Baisée dans un 5 étoiles par Alexandra_1

Suite à une annonce placée sur un site spécialisé, je fus contactée par un homme d’affaire de passage à Bruxelles.

Il me proposa de le rencontrer à son hôtel, un établissement 5 étoiles situé sur l’avenue Louise.

Ainsi donc, ce mercredi soir d’été, j’arrivai sur place et, après m’être fait annoncer par la réceptionniste, mon correspondant vint me chercher à l’accueil.

Je n’ai pas l’habitude de fréquenter les hôtels de standing, j’en ai donc pris plein la vue ! C’est un tout autre monde pour moi et je ne perdais pas une miette, voulant me souvenir du moindre détail. Une fois arrivés dans la chambre hyper spacieuse et luxueuse, mon partenaire me proposa à boire et m’invita à passer à la salle de bain pour me changer.

Une demi-heure plus tard, j’en ressortais métamorphosée. Entre-temps, Marc avait fermé les tentures et avait tamisé la lumière. Il était assis au petit bureau, son PC portable devant lui. Je m’avançai perchée sur mes nouveaux escarpins dont les talons font pas loin de 13 cm. Il leva les yeux de son PC et fut apparemment très satisfait de la vision que je lui offrais. Etant d’origine Suisse Allemande, nous conversions exclusivement en anglais (néanmoins pour la facilité je vous offre aujourd’hui la version doublée en français).

Il m’invita à m’asseoir face à lui dans un fauteuil design violet très confortable. Nous eûmes à ce moment une conversation qui me fit un peu penser à un entretien d’embauche. Il me parla un peu de lui, de qui il était, de ce qu’il faisait. C’est ainsi que j’appris qu’il avait des origines américaines et qu’il voyageait beaucoup pour son activité professionnelle ayant rapport à la haute finance. Sa profession le menait dans divers pays européens et il passait par Bruxelles environ tous les trois mois. Il me confia qu’il était hétéro à 98% mais que les 2 petits pourcents restant étaient consacrés à des expériences avec T-girls. Lors de nos conversations par email nous n’avions pas vraiment parlé de ce que nous attendions l’un de l’autre. Le sujet fut donc abordé. J’appris qu’il était actif dominant et je l’informai que j’étais passive plutôt soumise. La combinaison parfaite ! A partir de là, plus rien de s’opposait à ce que nous fassions plus ample connaissance.

Il me demanda de me lever et de m’approcher de lui. Il était toujours assis près du petit bureau. Je m’avançai lentement, en me déhanchant un peu. Je portais ma mini-jupe noire, des bas noirs couture tenus par un porte-jarretelles en dentelle noire. Pour le haut, j’avais opté pour mon chemisier lilas légèrement transparent.

Il me demanda de pivoter et sorte à ce qu’il puisse voir mon dos et… mes fesses. Il passa sa main sous ma jupe et commença à me caresser les jambes, remontant vers le haut des cuisses. Il releva ma jupe et je sentis ses doigts gambader sur la peau de mon postérieur.

« – Mmmhhh, quel beau cul ! »

Pour le remercier du compliment, je remuai un peu le popotin et ensuite je me cambrai un peu.

« – Tourne-toi, et mets-toi à genoux »

OK me dis-je, ça commence ! Marc portait un pantalon à boutons, qu’il ouvrit d’un seul mouvement, me dévoilant sa peau épilée à hauteur du pubis. Il ne portait pas de sous-vêtements et son sexe commençait déjà à se réveiller.

Je lui caressai doucement les cuisses puis mes mains s’approchèrent de l’objet de tous les désirs.
En le regardant, je lui dis

« – J’aime commencer tout doucement »

Il opina du chef et se laissa aller sur la chaise, tandis que mes doigts effleuraient sa queue, doucement, tout doucement. J’approchai ensuite mon visage et posai mes lèvres à mi-hauteur, pour enfin positionner ma bouche humide sur le bout de son sexe. C’est très lentement que j’entrepris de l’introduire dans ma bouche. Très vite, sa bite atteint sa taille « de combat » (19 x 5, c’est l’une des infos que nous nous étions communiquées lors de nos échanges de mails). Marc me proposa alors de passer sur le lit. Il me fit mettre à quatre pattes sur le matelas tandis que lui restait debout sur le côté du lit. Ceci lui permettait d’admirer mes formes pendant que moi je continuais de le sucer comme une petite salope qu’il voulait que je sois. Cette position me permettait aussi de prendre sa queue bien profond dans ma bouche. Plusieurs fois elle toucha le fond, provoquant presque des haut le cœur mais c’était moi qui contrôlait cette situation et je pouvais y mettre terme à tout moment si je le désirais. Marc grimpa sur le lit à son tour et il se tint debout au centre du matelas. Quant à moi, j’étais toujours à genoux devant lui. A présent j’avais passé mes bras autour de son bassin et je l’attirais à moi pour que son sexe dévaste ma bouche. Je prenais un pied majestueux à me comporter de la sorte. Marc appréciait la caresse buccale que je lui prodiguais, ses gémissements et les petites expressions telles « you’re such a good cocksucker, bitch » ne laissaient planer aucun doute là-dessus.

Il décida ensuite de s’allonger sur le lit, je pu donc poursuivre ce que je faisais dans une position un peu plus confortable, jusqu’à ce que nous nous retrouvions en 69. Il suçait très bien et sa langue se promena aussi un peu entre mes fesses. J’estimai que le moment était venu de lui poser la question :

« Do you wanna taste my other hole now ? »

Bien sûr qu’il voulait me prendre ! Après tout, lui et moi on était là pour ça ! Je lui enfilai la capote d’une manière qu’il apprécia tout particulièrement, mes lèvres suivant le condom qui se déroulait sur son sexe. Il me fit prendre la position de levrette et vint se placer derrière moi. Je sentis son gland se frayer un chemin entre mes fesses, puis atteindre l’entrée de ma grotte. A ma grande surprise, la pénétration se fit très aisément et sans douleur aucune ! Cet homme-là savait comment s’y prendre avec un petit trou serré comme le mien. Il plaça ses mains sur mes hanches et s’introduit lentement, de plus en plus profondément en moi. Pour ma part, j’étais totalement ouverte et je profitais de chaque instant, remuant mon cul et le cambrant au maximum pour qu’il puisse bien me baiser profondément.

« What a slut, Alexandra ! »

Oui oui, je confirme, je peux être une belle salope quand je m’y mets. La vitesse des mouvements de va et vient s’intensifiait, le rythme devenant très rapide. De temps en temps, mon partenaire me donnait la fessée et cela ne faisait qu’accroitre mon plaisir. Soudain, Marc extrait sa queue de mon cul mais je compris très vite que c’était pour mettre en application une petite idée qu’il avait derrière la tête.

« Alex, va te mettre à genoux sur le fauteuil ».

J’obéis à mon amant et me plaçai dans la position souhaitée, lui tournant le dos, m’agrippant au dossier du fauteuil. C’est avec une aisance déconcertante que Marc retrouva le chemin menant à ma petite caverne. La baise fut plus intense, un peu plus bestiale aussi. Je gémissais de plaisir

« mmmhhhh, it’s so good ! I like it so much when I feel it deep inside »

Oui, j’appréciais particulièrement de le sentir profond en moi. Il capta bien le message et, me saisissant à nouveau aux hanches, il donna un violent coup de reins, enfonçant sa bite encore plus profond dans mes entrailles ! Je poussai un cri de stupéfaction car je ressentis à ce moment une très forte sensation traversant tout mon corps. Marc poursuivait sa manœuvre, il avait à présent posé ses mains à côté des miennes sur le dossier du fauteuil et sa bite continuait d’aller en venir en moi. L’intérieur de mon cul devenait brulant, le frottement de son sexe me procurait des sensations extrêmes, je me sentais désirée et je continuais à jouer le jeu et à remuer du cul afin que lui aussi ressente des sensations aussi fortes que les miennes.

Enfin, après quelques minutes, il se retira et me demanda de lui laisser la place sur le fauteuil. Il s’assit, retira la capote, et je vins en face de lui, à nouveau à genoux, pour lui sucer la bite et tenter de le faire jouir. Il aimait la manière dont je m’appliquais à la tâche, et se laissa glisser un peu de sorte à ce que son cul soit également accessible à ma bouche. Tacitement, le message était passé. Ma bouche glissa de son sexe vers ses couilles, pour ensuite s’orienter vers son anus. Je commençai à le lécher sans retenue. Il gémissait de plaisir.

« I like to be fingered ! »

OK, pas de problème, la zone était bien lubrifiée par ma salive, je lui introduis un doigt dans le cul tandis qu’avec mon autre main je palpais ses couilles et que mes lèvres étaient à nouveau autour de sa queue. Après quelques minutes de ce traitement, il eut envie de « conclure ».

Il se leva, je restai à genoux car je savais comment on finirait, on en avait parlé au préalable. Il se branla à hauteur de mon visage, je lui donnais de petits coups de langue sur le bout du sexe, je ne le quittais pas des yeux car j’attendais avec impatience que l’explosion se produise. Je l’encourageais aussi par la parole

 » Oui, allez, vas-y, laisse toi aller et donne-moi tout ! »

Enfin, ça arriva ! Il jouit dans ma direction et plusieurs jets de sperme chaud vinrent heurter mon visage, mon front, mes joues. J’adore les éjaculations faciales et celle-ci était particulièrement réussie ! Il poussa un râle de plaisir et admira son travail, mon visage rempli de foutre.

Quelques minutes plus tard, après une petite douche 5 étoiles, je quittais mon amant, comblée d’avoir été baisée comme une bonne petite chienne, heureuse du devoir accompli, et déjà dans l’attente de la prochaine rencontre avec lui, si tout se déroule comme prévu dans 3 mois déjà.

THE END.