Les audaces de Martine en vacances (1) par Jean-Michel_et_Martine

Pendant nos vacances, un collaborateur et une collaboratrice devaient assurer le fonctionnement de l’agence. Nous garderions un lien avec eux grâce aux  » portables « , à consommer avec modération. Pour le dernier après-midi passé avec eux, Martine avait reçu la mission de tenir au frais une bouteille de Champagne qui devait remplacer le traditionnel  » thé ou café  » de seize heures.

Ambiance relaxe pour ces dernières heures passées ensemble avant notre départ. Le travail était à jour. Les consignes données depuis le matin. Nous parlions des vacances… de bison futé… du Finistère où nous allions partir… de la météo… en dégustant nos coupes.
Comme d’habitude le Champagne avait sur Martine un effet euphorisant. Tout devenait prétexte à rires et à bêtises.

– Ce sont les bulles qui me montent à la tête…trouvait-elle comme excuse

En général,  » les bulles  » lui faisaient aussi un effet aphrodisiaque et souvent j’avais droit au grand jeu si les circonstances le permettaient. Après les dernières recommandations on se sépara.

Une fois rentrés, je fus surpris par le calme apparent que manifestait Martine. L’effet  » Champagne  » serait-il absent aujourd’hui ? Pourtant, dans la voiture, au retour, elle semblait bien rieuse et agitée. Je l’entendais aller et venir dans l’appartement en chantonnant.

Soudain, elle passa à l’offensive ;

– Dis mon Jean-Mich’….J’espère que tu seras en forme en vacances….. Tu sais la nature en général ça me donne des idées… A toi aussi j’espère ? Je t’offrirai quelques beaux pipis auxquels tu ne pourras pas résister. Je sens que je vais me surpasser. Tu assureras ? Ca pourrait même être de vraies audaces. Tant pis !
– O.K…Je suis toujours preneur tu le sais bien. Fais-moi signe… Quand tu veux.

Je ne pensais pas en lui répondant « Quand tu veux » que, Champagne aidant, cela signifiait  » Maintenant « . Quelques minutes passèrent.

– Dis…je m’épile ou pas ?

En posant cette question, elle était arrivée derrière moi. Je me retournai.

– Tiens… Regarde… C’est déjà bien repoussé… Qu’est-ce que tu en penses ?

En disant cela, elle leva sa jupe et tirant sur la jambe de son slip, elle m’exhibait son triangle brun relativement bien fourni, il est vrai.

Habitué à la voir se promener nue dans l’appartement, je connaissais parfaitement ce  » petit coin de paradis « . Je savais parfaitement qu’elle avait l’intention de s’épiler avant les vacances, comme chaque année. Mais je sentais dans la façon de se présenter à moi, jupe levée et slip écarté qu’elle avait une idée derrière la tête. Elle savait très bien que j’allais ressentir cela comme une attitude provocatrice de sa part. Elle savait parfaitement aussi, qu’entre se faire voir entièrement nue et ne dévoiler que son petit coin, il y avait tout un monde, et que je ne n’étais pas insensible à son attitude.

Troublé, comme elle le souhaitait, je lui répondis au hasard :

– Effectivement… Il te faut aller chez le coiffeur. Epile-toi maintenant ça t’évitera de le faire là-bas si on va à la plage.
– Oui… C’est sûr. Mais je n’ai plus de crème à épiler. Tu me passes ton matériel ?
– Oui….Vas-y…Tout est sur ma tablette.
– Je ne sais pas me servir de la mousse et du blaireau. Tu as bien une minute pour m’aider ?
Je n’avais pas pensé que le Champagne pouvait m’amener ce genre d’invitation.

Je me souvenais parfaitement de deux choses. D’abord, qu’elle avait acheté un tube de crème à épiler il y a deux jours alors que nous étions ensemble au supermarché, et qu’il lui était arrivé plusieurs fois déjà d’utiliser la mousse à raser et le blaireau. Donc aujourd’hui c’était : » J’ai envie de jouer et de te provoquer  »

Quand je l’eus rejoint dans la salle de bain, je vis qu’elle avait son petit sourire de vainqueur. Elle commença à se déshabiller et se retrouva vite toute nue. C’est dans cette tenue que s’accrochant à mon coup et se serrant ostensiblement contre moi elle assura :

– Heureusement que tu es là…Qu’est-ce que je ferais sans toi dans ces cas là ?

Elle poussait loin sa provocation et ainsi collés l’un contre l’autre, elle devait sentir à coup sûr le désir monter en moi. Elle ne s’arrêta pourtant pas en si bon chemin.

– Ah… Ce Champagne… Vachement diurétique. Je vais pisser avant où je serais foutue de te le faire dessus pendant que tu vas me raser.

Donc c’était déjà décidé, l’opération ne s’arrêtait pas au blaireau, mais allait jusqu’au rasage.

La porte des toilettes était ouverte à deux pas. Pourtant, continuant son petit jeu, elle préféra se camper bien droite devant le lavabo, elle s’assura même que du côté où elle se mettait je ne perdrai rien du tableau. Bien que suffisamment grande et habituée à cette façon de faire, elle se leva sur la pointe des pieds, écarta un peu les jambes et de deux doigts entrouvrit sa petite source.

Il n’y avait pas que moi à être troublé pas son jeu. Visiblement ma Martine n’était plus suffisamment  » relaxe  » non plus pour me faire un pipi à l’aise de cette façon. Il tardait à venir comme à chacune de ses démonstrations un peu osées. Pour se donner une contenance elle comptait :

– Une goutte… Deux gouttes… Une troisième… Je te jure, j’ai pourtant une sacrée envie.

Et tout partit d’un coup avec un petit sifflotement en superbe jet qui s’écrasait au fond du lavabo.

– Il est bien hein ?…Il te plait ?
– J’en suis béat d’admiration. C’est du beau pipi.

Cela ne calmait en rien mon excitation évidemment et elle avait un petit sourire sadique de satisfaction en me regardant.

– Bon…Et bien je me sens plus légère. Pas mal. Juste quelques gouttes dans les poils, et alors comment on fait ?

Je suggérai qu’elle se lave à l’eau chaude et au savon pour faciliter le rasage. Evidemment, j’eus la mission de lui passer le gant de toilette chaud et bien savonneux entre les jambes. J’insistais même au-delà du nécessaire. Son attitude montrait que cela ne lui déplaisait pas. De même, je pris beaucoup de soin à la rincer pour enlever le savon. Elle m’arrêta quand même sans doutes à cause d’une limite qu’elle ne voulait pas franchir pour l’instant et qu’elle sentait venir.

– Bien…Comment veux-tu t’y prendre ?

Le mieux était qu’elle s’allonge sur une serviette en relevant les jambes. Ainsi installée, elle ne me cachait rien de son intimité. Elle en paraissait un peu gênée mais consentante, heureuse sans doute du trouble qu’elle continuait à entretenir en moi. Elle écarta un peu les jambes quand j’approchai avec le blaireau plein de mousse. Cela la fit rire aux éclats. Pourtant c’est avec application et grand soin que je remplis toute sa fourrure.

– C’est agréable… Plus doux que ma crème à épiler… C’est chaud… Et ce gros pinceau plein de mousse… Ouah ! Une vraie caresse… Arrête… Je deviens dingue.

J’accédai à sa demande. J’avais fait de son pubis une vraie crème Chantilly. Je m’approchai avec un rasoir trois lames. Aucun risque pour elle.

– Fais gaffe hein Jean-Mich’ ! Tu sais que la fente cache des choses fragiles.

Pour la rassurer, je passais un index du haut en bas de cette fente pour dégager de la mousse une frontière rose d’un centimètre de large ;

– Voilà…territoire interdit et précieux. Je le connais bien aussi tu sais et j’en prendrai soin.

Elle se taisait et serrait la bouche. Si la confiance dans mes capacités régnait, la crainte d’une maladresse était quand même présente. La méthode était simple, il fallait tirer un peu de chaque côté en passant le rasoir du milieu vers l’extérieur, en rinçant le rasoir à chaque passe. Cela se passait en grand silence. A moitié de ma besogne, je m’informai de son état.

– O.K…Tout va bien.

Je terminais avec une Martine plus décontractée.

– Voilà… Je t’ai fait une superbe boule à zéro. Tu veux voir ?

Je lui tendis un miroir à main. Elle approuva. Il ne restait plus qu’à rincer. Debout dans la cabine elle me tendit la douchette :

– Tu n’as pas fini ton travail.

Je l’arrosais d’une main et de l’autre, sans gant de toilette, je la débarrassais du reste de mousse. Elle continuait à se laisser faire et j’en profitais à mon tour. Le rinçage continua plus longtemps que nécessaire et il fut suivi d’un essuyage exécuté avec autant de soin.

– Je me sens toute neuve et rajeunie de trente ans. Pour parachever ton œuvre, tu ne me passerais pas un peu de crème Nivéa ?

Elle continuait son manège. Je me posais la question de savoir jusqu’où elle irait après la crème. J’en mis dans la paume de ma main et me mis à masser doucement le ventre puis je descendis au pubis et à l’entrejambe. Elle me laissa faire. Je passais deux doigts dans sa fente, elle me laissa encore faire. Je la sentis se mouiller, je remontais vers le clito, elle ne disait toujours rien. Visiblement elle ne jouait plus et me laissait le libre choix de la suite. Je serrais son dos contre moi et mon bras autour de sa taille. Mes doigts trouvèrent sa petite caverne accueillante et y pénétrèrent.

– T’es gentil Jean-Mich’. Mais tu n’as vraiment pas autre chose à me mettre là, maintenant qu’elle est toute belle ?

C’était plus qu’une invitation. Elle avait fait un grand bout du chemin depuis un moment, elle me confiait la suite. Je lui demandais de sortir de la cabine de douche et lui fit appuyer ses mains sur le bord du lavabo.

– Tu vas voir qu’un lavabo ça ne sert pas qu’à faire pipi.

Même pas de petit rire. Plus besoin de parler. Elle recula un peu les pieds et les écarta. Ma forte envie de la prendre depuis un bon moment fit que je ne cru pas bon de me dévêtir. Par la braguette ma queue trouva vite un chemin bien humide pour arriver au bon endroit. Je n’eus à faire aucun effort pour la pénétrer. Ma petite coquine était autant excitée que moi. Au bout d’une dizaine de va-et-vient je la devinais partie vers le plaisir. Martine avait dans ce cas un code m’informant de son état. Quand elle disait :

– J’arrive…Ca vient…Ca voulait dire :  » Ca ne va plus tarder  »

Quand elle disait :

– Viens…C’était pour dire :  » Moi ça va, je t’attends  »

Ce fut  » Viens  » presque tout de suite. J’ai même eu l’impression qu’elle terminait avant moi et qu’en poussant de petits cris elle prenait un autre plaisir à m’attendre. Elle n’attendit pas longtemps car j’avais vraiment envie moi aussi de m’éclater en elle. Elle garda son appui sur le lavabo pendant au moins dix secondes. Enfin séparés, ses bras à nouveau autour de mon cou, elle avoua :

– Tu m’avais donné une de ces envies…
– Ah bon ? Et toi alors…tu ne me faisais rien ?
– Elle n’était bonne mon idée de te confier le soin de raser ma foufoune ?
– Mais si….Surtout avec un tube de crème à épiler tout neuf dans le tiroir de gauche.

Un grand rire mit fin à nos ébats.

C’était l’heure de la douche. A nouveau ensemble dans la cabine, ce fut le shampooing et le lavage des dos et du reste… Mais sérieux cette fois… Chacun pour soi.

Séchée, Martine remis un peu de crème dans le creux de sa main et, me tournant ostensiblement le dos, se l’appliqua en quelques passes, plus rapides que les miennes. La séance était terminée. Elle m’avait promis des audaces pendant les vacances. Elle les avait bien commencées. Je brûlai d’envie, à tout hasard, de lui faire une proposition en sachant que je prenais le risque de me faire rabrouer énergiquement. Je tentai :

– Tiens…Si on profitait de ce qu’elle est toute belle pour la photographier ?

Il y eut un silence de plusieurs secondes pendant lesquelles je m’attendais au pire. Puis, elle me regarda bien en face :

– Mais c’est contraire à tout ce que l’on avait convenu depuis longtemps ?
– Oui mais tu crois vraiment que tu serais reconnaissable ?
– J’ai un petit grain de beauté révélateur.
– Qui le sait à part nous deux ?

Nouveau silence, puis nouveau petit rire.

– Après tout…..Même si tu l’envoies à Vassilia…Qu’est ce qui prouvera que c’est MA foufoune ? Mon numérique est dans mon petit sac. Pour une fois je serai de ce côté de l’objectif.

Je n’en revenais pas. Je profitai rapidement de son accord inattendu pour revenir avec son Canon digital. Il restait de la place en mémoire et la batterie était bien chargée.

– Elle est si mignonne… On en mangerait.
– Ah non…. Plus ce soir… Elle est servie… Et si on m’avait dit qu’un jour je poserai pour ce genre de photos, je ne l’aurais jamais crû.

Complaisante, elle releva sa robe de chambre jusqu’à la ceinture et attendit. Je me souvenais de ses conseils pour le portrait :  » Les yeux en face des yeux du sujet « . C’est donc assis sur les talons que je cadrai le haut de ses jambes, suffisamment près pour admirer les grandes lèvres entr’ouvertes livrant passage à tous les secrets qu’elles protègent. Je n’avais pas l’impression de faire de la photo porno, mais de fixer un tableau érotique au possible. Il y eut un flash, puis deux regards sur l’écran de contrôle.

Et c’est ainsi que ce soir là, la veille du départ en vacances, fut prise la première photo intime de Martine.

Ce fut sa seconde audace de la soirée.

Merci pour tout le Champagne.
(A suivre… Peut-être)

Jean-Michel et Martine
Janmich59@wanadoo.fr

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