Clotilde 3 – Excitations par fafalecureuil

Clotilde
3 – Excitations
par fafalecureuil


Nadia ne tarda pas à jouir, elle me releva et m’embrassa à pleine bouche. Nous remontâmes dans le salon. Nadia me fit mettre debout, jambes écartées et mains sur la tête au milieu de la pièce. Je pensais aussitôt qu’on pourrait me voir par la fenêtre, mais ça ne m’excitait que davantage…

– Je t’interdis de bouger, Clotilde.
– Bien…

Et Nadia se dirigea vers Ronan, s’agenouilla devant lui et défit sa braguette, un sexe de belle taille tendu ne tarda pas à sortir. Nadia lécha Ronan devant moi, je n’en pouvais déjà plus. Elle le suçait comme une dingue et après quelques minutes de ce traitement elle s’empala sur lui en criant son plaisir. Je tremblais de jalousie, le regard de Nadia me défiait.

– Regarde comme il me défonce bien
– …
– Tu as vu comme il aime ça ?
– O…oui
– Tu aimerai aussi te faire défoncer ?
– Oui…
– Tu aimerai prendre sa queue dans ta bouche ?
– Oui
– Qu’il te sodomise
– Oui…
– Qu’il te prenne comme une chienne ?
– Oh… oui… pitié…
– Regarde bien, il va jouir en moi
-…

Ronan redoubla ses mouvements et Nadia criait sans retenue, puis il explosa, s’enfonçant en elle. Après quelques instants, Nadia pantelante se retira et s’allongea sur le canapé. Ronan se leva, se dirigea vers moi, je m’accroupis et frottais mon visage contre son sexe poisseux. Je m’enivrais de son odeur, je le pris en bouche, léchant, suçant de mon mieux. Nadia s’approcha, le nectar dégoulinant de son entrejambe, je la nettoyais avec délice. Ronan me souleva, m’allongea sur la table et me pénétra d’un seul coup, ses coups de boutoir me rendaient folle. Ma chatte ruisselait, je sentais ma mouille couler entre mes cuisses. Nadia se mit à pincer mes tétons, à les tordre. Je lui demandais de serrer plus fort, elle empoigna mes seins et serra ses mains, elle les tordait sans ménagement. Elle gifla mes seins, les griffait, la douleur décuplait mes sens, la tête me tournait, je me sentais partir, je m’affalais.

Je ne me réveillais que le lendemain, dans mon lit, ma main entre les cuisses. Tout de suite l’odeur du sperme maculant mon ventre me rappela ma soirée d’hier je portais ma main à mes lèvres et goûtais. La tête me tournait, je me levais, il me fallait une douche pour me remettre de mes émotions. Je gagnais la salle de bains. Sous l’eau, j’admirais mon corps dans le miroir, mes seins menus, mes tétons tendus de plaisir, ma peau blanche et laiteuse, mon petit cul, mes jambes fines. J’écartais les jambes dévoilant mon petit triangle roux et mon sexe gonflé. Mes doigts glissaient déjà entre mes lèvres, pinçaient mon clitoris. Nadia avait laissé un gode sur le lavabo, je le saisis et le pris en bouche, je le léchais, le suçais. Puis je l’enfonçais dans mon minou, je me masturbais face au miroir, prenant plaisir à me voir, sans aucune pudeur. Je me retournais et le gode investit mon petit trou, mon autre main maltraitant mes seins, triturant mes tétons. Je gémissais de plaisir, la jouissance montait d’autant plus vite que ça m’excitait de me voir si salope dans le miroir. L’orgasme ne tarda pas, jamais je n’avais joui suite à une pénétration anale, c’était différent, plus bestial. Je sortis doucement le gode et sans hésitation, je le léchais, goûtant mes sécrétions. Je me voyais dans le miroir, fière d’être une salope.

Je coupais l’eau et me séchais, j’allais à la cuisine, nue. Les rideaux étaient ouverts mais ça m’était égal, au contraire… Sur la table une lettre de Nadia.

Chère Clotilde,

Nous t’avons laissée te reposer, j’espère que tu es remise de tes émotions. Ronan est absent pour quelques temps mais si le coeur t’en dis, nous pourrions passer un moment ensemble. Tu trouveras dans l’entrée un paquet avec trois bijoux, choisis celui qui guidera nos aventures de la journée. Ensuite rejoins moi au restaurant dont l’adresse se trouve au dos du paquet pour 14H.

Je t’embrasse,

Nadia,

PS : je suis sûre que tu es nue.

Il était déjà presque 13 heures. Je me dirigeais vers le couloir, le paquet était là, je l’ouvrais. Une bague, un bracelet et une chaînette étrange. La chaînette me fascinait, je la passais à mon cou. Quatre branches pendaient, deux courtes et deux longues. Les courtes arrivaient jusqu’à ma poitrine et les autres jusqu’à mon sexe. Je le gardais. Je montais dans ma chambre et je choisis une robe noire assez courte, fermée sur le devant par plusieurs boutons. Je chaussais ensuite des escarpins à talon haut et me maquillais rapidement.

Je sortis et tombais sur ma petite voisine, plus jeune j’étais souvent sa baby-sitter, même si je n’avais que 4 ans de plus qu’elle. C’était maintenant une belle jeune femme, ses longs cheveux noirs ondulaient, elle me souriait.

– Clotilde !
– Salut Gaëlle, excuse-moi, je suis un peu à la bourre…
– Tu as raté mon anniversaire vendredi…
– Oh, je suis désolée, j’ai…
– Pas grave, mais tu me dois au moins une soirée, passe ce soir tu veux ?
– Euh, ok promis !
– A ce soir, 19H

Et elle m’embrassa sur la joue, un baiser un peu appuyé, elle sentait bon. Ca y est, maintenant je lorgnais sur ma voisine… Quelle nymphomane…

Je sautais dans ma voiture, après quelques instants je retrouvais Nadia, elle était superbe dans une robe rouge moulante. Elle m’embrassa sur la bouche.

– Je vois que tu as choisi le collier…
– Oui, mais je pense qu’il manque quelque chose.
– Tu as deviné, veux-tu aller manger ou préfère tu que j’aille te montrer ce qu’il manque à ta parure ?
– Je crois que je n’ai pas faim…
– Suis moi dans le parc.

Nadia s’engagea sur un chemin ombragé, nous marchions, main dans la main depuis quelques instants.

– Tu sais ce qui manque à ton collier, n’est ce pas ?
– Oui, je l’imagine
– Tu n’a pas peur ?
– Non, pas tant que ça.
– Arrête toi là et déboutonne ta robe.

Je m’arrêtais au bord du chemin et obéis

– Tiens la ouverte

J’écartais les pans de ma robe. Nadia ouvrit son sac et sortit des pinces de métal. Elle attacha les pinces aux chaînettes et commença par mes tétons, la douleur était supportable, je m’attendais à pire. Puis elle s’occupa de mes grandes lèvres. Un cri m’échappa.

– Te voilà prête Clotilde, tu es superbe.
– Merci Nadia…
– Allons manger maintenant. Referme ta robe.

Et elle m’invita au resto, inutile de dire que je ne me souviens de rien, sauf du feu qui brûlait mon corps et des regards de plusieurs convives qui avaient remarqué mes bijoux. Ils mataient aussi Nadia bien sûr et devaient se douter que nous étions amantes à sa façon de prendre ma main, de me toucher.

A la fin du repas, Nadia me demanda si j’étais prête…

– Bien sûr… je te suis…
– Ok…

En passant à côté d’une table ou mangeaient trois hommes elle leur fit signe de nous retrouver dehors. J’étais un peu surprise. Bien sur trente secondes après, ils étaient déjà là… La trentaine avancée, genre copains de foot, ils avaient l’air sympa et surtout excités…

– Messieurs j’ai l’impression que vous avez pris beaucoup de plaisir à nous mater pendant le repas…
– Bien sûr, il faut dire que vous êtes superbes…
– Je suis sûre que mon amie a très envie de vous en montrer plus.
– Euh…
– Nous ne sommes pas contre bien sûr…
– Suivez-nous mais pour l’instant contentez- vous de regarder.
– Ok nous jouons le jeu…

Nadia reprit le sentier et après quelques minutes, nous arrivions devant un mur de pierre, plus loin une porte rouillée que Nadia poussa. Nous étions dans un jardin privé, des dalles sur le sol. Nadia s’arrêta et m’embrassa à pleine bouche, ses mains soulevaient ma robe montrant mes fesses aux mateurs. Les commentaires étaient élogieux. Puis Nadia me mit un bâillon sur les yeux. Elle me caressait de plus belle, je gémissais de plaisir. Elle déboutonna ma robe, je l’air sur ma peau. Les hommes sifflèrent. Nadia prit mes poignets et à l’aide d’une cordelette les lia dans mon dos. Elle écarta mes jambes et dévoilait mon sexe. Je ruisselais.

– Mes amis, je vous présente la plus belle salope que vous ayez croisé depuis longtemps
– C’est vrai qu’elle est superbe, on peut toucher ?
– Pas tout de suite, admirez d’abord avec vos yeux.

Nadia me caressait, titillait mes seins

– Regarder ses seins, ils sont fermes, ses tétons sont superbes. Son ventre est doux.

Elle me fit me tourner en tirant doucement sur les chaînettes.

– Elle est docile, en plus, très obéissante. Vous avez vu son petit cul, peut être un peu maigre, mais quelle fermeté, on n’a qu’une envie, c’est de lui donner une petite fessée.
– Oui, sûr…
– Baisse toi Clotilde, montre nous ton cul.

Je me baissais, le coup claqua. Je poussais un cri de surprise. Un deuxième coup claqua, la chaleur commençait à gagner mon ventre. Le troisième coup claqua.

– Regardez son petit cul comme il rougit bien, et en plus je suis sûre qu’elle aime ça.

Le quatrième coup claqua. Nadia caressait mes fesses, les écartait pour dévoiler totalement mon petit oeillet. Son doigt s’attarda et s’enfonça en moi. Je faisais des mouvements de va et vient pour montrer mon plaisir. Nadia ôta son doigt doucement.

– Redresse toi

Je me relevais.

– Lèche

J’obéissais sans hésiter. Puis, Nadia ôta mes pinces et mon collier, la douleur me surprit, c’était comme un choc électrique, elle me massa doucement.

– Venez la caresser maintenant, elle est à vous, mais uniquement avec les mains et la bouche… pour l’instant.

Aussitôt mon corps fut caressé, palpé, léché, embrassé par trois bouches, six mains. Des doigts s’insinuaient en moi, dans ma bouche, dans mon sexe, dans mon anus. Je me trémoussais de plaisir. Alors que deux bouches aspiraient mes seins, la troisième se colla entre mes cuisses. Une langue agile glissait entre mes lèvres gonflées. J’avais du mal à tenir debout.

– Clotilde, à ton tour maintenant, et comme tes mains sont attachées, tu ne pourras utiliser que ta bouche.

Je m’accroupis et ouvrait la bouche, mes sens étaient décuplés, je sentais cette odeur particulière, elle m’enivrait. Un gland se posa sur mes lèvres, je le titillais avec ma langue, je l’embrassais, je le léchais, je le mordillais. Puis une main se posa sur ma tête, imprimant un rythme à ma fellation. Le sexe sortit de ma bouche et je tendais la tête pour le rechercher. Je retrouvais une paire de couilles que je gobais sans attendre, salivant de plaisir de les sentir si chaudes et tendues. Ensuite un va et vient s’instaura et les queues s’alternaient dans ma bouche. Soudain, Nadia libéra mes poignets et enleva mon bâillon. Je me déchaînais, caressant, branlant, léchant, suçant, aspirant. Ils n’en pouvaient plus et explosèrent sur mon visage et ma poitrine, de longs jets brûlants coulant dans mon cou, entre mes seins jusqu’à mon ventre. Un a un je nettoyais avec plaisir les sexes poisseux, goûtant les nectars différents. Je n’attendais que la suite. Nadia n’était pas de cet avis.

– C’est fini pour cette fois, messieurs, peut-être que nous nous reverrons… ?
– Avec joie !
– Laissez nous maintenant.

Et ils s’en allèrent, à regret… Nadia me tendit la robe.

– Remet ta robe
– Je peux m’essuyer ?
– Non. Je veux que tu restes comme ça. Et laisse le dernier bouton ouvert pour qu’on puisse voir entre tes seins.

Je passais ma robe, elle collait à ma poitrine, à mon ventre, le sperme maculait encore ma gorge. L’odeur était enivrante et obsédante. Je ne me sentais pas souillée, je me sentais même fière de n’avoir eu aucune hésitation, d’avoir été jusqu’au bout de mes pulsions. Nadia me demanda de rentrer chez moi, elle me retrouverai demain au travail.

– Mais tu ne peux pas me laisser …
– Ça fait partie du jeu ma chérie. Une fois chez toi tu pourras te masturber mais pas avant, je te fais confiance.
– …

Nadia me fit un signe de la main, me sourit et je tournai les talons. Sur le chemin du retour je croisais quelques promeneurs qui louchaient sur ma poitrine. Ma robe collait tellement que mes tétons pointaient outrageusement et franchement ça me plaisait bien. Je gagnais ma voiture et sans attendre je rentrais chez moi avec une seule idée en tête. Je garais ma voiture sur le trottoir et poussais la porte, une fois fermée j’étais à l’abri des regards, c’était l’avantage des portes de deux mètres et des murs de végétation. Je ne pouvais pas attendre de rentrer, je glissais ma main entre mes cuisses. Je déboutonnais ma robe pour caresser mon corps gluant de sperme. Je ne voulais qu’une chose, jouir.

Lorsque je vis la poignée de la porte bouger, j’eus juste le temps de me tourner et de reboutonner ma robe rapidement. J’avais laissé la porte ouverte, heureusement elle était difficile à ouvrir et lorsque je vis le sourire de Gaëlle j’étais presque rhabillée. Deux boutons n’étaient pas fermés sur le bas de ma robe. Gaëlle fonça droit sur moi et m’embrassa, je fis un pas en arrière mais pas assez rapide. Je vis à son regard qu’elle avait de suite compris la cause de ma gêne. Sans se démonter, elle me sourit, je ne bougeais pas.

– Attends une seconde,
– Gaëlle, je suis…
– Juste une seconde.

Elle alla droit à la porte et la referma. Elle tourna la clé et revint vers moi. J’avais l’impression qu’elle marchait au ralenti. Elle portait une petite robe rouge et des sandales, ses cheveux ondulaient. Avant que je ne dise quelque chose elle posa son doigt sur ma bouche

– Clo, écoute-moi, ne m’interrompt pas, j’ai quelque chose à te dire.
– …
– Je crois que tu devrais t’asseoir.

Je m’assis.

– Clo, je ne vais pas y aller par quatre chemins, on se connaît depuis longtemps, ça fait un petit moment que je suis majeure et vaccinée et je… Je, en fait depuis que…qu’on se connaît, tu m’a toujours attirée.
– Mais ?
– Attends, s’il te plaît… quand on allait au ciné ensemble, quand on allait se balader, quand on regardait la télé ou qu’on mangeait ensemble. Dès que tu me quittais, je me caressais en pensant à toi, je me masturbais en imaginant que tu me rejoindrais. Je n’étais même pas encore majeure, tu étais un peu plus âgée et c’est pour ça que j’ai attendu si longtemps. Depuis des mois, dès que j’en ai l’occasion je te regarde, par la fenêtre, dans ta cuisine, dans ton jardin. Je m’imagine que je te rejoins, que tu m’embrasses, que tu me prends dans tes bras, que tu me déshabilles et que nous faisons l’amour. L’autre soir, je t’ai vue nue, dans ta cuisine, je t’ai vue lorsque tu te masturbais et de mon côté j’ai fait la même chose.
– Gaëlle…
– Attend, j’ai presque fini. Je ne peux plus continuer comme ça, je ne peux plus attendre de savoir si oui ou non, un jour je goûterai à tes lèvres, si un jour je caresserai tes seins, si c’est toi qui glisseras ta main entre mes cuisses. Regarde moi, je suis plutôt pas mal, beaucoup de mecs me cavalent après, et j’ai eu quelques petits copains, mais c’est toi qui me fais fantasmer… Maintenant, dis-moi si j’ai une chance…

Que devais-je lui dire, elle était désirable, belle, intelligente, douce. J’hésitais, je n’avais même pas remarqué que sa main s’était posée sur ma cuisse. Je ne réagis pas. Je fermais les yeux. Sa main remonta, je la laissais faire. Je pris sa main dans la mienne. J’écartais les jambes, dévoilant mon sexe.

– Gaëlle,
– Oui ?
– Fais moi jouir, je t’en supplie…

(à suivre)

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Une réponse à Clotilde 3 – Excitations par fafalecureuil

  1. Krouchev dit :

    J’aime ces récits mettant en scène des femmes libérées et sans tabous !

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