Delphine est mal fringuée par Mathilda Stenberg

Delphine est mal fringuée
par Mathilda Stenberg

Attention, scato explicite dans ce texte.

Bonjour, je m’appelle Mathilda, je suis brune, on ne me trouve pas mal même si je suis un peu forte et que je devrais perdre quelques kilos ! J’ai 26 ans. Parler de mon boulot ne vous intéressera pas, mais à l’époque de ce récit, j’accomplissais une mission de longue durée dans la région languedocienne, et j’avais trouvé une colocation chez une femme charmante, une antillaise d’une bonne quarantaine d’année, plutôt du genre plantureuse qui se prénommait Agnès. Une grande complicité s’est vite établie entre nous. Parfois elle me parlait de sexe, me disait qu’elle aimait s’amuser et m’avait confié qu’elle n’avait rien contre les femmes. Je n’avais jamais relancé, ne pensant pas que je pouvais l’intéresser. En ce qui me concerne j’avais rompu depuis plusieurs mois avec mon petit copain, et ne vivait que d’aventures sans lendemain. Quant aux femmes, j’avais eu une aventure un soir de fête avec une fille, le trip sexuel avait été parfait, mais ma partenaire n’avait pas souhaité donner suite. Ce fut mon unique expérience en la matière

Au moins une fois par semaine, nous partagions notre dîner avec Delphine, une fille blonde d’une vingtaine d’année, c’est la fille d’une ancienne voisine d’Agnès. Je n’ai jamais compris ce qu’elle fabriquait, mais cette nana était en perpétuelle galère, compétemment fauchée et s’habillant n’importe comment avec des vêtements que lui donnait les gens. Pas maquillée et coiffée sommairement. C’était dommage parce qu’un peu arrangée, on aurait certainement pu la classer parmi les « mignonnes ».

Hier soir Delphine est arrivée avec une jupe à bretelles sortant de je ne sais où, mais en plus, elle était tellement courte qu’on voyait ses collants filés et le bas de ses fesses, heureusement qu’elle avait recouvert tout cela d’une espèce de gabardine…

On a d’abord mangé, bu un petit peu ! On s’est mise à déconner sévère… Puis Agnès s’est souvenue que l’anniversaire de Delphine tombait dans une dizaine de jours !

– Est-ce que tu aimerais qu’on te paie des fringues ?
– Pourquoi pas, mais je ne sais pas trop ce qui me va ou pas !
– J’ai une idée, dis alors Agnès, comme tu fais à peu près la même taille que Mathilda, tu vas essayer quelques-unes de ses fringues, comme ça tu pourras nous dire ce qu’il te plait, et la semaine prochaine on ira faire les achats.

Nous nous sommes donc installées dans ma chambre et avons choisis quelques vêtements.

Agnès demande à Delphine de quitter sa jupe et d’essayer une petite robe bleue mignonne comme tout. Elle s’exécute et passe la robe par-dessus son chemisier et son pull. On rigole et on lui dit de quitter tout pour essayer comme il faut.

Delphine se retrouve donc en soutien-gorge et collant devant nous, et remet la robe. Une fois enfilée elle tourne devant nous, toute heureuse.

– Le problème c’est qu’avec le soutif que tu as, ça fait un peu bizarre ! dit Agnès. Laisse-moi arranger ça, on est entre femmes, non ?

Alors, sans autre cérémonie elle lui baisse la robe jusqu’à la ceinture, puis dégrafe son soutien-gorge ! Delphine se retrouve alors la poitrine nue devant nous et son réflexe est de se la cacher en mettant ses mains dessus.

Agnès, en riant lui attrape les bras et les lui place le long du corps.

– Tss, tss, je t’ai dit qu’on était entre femmes… Mais tu as une poitrine superbe ma fille !

Et elle lui met une main sur un sein et le caresse .Puis elle passe derrière elle et la saisit par sa poitrine à pleine mains qu’elle pelote ostensiblement devant moi.

Moi ça me fait rire de voir Delphine se trémousser, se demandant quelle attitude adopter, alors qu’Agnès continue à lui malaxer fermement ses gros nichons.

– Tu rigoles, petite garce, mais je suis sûre que tu n’as pas d’aussi jolis seins ! Me lance l’antillaise avec un sourire complice.
– Chiche que l’on compare ! Dis-je pensant que l’affaire en resterait là.
– Chiche ! Réplique Agnès !

Du coup je rentre dans le jeu et aussitôt dit, aussitôt fait, je tombe ma robe, quitte mon chemisier et mon soutien-gorge et me met en face d’elles, le torse gonflé, les seins en avant.

– Vas-y ! Compare !

Je suis en petite culotte devant Delphine et Agnès lui lâche un sein et commence à me caresser le mien.

– Difficile à dire, ils sont aussi doux et fermes !

Agnès nous fait nous plaquer l’une contre l’autre et nos poitrines se touchent, téton contre téton, ce qui a pour effet de me donner la chair de poule et instinctivement, je me frotte contre la blonde. Je la prends par la taille et me serre contre elle. Je sens alors mes pointes se durcir tandis que Delphine envahie par la chair de poule ne dit plus rien, mais se laisse faire. On se reste comme ça quelques instants, Agnès s’assoit un moment et nous regarde toutes les deux :

– Finis donc de lui enlever sa robe ! Me demande-t-elle

Je m’exécute lentement en lui caressant les hanches. La robe tombe à ses pieds.

– Laissez-moi vous guider toute les deux, mes petites chéries…

Pas de réponse mais nous sommes face à face, troublées et je tiens Delphine par les hanches.

– Bon ma biche, quitte lui son affreux collant.

Une nouvelle fois, je m’exécute lentement, et pour mieux faire, je me mets à genoux devant elle et saisissant l’élastique du collant, je le tire vers le bas. Je sens la peau des fesses douces et lisse, tire plus fort, la culotte viens avec, mais, trop occupée des réactions de Delphine je baisse tout jusqu’à ses pieds et elle se retrouve nue devant moi, son sexe à hauteur de mes yeux. Une sorte d’élan pervers fait alors que je ne peux m’empêcher de passer mes lèvres sur son pubis et de l’embrasser. Ça sent un peu fort, mais ça ne me gêne pas. Delphine réagit en me caressant les cheveux, et moi je laisse traîner ma bouche sur son ventre et sa motte gonflée tout en lui caressant les fesses. Agnès nous regarde faire, puis au bout d’un moment dit :

– A toi Delphine !
– Pardon ?
– Quitte lui sa culotte !

Je me suis relevée et Delphine, timidement se met à genoux devant moi et descend ma culotte sur mes pieds. Elle met du temps pour le faire et je sens ses mains s’attarder sur mes fesses puis sur mes cuisses. Elle fait exprès de me toucher le pubis et sous prétexte de descendre la culotte, passe sa main entre mes jambes et touche furtivement mon sexe. Instinctivement, j’ai d’abord serré les jambes, mais sous sa pression les ai desserrées et même ouvertes légèrement.

– Très bien les filles, vous étes super belles comme ça !

Agnès nous a rejoint et a relevé la blonde. Maintenant elle nous caresse toute les deux, les seins, le ventre, les fesses et nous nous laissons faire avec toutes les deux la chair de poule. Puis en même temps, Agnès passe sa main entre nos cuisses et nous caresse le minou. Je sens ses doigts s’infiltrer en moi et je vois que pour Delphine, c’est la même chose. Je m’accroche à ma partenaire et ouvre un peu plus mes cuisses. Delphine vient se frotter ses seins contre moi et je lui caresse les fesses. Elle aussi a ouvert davantage ses jambes et la caresse d’Agnès se transforme en une masturbation en règle pour toutes les deux. Nous nous embrassons et jouissons ensemble sous la caresse.

Après nous avoir faites jouir Agnès, toujours habillée, s’est rassise, a ouvert ses jambes et se caresse en nous regardant avec un petit sourire moqueur.

– Restez comme ça mes chéries, regardez-moi si vous voulez et continuez de vous toucher.

Agnès a maintenant quitté sa culotte et jupe relevée, jambes ouvertes se doigte devant nous, très vite elle rejette la tête en arrière et commence à jouir, ce qui ne l’empêche pas de continuer à se doigter et s’exciter toute seule. Alors, on s’est approché d’elle, et on l’a caressé d’abord timidement, sur les cuisses, puis j’ai découvert sa superbe poitrine noire que j’ai pris plaisir à parcourir de ma paume et de mes doigts puis de ma bouche. Delphine a remplacé la main d’Agnès par sa propre main sur son sexe gluant.

Puis, abandonnant les seins d’Agnès, je suis passée derrière la blonde, approchant ma bouche de ses fesses, lui écartant les globes, dirigeant ma langue vers son petit œillet ! Ça sent fort, cette fille a dû oublier de s’essuyer le cul après avoir été chier ! J’ai un réflexe de recul !

– Ça pue !
– Qu’est ce qui pue ? demande Agnès.
– Son, cul, ça pue la merde !
– Ah, ouais, attends je vais me rendre compte moi-même !

Sans doute vexée par mon attitude, Delphine se dégage et va pour ramasser ses vêtements ! Agnès se penche vers elle, lui caresse le dos !

– Tss, tss, Mathilda est une méchante fille, elle n’y connaît rien, montre-moi tes fesses, moi je suis sûre que je vais les aimer !
– Non, laissez-moi tranquille !
– Mathilda disait ça pour rire ! N’est-ce pas Mathilda ?

Je ne voudrais pas qu’il y ait un drame, aussi j’abonde dans le sens d’Agnès !

– Bien sûr que je disais ça pour rire !
– Je sais bien que je suis un peu sale… mais j’avais pas prévu que la soirée finirait comme ça, sinon j’aurais pris une douche !
– Tu ne me comprends pas ! Repris-je ! En fait, l’odeur ne me dérange pas tant que ça…
– Alors continue de lui lécher le cul ! Me coupe l’antillaise, me mettant au défi.
– J’arrive !

Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour éviter un drame ! Je ne sais pas si je vais en être capable, je me verse un grand verre du vin blanc qui traînait sur la table et reviens butiner le trou du cul de Delphine. Ça pue toujours, ça pue toujours la merde, mais bon, on s’habitue, on s’habitue même très rapidement. J’essaie de lécher, quelque part maintenant cette situation m’excite, je lèche maintenant avec frénésie, je ne me reconnais plus ! Il faut dire objectivement que l’odeur ne persiste pas, et que les traînées brunâtres qui me tombent sous la langue sont certes un peu âcres mais n’ont rien de pestilentielles ! Alors je décide que j’en veux encore, ma langue est dans son trou du cul, je le fore, je l’explore je m’en enivre !

– Alors ? Me demande Agnès ? Tu te régales ?
– Super ! C’est vraiment super de lécher un trou du cul qui pue !
– Tu m’en as laissé ?
– Je te laisse la place !

La langue d’Agnès remplace donc la mienne dans le troufignon de Delphine !

– On ne sent plus grand-chose ! C’est dommage, il n’y a que quand je suis super excitée que je peux faire des trucs pareils.

Agnès plonge un doigt dans le trou de Delphine, le ressort au bout d’un moment, tout merdeux et le lèche !

– Hum c’est délicieux ! Tu veux goûter, Mathilda ?

Je ne réponds pas, je ne sais pas quoi répondre.

– Vous êtes vraiment dégueulasses, toutes les deux, dit alors Delphine pour se moquer !
– Ça c’est vrai !

Agnès replonge une nouvelle fois son index dans l’anus de la blonde, puis me le tend.

Je ferme les yeux et j’ouvre la bouche, l’instant d’après je léchais avec passion, je ne me reconnais plus… Puis Delphine se dégage…

– Faut que j’aille pisser !
– Bonne idée on va te regarder ! Réplique Agnès !
– Tu veux voir mon pipi ?
– Tu as dit voir ou boire ?
– J’avais dit boire, non j’avais dit voir, je ne sais plus !

On se met toutes à rigoler !

– Bon vous voulez quoi ? demande Delphine
– Tu vas nous pisser dessus propose Agnès ! Ça te dit, Mathilda ?

Au point où en en est… Une fois un de mes ex m’a pissé sur les seins alors que je prenais mon bain, ça m’avait fait rigoler ! On s’allonge Agnès et moi sur le carrelage, l’une à côté de l’autre ! Delphine nous chevauche au niveau de nos ventres :

– Serrez-vous bien l’une contre l’autre, je n’ai pas des jambes de basketteuse !

Et le pipi sort, j’en reçois plein sur le ventre, c’est chaud, c’est rigolo, Agnès se marre comme une bossue tandis que la pisseuse s’avance vers nos seins, puis vers nos visages, je ferme la bouche instinctivement mais quand je vois l’antillaise avaler une rasade, je me décide à goûter ! Ça ne vaut pas le muscadet mais ça se boit…

– Bougez pas, je crois bien que je vais chier…

Non elle ne va pas faire ça ! Ben si et personne ne bouge, j’ai son sphincter à trente centimètres de mon visage ! Et Agnès qui attend la bouche ouverte, elle est folle ! Et moi je ne bouge pas, tétanisée.

– Ah ! Vous auriez bien voulu !

L’anus s’écarte, un étron brun commence à sortir. Je le regarde fasciné. Un long boudin descend à présent du cul de Delphine et dégringole sur les seins d’Agnés.

Elle rigole, elle prend l’étron dans sa main et en porte l’extrémité à sa bouche comme s’il s’agissait d’une bite, puis donne des coups de langue.

– Tu veux goûter ! Me propose-t-elle.
– Non peut-être pas !
– Juste un coup de langue, comme ça, pour voir !

Je ne sais ce qu’il m’a poussé à le faire mais je le fais.

– On lui nettoyer le cul toutes les deux !

Je m’acquitte de cette tâche avec une facilité et une décontraction que je n’aurais jamais imaginé. C’est vrai que tout cela est dans la tête, on s’attend à un goût abominable alors qu’il n’en est rien du tout.

– A ton tour de me lécher le cul, maintenant ! Lui dit alors Agnès, je crois qu’à cette heure-là il ne devrait pas sentir la rose !


Et tandis que la blonde prodigue une jolie feuille de rose à la belle black mature, je reste allongée, ma tête me tourne un peu ! Cinq minutes plus tard, Agnès revient vers moi et me caresse.

– Viens me rejoindre, Delphine ! On va s’en occuper à deux !

Elles m’ont alors exploré tout le corps, dans ses moindres détails. Tout n’était que caresses et douceur. Mise sur le ventre, Delphine sous moi, nous étions sexe contre sexe, puis suivant les conseils d’Agnès, tête bêche, bouche coutre sexe. Agnès me caresse le dos descend sur mes fesses, me les malaxent, passe sa main entre le sillon, s’arrête un instant, trouve mon petit trou et le caresse, le masse. Cette caresse, doublée de la langue de Delphine sur mon bouton me fait me cambrer et elle en profite pour de nouveau me pénétrer avec son doigt. L’antillaise profite de la situation et le massage de mon anus devient insistant et pénétrant. Je sens son doigt me pénétrer doucement puis se retirer. Je me cambre davantage, l’appelle. Il revient et rentre facilement plus loin et commence un doux va-et-vient alternatif avec celui de Delphine Je suis comme folle, comme une chienne et me cambre encore, suis à quatre pattes, ouverte, offerte et encore plus. Je jouis, me frotte la poitrine sur la motte de Delphine. Le doigt d’Agnès disparaît dans sa bouche, elle est partie. Mon corps désespéré l’appelle !

J’ouvre mes fesses, me frotte plus fort contre mon amie. Miracle, Agnès est de retour, elle me caresse, j’ouvre mes fesses l’invite. Je sens de nouveau son doigt, il pousse, entre, se retire et de nouveau entre par la petite porte. Je crie, j’en veux plus, je la lèche.

Le « plus » c’est Agnès que me l’offre. Son doigt s’est retiré et je sens la pression de quelque chose sur mon petit trou affamé. C’est gros, énorme et ça rentre lentement, je suis écartelée et heureuse, ça vibre en moi et provoque une décharge électrique si intense que je me vide, ma chatte n’est que ruisseau, fontaine. Jamais je n’ai été si comblée, pourtant l’engin que m’a enfoncé Agnès est plus que respectable par sa taille. Maintenant il me fait peur à voir, mais au fond de moi une envie de le remettre me poursuit et en plus mon trou me fait mal, il me brûle et en redemande…

Je m’empare du gode et je le lèche, le nettoie de toute ma merde. Je suis chienne et j’aime ça…

Agnès me roule un patin, j’ai l’impression que sa bouche a conservé l’odeur de ce qu’elle a léché, mais j’en ai cure, ce baiser est trop bon. Delphine vient s’immiscer, c’est amusant de mélanger nos langues à trois.

je crois que je vais dormir un peu… Non peut-être une douche avant…

Mathilda Stenberg 2005

Rewriting de « ma meilleur amie et ma belle-mère » paru jadis sur Sophiexxx sans mention de nom d’auteur, ni la moindre correction

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4 réponses à Delphine est mal fringuée par Mathilda Stenberg

  1. hagamen dit :

    Une belle histoire cochonne avec de la scato. J’adore ça !

  2. lesignac dit :

    Excellent et pervers à la fois

  3. Claire dit :

    Je n’avais jamais remarqué ce texte, j’avais bien tort, il est très chaud et très bien. Et même que je le recommande

  4. Grasie dit :

    Sans doute écrite à deux mains (la rupture de style à la fin est flagrante), mais qu’importe, le délire fonctionne parfaitement.

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