Une soirée au château
par Sylvain Zerberg
Je viens par cette belle soirée de septembre où le temps était de la partie, d’organiser une soirée dans mon modeste « château » en Sologne afin de fêter comme il se doit ma nomination comme DRH au sein de la société XXX (merci Papa). J’ai voulu fêter ça décontracté avec pas mal de copains et de prétendus amis de la jeunesse. En fait c’était une idée de Sophie, ma compagne, on avait déjà fait la fête « officielle », non pas la fête, la corvée, et cette soirée permettait de décompresser.
Nous avions pris la précaution de préciser sur les cartons : « ambiance libertine et décontractée ». Ben non, il faut croire qu’il y en a qui ne savent pas lire, un couple a cru intelligent de venir avec ses gosses. Résultat, pas de partouze avant qu’ils ne se décident de partir, un peu après minuit. Et après personne n’osait faire le premier pas, jusqu’à ce que Christelle, une jolie blonde délurée entraîne deux convives derrière un bosquet et en revienne complètement débraillée et le maquillage destroy.
Sophie, ma compagne, ne voulant pas être en reste, s’approcha d’un type et quelques minutes plus tard se retrouvait avec sa bite dans la bouche. Cette fois la partie était lancée.
Le problème, c’est qu’il ne restait plus grand monde, beaucoup étaient partis, et dans ceux qui restaient pas mal n’étaient plus en état de faire quoique ce soit.
Sophie vint à ma rencontre, sa bouche sentait le sperme.
– Pfff… un éjaculateur précoce, il n’a pas tenu la distance, dommage il avait une belle bite, je l’aurais bien prise dans mon cul. Et toi ? Tu fais banquette ?
– Je ne sais pas, Christelle ne me branche pas trop, et les autres sont H.S.
– Quelle horreur, tu vas être obligée de t’envoyer ta femme ! Un comble pour une partouze. Plaisantât-elle.
– Mais ce ne sera pas une corvée, ma chérie !
– Heureusement encore ! Pourquoi tu ne te branches pas Nicolas, il est en train de bailler tout seul devant la piscine.
– Et qu’est ce que tu veux que j’en fasse ?
– Je sais pas, moi, vous vous sucez, tu l’encules, ou tu te fais enculer, et après tu me racontes.
– Pas devant tout le monde !
– Qui t’as dit de le faire devant tout le monde ?
Je décidais de tenter le coup, pour voir et me retrouvais seul avec Nicolas au bord de la piscine à discuter de tout et de rien, l’alcool n’aidant pas à cacher nos préoccupations réelles… Nicolas me parla de Sophie et m’avoua qu’il était jaloux… Voilà un aveu qui ne manqua pas de me surprendre !
Je pensais donc qu’il m’en voulait d’être avec en couple avec Sophie… mais ce n’était pas ça du tout, il m’avoua qu’il était jaloux que Sophie soit avec moi car je le faisais craquer depuis des années… Je fus surpris de sa révélation mais me trouvais flatté tout de même, il me dit que si je voulais je pouvais encore tenter l’aventure avec lui… Je ne savais plus que penser… Faire des galipettes avec un mec ne me dérange pas, mais si le type s’amuse à devenir amoureux, ça ne va plus du tout.
Gêné par ses paroles, il me demanda si je pouvais le déposer chez lui car il voulait aller se coucher, je lui proposais de rester ici mais ça ne le tentait pas… alors il insista pour que je le ramène.
– J’ai pas mal bu !
– Il n’y a personne sur la route à cette heure là !
– Si, il y a des platanes !
– Tu rouleras doucement.
On est monté en voiture malgré une atmosphère assez pesante entre nous deux, au bout de quelques kilomètres je mis de la musique pour nous détendre un peu. Mais soudain, il arrêta la radio et me demanda de me garer. J’obtempérais sans trop comprendre. Alors, il sortit de la voiture et se mit soudain à courir à travers champs. Je l’appelais pour qu’il remonte en voiture mais il continuait à courir, je me mis à sa poursuite, il venait de rentrer dans un petit bois, fatigué de la soirée je continuais ma poursuite en marchant. La nuit était claire mais arrivé à l’orée du bois je ne voyais plus rien. Cet andouille avait grimpé sur la première branche d’un arbre et sauta de l’arbre juste quand je passais dessous. il se rattrapa à moi dans sa chute, ce qui me fit rouler à terre avec lui… nous étions allongés dans la boue enlacés dans les bras l’un et de l’autre, il me serra fort dans ses bras et commença à m’embrasser dans le cou, j’essayais d’abord de me débattre puis je me suis dit que je pouvais me laisser embrasser.
Des baisers dans le cou, on alla vite vers des baisers plus appuyés avec la langue, je me mis à bander car cela m’excitait, Nicolas du s’en apercevoir car ses baisers furent plus vigoureux. Je sentais son sexe grossir contre moi à l’intérieur de son jean. Ses mains se baladèrent sur mes fesses puis sur mon entre-jambe, je me laissais faire telle une marionnette, il déboutonna mon jean, ses mains glissèrent sur mon caleçon. Il me renversa sur le dos et me dit de me détendre et de me laisser faire, la fatigue et l’alcool aidant, je me suis laisser aller.
Quelques secondes plus tard mon sexe se trouvait en dehors de mon caleçon, je bandais à fond il commença à me branler par de long va-et-vient puis plus rapidement, me sentant venir il reposa mon sexe sur mon ventre, se mit debout et se déshabilla entièrement (on se trouvait dans un bois en pleine campagne, on ne risquait pas d’être vu). Lui aussi bandait à fond et son sexe me paru énorme, il s’approcha et me dit de le prendre en main comme si c’était le mien et de lui faire ce que je me ferais si j’étais seul. Je le branlais tranquillement pendant qu’il continuait de me déshabiller, après quelques aller-retour sur sa hampe je me retrouvais nu comme lui, il se coucha sur moi et m’embrassa à pleine bouche puis glissa vers mon sexe en m’embrassant partout sur le corps, il le prit en bouche et me suça aussi bien qu’une femme (même mieux sans doute)… j’étais aux anges je vins rapidement lui envoyant de bonnes giclées de sperme au fond de la gorge, et lui tenant la tête enfoncée sur mon sexe pour qu’il me vide jusque la dernière goutte.
Il se mit sur le dos et me regarda avec le sexe tendu vers moi, je compris qu’il attendait que je le suce à mon tour. Pas de problème, les belles queues m’ont toujours attirées, mais néanmoins, je ne voulais pas paraître « céder » trop facilement. Je prétextais ne pas vouloir pendant quelques instants puis me jetais sur son sexe goulument. Je le suçais comme il me l’avait fait et comme j’aurais aimé être sucé… me régalant de sa douce texture et de son léger goût d’urine salée. Il vint rapidement lui aussi et je me suis retrouver englué à mon tour.
Profitant de mon sperme comme lubrifiant il me proposa (sans trop y croire) de me sodomiser, j’acquiesçais, lui mentais en disant que la chose était nouvelle pour moi, mais qu’excité comme je l’étais je voulais bien essayer, et me présentais à quatre pattes devant lui avec le cul bien relevé, il commença par me lécher le fion, puis il fit entrer un doigt dans mon œillet, puis deux, puis trois mais je ne me dilatais pas assez pour qu’il rentre son sexe sans me faire mal, il me dit de faire comme si j’allais chier, il me cracha sur l’anus pour le lubrifier une fois de plus et se cracha dans la main pour se lubrifier le sexe. Ensuite il s’approcha, je sentais son gros gland tendre et chaud se positionner sur ma rondelle puis je le sentis glisser sans problème à l’intérieur puis vinrent des allers-retours rapides puis lents puis de nouveau rapides. Des frissons de plaisirs m’envahirent, puis je sentis une déflagration à l’intérieur de moi, c’était chaud et j’étais super bien. Il se retira laissant mon cul néanmoins quelque peu douloureux et me proposa d’essayer de le sodomiser à mon tour, il me dit que je pouvais y aller comme ça car il avait l’habitude, il se mit sur le dos avec les jambes repliées sur les épaules, son anus me faisait face, je m’approchais et le pénétrais sur toute la longueur sans ménagement, il eut un cri de douleur car il ne s’attendait pas à ce que je sois si bien remis de ma sucette. Il eut rapidement ensuite des râles de joie, je lui envoyais la purée après quelques va-et vient, je me suis écroulé sur lui de fatigue avec le sexe encore en lui, on resta encore quelques minutes ainsi puis se fut la sonnerie de mon portable qui me ramena sur terre, c’était Sophie qui voulais savoir où j’étais. Je la rassurais et raccompagnait Nicolas jusque chez lui.
– Merci pour le délire ! Pour toi, c’était purement physique ou il y a avait un petit quelque chose en plus ? Me demanda-t-il.
– Je t’aime bien mais c’était purement physique ! Lui répondis-je, préférant le décevoir plutôt que de lui laisser entretenir de vaines illusions.
– Alors Adieu ! Répondit-il, d’une voix triste.
De retour au château, je constatais qu’il n’y avait plus personne à l’extérieur. Au salon Sophie discutait avait un bellâtre, ils ne draguaient pas mais donnait l’impression de bien s’être amusés ensemble. Mais sans doute me trompais-je.
– Alors, t’as fait quoi ? Me demanda-t-elle.
– Comme tu l’avais prévu ! Répondis-je ne souhaitant pas me dévoiler devant le biquet.
– Hummm… tu me raconteras tout à l’heure ! Elle était bonne sa bite ?
Je compris alors que Sophie avait mis au courant Biquet de mes tendances bisexuelles.
– Délicieuse ! Je l’ai bien sucé et il me l’a bien enfoncé dans le cul.
– Hummm, tu sais que Henri (le biquet, donc) il aime bien enculer les hommes, ça te dis ?
– Non, j’ai un peu mal au cul, mais en revanche je veux bien lui sucer sa bite.
– On va le faire à deux alors ? Propose Sophie.
– Bien sûr !
Henri baisse alors pantalon et caleçon et nous nous précipitons sur son sexe afin de la faire durcir.
Un raclement de gorge, l’une des soubrettes embauchées pour faire le service de la soirée est devant nous, un plateau à la main avec un verre et une carafe d’eau dessus.
– Voici le cachet que Madame m’a commandé !
– Ah, très bien, j’espère que vous n’êtes pas choquée par ce que vous voyez !
– Oh, non Madame j’en ai vue d’autres !
– Et bien sucez donc ce jeune homme en compagnie de mon mari pendant que j’avale ce cachet. Vous aurez un petit pourboire spécial pour la peine.
– Avec plaisir, Madame.
Rideau
Bon petit récit bitophile
J’aime trop ces histoires ou des mecs se sucent la bite
Une belle histoire agréable à lire mais comme qui dirait quelque peu désabusé