Kléber par Dan2

Kléber par Dan

J’habitais alors un petit hameau qui se trouvait près d’un autre tout petit hameau, à 1 Km environ. Dans ce hameau de quatre maisons, habitait Kléber qui avait 75 ans à l’époque. Je le connaissais bien et nous discutions souvent lui et moi. J’avais à l’époque 18 ans et Kléber me fascinait. Je fantasmais sur lui et je me masturbais souvent en pensant à lui. Pourtant, la maison où il habitait avec son frère était un ancien corps de ferme tout délabré et insalubre. Ils vivaient misérablement et l’hygiène n’était pas au rendez-vous. Mais, il était dans toutes mes pensées, il m’attirait irrésistiblement. On le disait obsédé sexuel, (à l’époque, il ne fallait pas grand-chose pour être catalogué) ! C’est vrai qu’il aimait regarder les femmes et malgré son âge, il était resté très vert de ce côté-là. Je le désirais mais je me disais qu’il aimait plutôt la gent féminine. Mes parents possédaient un pré juste en face de sa maison, il n’y avait que la route à traverser, et il venait discuter avec moi quand j’apportais de l’eau aux veaux qui paissaient dans ce pré.

Or, un jour de l’été 1978, j’étais arrivé et que je vidais le tonneau dans l’abreuvoir, Kléber, qui avait entendu le tracteur, vint me voir, comme à son habitude. Nous discutions en attendant que l’abreuvoir se remplisse et moi j’avais le souffle court et le cœur qui battait la chamade tellement j’avais des envies très sexuelles envers lui. J’avais mis ce jour-là un short qui laissait voir mes gambettes, ça m’a bien servi ! Tout en discutant, je montais sur la roue du tonneau pour ouvrir la trappe au sommet et vérifier où en était le niveau de l’eau. J’avais donc à ce moment les fesses droit dans la ligne de mire de Kléber. Après avoir vérifié le niveau, je m’apprêtais à redescendre mais, en regardant Kléber du coin de l’œil, j’ai vu que celui-ci regardait mes fesses avec intérêt, comme s’il matait les fesses d’une femme. Ça m’a mis alors dans un état d’excitation mais que faire ? Comment agir ? J’avais peur de m’avancer, de me découvrir et je suis resté sur la roue en faisant semblant de vérifier à nouveau le niveau de l’eau en trémoussant mon petit cul pour satisfaire son regard lubrique. J’ai eu alors une idée : l’amener graduellement mais rapidement au contact, il ne fallait pas perdre de temps. J’ai alors simulé une crampe à une jambe en la contractant volontairement et en m’écriant :

– J’ai une crampe, ça fait mal !

Après quelques instants, je dis à Kléber :

– Vous voulez essayer de masser ma jambe, pour la faire passer ?

Il s’exécuta alors et j’avais gagné la première partie ! il avait ses mains sur moi ! Il me massait et c’était pour moi une merveilleuse caresse et je voyais qu’il appréciait de me toucher ainsi. Après un moment, j’eu une autre idée pour tester son envie : je lui dis :

– Ça va mieux ! vous voulez me masser l’autre jambe ?

Aussitôt, il déplaça ses mains vers l’autre jambe et me caressa pendant un moment, et je vis qu’il était de plus en plus excité, tout comme moi. Je lui dis alors :

– Tu veux m’aider à descendre ?

Il me prit alors par la taille et je descendais en atterrissant… directement dans ses bras ! Lui me tenais et moi j’avais les mains autour de son cou et nous sommes restés quelques secondes ainsi. Je lui murmurais alors à l’oreille :

– Merci !

Et j’ai posé alors mes lèvres sur son cou. Puis je me suis détaché et je lui dis :

– Viens !

Il me suivit alors, nous avons traversé la route et je l’ai emmené dans une dépendance qui fait partie de sa maison, une grange toute délabrée avec un fouillis à l’intérieur. J’ai fait quelques pas à l’intérieur pour trouver un petit coin pas trop embarrassé, je me suis retourné et me suis mis à genoux. Kléber était très près de moi et j’avais la vision de sa braguette à hauteur des yeux. Je l’ai caressé et au toucher, j’ai senti qu’il commençait à bander. Il n’avait pas de slip et sa bite se déplaçait librement dans son pantalon au gré de mes caresses.

Puis je commençais à le déboutonner et j’ai fourré ma main dans son pantalon pour lui sortir sa bite. Elle n’était pas encore bien raide et avait besoin de ma bouche pour la raidir. J’ai alors senti une odeur très forte de pipi mélangé avec une odeur de bite négligé, le tout agrémenté de l’odeur naturelle de mon partenaire. Ce n’était pas du tout désagréable, au contraire, c’était très excitant et j’adorais ce parfum, il m’enivrait littéralement. Je continuais donc à le branler en profitant à fond de ce parfum exquis et je me disais que si le goût est équivalent au parfum, je vais me régaler ! Et effectivement, quand j’ai pris la bite à Kléber dans ma bouche, ce fût un moment inoubliable ! Le goût a rempli ma bouche et j’ai sucé, sucé, sucé longuement, voluptueusement et sa bite, malgré ses 75 ans est devenue dure comme du roc, un délice… Kléber ne disait rien , juste un petit soupir de temps en temps, mais quand je sentis ses muscles se contracter et qu’il posa sa main sur ma nuque en me caressant et en haletant, j’ai compris qu’il allait m’offrir sa jouissance.

Et quelle jouissance ! Le sperme gicla dans ma bouche en plusieurs salves très puissantes et j’avalais le tout avec délice. Nous nous sommes alors assis l’un à côté de l’autre, épuisés par tant d’excitations, après un moment, je pris la main de Kléber et la posa sur mon sexe pour qu’il me caresse. Ce qu’il fit avec plaisir jusqu’à me sortir ma bite qui était dans une tension extrême. Je pris alors mon amant par la nuque, l’invitant à me sucer à son tour, ce qu’il fit à l’instant, mais à peine dans sa bouche, je jouis immédiatement et puissamment, lui offrant à mon tour du jus qu’il avala avec délice. Je n’ai ensuite pas résisté à lui demander s’il voulait que je lui lèche le cul. Il se leva alors et se tourna, me laissant admirer son cul qui m’excita tant que je fourrais mon nez dedans en profitant de son odeur là aussi très forte mais très aphrodisiaque. Il se pencha alors et me dévoila sa rondelle que j’ai alors titillé longuement avec ma langue, laissant dans ma bouche un goût merveilleux.

Puis nous nous sommes rhabillés et je suis parti après l’avoir embrassé longuement, cherchant sa langue et la caressant avec la mienne.

Notre liaison a duré un moment et j’ai adoré à chaque fois nos étreintes très chaudes. Ce récit, pour lui rendre hommage…

Fin

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Kléber par Dan2

  1. Werber dit :

    J’ai beaucoup aimé ce récit emprunt d’un profond respect

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *