellement mouillé, elle offre tout un spectacle.
– Si tu peux, vise ma chatte, dit Louise.
– Facile à dire, dit Nicole. Fais- le avec ton eau à toi, ma belle.
Louise comprit le message. Elle commence à uriner à son tour.
Richard et moi nous regardons ébahis le bien curieux spectacle. Non seulement nous voyons le jet d’urine de Nicole continuant d’arroser Louise, maintenant, entre les jambes de Louise, nous voyons un deuxième jet d’urine apparaître.
Puis, Louise place sa main dans son jet d’urine, puis elle commence à se masturber tout en continuant d’uriner, et toujours sous le jet de Nicole.
Puis Nicole nous regarde.
– Va falloir songer aux renforts les amis, je suis quasiment à sec… Puis, faites- le pour Louise, elle l’a bien mérité cet après- midi.
Richard et moi arrivons en titubant à la hauteur de Louise. Nous nous plaçons de chaque coté.
Je suis le premier à uriner, Richard suivit quelques instants d’après.
Initialement, mon jet d’urine atteint ses cheveux. Richard en fit autant. En un rien de temps, Louise était entièrement détrempée. Malgré l’étrangeté de la situation, Louise était belle et plus sexy que jamais.
– Son sexe, mes amis, son sexe… dit Nicole, doucement.
Richard et moi ajustons le tir.
Je sens la flaque d’urine, nos urines gagner mes pieds. Une fine odeur d’urine commençait à flotter dans l’air, l’odeur de nous tous.
Quel spectacle. J’étais debout avec Richard, et Nicole assise, nos sexes à la main, nous sommes tous à regarder la pauvre Louise se masturber furieusement sous nos jets d’urine. Visiblement, toute cette urine catalyse son plaisir.
Puis, Louise ferme ses yeux. Quelques secondes plus tard, elle pousse un long râle, et ça y est, c’est au tour de Louise de jouir. Nous étions tous les trois à observer en voyeur la jouissance que Louise offrait à nous.
Après le dernier spasme, Louise se laisse tomber sur le sol, dans l’immense flaque d’urine. D’un commun accord, nous cessons d’uriner. Ses beaux cheveux complètement détrempés, son corps luisant et son sexe humide de notre pisse à tous, la situation aurait pu paraître sordide, mais devant nous tous, Louise était belle à regarder.
Louise reprit graduellement ses esprits. Son visage se fit souriant.
Richard s’agenouilla auprès de Louise.
Comment ça va ?
– Wow…. C’est comme… ma première masturbation… vidée… heureuse… je plane encore…
– Tu m’avais pas dit que tu aimais te faire pisser, dit Richard doucement.
Louise sourit.
– Moi non plus… je ne savais pas ! Je découvre…
Nicole regarde Louise, l’air un peu sceptique.
– Nicole… je te le jure… Un coup de tête… j’étais curieuse de voir… wow…
Nicole sourit.
Louise était toujours allongée sur le dos dans cette immense flaque d’urine, toujours souriante, mais visiblement, elle reprenait graduellement ses esprits, ses phrases étant moins saccadées.
– Nicole, as- tu une idée du contact de l’urine sur la peau ? C’est la plus délicieuse des sensations… c’est chaud, c’est agréable, c’est magnifique. Ca été… une révélation pour moi… je te le dis, c’est merveilleux… et je crois qu’ensuite… euh… j’ai perdu la tête ensuite.
– J’ai bien vu cela, dit doucement Nicole. Ton plaisir était fascinant à regarder, ma belle.
Louise, ne dit mot. Son visage est toujours souriant.
Nicole sourit à son tour, n’osant pas insister.
– Bien joui, ma belle ? demande Nicole.
– Oh que oui ! Je plane encore !
– C’est l’essentiel, ma belle.
Richard sourit.
Dites les amis, ça donne une furieuse envie d’essayer, la prochaine fois, non ?
– Je pense la même chose, dis- je.
– Et dire que je me sentais tellement coupable de pisser sur Louise. Si j’avais su, dit Nicole. En tout cas…
Un coup du tonnerre coupe la phrase de Nicole. Quelques instants plus tard, c’est la pluie, intense.
– Eh bien pour la douche, elle est la bienvenue, dit Louise. Avec toute cette urine, j’en ai bien foutument besoin !
Nicole sourit.
– Dites les gars, aidez Louise à se relever.
Ce que nous faisons. Puis, nous aidons Nicole à se lever à son tour. Nous formons un cercle, nous tenant tous solidement par la main.
Nous prenons le temps de savourer cette douche improvisée. Le sourire se dessinait sur le visage de chacun. Pas besoin de parler, c’est inutile. Ce fut une journée mémorable.
Nous restons immobile pendant de longues minutes, puis un autre claquement de tonnerre, beaucoup plus proche se fit entendre.
– Ah zut, ça devient sérieux. Restons pas là, dit Nicole.
Clopin-clopant, nous rentrons tous à la maison.
A suivre…
Et la suite elle est ou ?
Nous ne l’avons jamais reçu, mais si quelqu’un veut s’y coller….
Le passage uro est de toute beauté !