La reine Russo 12 – La mare aux grenouilles par Nicolas Solovionni

La reine Russo 12 – La mare aux grenouilles par Nicolas Solovionni

Un mois s’était écoulé depuis mon arrivée sur Mijarka, et après les évènements des premiers jours, la situation était devenue très calme. J’étais toujours le chouchou de la reine Russo, elle m’épuisait littéralement mais je ne m’en plaignais pas y trouvant largement mon compte. Dyane filait le parfait amour avec Pilzer, quant à Dilos, dépité il avait jeté son dévolu sur la belle Sandora

Il y avait au fond du jardin du palais de la reine une large marre d’eau stagnante, on y accédait en franchissant un petit pont de bois à l’ancienne.

Quelques canards y barbotaient à l’aise se faufilant parmi les nénuphars.

Ce lieu était devenu au fil des jours, le théâtre de nos amours torrides. Parfois une soubrette, ou même deux se joignaient à nous afin de faire varier nos plaisirs.

Une gloriette avait été installée sur une berge afin d’apporter quelque confort aux ébats amoureux.

La première fois, je fus subjugué par ce spectacle, o combien reposant.

– Et attends, tu n’as pas tout vu ! Ne bouge surtout pas, elles sont peureuses !

Je me demandais de qui elle voulait bien parler, mais évitais de bouger.

Je vis alors une première grenouille, bien dodue, sortir de l’eau et grimper sur un nénuphar, elle fut suivie d’une deuxième puis de toute une colonie qui se mirent à coasser de conserve. Spectacle fascinant.

– Evidemment tout cela vient de la terre, et comme l’équilibre écologique n’est pas respecté, ça pullule, ça mute, ça fait n’importe quoi, mais ça participe au charme et j’adore !

Comme à chaque fois nous avons commencé par nous embrasser longuement, nos mains se faisant dans le même temps, baladeuses.

Très vite on se retrouva débraillé, les seins de la Reine à l’air provoquant mes yeux concupiscents, et mon pantalon baissé laissant libre mon chibre grossissant.

Je ne me lasserai jamais de cette jolie poitrine, d’ailleurs j’aime toutes les poitrines, sauf les plates et les trop énormes. Je la lui pelotais, l’embrassais et lui taquinais ses mignons tétons marrons. J’aimais aussi lui lécher sa chatte juteuse, et me régalait de sa mouille et de ses chairs délicates, me faisant un point d’honneur de la faire jouir en lui excitant le clitoris.

Elle se laissait faire avant de s’occuper de moi, la pipe bien sûr qu’elle pratiquait avec beaucoup de savoir-faire ! Etonnant me direz-vous sur une planète de femmes, mais les esclaves mâles étant fait pour s’en servir…

Elle aimait aussi me travailler mes bouts de seins, le pincer, les tirer, les tortiller, une pratique qui a toujours eu pour effet de me faire bien bander. Et puis, il y avait mon trou du cul, sa langue agile venait me titiller l’œillet, j’adore cette caresse qui me fait frétiller. Parfois elle apportait un gode ceinture pour me sodomiser…

Elle était toujours pleine d’idées et de ressources, avec elle on ne risquait aucunement la monotonie.

– Aujourd’hui ce sera Tainath qui va t’enculer ! Et tu sais pourquoi ce sera Tainath qui va t’enculer ?
– Non, mais tu vas me le dire !
– Parce que c’est mon bon plaisir !

Je me mettais en position pour offrir mon cul aux privautés de la belle soubrette à la peau couleur de caramel. Elle venait d’abord m’introduire le bout de sa langue dans le fion, délicieuse caresse, avant d’y aventurer un doigt ou deux. Puis elle m’engodait avec une belle énergie, me provoquant des frissons et des râles de plaisir. La reine se régalait du spectacle, se masturbait et m’invectivait :

– Tu aimes, ça, petit pédé, te faire enculer ?
– Oui votre grâce !
– Et tu n’as pas honte ?
– Ah, non, pas du tout !

Et après ces mises en bouche, la reine Russo m’offrait son joli postérieur, elle adorait se faire enculer et j’adorais lui faire, l’affaire terminé alors que nous avions tous deux jouis, elle me nettoyait ma bite poisseuse de sperme et parfois d’autres choses, en me regardant d’un œil coquin.

Et si nous avions envie de pipi, nous nous pissions dessus en rigolant parmi le coassement des grenouilles.

Bref le parfait amour, et comme disait la mère de Napoléon après chaque victoire militaire de son mégalo de fiston : « Pourvu que ça dure ! »

Ce jour-là, le récepteur de la reine sonna.

– Ce doit être une urgence, je vais répondre.

C’était Yolaina qui l’informait qu’un vaisseau militaire avait amorcé sa descente sur la planète.

– Tu gères en sécurité maximum, je te rejoins.

Et pendant que nous cheminions vers les bâtiments du palais, Yolaina ne voulant écarter aucune éventualité sollicita le concours de vingt guerrières armées jusqu’aux dents, ainsi que d’un canon laser.

– Lieutenant Bernardino, demandons autorisation d’atterrir.
– Motif ?
– Nous avons une proposition commerciale très avantageuse à soumettre à votre reine…
– Nous balisons l’aire numéro 11, atterrissez, et attendez nos instructions avant de sortir.

Une fois le vaisseau posé, Yolaina prit le micro.

– Nous sommes en alerte maximum, seule la personne habilitée à négocier avec notre reine est autorisé à sortir…
– On sera deux ! Intervint Bernardino.
– OK pour deux mais pas un de plus ! A titre préventif, il vous faut savoir que votre vaisseau est cerné y compris par un canon laser. Les deux personnes autorisées à sortir doivent le faire sans armes ni bagages, en sous-vêtements et en chaussures légères.
– C’est inacceptable ! Répondit Bernardino.
– Dans ce cas, vous avez 15 minutes pour décoller et aller vous faire voir ailleurs.

Bernardino coupa le micro et se tourna vers Gariga, le négociateur :

– On fait quoi ?
– On fait comme elles disent, autant se montrer conciliant ! Répondit Gariga.
– Quand même, c’est humiliant !
– Seul le résultat compte, lieutenant !

Les deux hommes sortirent du vaisseau et furent inviter à se diriger vers le bâtiment administratif de l’astroport. Là ils furent fouillés et palpés, puis on leur fit passer une sorte de chasuble blanche.

– J’ai jamais vu ça ! Fulminait Bernardino !
– Calmez-vous, vous allez nous faire un infarctus ! Lui répondit Gariga.

– Je suis Yolaina, responsable de la sécurité de cette communauté et première conseillère de la reine, je vous écoute :
– Nous sommes mandatés pour négocier avec la reine en personne.
– Certes mais vous pourriez au moins me dire en gros de quoi il s’agit ?
– Nous allons vous proposer une grosse contribution financière assortie d’une contrepartie que je ne suis autorisé à dévoiler que devant votre reine.

Les femmes sont curieuses et la reine Russo accepta l’entretien.

Il eut lieu dans la salle du trône, la reine n’entendant pas traiter d’égal à égal avec ces deux individus.

Néanmoins, la reine désirant déstabiliser au maximum ses interlocuteurs aborda sa tenue de prestige qui lui laissait les seins nus.

Inutile d’écrire que devant une telle beauté, les deux ostrogots avaient la gorge sèche et la braguette proéminente.

J’avais été convié à l’entretien et me tenais debout à gauche de la reine, Yolaina étant à sa droite.

La reine ne jugea pas nécessaire de me présenter. Deux gardes dissimulées derrière les tentures se tenaient prêtes à intervenir en cas de besoin.

– Quand vous aurez terminé de me reluquer mes nichons, vous pourrez me dire quel bon vent vous amène.
– Votre majesté…
– Stop ! On doit dire « votre grâce », lorsqu’on s’adresse à notre reine ! Intervint Yolaina
– Nous ne savions pas, pardon, votre grâce, nous savons votre situation économique difficile… commença Gariga.
– Il suffit, vous ne savez rien du tout, je me demande d’ailleurs qui aurait pu vous renseigner.
– Admettons, votre grâce, mais une aide économique est toujours la bienvenue, n’est-ce pas ?
– Continuez !
– Nous vous proposons 10 millions de kochniks, une somme qui reste négociable, dans les limites du raisonnable, bien évidemment, votre grâce.
– Et en échange de quel genre de flibuste ?
– En échange de la restitution d’un objet qui ne vous appartient pas, j’ai nommé le Globo de Khar, votre grâce.

A ces mots la reine Russo devint écarlate

– Putain, mais ce n’est pas vrai !

Et elle se lève de son trône, pointe un doigt accusateur vers ses deux visiteurs.

– L’entretien est terminé, vous avez trois-quarts d’heure pour quitter la planète.
– Euh, votre grâce, on peut doubler la prime, balbutia Gariga.
– Gardes, foutez-moi cette racaille dehors.

Une fois les deux types partis, je me confiais à la Reine.

– Demande vite aux gardes de les rattraper et de les enfermer quelque part, il faut qu’on parle d’urgence !
– Qu’on parle de quoi ?
– J’ai un plan pour ces mecs, mais il faut qu’on parle.

La reine donna instructions aux gardes de ne pas laisser sortir les deux comiques et de les enfermer dans une pièce du palais.

J’exposais mon point de vue :

– Ils ne repartiront pas sans tenter quelque chose, ce sont des militaires super entrainés, ils se battront de façon bien plus intelligente que les types d’Herbert. Dans ce genre d’action de commando, les gradés s’en foutent de perdre les deux tiers de leur effectif. Avec ce qui leur restera, ils peuvent maitriser l’astroport et ensuite le palais.
– T’exagères pas un peu là ?
– Je ne crois pas, non !
– On n’a qu’à faire sauter leur vaisseau
– C’est reculer pour mieux sauter, un autre vaisseau viendra ensuite, et sans doute encore plus dangereux.
– Tu proposes quoi,?

J’expliquais mon plan ! Yolaina sembla convaincue, la reine un peu moins mais l’accepta.

Et on fit revenir les deux énergumènes qui commençaient à baliser sérieusement.

– Chaque planète possède ses coutumes, messieurs, ici sachez qu’on ne prononce pas impunément le nom du Globo de Khar, cela m’a mise hors de moi ! Annonça la reine Russo
– Je m’en excuse bien humblement, votre grâce ! Balbutia Gariga qui avait perdu toute superbe.
– Donc je veux bien une aide financière mais pas en échange de la contrepartie que vous évoquiez.
– Ne parlons plus d’échange alors…
– Justement, on va parler de quoi ?
– Juste une question…
– Vous êtes venu de si loin pour me poser une question ?
– Ce Globo de Khar est bien en votre possession n’est-ce pas ?
– Oui, pourquoi ?
– Un homme très riche se disant propriétaire de cette pierre se l’est fait subtiliser lors d’un acte de piraterie. Comment-a-t-elle pu se retrouver ici ? Et que peut-on en conclure ?

La brèche est ouverte !

– J’en conclu rien du tout et je m’en bas les couilles ! Répondit la reine qui savait se montrer vulgaire à ses heures.
– Oui bien sûr, je comprends, mais comprenez mon incompréhension.
– Vous comprenez ou vous ne comprenez pas ?
– A vrai dire pas très bien !
– La pierre que s’est fait voler votre gros plein de soupe, ce n’est pas la même que la nôtre !
– Il y aurait deux pierres ?
– Non, il y a la vraie qui est je ne sais où, mais pas ici, et une très belle reproduction en oxyde de zirconium qui elle est chez nous ?

La tête de Gariga !

– Et maintenant je vais demander à Yolaina de vous faire un petit exposé sur l’histoire de notre communauté et sur celle du Globo de Khar puisque tout cela est lié. Gardes donnez-leur de quoi écrire, ils vont sans doute vouloir prendre des notes.

A la fin de l’exposé, Gariga est troublé, Bernardino n’y croit pas mais Bernardino n’est pas très intelligent.

Sur mes conseils, la reine enfonça ensuite le clou :

– Je devine ce que vous pensez, qu’il s’agit peut-être d’un joli baratin bien rodé, mais on va faire autre chose, je suppose que vous avez apporté un analyseur de métal ?
– Il est dans le vaisseau !
– Demandez à ce qu’on le dépose à la sortie du sas et on ira le chercher. Yolaina, fait conduire ces messieurs à la salle du trésor et fait les assoir en attendant l’analyseur.

Gariga bien calé dans son fauteuil, chuchote à Bernardino :

– Ça a l’air de se tenir tout ça, le tuyau de Jiker était pourri !
– On laisse tomber, alors ?
– Sans doute, mais j’aurais encore quelques questions à poser à ces nanas.

Après que l’analyseur eut confirmé les dires de Yolaina, la reine prit la parole :

– J’espère que vous êtes convaincus et que maintenant vous allez nous foutre la paix. On doit avoir quelque part l’acte de vente du véritable Globo de Khar. J’ignore où il est conservé, mais si vraiment vous y tenez, je peux le faire rechercher, mais c’est tout ce que je peux faire pour vous. On va vous laisser vous concerter tous les deux. Vous me rejoindrez dans la salle des audiences dans un quart d’heure et vous me ferez part de vos intentions.

Et tout en prononçant ces mots la Reine Russo envoyait des sourires stratégiques en direction de Gariga tout en ignorant superbement Bernardino.

– On dirait que j’ai un ticket ! Fit remarquer Gariga à son compagnon quand ils furent seuls.
– Pff, une vieille pétasse !
– Je vous trouve bien difficile !
– J’aimes pas les pouffes ! Répondit Bernardino qui n’avait rien d’un grand philosophe.
– Sinon ?
– Elle est peut-être en train de nous manipuler ! L’original est peut-être planqué quelque part ailleurs.
– Non, ça ne tient pas debout, on est arrivé par surprise, elles n’auraient jamais eu le temps de faire ça !
– On va leur demander le certificat de vente ?
– Oui, par principe, mais ma conviction est établie, on va rentrer bredouille.

Les quinze minutes écoulées, on fit revenir les deux « fins renards ».

– Vous nous avez convaincu, votre grâce ! Nous aimerions néanmoins repartir avec la copie du certificat de vente, c’est pour nos supérieurs, comprenez-vous !
– Je comprends parfaitement.
– Nous aurions néanmoins quelques questions, votre grâce.
– Allez-y mais dépêchez-vous, je n’ai pas que ça à faire !
– Comment a pu naître cette rumeur, puisque votre planète vit dans un quasi-isolement ?
– Des cargos nous ravitaillent en bricoles de façon régulière, un jour une nana a voulu partir d’ici, ce qui était son droit, elle a voulu monnayer son passage en bluffant un type en lui parlant du Globo de Khar. Ça s’est mal terminé, le voleur a été condamné et la fille punie, mais que voulez-vous, l’équipage y a cru, et a lancé une attaque, ça s’est soldé par une catastrophe avec la mort du capitaine O’Neal. Les rescapés sont repartis avec la certitude qu’il y avait ici un diamant d’une valeur inestimable et en débarquant ces abrutis se sont mis à parler. Dites-leur la suite, Capitaine Stoffer.
– Herbert, l’un des parrains de la pègre de Vargala a fini par apprendre la nouvelle, il a fait massacrer tous les survivants du vaisseau d’O’Neal afin de les empêcher de parler et il s’est pointé ici avec un commando.
– Il croyait nous vaincre par surprise, mais nous les attendions ! Ajouta Yolaina, le commando a été anéanti, et Herbert capturé.
– Mais, votre grâce, comment avez-vous été prévenus ? demanda Gariga.
– Nous ne répondrons pas à cette question ! Répondis-je.
– Herbert, vous en avez fait quoi ? Demande Bernardino.
– On dit « votre grâce, qu’est devenu Hubert, s’il vous plaît ? Le moucha Yolaina.

Piqué au vif l’homme reformula sa question.

– Et pourquoi cette question ?
– Y’a une prime ! Euh, je veux dire sa capture est assortie d’une récompense, votre grâce.
– Vous ne seriez pas un peu vénal, vous ?
– Euh…
– En fait, rien ne m’oblige à répondre à ce genre de question, mais je vais satisfaire votre curiosité, venez avec nous au fond du jardin, monsieur Gariga, ne vous déplacez pas, je serais très honoré de vous recevoir à ma table ce soir afin de conclure votre visite, ce sera un tête-à-tête, évidemment… et je pense qu’il ne pourra qu’être agréable

A ce moment-là, Gariga parti sur son petit nuage, pensa qu’il avait réellement un ticket.

J’accompagnais donc la Reine, Yolaina et Bernardino jusqu’à la mare aux grenouilles.

– J’ai hérité de pouvoirs magiques ! Commença la Reine Russo. La magie est un art difficile, éprouvant, et parfois dangereux, aussi je m’y adonne peu souvent. Mais quelle satisfaction quand on réussit ! Ainsi j’ai transformé Herbert en grenouille, ne faites aucun bruit, vous allez le voir !

Une première grenouille sortit de l’eau et se posa sur un large nénuphar, les autres suivirent.

– Voilà c’est le deuxième sur la droite !
– Vous avez transformé ce mec en grenouille ? Euh, votre grâce.
– Eh oui !
– Mais, est-ce qu’on peut le faire revenir comme avant ?
– Non, je n’ai pas le pouvoir de faire ça, laissons maintenant ces petites bêtes vivre leurs vies !

La petite troupe commandé per Bernardino fut autorisé à sortir de leur vaisseau afin de pouvoir profiter du café-bordel de l’astroport.

Gariga lui, attendait l’heure de son invitation, fébrile comme un collégien boutonneux allant à son premier rendez-vous.

La reine Russo avait demandé à ce qu’on lui retrouve ce fameux acte de vente. Comme elle le pressentait, personne ne savait où il pouvait bien être, aussi, avait-elle lancé cette invitation à Gariga, qui était tout sauf innocente.

– Que les choses soient bien claires ! Dit-elle, je ne suis pas une femme facile, de plus ici c’est essentiellement entre femmes que l’on s’amuse. La communauté a été créée comme ça, même si au fil des temps nous sommes devenues moins sectaires.

Gariga ne sachant quoi répondre afficha un sourire idiot.

– Il m’arrive parfois de m’offrir un petit délire sans lendemain. J’ai évidemment remarqué que je ne vous laissais pas indiffèrent. Savez-vous que c’est réciproque ?

Gariga rougit comme une tomate.

A suivre

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4 réponses à La reine Russo 12 – La mare aux grenouilles par Nicolas Solovionni

  1. Sochaux dit :

    Il ya un point commun entre les jolies femmes et les grenouilles !
    J’adore leurs cuisses ! 😉

  2. Sapristi dit :

    Se faire enculer par un gode ceinture en écoutant le croassement des grenouilles, en voilà un fantasme qu’il n’est pas courant !

  3. Olivia dit :

    Comme quoi parfois, la monarchie, ce n’est pas si mal quand les reines sont coquines

  4. Biquet dit :

    Le coup de la grenouille m’a fait mourir de rire, sinon c’est bien chaud !

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