Entre bonnes Gens… Par Verdon

Entre bonnes Gens… Par Verdon

Un jour que naviguant
Sur le dos accueillant
D’une tendre voisine,
Elle me dit que ma pine
Lui irait aussi bien
En son con qu’en ses reins.

Je la prends en levrette,
Par devant, par derrière,
Ayant eu carte blanche
De son brave Mari
Pour bien soigner ses hanches,
Car travaillant de nuit
Il craignait qu’elle s’ennuie
Toute seule dans son lit.

Aussi par dévouement
Du soir jusqu’au matin
Je devenais l’Amant
De sa douce Catin.

Elle avait de la chair,
Ça faisait mon affaire
Vue la charge à bouger
J’étais avantagé
Etant beaucoup flatté
Par tant de volupté.

Je massais son charnu
Elle suçait, la goulue
Encore mieux qu’une grue.
Je lui dis tourne-toi
Si tu veux que j’encule
Ton petit opercule.

Lui ayant mis deux doigts,
Elle a crié ‘Maman’
Qui venue sur le champ
Pour venger son p’tit gendre,
Lui a foutu une trempe
Qui n’était pas très tendre.
Car elle faisait cocu
Devant elle, son gendre.
Mais ayant aperçu
Ma pine bien dodue
Elle m’a sucé la hampe.

J’ai enculé la mère
Et sa fille adultère
Qui n’avait pas volé
Cette bonne volée
Qu’elle a bien appréciée
D’autant que son cocu
Ne lui en a voulu
Qui sans se faire prier
Lorsqu’il est revenu,
N’a pas été déçu
De prendre dans son cul
Ma pine encore tendue.

23/04/2023

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Une réponse à Entre bonnes Gens… Par Verdon

  1. Harivel dit :

    Adorable petite saynète cochonne bien rimée.

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