Courte paille par Sylvain_Zerberg

Courte paille par Sylvain_Zerberg

Bonjour je m’appelle Patrick et j’ai 35 ans, je travaille dans la presse. Nous nous sommes rencontrés Yvette et moi il y a dix ans environ. Elle venait juste de divorcer d’un premier mariage malheureux et m’avait été présentée par une de mes amies qui connaissait bien mes goûts en matière de femme. Grande, bien en formes, fausse blonde aux yeux clairs, cultivée, de dix ans mon aînée : elle avait vraiment tout pour me plaire. Et étant donné moi je lui plaisais également, on ne tarda pas à se retrouver dans le même lit. Dans ce domaine également nous nous entendions parfaitement et à cette époque c’était souvent matin midi et soir. Elle ne tarda pas à se retrouver enceinte et je me décidai à l’épouser pour parfaire notre union.

Les années qui suivirent furent parfaites, nous nous entendions à merveille et nagions dans le bonheur en toute complicité. Yvette commença à se poser des questions à l’approche de ses 45 ans, elle se sentait sans doute vieillir, avait peur de ne plus être aussi désirable, ni même intéressante au lit. J’essayais évidemment de la rassurer du mieux que je pouvais mais c’était plus fort qu’elle. Sans doute aussi la différence d’âge qui ne l’avait pas gênée jusque-là commençait-elle à l’inquiéter. Elle devenait jalouse et agressive. J’avais entendu dire par des amis que les femmes de cet âge soit commençaient à s’empâter dans la vieillesse en s’éloignant peu à peu des choses de l’amour, soit au contraire devenaient plus salopes et plus vicieuses et avaient besoin de plus de piment dans leurs relations. En ce qui me concerne, je n’avais nulle envie que ma femme opte pour la première solution.

Aussi, je lui proposai de partir en vacances, rien que tous les deux pour un peu faire le point.

Pendant le voyage, je lui fis part d’une idée.

– J’ai lu un truc sur Internet, un jeu érotique, on tire au sort et le perdant doit obéir au gagnant pendant une période qu’on détermine, une heure, une journée, une semaine… Ça te dirait ?
– Je veux bien essayer !

Elle avait effectivement l’air intéressée… Et nous voici partis tous les deux en amoureux faire un peu de randonnée en montagne ce dont nous avions aussi perdu l’habitude depuis pas mal de temps. Et cette année-là le mois de septembre est radieux. Le premier jour, alors que nous faisons une halte près d’un petit étang, je dis à Yvette :

– Si on jouait au petit jeu dont on parlait hier !
– Ok on y jouera ce soir !
– Pourquoi pas tout de suite ?
– Pas dehors quand même ?
– Rassure toi je ne vais pas te demander des choses impossibles ! Et puis on n’a pas tiré au sort, c’est peut-être toi qui vas gagner !

Je me préparai à la faire tirer à la courte paille, mais une question restait en suspens :

– Pour la durée…
– La durée, ce sera nos huit jours de vacances, me proposa Yvette, le jeu ne s’arrêtera qua quand on repartira !

Bon pourquoi pas, je me demandais quand même ce qu’elle pourrait bien exiger de moi si je perdais, mais le sort me fut favorable…

– Ce n’est qu’un jeu, si tu veux qu’on arrête, on arrête !
– J’ai bien compris mais pour l’instant on n’a même pas commencé !
– Alors je vais commencer : J’aimerais que tu baisses ton pantalon et que tu me montres tes belles fesses, chérie, j’ai très envie de te faire l’amour.

Elle a l’air estomaquée. Elle se retourne et son regard me dit que je suis devenu fou, que ça ne se fait pas, pas ici… qu’on pourrait nous surprendre… Mais je réitère ma demande, cette fois de façon plus grossière :

– Oui tu as bien entendu, cela fait dix kilomètres que je vois ton cul balancer devant mes yeux et ça me donne la trique, tu comprends ? Alors défais-toi vite que je te baise et viens tâter ma bite pour voir si je mens.
– Non, arrête, pas ici, c’est tout dégagé, on pourrait nous apercevoir, on fera ça tout à l’heure à l’hôtel.

Mais je m’approche et fermement commence à dégrafer son pantalon

– Tu ne veux déjà plus jouer ?
– Si, mais fais attention…
– Pas de chichi Madame, vous n’aviez qu’à pas m’allumer en vous déhanchant, maintenant c’est trop tard.

Je baisse son pantalon et la culotte avec. C’est vrai qu’elle pourrait faire des efforts et s’habiller un peu plus sexy. Je m’agenouille derrière elle et commence par lui lécher les fesses et l’anus, j’adore lui lécher le trou du cul, en plus il n’est pas très net, et sent un petit peu la merde, mais ça ne me dérange pas du tout, au contraire, ça aurait tendance à m’exciter. Puis je la retourne et entreprends un savant cunnilingus qui ne peut que la troubler. Debout, les jambes écartées, sans rien pour se tenir, elle commence à fondre dans ma bouche. Je redouble d’effort et avale sa cyprine. Quoiqu’elle en dise cela fait longtemps qu’elle n’a pas été aussi trempée. Je me relève, on verra pour une petite pipe plus tard, pour le moment j’ai surtout envie qu’elle reste debout, penchée en avant, le cul bien tendu et que je la prenne debout face au lac. Et me voici en train de baiser cette cochonne près d’un lac en attendant de lui asperger copieusement son intimité.

Ce qui devait arriver arriva, tandis que nous nous rhabillons, nous voyons arriver un couple dans la cinquantaine ainsi qu’un type entre 20 et 30 ans genre étudiant sérieux, peut-être leur fils. En dévalant le plateau, ils ont bien eu le temps d’observer toute la scène, il suffit de voir les regards lubriques des deux hommes pour en être assuré. Quant à la femme elle est pour le moins ulcérée quand son mari s’adressant à ma femme :

– C’est un très beau panorama que l’on a ici et cela fait toujours plaisir de rencontrer une femme charmante !

Ça il aurait pu s’en passer, il ne va pas tarder à se faire remonter les bretelles. Quant à l’étudiant, il a les yeux rivés sur les fesses de mon épouse et ne sait pas comment camoufler la bosse qu’il a sur son pantalon. En définitive ils poursuivent leur chemin en se faisant incendier par leur mégère et nous leur emboîtons doucement le pas pour être sûr de ne pas les rattraper. Finalement, tout ceci me donne une idée. Au lieu de redescendre vers le village pour rejoindre notre hôtel, nous continuons de loin à suivre cette petite famille. Ma femme est un peu inquiète mais je lui dis qu’il y a un chalet en haut, un refuge pour les alpinistes, sans doute pas autant de confort qu’à notre hôtel mais ce sera plus sympa. Et j’ai fait mouche, c’est bien par-là que nos voyeurs se dirigent. Nous nous y retrouvons, le vieux est apparemment content de retrouver ma femme, il lui fait tout de suite la causette et elle a du mal à s’en dépatouiller. Pendant ce temps, je m’arrange pour que nous ne soyons pas trop loin d’eux dans le dortoir. Il n’y a que des petits lits superposés et je décide que je dormirai en haut et que ma femme prendra celui du bas. Le soir venu, après le repas, je propose à mon épouse d’aller faire un tour dehors et une fois à l’écart je lui dis.

– Quand on va retourner là-bas, je veux que tu te déshabilles entièrement près de ton lit et sans précipitation pour que ce type te regarde bien entièrement.
– Ça ne va pas, tu es complètement fou, c’est hors de question.
– Si tu vas le faire et ça va t’exciter de jouer l’allumeuse, je suis sûr que tu vas le faire bander ce cochon.
– Oh non, on arrête le jeu ! Je ne peux pas faire ça !
– Mais si tu veux, tu n’es pas obligée de faire un strip-tease non plus, tu n’as qu’à faire ça comme si tu étais habituée.
– Bon je te promets pas, on va voir !

Et le pire d’en tout ça c’est qu’elle a eu le cran de le faire. Elle retirait ses habits les uns après les autres, mimant calme et décontraction. Et il y avait au moins cinq personnes qui la regardaient, moi bien sûr, les trois membres de l’autre famille et un homme célibataire qui dormait de l’autre côté. Elle est d’abord restée très longtemps torse nu, seins à l’air à faire semblant de trier des papiers. Puis elle a ôté le reste et s’est carrément allongée nue sur le lit en train de feuilleter un dépliant. Au bout d’un moment elle a même posé sa main sur sa chatte, en faisant mine de se gratter, plusieurs fois de suite en écartant les cuisses à chaque fois un peu plus. Puis elle a fini par se glisser dans son duvet.

Durant la nuit, je suis descendu de mon couchage et ai dégrafé lentement le duvet avant de m’allonger nu près d’elle et je l’ai caressée dans son sommeil. Evidemment, elle s’est réveillée en sursaut et j’ai dû lui mettre la mettre devant la bouche. Puis, sans plus hésiter, je l’ai pénétrée et ai commencé à la raboter. Et tandis que je la défonçais, l’étudiant s’est réveillé et nous a regardés en s’astiquant dans son duvet. Et lorsque j’ai sorti ma queue pour cracher ma semence sur ses fesses et dans son dos, je suis certain que le voyeur lui aussi a tout craché.

Le lendemain, nous sommes repartis vers le village. Nous sommes redescendus vers la rivière. Il y avait de ce côté beaucoup plus de monde : Des pêcheurs et même des gens qui se baignaient. Je l’entraîne sous un arbre, un peu à l’écart des autres.

– Tourne toi chérie et montre-moi ton cul, j’ai envie de te donner une fessée.

Elle proteste à nouveau, menace de s’en aller. Mais je lui explique que vu la distance qui nous sépare des gens qui sont près de la rivière, ils pourront mater, mais pas la reconnaître ensuite. Je ne la convins qu’à moitié mais elle accepte de se tourner, elle m’exhibe ses fesses, du coup je c’est moi qui la retourne et qui la fesse. Ça m’existe terriblement, rapidement elle a le cul tout rouge, je lui dis de ne pas bouger d’un pouce, et fait quelques mètres pour approcher d’un arbuste dont je détache une toute petite branche assez souple que je débarrasse de ses feuilles. Je m’aperçois alors que plusieurs personnes plus loin regardent dans notre direction, plus près je perçois une sorte de mouvement derrière des fourrés. Un ou plusieurs zigotos ont donc décidé de s’approcher pour voir mieux ! Ça m’embête un peu pour la suite, mais je décide de faire comme si de rien n’était. Muni de ma mini branche, je vise le fessier de ma moitié et la cingle joliment. Le traitement à l’air de lui plaire, les rares fois où je lui ai donnée des fessées comme ça pour rire, cela lui avait plu, mais je n’avais jamais tapé si fort et je ne m’étais jamais servi d’autre chose que de mes mains.

– Bon ça va aller tu peux te reculotter, ma chérie !
– Ok, mais avant je voudrais bien faire pipi, je vais aller dans les fourrés là-bas !
– Sûrement pas, tu ne changes pas de place et tu pisses ici !
– Tu exagères !
– Je sais !

Yvette baisse son pantalon et sa culotte et s’accroupit, elle devait avoir une grosse envie car de suite son urine jaillit de sa chatte et dégringole en formant une petite flaque sur la terre grasse qui finit par l’absorber.

– Je vais aller plus loin, je crois qu’il faut que je fasse caca.
– Non, non, fais ici, tu sais bien que j’aime te regarder quand tu chie.
– Gros cochon !

Elle pousse, me fait un gros boudin et s’essuie avec des feuilles d’arbres

– Ne te rhabilles pas, du coup, j’ai moi aussi envie de pisser !
– Qu’est-ce que tu vas encore inventer ?

Sans lui dire je m’approche d’elle, sort ma bite et avant qu’elle ne réalise, je l’arrose, elle se détourne alors que je visais son sexe mais en reçoit plein les cuisses.

– Tu es fou, tu m’en mets partout !

Mais elle rigole comme une bossue et moi aussi d’ailleurs, on attrape un vrai fou rire, on se rapproche on s’embrasse tendrement. Une folle envie de faire l’amour m’envahit, mais on ne fera le fera pas ici

– On va faire un tour par là-bas ! Proposais-je à Yvette !
– Mais non, on descend vers la rivière, ils vont pas nous tuer !

Nous tuer, non mais ils font des drôles de têtes quand on s’approche. Pas un mot, des regards étranges ! L’un deux très courageux attendra qu’on les ait dépassés de 20 mètres avant de lâcher :

– Faut pas vous gêner surtout !

Du coup les autres se déchaînent, on se fait traiter de tous les noms ! On accélère le pas !

– La prochaine fois on vous jette des pierres ! Nous prévient un autre abruti !

Quelles bandes d’hypocrites, ils se sont rincés l’œil et maintenant ils nous menacent d’un Intifada ! On emprunte un petit pont et on se sauve…

On a été trop loin, pas question de rester dans ce coin. Revenu dans la vallée on décide de quitter l’hôtel le lendemain. Entre temps nous apprenons qu’il y a un bal dans un bourg voisin, du coup j’emmène Yvette choisir une robe très décolletée et très provocante, le genre de truc à porter sans presque rien en dessous. Le hasard a voulu qu’il y ait dans le public l’un des types qui étaient au bord de la rivière l’après-midi ! Mais ici pas question de lui jeter des pierres, ils sont tous à essayer de l’inviter à danser en bavant comme des crapauds. On les laisse faire un peu mais ils commencent vraiment à la coller de très près, l’un d’entre eux lui a peloté les nichons, l’autre a essayé de l’embrasser. Je me rapproche, il ne faudrait pas que ça tourne en bagarre non plus… Alors je leur dis.

– Ma femme a très envie de vous montrer sa petite chatoune. Seulement montrer, alors pas touche, c’est chasse gardée. Chérie si tu remontais ta robe, je crois que nos amis sont intéressés.

Elle devient écarlate, Ils sont au moins six ou sept à nous entourer. Son regard semble m’implorer, elle espère encore que je vais la sortir de ce mauvais pas. On sort de la salle de bal.

– Vas-y chérie montre-nous tes belles fesses bien pleines et ta petite moule poilue.

Elle finit par y consentir et relève timidement sa robe laissant apparaître le haut de ses cuisses. Les autres sont très excités, ils l’incitent à aller plus loin, à montrer son cul et pourquoi pas le reste. Ils lui demandent de se mettre à poil. Je ne sais pas ce qui lui prend, mais cette cochonne le fait. Elle se retrouve entièrement nue au milieu de tous ces mecs et ça n’a pas l’air de la gêner. Des mecs sortent leurs queues et commencent à se branler. J’ai bien peur de ne plus trop contrôler la situation car Yvette est au milieu en train de se caresser devant eux. L’un d’eux essaie de la toucher.

– On ne touche pas ! Répétais-je !

Je vais avoir du mal à contrôler la situation. D’autant qu’Yvette complètement à l’ouest se masturbe en plein milieu du groupe d’homme. Je ronge mon frein. Pourvu que ce ne soit pas elle qui leur disent de la toucher ! Ma femme se branle sans retenue, je ne l’ai jamais vue ainsi, d’ailleurs je ne l’ai jamais vue se branler. Deux des mecs se mettent à décharger, le jus de l’un d’eux gicle sur les fesses de ma femme, puis c’est au tour d’un deuxième et enfin deux autres mecs dont l’un encore lui projettent son foutre sur les cuisses. Les autres ont abandonné, nous ramassons vite fait nos affaires et rentrons à l’hôtel après les avoir salués.

C’est alors qu’elle m’a dit :

– Pour l’instant c’est toi qui me commande, quand j’en aurais marre on échangera les rôles ! Mais tu as joué avec le feu, j’ai réellement pris goût à ces petits jeux, j’ai encore des trucs à essayer, la prochaine fois que je me trouverais au milieu d’un groupe d’hommes, je leur sucerai la bite devant toi…
– Euh !
– Ben oui !

Sylvain Zerberg

Adaptation d’un récit intitulé  » Je montre ma femme  » signé  » Jean-Paul  » et publié en septembre 1999 sans mail d’auteur puis supprimé sur le site de revebebe

Juin 2007

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3 réponses à Courte paille par Sylvain_Zerberg

  1. De Candé dit :

    Les archives du site sont pleines de choses étonnantes

  2. Olivia dit :

    Vraiment pas mal, c’est dommage que le passage « caca » soit si court, c’est tellement joli, une femme qui chie !

  3. Orlando dit :

    Une histoire très originale, j’ai vraiment beaucoup aimé

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