Lady A par Christelle_Baxter

Lady A
par Christelle


RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Je m’appelle Claudine, je suis employée de Banque, et mes fonctions me font souvent me déplacer à travers toute la France et même parfois au-delà. J’ai 29 ans depuis  » pas mal de temps « , et s’il faut me décrire je dirais simplement que j’ai les cheveux blonds vénitiens, et qu’en principe, ayant quelques formes (de trop) et souvent le sourire, je plais ! Je suis célibataire par choix, je n’aime pas m’encombrer d’un bonhomme, ni d’une bonne femme d’ailleurs. En sexualité j’ai les idées très larges, je n’ai pratiquement pas de tabou et je dirais même que les choses un peu (ou pas mal) déviantes m’attirent ! Cela dit, je ne suis pas obsédée non plus !

Je suis à Marseille en ce mois de mai ! Tiens, je repense à Lydia, Une grande brune un peu forte et assez délirante que j’avais rencontré l’an dernier chez des amis communs. La fête avait, au milieu de la nuit, tourné plus ou moins en orgie et je m’étais laissée draguer par cette fille qui me dévorait des yeux !

– Comment tu t’appelles ?
– Lydia !

Mais elle le prononçait à l’anglaise, ça donnait un truc comme Lady A !

– Je t’emmène ?
– Où, ça ?
– Je sais pas, derrière le buisson, là-bas, ça t’irais ?

Ça m’allait, et sitôt arrivée la miss me roulait un patin d’enfer à m’empêcher de respirer, et elle me pelotait, une vraie ventouse, elle avait des mains partout, ce qu’elle voulait c’est me sucer la chatte, je l’ai laissé faire et ne l’ai pas regretté. Après j’ai voulu lui rendre la politesse, mais elle avait une très grosse envie ! Elle m’a donc fait sa très grosse envie devant moi ! Je la regardais pisser avec je ne sais quel trouble, l’excitation étant en train de me regagner. Et puis elle m’a dis :

– Tu veux que je m’essuie, ou tu me suces comme ça ?

Rien que le fait qu’elle me pose une question pareille, j’étais dingue, je me suis précipitée sur sa chatte mouillée d’urine et je lui ai brouté son minou à mon tour, elle joui comme une folle, ameutant tout le quartier. Tout ça a duré quoi ? Une demi-heure ! Pas plus !

– T’es vraiment une cochonne, toi, la prochaine fois je te pisserais dessus !
– C’est pas un problème !
– On se reverra, alors ?
– C’est que, c’est mon dernier jour de vacances, demain je rentre à Paris !
– Tant pis, mais on ne sait jamais. J’habite Montpellier, si un jour tu passes par là, tu m’appelles, je peux même t’héberger…

La spontanéité sans lendemain des rencontres estivales, quoi !

Bon alors je lui téléphone ou je ne lui téléphone pas ? Je me dégonfle ! C’est le lendemain que le destin me donna un coup de pouce ! Mon chef m’appelle !

– Tu en as encore pour combien de temps à Marseille ?
– J’ai fini, je comptais rester une journée de plus pour faire mon rapport sur place, mais bon…
– J’aimerais bien que tu fasses un saut à Montpellier….

Montpellier, Lydia….. Bien sûr que je vais le faire son saut, mais avant je téléphone à la miss :

– Euh Lydia ?
– Oui, c’est moi !
– C’est Claudine ! Tu te souviens de moi ?
– A vrai dire….
– C’était en août dernier, l’anniversaire de Cédric… on s’était amusé un peu derrière un bosquet…
– Ah ! Ah ! Je vois mieux ! Et je parie que tu es dans le coin et que tu t’es dis, tiens je vais téléphoner à Lydia !
– Ben c’est tout à fait ça… Enfin si ça te dit…

Ça lui disait, elle !

J’arrive à Montpellier , je regarde le plan, Lydia n’habite pas très loin de la gare ! Il est 9 heures du matin, elle a pris une journée de vacances, rien que pour moi, quel honneur ! Je téléphone à l’agence, leur dit que j’ai un gros problème personnel à régler et que je ne passerais pas avant l’après midi….

Je sonne, elle vient de prendre sa douche, elle a les cheveux mouillés, elle est en peignoir, on dirait qu’elle a grossi un peu, je me faisais une autre image d’elle dans mon souvenir. On s’embrasse chastement sur le pas de la porte, elle referme, me fait entrer, on se regarde, on est contente de se revoir, on s’embrasse à nouveau mais cette fois c’est sur la bouche et ça dure ! Elle en profite pour me peloter les fesses, je vais attaquer à mon tour, mais elle s’écarte.

– Je vais te faire un café !

Allons-y pour le café, on va dans la cuisine ! Tout en s’affairant autour des tasses et des cuillères, elle m’ouvre son peignoir en me faisant un petit coup d’œil complice, ça se confirme elle a grossi un peu, mais voir ses belles formes comme ça devant moi, je me mets à mouiller. Je deviens fébrile et j’ai hâte de finir son café et de passer à autre chose. On parle de tout et de rien, de quoi pourrait-on causer, après tout on se connaît à peine, alors je déblatère, lui raconte mon boulot, mais elle doit s’en foutre. Elle, elle travaille dans un magasin comme vendeuse, faut bien qu’elle me dise quelque chose… Elle met tout le bazar sur un plateau :

– On va prendre le petit dej’ à côté, c’est plus sympa. !

Allons-y ! On s’affale en vis-à-vis dans deux fauteuils bien moelleux ! Elle est là presque nue devant moi, les cuisses écartées, les lèvres de sa chatte apparente malgré ses poils relativement abondants. Et ce café qui est brûlant ! Comme si on ne pouvait pas s’en passer !

Et c’est à ce moment-là qu’est apparu le chien !

– Tiens, t’as un chien !

Pas mal comme réflexion idiote, dès fois qu’elle me réponde  » non c’est un dromadaire…  » J’y connais pas grand chose mais ce doit être un épagneul ou un truc comme ça, il est blanc avec des taches fauves.

– C’est Kooky, il est mignon, hein ? Mais c’est un vrai cochon !
– Ah bon, il fait quoi comme cochonnerie ?

Je m’attends au pire !

– Tout ! Dés fois il me lèche ma petite chatte !
– Non ?
– Tu voudrais voir ?
– Pourquoi pas ?

J’ai répondu presque par réflexe, mais je n’avais pas sitôt dit cela que Lydia prenait une cuillère de confiture et s’en barbouillait la chatte !

– Vien Kooky, viens lécher ta maîtresse !

Incroyable ! Le chien se pointe en remuant la queue, il donne de grands coups de langues, en quelques secondes il a englouti toute la confiture !

– Tu voudrais essayer ?
– Non, je ne me sens pas prête !
– Force-toi, sinon tu vas le regretter, demain tu sera partie, et tu te diras  » j’aurais du essayer « , il ne faut jamais laisser passer les occasions !
– Tu as raison, mais…
– Déshabille-toi donc ! Me dit-elle me coupant la parole !

Ça ne se passe pas du tout comme je l’imaginais, j’aurai tant voulu qu’elle s’approche de moi que tout doucement elle m’enlève mes vêtements pièces par pièces en me gratifiant à chaque fois d’un baiser sur les nouvelles chairs dévoilées… Et puis j’aurais fait pareil avec elle. Non là j’ai droit à une nana avec un peignoir ouvert qui se fait lécher le sexe devant moi par son clébar. Mais alors pourquoi est-ce que je me déshabille sans protester, et pourquoi ma culotte est-elle toute mouillée ? J’évite de réfléchir, me voici à poil presque gênée d’être là, je ne sais plus ce que je dois faire, avancer vers elle ou me rasseoir ?

– Caresse-le il n’est pas méchant !

Je le caresse ! Il se laisse faire, normal c’est un chien !

– Tu veux qu’on joue à un jeu ?

Ça se complique !

– C’est quoi ton jeu ?
– On va dire que je suis une méchante maîtresse, et que toi tu es mon esclave, alors je te donne des ordres et tu les exécutes, sinon pan pan cucul !

Bizarrement l’aventure me tente ! Je dois être folle ! Je lui dis que je suis d’accord !

– Tu es sûre parce que je vais te traiter de tous les noms, et puis ta fessée tu l’auras de toute façon !

Je mouille, je mouille !

– Vas-y ! Répondis-je !
– Alors mets-toi à quatre pattes, salope !

Je le fais, elle me demande d’avancer vers sa chatte, de nouveau elle se la barbouille de confiture !

– Viens ma chienne, viens sucer, viens faire comme le chien !

J’avance et me prépare à la lécher ! Tout cela m’excite comme pas possible

– Tourne-toi un peu que je regarde ton cul ! Oh que c’est beau, tu as de vraies fesses de pute, je suis sûre que tu adores te faire enculer, non ?
– J’aime bien, oui !
– Je te dis, t’es une vraie salope.

Elle me fout la main au cul, il lui restait un peu de confiture, elle l’étale sur mes fesses. Super on va donc se lécher mutuellement ? Ben non ! Je fous mon nez dans sa chatte, ça sent fort là dedans, je ne comprends pas, elle sortait pourtant de la douche, mais il y a là un mélange d’urine et de mouille, auquel la salive du chien n’arrange rien. Je me force un peu et commence à lécher la confiture. Ça va mieux, le tout c’est de s’y mettre ! Et voilà que je sens une langue froide et large me lécher le cul ! Le chien !

– Mais !
– Laisse-toi faire ! Il ne va pas te faire de mal.

C’est trop ! Je délire, je lèche maintenant le sexe de Lydia débarrassé de sa confiture, tandis que le clébar ayant pour sa part terminé de me nettoyer ma fesse est reparti ailleurs. J’en viens à le regretter, l’excitation, plus provoquée par la situation que par autre chose, était trop forte, je reprends de la confiture et m’en refous sur les fesses.

– T’es vraiment une salope !
– Je sais !

Mais le chien ne reviens pas ! Je suis frustrée !

– Il en a assez de la confiture, il lui faudrait quelque chose de plus consistant !
– Ah ! Quoi ?
– Dès fois quand j’ai fait caca, il vient me nettoyer le cul ! Tu verrais comme il se régale ! Tu n’as pas envie ?

Elle est dingue !

– Non !
– Par contre moi, en me forçant un peu…

Et puis ça m’est venu comme ça !

– Et tu ne préférerais pas que ce soit moi qui te nettoie ?
– Hummm ! Une chienne c’est bien mieux qu’un chien ! Viens ! Tu l’as déjà fait ?
– Pipi, oui souvent, mais caca, non mais c’est l’un de mes fantasmes, alors comme tu disais tout à l’heure…
– Tu vois !
– Il faudra peut-être m’aider !
– T’inquiètes… Reste à quatre pattes et vas vers le couloir, avance lentement… ou plutôt non n’avance pas, je vais chercher quelque chose !

Elle revient très vite, elle a un martinet à la main.

– Allez en route, et pas trop vite, espèce de petite pute !

J’avance, je n’ai pas dû marcher à quatre pattes depuis mon enfance, et Lydia me frappe, oh, pas trop fort, mais ce ne sont pas non plus des caresses, se sont des vraies coups de martinet qui à chaque tombée m’envoient des ondes dans le corps, ces curieuses ondes qui commencent par de la douleur, mais qui peuvent se transformer en plaisir si on sait les transcender. Ce n’est pas si difficile et j’ai appris toute seule… Du coup alors qu’au début j’avais tendance à aller trop vite, je ralenti maintenant autant que je peux, tendant et gigotant de la croupe sous les coups ! Lydia s’en aperçoit, et frappe plus fort ! Du coup je reprends une progression normale

On arrive dans les chiottes ! J’ai le cul en feu ! Comment on va faire pour tenir à deux dans ce machin… et ce con de chien qui nous suit….

– Comment on fait, tu veux tout voir, tu veux me regarder faire caca ?
– Oui !
– Bon, d’accord ! Alors commence par t’asseoir sur la cuvette !
– Mais, attend j’ai pas envie moi !

– Discute pas, et assis-toi !

Je le fais, Lydia me fait face elle s’arc-boute un petit peu, elle écarte sa chatte de deux doigts de chaque main, je sais ce qu’elle va faire, j’attends et soudain un jet tiède arrive sur ma poitrine, j’adore la sensation de l’urine sur mon corps, je m’en débarbouille les seins et pour lui prouver que je n’ai pas peur, j’ouvre la bouche, quémandant. Elle s’approche, mes lèvres viennent sur la trajectoire, j’avale ! Je me régale, je suis une vraie vicieuse ! Mais ce truc là, je l’ai fais de nombreuses fois, par contre ce qui va venir, pour l’instant c’est resté dans ma tête. Je peux encore me dégonfler. Lydia s’est retourné, elle se penche légèrement ! En voilà une position qui n’est pas celle de mes fantasmes, elle s’apprête donc à me chier sur les cuisses ! Je vais pour protester mais elle m’a posé la question, m’a demandé si je voulais voir ! Allez courage Claudine ! On verra bien après tout, si ça me débécte je ne recommencerais pas !

– Rapproche tes cuisses !

L’anus s’ouvre ! Lydia pousse !

– Lèche-moi un peu, ça va m’aider !

J’approche ma bouche comme une zombie et je lui lèche le trou de son cul ! Cette salope continue de pousser, et j’ai l’impression que quelque chose demande à sortir !

– Continue de lécher !

Je ne sais plus que faire, je me recule un peu, seuls quelques millimètres de l’étron apparaissent au centre de l’anus !

– Lèche !

Je reprend ma respiration, j’y vais, c’est âcre, mais ce n’est pas un repoussoir, ma langue s’habitue, pour l’instant ça va, l’étron se met à avancer, cette fois je recule mon visage, je suis partagé entre répulsion et fascination, Lydia est en train de nous faire un bel et long étron marron foncé et bien moulé dont l’odeur envahit la minuscule pièce ! Répulsion, fascination, je me répond que je préfère la fascination, L’étron dégringole, je le reçois sur les cuisses, je reçois aussi le suivant et même un troisième. Je mouille en regardant une fille me chier dessus, je suis folle !

– Et maintenant fais la chienne ! Nettoie !

Je n’hésite même pas, ma langue se balade autour de l’anus et nettoie les traces marrons ! Je m’enivre, je n’ai sans doute jamais été aussi excitée de ma vie ! A ce point que quand l’affaire fut terminée je regrettais qu’il n’y en ait pas plus.

– T’as aimé ça sucé ma merde, hein ma chienne ?
– Ben oui !

Mais mes surprises n’étaient pas terminées. Lydia se retourne, j’allais me relever, mais elle s’empare d’un morceau de l’étron qui était resté sur ma cuisse et s’en badigeonne le pourtour des lèvres !

– Bisou !

On s’embrasse comme deux salopes, nos bouches maculées par sa merde ! Je me lève enfin et lui dis que vais me laver les cuisses.

– Laisse, le chien va le faire !

Kooky me lèche les cuisses, en deux minutes il m’a nettoyé, il faut que je me calme ! Le chien a l’air de plus en plus excité, alors Lydia, le retourne, s’empare devant moi de sa bite en érection et se l’introduit dans la bouche ! Le clébar gigote ! Je regarde la scène fasciné, un moment elle interrompt sa fellation, elle me regarde, me sourie, son visage rayonne, mon dieu qu’elle est belle, elle n’aurait jamais du faire une chose pareille ! Je vais craquer !

– Viens !

Je m’installe devant elle, nous nous embrassons, je n’en peux plus ! Il faut que je jouisse, Lydia me repousse le visage très doucement et reprend la bite du chien dans sa bouche ! Juste quelques secondes avant de me tendre sa langue ! Je me baisse encore pour être à sa hauteur, j’ai oublié d’être conne j’ai parfaitement deviné le piège ! Alors pour lui montrer que je sais être aussi salope qu’elle, j’essaie de lui faire un sourire aussi beau que celui qu’elle vient de me faire et je dirige ma bouche vers la pine du chien !

Christelle

Kriss_Baxter@hotmail.com

PS : c’est la première fois que j’écris quelque chose d’aussi extrême, j’ai écrit ça en quatre heures, quatre heures où l’excitation ne m’a pas quitté. Pourtant dans la vie la zoo ne m’attire pas et en ce qui concerne la scato, je ne vais pas bien loin, allez y comprendre quelque chose, vous ? Bisous à tous !

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7 réponses à Lady A par Christelle_Baxter

  1. Vallin dit :

    Si le passage avec le chien ne m’a pas branché, j’ai adoré le passage scato, très bien décrit et sans tomber dans la surenchère.

  2. enrique dit :

    Il ne faut jamais mettre tous ses fantasmes dans le même panier !

  3. geneve dit :

    Je reste sans voix et la pine bandée

  4. Claire dit :

    Elle a fait fort la fifille ! Car pour être de l’extrême, c’est de l’extrême et elle ne fait pas dans la dentelle. Je n’aurais cependant pas mélangé la scato et la zoo qui sont des fantasmes très différents, le premier me branche, le second beaucoup moins.

  5. Lucia dit :

    Eh oui Christelle, quand on est bien excité on se laisse aller et c’est aussi bien comme ça, ça permet de franchir des tabous

  6. Brodeur Alex dit :

    Bonjour,

    Mon nom est Alex. Je voulais simplement te dire que j’ai vraiment beaucoup aprécié ton histoire Lady A sur vassilia. En particulier les bouts scato. Mais aussi (et là, ça m’a surprit!) les passage zoo! Je n’ai moi non plus jamais été particulièrement attiré par ce genre de truc.
    Mais ta façon de décrire le tout, était plutot éxcitante!
    Ne te gênes surtout pas pour en écrire d’autre du genre sur ce site! Il est si rare de pouvoir aprécier de bonne histoires scatos francophone sur le net…
    Amicalement, Alex

  7. marc de paris dit :

    Slt Kriss,
    Permets-moi de te féliciter pour le récit troublant que tu viens de publier sur le site de Vassilia: c’est courageux de tremper ainsi sa plume dans les zones intimes et inavouables de son être. Il m’arrive aussi de me lacher et je le fais en vers, on se sent ainsi plus libre: c’est ce qu’on appelle une contrainte productive.
    Le poème !
    A+ j’espère.
    Bises,
    Marc

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