Alice 3. Pensées par Mathieu02

ALICE 3
pensées
par Mathieu 2

Journal d’Alice, 22-07-2004 ; 29-07-2004 ; 5-08-2004
Ca y est, c’est fait ! Depuis le temps que ça me trottait dans la tête… C’est l’histoire de l’ascenseur qui m’a décidée. Peut-être que le temps ne peut rien changer à mon apparence physique, mais moi si ! J’ai maintenant deux tatouages et quatre piercings. Mon premier tatouage recouvre presque entièrement mon dos et représente, en caractères tribaux, des ailes, moitié ange, moitié démon… Il par de la base du cou pour aller jusqu’au fesses en s’étalant un peu sur les omoplates et les avant-bras. Mon second tatouage se trouve autour de mon nombril et dessine une sorte de soleil avec un rayon qui descend en forme de S jusqu’au bas du pubis…
J’ai un anneau sur chaque téton (l’excitation lorsque l’on tire dessus !…) et une petite barre horizontale me traversant le clitoris. Enfin, j’ai une petite boule sur la langue… Ce dernier piercing, c’est juste pour mes partenaires… Heureusement que je cicatrise vite, je n’ai pratiquement pas eu besoin d’attendre pour apprécier mes changements…

Journal d’Alice, 14-08-2004
Ah ! Que j’aime le sexe ! En plus de deux mille ans, mon appétit n’a pas diminué… Et heureusement pour moi ! Pour preuve, voici ma soirée d’hier…
Je marchais dans les rues de Paris alors que la nuit était tombée, me dirigeant vers le Devil’s Night, club select SM soft de la capitale. J’aime m’y rendre de temps en temps, bien que je ne sois pas une adepte de ce genre de club. Je portais une robe rouge s’arrêtant mi-cuisses, sans manches mais recouvrant les épaules et montant en col roulé, moulant ma poitrine sans soutien-gorge. Mes talons hauts claquaient sur le bitume alors que j’arrivais enfin devant la porte en fer du club. J’appuyais sur le bouton de la sonnette et me tournais vers la caméra qui se trouvait au dessus de moi. La diode rouge clignota quelques instants. A peine quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrait en grand.
Je franchis le seuil et entrait au Devil’s Night.

Le hall d’entrée est en fait une petite pièce carrée peinte en noir, éclairée faiblement par une rampe de petits halogènes. Derrière le comptoir se trouve toujours un grand vigil qui commence maintenant à bien me connaître. Derrière lui se trouve une porte sur laquelle est peinte une jolie diablesse en tenue latex sexy. Je fais un sourire au vigile
.
 » _ Bonsoir Fabien. Il y a du monde ce soir ?
_ Un peu oui. Mais personne qui n’ait votre beauté.
_ C’est gentil Fabien. Dis moi, est-ce que je t’ais déjà invité ?
_ Non Madame.
_ Rappelle moi de le faire. On pourrait bien s’amuser tous les deux.
_ Je n’y manquerais pas.  »

On se souri mutuellement et Fabien me laisse passer. J’ouvre la porte, découvrant l’escalier en pierres sombres qui descend en colimaçon dans les profondeurs du club. Je l’emprunte, me tenant à la corde qui fait office de rampe, et Fabien ferme la porte derrière moi.

J’arrive dans une grande salle, un bar, se trouvant à moitié dans la pénombre et où est diffusé de la musique en sourdine. Il y a plusieurs tables et un comptoir. Trois couples sont assis aux tables et deux hommes se trouvent au bar. Je me dirige vers le barman.

« _ Bonsoir Alice ! Comment ça va ce soir ?
_ On fait aller ! J’ai besoin de ma dose d’excitation…
_ Alors je vais te répéter ce que je te dis à chaque fois que tu viens : Tu es au bon endroit !
_ Je sais Xavier, je sais. Faudra qu’un jour tu participes aussi…
_ Non, moi je ne suis que le barman…  »

Tout en parlant, j’enlève ma robe pour me retrouver en sous-vêtements, c’est-à-dire juste un string rouge. C’est la règle du Devil’s Night, aucuns vêtements n’est admis, sauf les sous vêtement et les chaussures. Obligation est de les remettre au barman en arrivant. Je commande un demi de bière et le sirote par petites gorgées.

Lorsque je termine mon verre, je décide de passer aux choses sérieuses. Je me lève, traverse la salle, soulève un rideau et passe de l’autre coté. Je me trouve dans un couloir noir et faiblement éclairé. C’est  » le couloir des tentations « . Il est appelé comme ça à cause des six  » glory hole  » qui s’y trouve, trois sur chaque mur.

Ce soir, les six  » glory hole  » sont  » occupés « , mais seulement quatre se font sucer. Je passe devant trois femmes et un homme, à genoux, chacun suçant avec application le gland et la bite qui lui sont ainsi offert. Je succombes à la tentation et m’agenouilles devant le sixième trou, devant une bite qui remue doucement. A ma droite se tiens l’homme qui suce et aspire bruyamment la bite humide qui est tendue devant lui. Je me concentres sur le membre tendu devant moi et fais glisser ma langue le long de la tige jusqu’au gland. La bite sursaute et se tend bien droite… Je l’enfonces presque entièrement dans ma bouche puis lentement la dégage tout en l’aspirant. La verge est bientôt recouverte de ma salive. Je mordilles doucement le gland puis, les lèvres presque pincées en aspire juste le bout. A ce moment, l’homme à mes côtés reçoit de longues giclées de sperme sur le visage, autour de la bouche. Il nettoie le gland puis se lèche les babines. J’abandonne quelques instants  » mon membre  » et je vais lécher le pourtour de la bouche de mon voisin, récoltant chaque goutte de sperme que je peux. L’homme me remercie, m’embrasse puis continue sa route et passe le couloir des tentations. Je me retournes sur  » mon membre  » et l’avale de nouveau. Je n’ai pas le courage de faire durer le plaisir, trop pressée que je suis de récolter à mon tour la semence de l’homme. Je mets toute la fougue nécessaire et rapidement mon homme éjacule. J’avale presque tout, un peu de sperme me coulant tout de même sur le menton. Derrière moi, une femme  » achève  » son homme en le masturbant. Le sperme jaillit sur les seins de la femme, et celle-ci l’étale sur toute sa poitrine avant de se lécher les seins.

Je me relève en souriant. La soirée promet d’être intéressante.

Je passe le rideau noir qui se trouve au bout du couloir et entre dans une nouvelle salle. Sur ma droite et sur ma gauche se trouve une porte, chacune menant de l’autre coté des  » glory hole « . Devant moi se trouve un grand matelas d’environ cinq mètres sur cinq. Un homme se trouve à quatre pattes dessus. A ses cotés il y a une femme d’une trentaine d’année et un jeune homme qui ne doit pas avoir plus de vingt ans. Le jeune homme tient une cravache de cavalier dans la main et donne de durs petits coups sur les cuisses du soumis. La femme quant à elle tient une chandelle qu’elle a dû prendre sur l’un mur, car la salle était éclairée en partie par des chandeliers muraux. Elle fait tomber des gouttes de cire sur les fesses du soumis. Celui-ci garde un visage inexpressif, mais les grosses gouttes qui perlent sur son front et ses joues, ainsi que l’érection qu’il affiche trahissent son excitation. Quatre personnes, deux hommes (dont celui qui était dans le couloir auparavant) et deux femmes, regardent la scène tout en se caressant. Derrière elles se trouvent deux portes. Sur celle de gauche est dessiné un énorme X, sur celle de droite un nœud de marin. Je fais le tour du matelas par la droite et ouvre la porte où est dessiné le nœud.

Je suis seule dans cette nouvelle salle. Le nœud peint sur la porte indique qu’il s’agit de la salle de bondage. Plusieurs cordes de toute longueur et de tout calibre sont accrochées aux murs.

Il ne faut pas longtemps pour qu’une jeune femme entre à son tour dans la salle. Sans dire un mot, elle s’approche et s’agenouille devant moi, tête baissée. C’est une jeune femme d’une vingtaine d’années (sûrement la compagne du jeune homme qui officie dans la salle d’à coté), la peau métissée, le visage agréable, les cheveux noirs et longs, oscillant entre boucles et vagues. Ses seins ont une généreuse proportion, la taille mince, les hanches un peu larges et des longues jambes fines. Son sexe a la vulve rasée, mais pas le pubis qui forme un petit triangle excitant.

Je lui relève doucement la tête et l’embrasse à pleine bouche puis lui caresse le haut de la poitrine. Je me retourne pour chercher plusieurs cordes de différentes longueurs et différents diamètres. Je prends mon temps pour mettre en place mon bondage sur la jeune femme qui se laisse manipuler docilement. Quand j’ai finie, celle-ci se trouve toujours à genoux, mais avec les poignets liés et les chevilles liées. Sa poitrine est enserrée fermement entre deux cordes, faisant ressortir ses auréoles et ses tétons dressés. Deux autres cordes, passant aux dessus des épaules, passent entre ses seins puis sur son sexe entre ses cuisses avant de remonter dans le dos. C’est un bondage simple mais  » efficace « .

De nouveau je l’embrasse à pleine bouche, cherchant sa langue avec la mienne. Plusieurs personnes sont entrées dans la salle pour nous regarder  » officier « .

Je la fais se baisser en avant, les avant bras sur le sol, le cul offert. Des cordes passent entre ses fesses et les lui écarte sensiblement. Je vais chercher trois petites cordelettes et je m’en sers comme d’un martinet, jusqu’à ce que son cul soit bien rouge. Je la fais ensuite asseoir par terre, car je sais la sensation que peut procurer le contact du sol sur des fesses qui viennent d’être fouettées… Ses yeux s’arrondissent un moment, puis sa bouche s’entrouvre doucement. Elle aime ça !
Lucien, un autre habitué, vient alors me parler.

 » _ Bonjours Alice.
_ Bonjours Lucien.
_ Est-ce que je pourrais t’aider ?
_ Non…
_ Non ?
_ Non, pour la bonne et simple raison que tout le monde ici va être mis à contribution…
_ Ah…  »

La soumise lève son visage légèrement inquiet vers moi. Je lui caresse la joue puis me penche pour l’embrasser afin de la rassurer. Dans la salle se trouve trois femmes et quatre hommes, les uns en trains de se caresser, les autres curieux de voir se que réserve la suite.

 » _ Je veux que tous les hommes ici présent se masturbent et éjaculent sur le visage de cette jolie demoiselle… Ceux qui ne veulent pas participer peuvent bien sûr s’en aller… Quand aux femmes, si elles veulent aider ces messieurs à accomplir leur devoir…  »
Bien sûr, aucuns hommes ne part, le contraire aurait été étonnant…

Il y a quatre hommes dans la salle en comptant Lucien et autant de femmes en me comptant.

Un jeune vient se mettre bien en face de la jeune femme et se branle rapidement presque avec frénésie, trahissant ainsi son inexpérience. Il ne faut pas longtemps pour que de longues giclées de spermes s’étalent sur le visage de la soumise. Celle-ci se passe la langue autour de la bouche, récoltant ainsi ce qu’elle peut de la semence du jeune homme. Lucien se trouve sur le coté et se fait lécher les couilles par une femme d’une trentaine d’année, apparemment déjà forte experte en ce domaine… La femme lui lèche les couilles puis passe entre ses fesses, introduisant sa langue dans son anus, tout en le masturbant doucement. Il ne faut pas longtemps pour qu’il éjacule à son tour, arrosant la bouche, le menton et les seins de ma soumise. Puis c’est au tour des deux derniers hommes d’éjaculer presque en même temps, largement aidé par les bouches et les mains expertes de deux jolies demoiselles. Je dois dire que de voir ma soumise le visage ainsi recouvert de sperme m’excite beaucoup, et je ne peux résister à la tentation de lui donner deux-trois lèches sur le visage. Je me relève en passant ma langue sur mes lèvres et je me tourne vers mon auditoire.

 » _ Bien. Ces messieurs ont bien travaillé ! Mais maintenant c’est à ces dames de fournir un effort. Je sais, vous avez déjà aidé ces messieurs, mais ça c’était une gourmandise. Maintenant, si vous voulez bien vous mettre en cercle autour de cette demoiselle…  »

Les trois femmes se mettent plus ou moins en face de ma soumise et attendent patiemment la suite.

 » _ Lorsque je commencerai à uriner, je veux que toutes en fassiez autant et arrosiez mademoiselle qui n’attend que ça…  »

Je me mets en place, le dos courbé en arrière, une main sur les hanches, l’autre ouvrant les lèvres de ma chatte pour diriger mon jet sur la soubrette bondagée. Il ne faut pas longtemps pour qu’un jet de pisse parte de mon sexe jusqu’à ses seins et son visage où la bouche grande ouverte, elle essaye d’avaler ce qu’elle peut. Quelques secondes plus tard, deux jets de pisse s’unissent au mien et c’est une véritable douche auquel à droit notre soumise qui dégouline d’urine. Lorsque la  » douche  » se termine, je me tourne vers la femme qui n’a pas pissée.

 » _ Alors ?
_ Désolée, je n’ai pas réussie, je n’avais pas envie de pisser. J’ai à peine réussi à faire couler quelques gouttes le long de mes cuisses…
_ Vous savez ce qui vous attend ?
_ Oui…
_ Alors à quatre pattes !  »

La femme, celle ayant  » aidé  » Lucien, se met à quatre pattes devant moi et attends sa punition la tête baissée. Je lui caresse les fesses quelques instants puis lui donne une petite claque sur la fesse droite vite suivit d’une autre sur la fesse gauche. Commence alors sa fessée, quarante claques réparties sur chaque fesse alternativement.

Le souvenir de la peau qui claque me rappela quelques bons et très vieux souvenirs où c’était moi qui recevais les fessées. Le souvenir de la peau qui chauffe et du plaisir qu’on y prend me fit mouiller de nouveau…
Je me tournais vers ma soumise pour la soirée. Celle-ci était complètement humide de sperme et d’urine, et sa propre mouille lui coulait entre ses cuisses. Je m’approchait d’elle et lui enleva ses cordes.

 » _ Tu vas aller lui lécher le cul, je veux qu’avec ta langue tu lui nettoie le petit trou pour qu’il soit bien propre. Dis moi ton nom avant ?
_ Karine.
_ Karine, tu es très belle et tu te débrouilles très bien !
_ Merci Madame.
_ Aller, va ! »

Karine s’approcha de l’autre femme, lui lécha d’abord les fesses puis les lui écarta pour enfoncer sa langue dans le petit trou brun qui s’offrait à elle. La jeune femme poussa quelques gémissements de plaisirs.

 » _ Je… Je crois que je vais pisser…
_ Ah ! Mieux vaut tard que jamais ! Tu as entendue Karine ? Mets tes mains en coupole en dessous sa chatte et bois cet élixir de jouvence !
_ Bien Madame !  »

Karine plaça ses mains en dessous la chatte humide de la femme tout en continuant à lui lécher l’anus. Puis le jet d’urine tomba dans ses mains. Elle abandonna alors le derrière de la femme pour boire la pisse qui coulait de ses mains, de la même manière que si elle buvait à un robinet.

Mon excitation avait atteint son paroxysme. Il fallait qu’on s’occupe de moi, sinon j’allais exploser ! Je me penchais devant la femme pour qu’elle me lèche l’anus à son tour. Je demandais à Lucien de se coucher sur le dos et de se préparer à me  » recevoir « … Pendent ce temps là, la femme me pénétrait mon petit trou avec sa langue, la faisant remuer doucement, me donnant des frissons dans tout le corps et me faisant mouiller abondamment… Karine quant à elle avait finie de boire sa pisse et était retourné elle aussi lécher la rondelle de la femme. Je laissais celle-ci me lécher le cul de longues minutes puis allais enfin m’occuper de Lucien. Je m’accroupie au-dessus de lui en lui tournant le dos, attrapais sa bite bien dure et me l’enfonçait lentement dans mon petit trou humidifié.

Lucien me caressa le dos en suivant les lignes de mon tatouage et moi, penchée sur lui, j’avais une main à terre et l’autre en train de me tirer les piercings de mes seins.

 » _ Alors quoi, il n’y a pas un second homme pour venir s’occuper de moi ?  »

Tout de suite, le jeune  » pressé  » de tout à l’heure vint devant moi et me pénétra lentement, essayant tant bien que mal d’attraper un rythme avec Lucien. Je sentais les deux bites me pénétrer alternativement et presque se frotter l’une sur l’autre dans mon corps.

Au point d’excitation où j’étais, il ne fallu pas longtemps pour qu’un orgasme me submerge comme un vague me traversant le corps. Le jeune, pressé mais vigoureux, se dégagea pour éjaculer au fond de ma gorge et j’avalais sa semence chaude avec plaisir. Puis ce fut au tour de Lucien d’éjaculer dans mon petit trou. Je restais accroupie tout en allant au-dessus de son visage puis qu’il me lèche le cul et avale son sperme qui me coulait sur les ridules…
J’en avais presque oublié Karine ! La femme s’était couchée sur le dos et Karine lui léchait la chatte avec application. Lorsque Lucien eu fini de me nettoyer le cul, je m’approchais de Karine et l’embrassais avec fougue, la serrant dans mes bras.

 » _ Tu es vraiment très belle et très excitante ! J’aimerais te voir plus souvent et en privé si tu veux ?
_ Pourquoi pas !
_ Dans tous les cas, peut-être se reverra t-on ici ?
_ Sûrement, en tout cas je l’espère… J’ai beaucoup aimé cette petite séance de ce soir…
_ Moi aussi…  »

Je me relevais, sortais de la salle, reprenais mes affaires au barman et sortais épuisée mais repue du Devil’s Night.

Voilà pour ma soirée d’hier. Je ne sais pas ce que je vais faire ce soir, mais j’espère que cela sera aussi bien !

Journal d’Alice, 23-08-2004
J’ai eu l’impression de voir un visage que je ne n’ai pas vu depuis de nombreuses années, plusieurs centaines d’années. Mais cela est impossible ! Elle devrait être morte depuis longtemps ! Mon premier véritable Amour… Rhéa… Aussi lumineuse que le jour et aussi belle qu’une nuit étoilée… Son souvenir me rappelle de chaudes et enfiévrées étreintes, une passion folle et humide…
Serais-je en train de perdre l’esprit ? Rhéa…

Fin du chapitre 3. mathieu.etc@laposte.net

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Une réponse à Alice 3. Pensées par Mathieu02

  1. Dorine dit :

    9a fait un peu « reportage » mais il y a de très beaux passages !

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