Plaisirs sylvestres
par Marc02
RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – PAGE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE
—————–
Plaisirs sylvestres
Nous étions sur un banc du chemin forestier,
Quand Julie m’avoua son envie de chier.
» Tu veux voir ? « , me dit-elle, prenant un air coquin.
» Et comment que je veux, espèce de catin !
Mais fais-le, je t’en prie, dans une pose obscène :
Libre à toi de choisir la bonne mise en scène. »
Elle enlève aussitôt son tout petit slip blanc,
Trousse bien haut sa jupe et monte sur le banc,
Avant de s’accroupir, le cul tourné vers moi.
Je ne puis m’empêcher d’y enfoncer un doigt
Afin de m’assurer que l’œuf est bien au nid.
O promesse tenue ! Il est là, bien tapi
Dans sa chaude tanière, prêt à pousser la porte.
Julie, n’y tenant plus, juste avant qu’il ne sorte,
Fait bien saillir sa croupe en creusant bien les reins.
Elle écarte à présent les fesses à deux mains :
O vision délicieuse, lorsque son trou du cul
S’ouvre comme une bouche d’ombre ! Je n’y tiens plus,
J’ai la chair tout en feu et ma raison vacille !
Je sors alors ma queue qui bande et qui frétille,
Et quand l’étron enfin pointe le bout du nez,
Puis descend tout entier, énorme et bien moulé,
Je lui gicle dessus, juste avant qu’il ne tombe,
Emportant avec lui mon foutre qui l’inonde.
cliquez sur la vignette pour la voir en format normal et sans censure
Victor Hugo nous a bien pondu un « Hymne à la merde »
Alors pourquoi se gêner 🙂
Bonjour et merci d’avoir lu mon texte.
Quel est le poète en question ?
Il s’agit d’une chanson anonyme qui avait été sortie de l’oubli par un dénommé Stello, chansonnier au cabaret du Lapin Agile dans les années 1920/1930, ça s’appelle « Le Hussard de la Garde » et c’est trouvable ici :
http://chansons-paillardes.net/chansons_paillardes/Breviaire-paillardes/Les_Paroles/Hussard.html
O (re)merci Claire !
Je suis en effet l’auteur des deux textes ‘Plaisirs sylvestres’ et ‘Une Levrette bien arrosée’ – et j’ai vu que tu appréciais la scato – plaisir bouleversant réservé aux ititié(e)s…
Accepterais-tu une correspondance par mail sur le sujet ? J’apprécie en particulier ta culture érotique aux plans historique et littéraire…
Je précise que l’@dresse indiquée sous mes deux récits n’est plus active. Merci au modérateur (que je salue et à qui j’exprime toute ma reconnaissance pour la qualité de ce site) de lui substituer celle que j’indique dans le champ réservé.
C’est tellement beau une femme qui chie ! C’est une ancienne copine, un canon, qui m’a initié à la scato, elle était si belle et j’étais si amoureux que je ne pouvais rien lui refuser. Elle chiait nue devant moi un joli boudin bien moulé, emplissant la pièce de son odeur de merde. Ensuite nous avons été plus loin, elle m’a demandé de lui nettoyer le cul avec la langue, puis de lécher son étron. Merveilleux moments que je n’ai jamais retrouvés.
Solange si le hasard te fais lire ces lignes, reviens-moi, juste une heure, revient me faire offrande.
Gilles D.
Merci d’avoir « goûté » mon texte – fictionnel je précise…
Il est vrai que d’une belle femme les étrons sont nos étrennes…
« Rose, tu as des épines !
Merde, tu n’en as pas ! »
Les poétes ont toujours très bien chanté la merde !