Les audaces de Martine en vacances (2) Par Jean-Michel_et_Martine

Donc, hier soir, la veille de notre départ en vacances, Martine m’avait averti que pendant ce séjour que nous allions faire, j’avais intérêt à me montrer aussi en forme qu’elle, car elle avait l’intention de profiter de toutes les circonstances favorables pour se laisser aller à quelques audaces, quelques excentricités dont elle avait le secret. Et pour me mettre dans l’ambiance, entre la préparation des valises et la douche, elle m’avait fait le « grand jeu » de la provocation auquel bien sur, j’avais répondu.

Ce matin, à peine avions nous pris la route qu’elle avait repris son sommeil écourté par notre départ matinal. Je roulais depuis plus d’une heure sur l’A1 quand l’arrêt dans une file du péage la réveilla ;

– Wouah !… Toutes ces bagnoles… Quelles queues !
– Je te rappelle qu’un samedi 30 juillet c’est un jour de pointe… Fison buté l’avait dit !

Il y avait au moins une vingtaine de voitures devant nous.

– Arrête-toi sur le parking à droite. Je prendrai le volant après une pause pipi. Mes deux tasses de thé sont descendues et après le péage on en a pour un bon moment avant de trouver des autres toilettes.
– Sur l’autoroute jusque Paris et le périf… c’est pas la campagne hein ! Coincée ma Martine !
– Tu crois ? Si tu ne les as pas virés, dans le coffre il y a toujours ma bouteille de Contrex vide et mon entonnoir. Le temps d’un petit arrêt pour les prendre… tu roules doucement… et mon pipi est en bouteille. Grand cru « Château Martine ».
– Ah, c’est vrai. Il y a longtemps tu nous as fait une superbe démonstration dans le parking des Dentellières.
– J’ai renouvelé plusieurs fois depuis… Même une fois où j’étais en jean’s. Mais quand même, en urgence, je préfère un coin discret dans la nature ou en ville, avec toi comme garde du corps.

Le péage une fois passé, on serra à droite vers le petit parking et les toilettes. Alors que j’allais vers l’urinoir, je fus surpris de la voir se diriger d’un pas décidé vers les toilettes côté « Hommes ».

– Tu veux que je t’aide ?lui demandais-je.
– S’il y avait moins de monde je te dirais « chiche !»

Nous nous retrouvons peu après à la sortie.

– Tu l’as fait exprès d’aller pisser chez les hommes ?
– Quoi ? dit-elle surprise

Et se retournant, elle vit la flèche indiquant « Dames » de l’autre côté. Elle se mit à rire.

– C’est pour cela que tu voulais m’aider ? J’ai vu les urinoirs « Hommes », j’ai cru sans réfléchir que les toilettes c’était « Dames ». Je ne suis pas encore bien éveillée. Ah ! C’est çà la tête du mec que j’ai rencontré en sortant ? Et puis côté femmes il y a toujours la queue, alors que chez les hommes il y a trop de place. Plutôt que d’attendre les femmes devraient investir les places disponibles… non ?
– Il y a aussi des places aux urinoirs chez les hommes, tu pourrais aussi t’y installer… dis-je en riant.
– J’imagine la tête des mecs si trois ou quatre nanas se posaient côte à côte avec eux devant un urinoir… Je pense aussi à la tête que toi tu ferais si ta petite pisseuse se montrait ainsi à des hommes. Avec toi seul, je l’ai déjà fait plusieurs fois sans problèmes… Mais devant un autre… je calerai… c’est sûr :

Après un sandwich et un coup de Contrex elle prit le volant pour continuer vers Paris dont elle connaissait par cœur toutes les portes du périphérique. Puis ce fut Ablis et L’océane vers Rennes.

—–0—–
Ça roulait bien malgré les prévisions pessimistes. La radio était ouverte sur « infos-routes ». Pas de gros ralentissements en vue. La conversation allait sur tout et rien… Le travail laissé… Comment était l’hôtel qui nous attendait… La météo que nous allions avoir… etc… Je ne puis m’empêcher de poser une question :

– Tu m’as dit que tu aurai des audaces en vacances. Que nous as-tu préparé ?
– Oh… mais tu es curieux. Je pense à des choses inhabituelles… des lieux… des façons de faire… dans la nature… dans la voiture… etc… J’ai mon petit côté exhib qui me chatouille
– Il n’y a que ton petit côté exhib qui te chatouille ?
– Pour l’instant oui. Mais tout à l’heure à l’hôtel… je pense qu’il y aura autre chose. Puisque tu m’as si bien épilée hier soir, tu auras le droit de … ah, et puis on arrête. A 130 kilomètres-heure c’est pas prudent. Tiens… il est près de 12h30. Et si on s’arrêtait pour un petit déjeuner et un pipi sur une aire de repos?

Passé Laval, l’occasion se présenta. Une fois engagé sur la bretelle, on arrivait sur une aire surchargée vu le jour et l’heure. Tout au fond, à cheval sur une bordure, je réussis à trouver ce qui n’était pas une place de parking habituel.

– On commence par quoi ? On pisse ou on mange ?
– On pisse d’abord… Manger ça peut attendre.

La réponse de Martine ne me surprit pas.
J’étais stationné face à une clôture grillagée donnant sur un bosquet, et la porte du passager serrait de prés une haie épaisse au point que Martine dût vraiment se glisser pour sortir ;

– Tiens…regarde. Il doit y avoir du monde aux toilettes. Si ça urge, ici avec la porte ouverte tu ne risques pas d’être vue. Le mec d’à côté est sûrement entrain de déjeuner.
– Oui… c’est vrai… le coin est bon. Mais en jean’s et sans mon travelmate rangé dans une valise, par la braguette c’est risquer de me mouiller, et tout baisser c’est plus long… et il y a quand même un risque d’être vue.
– Et alors… et ton audace annoncée ?
– Tu veux de l’audace trésor ? Direction la station-service. Tu vas peut-être en avoir. Je n’ai pas l’intention de faire la queue derrière une vingtaine de femmes s’il n’y a personne aux toilettes des hommes.

Ce disant, c’est d’un pas décidé qu’elle prit la direction de la station en coupant au travers du parking.
En poussant la porte en verre, on est pris par une odeur de tabac, de café, de friture. Un brouhaha multilangue donne un fond sonore caractéristique au lieu. Insensible à cette ambiance, Martine me demande :

– Tiens… Regarde… c’est par-là… file moi un kleenex quelque fois que…

Comme prévu, il y avait une longue file d’attente chez les dames et des entrées-sorties régulières chez les hommes.

– Bon… Jean-Mich’… tu mets un œil chez les hommes et tu me fais signe s’il y a une toilette libre… O.K. ? Et tu m’attends en te lavant les mains.

Elle était donc bien décidée à braver les bonnes manières, peu soucieuse du trouble que cela n’allait pas manquer de susciter.
Je m’avançais donc jusqu’à la porte et constatai que trois portes de toilettes étaient entr’ouvertes. Je lui fis signe O.K. et indiquais trois de mes doigts.
Peu après, installé et occupé devant mon urinoir, j’entendis des voix féminines derrière moi puis le bruit des portes qui se ferment. Comme demandé, puisque j’étais en avance, je pris beaucoup de temps à me laver les mains, et bientôt Martine sortit radieuse suivie par deux autres femmes avec lesquelles elle parlait en anglais. Elles vinrent elles aussi se laver les mains en continuant de converser sous les regards ahuris de quelques mecs qui n’en croyaient pas leurs yeux.
Elle me présenta en anglais aux deux autres, puis on se souhaita bon voyage et bonnes vacances.
Les voyant sortir, d’autres femmes semblaient hésiter, et je suis persuadé que l’exemple de Martine fut suivi, au moins par les plus pressées.
De retour à la voiture, on ouvrit la boite à crudités et Martine me raconta :

– Pendant que j’attendais ton signe, j’ai entendu au bout de la file, les deux anglaises qui se plaignaient de l’attente alors que de l’autre côté il n’y avait personne. En général, les anglaises sont plus délurées que les françaises, je l’ai souvent constaté. Je me suis donc adressé à elles en anglais pour leur dire que mon mari m’avait fait signe qu’il y avait des cabines libres. Elles ont parues ravies et m’ont suivie. Tu connais la suite. Quand je suis sortie, il y avait deux autres hommes avec toi… Si tu avais vu leur surprise. Ils ont dû nous prendre pour des extraterrestres. La tête… !

– Vous avez dû les émoustiller terrible.
– Tant mieux. De quoi on se plaint ? Ca fera peut-être plaisir à certaines ce soir. Dans quel état ils auraient été si je m’étais installée à côté de toi ? Tu verras qu’un jour où j’aurais bu du Champagne, comme hier, je le ferai. Je n’arriverai pas à pisser c’est sûr, s’il y a quelqu’un d’autre que toi. Mais en jean’s je ferai au moins semblant, histoire de voir la réaction des mecs.
– Tu vas te faire sauter dessus.
– Tu seras là… çà les fera reculer et puis tu me défendras j’espère !

La salade de tomates fut suivie d’un nouveau coup de Contrex et ce fut la direction de Poullan sur mer, avec évidemment, en cours de route, comme nous n’étions plus sur les voies rapides, un pipi vite fait dans la nature.
J’eu le droit de voir le jean’s puis le mini slip descendre sur les cuisses. Puis les petites fesses blanches se posèrent sur le bord de la portière comme sur des toilettes.

– Et oui… pourquoi ne pas profiter du confort tant qu’à faire… souligna t-elle

Puis ce fut le chuchotement de la petite source. Comme tous les « pipis nécessité » j’eus le droit de voir et d’entendre en tant que garde du corps, sans plus. La bagatelle c’est uniquement sur invitation. C’est dans nos conventions, comme de ne pas faire de photos dans ces moments là.

—–0—–
L’hôtel « L’espérance » n’était pas luxueux, mais il était confortable et accueillant.
Après le dîner, je passai sous la douche. Je pensais que pour ouvrir les vacances elle allait m’accompagner, mais elle resta occupée à ranger les valises dans l’armoire en chantonnant. Sortant de la cabine je la trouvai déjà toute nue prête à me succéder.
Privé de la douche en commun et des petits jeux uro qui souvent vont avec, je m’attendais à ce qu’elle m’invite à un pipi spectaculaire du genre debout contre le mur de la cabine avant de commencer. Mais non. Rien… Elle tira la glissière en disant :

– Salut… A tout de suite.

Et j’entendis le bruit de l’eau pendant qu’elle se savonnait en continuant à chantonner.
J’étais surpris. La douche lui donne toujours envie de pisser si elle n’a pas pris soin de faire avant. Et ce soir elle n’est pas passée au-dessus de la cuvette depuis le dîner, je l’aurais vu ou entendu, même avec le bruit de l’eau. Entre les toilettes et la douche il n’y a qu’une petite cloison en plastique. Pendant tout le voyage, ses petites fantaisies m’avaient terriblement excité, et voilà qu’au moment de pouvoir enfin assouvir mes désirs, ce petit bourreau, peut-être fatigué par la route, préférait pisser toute seule sous la douche… sans moi.
Pour ce soir je devrai donc me contenter de quelques préliminaires classiques avant que l’on s’envoie en l’air. Bon… Demain ce sera mieux sans doutes. Et j’allais m’allonger sur le lit en l’attendant. Le bruit de l’eau s’arrêta et elle lança avec conviction :

– Ouah… Ca fait du bien !

J’entendis le bruit de la glissière, celui de la serviette éponge, puis le bruit du peigne et de la brosse sur la tablette de toilette.

– Jean-Mich’… Tu veux me passer ma robe de chambre s’il te plait ?

Tiens… Elle ne va pas rester toute nue ? C’est nouveau.
Quand j’entrai dans la salle de bain, je la trouvai assise confortablement sur les toilettes, les avants bras croisés sur le bas de son ventre, les cuisses bien serrées. Elle prit la robe de chambre que je lui tendais et la posa sur le lavabo, puis, avec son petit rire elle annonça :

– Tu sais que depuis notre départ il y avait un passager clandestin avec nous ? Plusieurs fois au cours du voyage j’ai dû prendre des précautions pour lui imposer silence. Mais maintenant, il peut se défouler et donner libre cours à sa joie.

Faute de comprendre de quoi elle parlait, je pressentis qu’il s’agissait d’un de ses petits jeux.

– Mais où était-il donc caché ?
– Là où personne ne pouvait le voir. C’est mon petit rossignol. Ecoute. Il va chanter pour toi.

Et tout en me regardant avec un sourire vicieux, presque sadique, elle laissa échapper des petits jets sifflotants. Tantôt plus aigus… Tantôt plus graves… Tantôt modulés. Chaque petit jet était différent du précédent. Comme elle était bien assise, jambes jointes, elle pouvait serrer le bas de son ventre comme elle voulait pour faire sa petite musique.
Je devais jouer à son jeu et me mis à genoux devant elle

– Ouvre un peu les jambes et lève toi un peu. Laisse-moi voir ton petit rossignol quand il chante.
– Non… non impossible. Tu l’écoutes simplement. Il est timide. Si tu le regardes il ne saura plus chanter.
– Allez… Je l’ai entendu… Je voudrais le voir maintenant.
– Non… Tu vas lui faire peur. Ecoute… Je crois qu’il peut encore chanter un peu.

Il y eut encore deux petits gazouillis et il se tut.

– Bon… Soit… Mais laisse-moi au moins le remercier et lui faire un petit baiser pour essorer ses dernières gouttes.
– Non… Il est fatigué par toute cette route qu’il a faite aujourd’hui. Il a besoin de dormir. Tu vas l’énerver… Je sais que tu ne te contenteras pas juste de ramasser les gouttes qu’il a perdues. Tu vas vouloir en manger.

Je savais que ce n’était qu’un jeu. Que nous étions complices. Que je devais continuer. Je proposai sûr de mon idée :

– Je m’arrêterai s’il le veut.
– Bon… Juste les gouttes alors.

Elle se leva et resta bien campée, jambes écartées devant ma bouche, les mains le long des cuisses. Elle assura :

– Je te le confie. Sois gentil avec lui.

Je comprenais maintenant toute son attitude depuis notre installation dans la chambre. Elle avait bien pensé son coup. A genoux devant cette foufoune épilée depuis moins de vingt-quatre heures, en m’approchant je sentis cette odeur faite du mélange de savonnette et de pipi tout frais. Il y avait peu de choses à essorer, mais je pris grand soin quand même de passer la langue partout entre les cuisses et sur toute sa fente.
Ses mains vinrent se poser sur mes épaules comme pour m’empêcher de reculer. Je vis ses petites lèvres brunir et le clito sortir de sa cachette. Je glissais la langue dans la fente qui se gonflait et sentis le goût un peu acre de son plaisir. Sa respiration devenait plus rapide et le bas de son ventre avait de petits tressautements qu’elle ne pouvait pas maîtriser.
Le petit rossignol appréciait les passages de ma langue. Nous étions loin des quelques gouttes que je devais essorer. Je sentais mes lèvres et mon menton tout mouillés. Dans ma bouche j’avais le goût acre de sa jouissance qu’elle ne cachait pas.
Tout en continuant je pensais au petit jeu qu’elle m’avait joué. Comment avais-je pu penser que ce soir serait un soir banal ?

Du premier pipi au péage, puis celui de la station, sans oublier celui dans la nature assise sur le bord de la voiture et qu’elle aurait pu faire plus discret si elle avait voulu, loin de mes regards, en ajoutant le défi de l’urinoir en présence d’hommes qu’elle serait bien fichue de réaliser, en fait tout cela a servi à faire monter la pression qu’elle a maîtrisée jusqu’au moment où elle l’a voulu pour faire son petit feu d’artifices.
Elle m’a dit un jour :

– J’aime gouverner. C’est ma façon à moi. J’aime sentir monter la pression sous le bouchon de Champagne avant de le laisser exploser

Elle l’avait encore montré.

Je continuais à m’occuper de sa fente avec ma langue et, en confiance, elle me laissait mordiller tout ce que je pouvais attraper. Elle ne pouvait pas ignorer que son attitude me donnait une envie terrible à moi aussi de prendre une part du gâteau.
Elle m’interrompit en disant :

– Viens on va finir sur le lit.

Elle prit une serviette au vol, l’installa sur le bord du lit, y posa les fesses et les talons.

– Fais-moi encore un peu avec la langue… après je te fais jouir aussi… Tu veux ?

Ma tête maintenant entre ses cuisses bien ouvertes, ma langue se promenait partout du haut en bas de sa fente, s’attardant sur le clito bien sorti de son repaire. Il me parut encore plus grand et plus gros que d’habitude.
Sa respiration franchement bruyante était maintenant accompagnée de petits cris. Je pensais aux voisins de chambres, elle aussi sans doutes car habituellement elle se contenait moins. Elle m’arrêta :

– Viens… Pour nous deux maintenant. Couche-toi sur le dos. Je vais te le faire.

Elle attrapa mon sexe et admis :

– Elle aussi en a bien envie hein? Attend.

Elle aimait provoquer certes, et son plaisir de gouverner faisait qu’elle préférait à toutes les positions celles où elle pouvait dominer et me faire jouir comme elle le voulait.
Elle arriva sur moi et s’empala presque sans que je m’en rende compte tant elle était mouillée. Elle fit des va et viens très lents en surveillant mon visage et mes réactions.

– Dis-moi quand tu seras prêt à jouir… J’accélérerai et on ira à deux. O.K,

Et elle continua doucement, très doucement épiant mes réactions.
Délicate attention ou plaisir un peu sadique ?
Je jouais encore son jeu et me contenais tant que je pouvais. Dur après tout ce que j’avais vécu dans la journée et dans la salle de bain.
Mes doigts se crispèrent sur ses cuisses, elle comprit le signal et accéléra ses va et viens. Elle émit un petit grognement au moment où je la bloquai contre moi pour l’arrêter. A l’éjaculation mon plaisir intense était devenu presque douleur.
Elle prit un temps et une grande respiration avant de dire :

– Hier soir… Aujourd’hui… Heureusement que c’est les vacances hein ? Mais dis… Tout à l’heure, tu avais l’air de penser qu’on allait se mettre au lit comme çà, sans rien, juste une petite baise… un jour de vacances. Tu sais que j’aime te faire languir. Tu as dit que j’avais un petit côté sadique en plus de mes talents d’exhibitionniste. Et bien je crois que tu as raison.
Et d’ajouter pour montrer que vraiment elle a un côté sadique :
– Bon… Mais tout çà m’a encore donné envie de pisser… Ta pression est tombée, la mienne aussi. J’y vais seule ou tu viens avec moi?
– On y va à deux, histoire de te faire voir que j’aime vraiment tes pipis pas uniquement pour ce qui vient après.
– Cette fois c’est toi qui choisis le pipi que tu veux que je te fasse. Je t’écoute.

Je l’emmenai dans la cabine de douche, mes mains sur ses petites fesses je la serrai contre moi, son ventre bien contre le mien. Elle passa ses bras autour de mon cou et je lui soufflai :

– Quand tu veux. !

Elle ne répondit pas, mais au bout de quelques secondes je sentis quelque chose de chaud couler sur mes jambes. Quand le flux s’arrêta, elle prit ma queue dans ses mains et conclut :

– Pour ce soir t’es comme moi hein ?… Rideau.

(À suivre)
Jean-Michel et Martine
(Et merci à Christophe)
Janmich59@wanadoo.fr

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0 réponse à Les audaces de Martine en vacances (2) Par Jean-Michel_et_Martine

  1. Zloty dit :

    Je ne sais comment dire. Quelque chose cloche dans ce récit, une certaine naïveté, ou un côté gnangan qui à la limite empêche l’érotisme de s’exprimer.

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