Campeur en rut par Mathilda Stenberg

Campeur en rut
par Mathilda


Campeur en rut

Bonjour cher lecteur du meilleur site d’histoires érotiques du WEB !!

Depuis quelques mois je viens lire toutes ces superbes histoires et me donne du plaisir en lisant tous cela !

Et aujourd’hui j’ai décidé moi aussi de vous raconter une petite histoire qui j’espère permettra d’exciter beaucoup de monde ! !

Je me présente avant tout : Je m’appelle Mathilde, j’ai 25 ans, je suis brune, cheveux longs, yeux bruns, je mesure environ 1,75 m, pèse 57 kg et possède de jolis petits seins rebondis (95B à l’époque). Voilà après ces petits détails je vais vous raconter mon fantasme ! !

Fermez les yeux et imaginez :

Cette histoire s’est passé il y a quelque temps.

Nous étions, moi et ma meilleure amie en vacances en Ardèche pour tout le mois de juillet et nous logions dans un camping juste à côté de l’eau. Ce camping était d’une taille moyenne et nous y trouvions des gens de tout âge, même s’il est vrai qu’il y avait une certaine dominance de personne d’une trentaine d’années.

Un après-midi quand je me bronzais au bord de l’eau toute seule, car mon amie devait faire un aller retour à Paris pour des raisons familiales imprévues, je fis une charmante rencontre. J’étais couchée par terre et tout d’un coup quelqu’un s’encoubla à côté de moi et s’affala royalement. Je me suis levée et lui ai demandé si tout allait bien, il me répondit qu’oui et nous commençâmes à engager la discussion. C’était un super mec, genre macho ténébreux, dès le premier coup d’œil il m’avait plu. Il s’appelait Christophe et il m’avait dit être en vacances pour un mois tout comme moi ici dans ce camping. Il était venu tout seul comme il me l’expliqua, pour se détendre et faire de nouvelles rencontres.

(P.S. les Campings sont je m’en rends compte aujourd’hui les plus grands baisodromes qui existent !).

Il portait un magnifique maillot de bain noir moulant, qui laissait imaginer par sa taille un joli organe dessous !

Christophe était blond, assez grand environ 1,85 m, musclé mais sans plus et de superbes yeux verts, il devait avoir dans les 40 ans. Je ne vous cacherai pas que quand il m’adressa la parole au tout début je ne savais pas quoi dire tellement j’étais hypnotisé par son charme et ce n’était pas si souvent que j’avais l’occasion de parler en tête à tête avec un tel mec en maillot de bain.

Il est vrai que j’étais une fille du genre timide au début mais avec le temps tout cela a changé comme vous le verrez après.

Ainsi nous discutâmes pendant un bon moment, de lui de moi et de la vie et le courant passa très bien entre nous deux malgré notre différence d’âge. Ça ne semblait pas le déranger de parler avec une fille plus jeune que lui alors qu’il aurait très bien pu discuter avec une tonne de femmes de son âge. Alors au bout d’un instant il me demanda si je voulais aller danser avec lui ce soir à la discothèque du camping. Cette proposition me surpris, et je ne savais d’abord quoi répondre, pourtant je lui dis « OUI que je serais très contente » et nous fixâmes de nous revoir à 22h30 devant l’entrée de la disco.

Après cela je suis allée dans ma tente, j’étais tout excitée à l’idée de faire la fête avec Christophe. Je ne savais pas comment m’habiller et j’avais un peu le trac ! C’était la première fois que j’allais sortir en disco avec un homme beaucoup plus vieux que moi. Je ne savais pas quoi choisir entre ma robe bleue ciel ou mon top noir avec mon petit pantalon moulant blanc. Je décidai d’opter pour la deuxième option. C’est ainsi vêtue (mon top noir et mon petit pantalon moulant blanc avec en dessous une toute simple petite culotte blanche et un soutien-gorge blanc), que je me suis rendu à mon rendez-vous.

Là-bas je vis tout de suite Christophe, qui était habillé normalement (pantalon, chemise tout simple). Il me complimenta sur ma tenue vestimentaire et me dit que j’étais encore plus belle que sur la plage, je ne savais pas quoi lui répondre et ne put que lui lancer un petit sourire.

Après ceci la soirée fut complètement folle. Nous dansâmes des heures sans arrêter et nous bûmes aussi mais sans exagération. Au moment de la dernière danse qui était un slow, il me serra la taille et posa ses mains sur mes hanches tout doucement et il m’embrassa dans le cou. Je ne réagis pas tout de suite et après un petit moment je lui rendis son baiser mais cette fois ci je l’embrassais moi à pleine bouche et lui roulais un monstrueux patin ! Je ne savais pas ce qui m’était arrivée, pourtant je continuais et ça ne le dérangea pas du tout et nous continuâmes à danser, Christophe avais mit des mains plus bas, sur mes fesses et je pouvais sentir une petite excitation dans tout mon corps, mon corps qui au contact des mains de Christophe frissonnait !

A la fin de la chanson, nous sortîmes de la boîte de nuit et nous marchâmes doucement en nous tenant la main. Il me dit que j’étais belle et qu’il avait envie de moi. Moi je ne savais quoi lui dire. Il me dit qu’il n’avait jamais rencontré une fille aussi tendre, douce que moi. Alors je lui dis aussi sans réfléchir que j’avais envie de lui. Il me proposa d’aller au bord de l’eau, sous la pleine lune, marcher un petit peu, ce que nous fîmes et arrivé près de l’eau nous nous assîmes et nous nous sommes embrassées. Je me suis étendue par terre et il s’est couché à côté de moi. Il m’embrassa et en même temps je sentais ses mains qui se baladaient sur moi. Ses mains étaient sur mon ventre et le caressaient doucement puis au bout d’un moment il passa ses mains dessous mon top et remonta en direction de mes seins. J’eu un moment de doute mais il s’en alla très vite quand je senti à travers mon soutien-gorge ses doigts. Il me demanda si je voulais continuer et moi j’avais tellement envie que je lui dis OUI.

C’est à ce moment là que tout à commencé. Il me malaxait les seins doucement et puis il me dit de me déshabiller. Il tira sur mon top, enleva mon soutien-gorge et libéra mes deux melons. Il commença à la vue de ceux-ci à les lécher doucement avec sa petite langue en faisant de petits cercles. Il s’approchait de plus en plus près de mes tétons jusqu’au moment où il m’a sucé les tétons comme un bébé avec sa mère. C’était comme s’il voulait boire mon lait. J’étais toute chose moi, je tremblais de tout mon corps et il me dit de l’aider à le déshabiller, ce que je fis. Il enleva son pantalon et sa chemise et il resta debout. Il me demanda de me mettre à genoux devant lui. Ma tête était à la hauteur de son slip. Je pouvais voir que je l’excitais pas mal, car la bosse qui se dessinait sous son slip était assez grosse. Et il me dit « vas-y » ! Je lui descendis d’un coup son slip et prit sa bite dans ma bouche. C’était la première fois que je bouffai une bite de quadragénaire, mais on aurait dit que j’avais fait cela toute ma vie. Je commençai par lui sucer le gland doucement puis j’enfonçai plus au fond de ma bouche sa bite jusqu’à ce que son gland sorte au fond de ma gorge. Sa queue était très longue (environ 22 cm) Il était aux anges et il lançait d’immenses râles de plaisir. Son souffle était rapide et tout d’un coup il me dit « Voilà ! » Et là d’un coup je sentis tout son sperme dans ma gorge, c’était tout chaud et bon. Il éjacula trois fois dans ma gueule, mais pour moi cela paru une éternité tellement il y avait de jute. Après avoir eu son premier orgasme, sa bite était toujours aussi droite et dure, il me dit qu’il allait me rendre ce que je venais de lui donner. Il m’enleva mon pantalon, et ma culotte partit avec. Quand il vit ma chatte, il me dit en rigolant qu’il allait me défoncer.

Il me coucha par terre et il se coucha sur moi. Là il mit une capote et il dirigea sa bite à l’entrée de ma chatte. Je sentais son gland sur mes poils et soudainement sans rien dire, il me pénétra !

Je criai comme une chienne ! AHHH !

Il me pénétra de plus en plus vite avec force, à chaque coup, je sentais ses couilles taper contre moi. Et j’ai joui, je sentais le long de mes cuisses, toute ma mouille couler. C’était comme dans les films pornos où les filles dégoulinent de cyprine !

Au bout de 20 minutes de pénétrations folles il se déversa en moi et je senti à travers la capote ce liquide tout chaud. Il sorti sa bite de mon vagin et me regarda la chatte et là il me dit.

– T’as vu un peu comme j’ai assumé !

J’ai horreur des mecs qui se ventent de leurs coups de bite ! Je pensais alors « profitons du moment, mais toi mon bonhomme, tu ne seras pas prêt de me revoir ! » Je lui répondis donc que c’était super et que j’en voulais encore. Christophe me dit que ce n’était pas du tout fini et que cela n’était qu’un début. Il se releva et plongea sa tête sur ma chatte et là commença à me lécher tout mon jus qui avait coulé. C’était super de sentir sa langue parcourir mon intimité, cette intimité qu’il venait de pénétrer comme un sauvage. Sa langue commença à se diriger vers mon petit bouton d’amour et à le titiller. Il jouait avec mon clito et celui ci devint tout gonflé, je respirais vite et il enfonça plus profond sa langue dans mon vagin, j’adorais cela. Et au bout d’un moment de ce traitement j’eu mon deuxième orgasme. Tout mon corps se cambra et je fus prise d’immenses spasmes. J’étais tellement excitée que je mis mes mains sur sa tête et appuyai sa tête contre ma chatte pour qu’il boive toute ma mouille de chienne. Je n’arrivais plus à me contrôler et je criais comme une folle tellement j’étais aux anges, il me dit de me calmer sinon nous allions avoir des problèmes, mais je ne pouvais pas faire autrement c’était tellement bon !

Et après ceci se fut le bouquet final !

Il me retourna et me mit à plat ventre. Il m’écarta les fesses et là je savais ce qui allait m’arriver, mais je n’osais pas y croire, moi qui adorait me faire sodomiser. Je me faisais une joie aujourd’hui à l’idée que j’allais sentir une bite dans mon cul de petite salope !

Je n’avais pas peur car je savais que mon trou pouvait recevoir sa bite, ce n’était pas la première et puis, je m’étais tellement fait du plaisir seul avec mes doigts, que je connaissais mes capacités. Mais quand il m’encula, ça était incroyable ! ! !

Tout mon corps devenu dur, très dur, mes seins était tout durs et tout tendus, mes tétons étaient tellement gonflés que j’avais mal qu’ils soient écrasés contre le sol. Christophe me lima le trou pendant une bonne demi-heure et à chaque fois je sentais ces boules contres me fesses. C’était super bon ! A la fin de cette super sodomie, il se déversa dans mon cul et je senti une nouvelle fois cette super chaleur au fond de moi. Humm que c’était bon. Je lui dis « encore ».

Je ne pouvais plus m’arrêter. Il me demanda si je voulais réaliser « son plus grand fantasme », il m’expliqua de quoi il s’agissait, je lui dis alors que « non, ça ne m’intéressait pas ».

Il parut contrarié, insista, moi je refusais toujours. Alors il me proposa de l’argent. (100 euros) Je lui répondis que je n’étais pas une pute. Il proposa 200. Je lui dis « non » Mais quand il tripla la mise pour arriver à 300 euros, je finis par accepter. »

– Allez, on y va !
– L’argent d’abord !

Il me tendit 6 billets de 50 euros en me disant que je n’étais qu’une pute, qu’une salope et d’autres mots dans le même genre. Je lui répondis que le fait de m’avoir payé ne lui donnait pas la permission de cesser de me respecter. Je cru qu’il allait lâcher l’affaire mais trop heureux de pouvoir accomplir son « fantasme » il me dit simplement « on y va »

Il rêvait de réaliser un super bondage à une femme et de la baiser comme un fou.

Je ne savais si j’allais vraiment aimer cela, mais je pouvais plus reculer

Nous allâmes jusqu’à sa tente et il prit un sac où il avait tout le matériel et il me dit que ça serait parfait dans un endroit bien isolé dans la forêt.

Et me voilà reparti pour de nouvelles sensations.

On s’est avancé dans la forêt avec l’aide d’une torche électrique. Arrivée dans une clairière qu’il avait du repérer auparavant, il disposa trois torches afin de l’éclairer convenablement.

Il me coucha par terre sur le dos et il m’attacha les pieds si serré que je ne pouvais plus les séparer, puis il attacha aux cordes de mes pieds deux menottes et là il me dit de passer mes mains dessous mes fesses, de me cambrer plus et de mettre mes mains plus près de mes chevilles et la il m’enferma les poignets dans les menottes. Je sentais mes bras tout tendus et mes muscles me faisaient mal. Alors il m’ordonna de me mettre sur le ventre, ce que je fis et à ce moment là, ce fut incroyable. Mes mains étaient tendues en arrière avec mes jambes toutes étirées. Mon corps tout courbé comme un « U » et mes seins écrasés par le poids de mon corps.

Après cela il me passa une corde entre les fesses et fit un nœud juste au niveau de mon trou et il me l’enfonça dedans bien profond, puis il plaça la corde entre ma chatte et remonta vers mes mains et là il me l’attacha. Et ainsi à chaque fois que je tirai sur mes mains pour me soulager de cette position toute courbée, je tirais sur la corde et ça me tirai entre la chatte et dans le cul. Ce n’était pas très agréable et j’avais un peu mal. Il se mit alors à me fesser et de plus en plus fort et mes fesses étaient toutes rouges, brûlantes, moi je n’aimais pas, mais lui il adorait cela. Il s’occupa après de mes seins et il attacha tout autour de ceux-ci une corde et serra très fort ! Mes seins étaient tous comprimés et ça commençait à bien faire. J’essayai de me débattre mais la corde m’éclatait le cul et le vagin.

Lui complètement excité se masturbait comme un fou, je reçu son sperme sur la poitrine, après il me regarda d’une drôle de façon, je senti quelque chose de liquide et de chaud sur mon dos et mes fesses ! Il était entrain de me pisser dessus. Le salaud, il se déversa complètement dessus moi ! Je me demandais la séance était terminée ou pas ?

Puis il fouilla dans mon sac, repris ses billets, ramassa ses torches, quitta la clairière et me laissa dans cette position toute prisonnière au milieu de la forêt.

Je commençai à paniquer et tirai sur me liens, j’étais certaine d’arriver à me détacher, mais ce serait long et douloureux.

Dix minutes s’étaient écoulées, je vois une lumière qui s’approche, j’ai peur je suis terrifiée, mais c’est Christophe qui revient, tout péteux. Il me détacha, je le gifle par pur réflexe. J’ai, à ce moment là, eu peur qu’il me batte, mais non, Il a encaissé sans rien dire et m’a rendu mes 300 euros.

– Excuse-moi pour ma conduite, tu dois me prendre pour un salaud ?
– Un peu, oui, mais faute avouée est à moitié pardonnée.
– Si tu veux je te paye le restau demain ?
– Non ! Je vais juste te demander de me raccompagner au camping, je ne sais pas comment me repérer, et après, on ne se connait plus, il ne sait jamais rien passé entre nous.

Fin et Gros bisous Mathilde !

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Campeur en rut par Mathilda Stenberg

  1. Jean-Seb dit :

    Zimmer a parfaitement commenté ce texte, il m’a éviter d’avoir a cherché mes mots

  2. Zimmer dit :

    Sur la forme c’est assez excitant avec une bonne progression dans le délire érotique
    Le personnage de Mathilda est assez bien vu, folle de son corps mais se respectant et voulant qu’on la respecte même si on la paie.
    Il y a juste un hic, un énorme hic :
    Il faut quand même une bonne dose d’inconscience pour accepter de se faire ligoter par un inconnu rencontré la veille. Ce genre de connerie s’est parfois terminée par la mort de la fille, on ne sait jamais sur qui on tombe !
    Et d’ailleurs pourquoi une fille en apparence si intelligente à consenti à ce genre de chose ? Coup de folie ? Moment d’inconscience ?
    A moins qu’il ne s’agisse que que d’une correction. Vassilia refusant les récits de rapports par contrainte, on transforme la contrainte en « erreur de jeunesse » ! Ben voyons !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *