Chanette 30 – La disparition de Carole – 4 – Jackie, mature et perverse par Chanette

Chanette 30 – La disparition de Carole – 4 – Jackie, mature et perverse par Chanette

Par un pur hasard, le lendemain Anna croisait sur la place du marché, Jackie, la personne avec laquelle elle avait commis quelques folies le soir de la fameuse partouze,.

Dans pareilles circonstances on fait souvent semblant de ne pas se connaître. Mais Anna ne l’entend pas de cette oreille et se pointe juste devant elle à deux doigts de la tamponner.

– Oh, pardon !
– Il n’y a pas de mal. Répond la mature.
– Ce doit être le destin qui nous fait nous rencontrer.
– Vous êtes une coquine vous !
– Disons que j’aime bien les bonnes choses.
– Vous avez raison, la vie est si courte. Ah si vous voulez du bon poisson, je vous conseille le poissonnier là-bas, ils ont un de ces turbos !
– Si j’osais…
– Osez !
– Me feriez-vous une petite léchouille comme l’autre fois ?
– Je veux bien, mais ce sera cent balles
– Pas grave, au diable l’avarice !
– Non, je plaisantais, c’était pour voir si vous étiez vraiment accro, 4 rue du large, appartement 32. 18 heures, ça vous va ? J’ai plein de gadgets, ça devrait vous plaire.

Le récit d’Anna

– Mets-toi à poil ma chérie, je fais un petit pipi et j’arrive.
– Tu ne veux pas que je regarde ? Lui demandais-je en prenant un air canaille.
– Ah ! Tu aimes ça aussi ! Pas de problème ! Je peux même te pisser dessus si tu veux !
– Hum ! Je veux bien, j’adore ça !
– T’es vraiment une petite salope !
– Oui mais j’assume !

Je me déshabille en vitesse, Jackie en fait de même, je m’allonge, elle m’enjambe au niveau du ventre.

– Tu peux viser ma bouche, si tu veux !
– Tu ne vas pas être déçu ! C’est du grand cru !

J’ai ouvert mes lèvres attendant son urine telle une offrande. Le jet m’a arrosé le visage. Cette andouille ne savait donc pas pisser droit. Je me suis arrangé afin de le recevoir en bouche. Un délicieux nectar dont je raffole.

– C’était bon ?
– Un délice.
– Si tu veux, je peux t’offrir quelque chose de plus consistant.
– Je ne sais pas…

Elle me gratifie d’un sourire complice et provocateur, je suis extrêmement troublée. Suis-je réellement prête à faire ça ?

– Tu ne l’as jamais fait ?
– Non.

Je mentais (voir Chanette 7 – Pho la cambodgienne), ne m’estimant pas assez intime avec elle pour lui faire part de mes frasques passées.

– Ça te tente ?
– Je ne sais pas…
– Donc tu ne dis pas non !

Ben non, je n’ai pas dit non… je suis tenaillée.

– On va essayer. M’entendis-je murmurer.
– Tu vas voir, tu vas aimer !

Je n’en suis pas si sûre que ça et je ne saurais dire pourquoi.

Elle se retourne, offrant à ma vue son ravissant fessier. Elle se baisse un peu, elle est maintenant au-dessus de mon ventre, à quelques centimètres.

Puis tout alla très vite, un gros boudin impertinent sortit de son anus et s’en alla recouvrir mon petit nombril.

Curieuse impression, ça ne me dégoûte pas, sinon je n’aurais pas accepté, mais ça ne me fascine pas non plus, non je prends l’acte comme une humiliation extrême mais librement consentie.

Jackie me débarrasse de l’étron, toujours le sourire aux lèvres.

– Je m’essuie où tu veux lécher ?

Je ne m’attendais pas à cette proposition, là encore j’aurai pu décliner, au lieu de ça je tergiversais.

Je me suis donc retrouvé avec le cul de Jackie sur ma bouche, la pollution ambiante n’avait rien de catastrophique, juste quelques légères taches brunes. j’ai approché ma langue étonnée de ne rien rencontrer d’abominable.

– T’aimes bien jouer les soumises ? Me demande Jackie…

Ce n’était pas trop difficile à deviner.

– Oui !
– Tu veux une fessée ?
– Oui.

Je me mets en position et lui offre mon joufflu. Sans aucune transition, elle le frappe d’abord à la main avant de s’emparer d’une brosse à cheveux.

Ça pique, ça chauffe mais j’aime bien.

Elle m’a ainsi fessée cinq minutes avant de se déplacer. Elle revient avec un gode blanc décoré d’arabesques

– C’est un cadeau d’un ami, un artiste méconnu, il est joli, non ?
– Original !
– Suce-le.

Pas vraiment passionnant de sucer un gode, je préfèrerai l’avoir ailleurs, mais je suppose que la chose est prévue.

Effectivement, Jackie me le reprend, je la sens me tartiner le trou de balle avec du gel, puis elle fait entrer l’objet, en actionne le vibreur intégré et le fait aller et venir.

– Alors il est bon mon gode ?
– Oui continue.
– T’aimes ça, te faire enculer ?
– J’adore.
– Dis le moi que t’es une enculée.
– Je suis une enculée !

Cette salope m’a fait jouir du cul avec ce traitement, elle me retire le gode dont les arabesques sont maintenant cachées d’insolentes taches brunes.

– Espèce de dégueulasse, tu m’as foutu plein de merde sur mon joli gode ! Me dit Jackie simulant la colère.
– Ben oui quand on est cochonne, on est cochonne.
– Oui mais la cochonne elle va le nettoyer tout ça avec sa petite langue de pute.

Je m’y attendais. J’ai donc léché tout cela bien consciencieusement dans difficulté aucune.

Elle se met à me tripoter les seins avec frénésie. En ce moment, je suis vraiment sa chose et cela ne me déplaît aucunement.

Elle me tortille mes tétons, tant mieux, j’adore ça.

– Je t’accrocherais bien des pinces. Me propose-t-elle.
– Si tu veux .

Elle revient avec des pinces à linge toutes roses. Elle m’en fixe une sur chaque téton…

– On va en mettre en bas aussi.

Je ne proteste pas, mais ça commence à pincer fort, tout cet attirail.

– Pousse-toi que je m’installe .

Elle se pose sur le canapé, cuisses écartées et chatte offerte.

– Et maintenant fais-moi jouir.

On y va, on y va, c’est tout mouillé là-dedans, j’ai l’impression de lécher un marécage. L’affaire fut vite empaquetée. Madame gémit de plus en plus fort, ma petite langue vient titiller son gros clito qui n’attendait que ça. Son corps se tétanise, elle gueule comme une damnée, souffle un moment puis cherche ma bouche. Je ne saurais lui refuser ce doux baiser .

– J’aurais bien joui encore. Lui confiais-je.

Pas de problème, madame s’est bien occupée de moi

Fin du récit d’Anna

– C’était amusant la petite sauterie de l’autre jour, il y en aura d’autres ? Demande innocemment Anna.
– Oui mais pas ici, Bertrand il fait un peu dans l’itinérance.
– Bertrand ?
– Oui Bertrand Sauvignon, le roi de la nuit.
– Ah oui bien sûr, répondit Anna qui n’avait jamais entendu parler de ce citoyen.

Anna profita d’une courte absence de Jackie pour jeter un coup d’œil dans son sac à main ouvert, juste le temps de mémoriser son identité, ça peut toujours servir. Puis les deux femmes se séparèrent non sans avoir échangé une long et baveux baiser profond.

Jeremy

Jérémy constituait-il une piste ? Comment savoir ? Mais si on voulait creuser, il me fallait son adresse de ville, l’adresse de vacances je la connaissais déjà et pour cause.

Je me pointais donc devant chez lui et attendait qu’il sorte (ou qu’il entre). Quand il fut devant moi, je le saoulai de paroles (je sais très bien faire).

– Oh quelle surprise ! Justement je pensais à vous… je me disais qu’on pourrait peut-être recommencer cette expérience, en fait j’ai un tas de choses à raconter et je me suis aperçu après coup que ça m’avait fait un bien fou de parler…
– Mais j’habite Paris…
– Ça tombe bien moi aussi, vous êtes dans quel quartier ?
– Richard Lenoir. Sur le boulevard.
– Ah, je connais bien, j’y ai habité jadis (oh la menteuse !) vous êtes à quel numéro ?
– Au 17.
– Super, on s’échange nos coordonnées, je vais vous appeler pour que vous puissiez récupérer mon numéro.

Le mec doit déjà s’imaginer m’avoir en face de lui, sa perception est brouillée.

– Je mets quel nom ?
– Ben Jérémy.

Je n’insiste pas pour lui demander son nom de famille, avec l’adresse et le prénom, on le retrouvera. Mais je profite d’avoir le téléphone en mains pour prendre sa bobine en photo sans qu’il ne se rende compte de rien.

Trois jours plus tard, la situation n’avait pas évolué. Nous sommes rentrés à Paris. Valentin a de nouveau approché la police qui a accepté sa déposition mais qui manifestement a plus urgent à s’occuper

– Qu’elle se soit envolé avec un mec, je veux bien. Nous dit Valentin mais qu’elle ne réponde ni au téléphone ni aux messages, ce n’est pas normal.
– J’ai un copain détective privé… Proposais-je.

Mes lecteurs connaissent Didier Remiremont, le détective qui m’a accompagné dans plusieurs de mes aventures (les autres se référerons aux épisodes 20, 24, 26, 27 et 29)

Il nous a écouté, dubitatif.

– Traite des blanches, trafic d’organes…
– Vous êtes rassurant, vous !
– Il vaut mieux partir des pires hypothèses…

Son cabinet s’est mis immédiatement sur l’affaire.

– Nous avons trois pistes, résume le détective, deux me semblent assez faibles, Jérémy et Jackie, mais on ne sait jamais, quant à ce Sauvignon, je vais m’en occuper personnellement.

Chacun sa mission, chacun sa cible. Les collaboratrices de Didier Remiremont sont mises à contribution, Karine, la grande brune pulpeuse s’occupera de Jackie. Tanya la jolie blackette tentera de sonder Jérémy, (en espérant qu’il ne soit pas raciste) Didier se réservant Sauvignon.

A suivre

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3 réponses à Chanette 30 – La disparition de Carole – 4 – Jackie, mature et perverse par Chanette

  1. Sacha dit :

    Moi aussi j’aime bien lécher le gode qui sort de mon cul, c’est tellement bon !

  2. Honorine dit :

    C’est avec les femmes mûres que je m’éclate le plus

  3. Azola dit :

    J’adore les récits avec des vieilles cochonnes

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