18 ans pile ! C’est l’âge auquel j’ai débarqué dans cette ville pour y suivre des études d’art. J’étais très assidu dans toutes les matières pratiques mais – honte à moi – j’avais tendance à « sécher » les cours théoriques, comme l’histoire de l’art.
Un mois avant les premiers partiels, il me manquait la moitié des cours et j’ai été contraint d’aller voir le prof pour lui demander s’il ne pouvait pas m’en donner une copie. C’était un homme bien bâti, d’une quarantaine d’années, plutôt impressionnant de savoir et d’autorité. Sa voix était grave, ses gestes posés et son regard dévoilait également une grande douceur. Il me dépassait d’une tête et j’étais dans mes petits souliers en allant lui présenter ma requête, qu’il accueillit avec un demi sourire :
« Mon jeune ami, je veux bien t’aider, mais je n’ai pas tous les cours de l’année sur moi. Comme nous sommes à la veille de 15 jours de vacances scolaires, soit tu viens les chercher aujourd’hui avec moi, soit tu attends le cours de la rentrée que je te les apporte, mais ça fera court pour les révisions… »
J’ai donc choisi de l’accompagner chez lui, en chemin il me parla un peu de sa vie : il était marié, il avait deux enfants et habitait une petite résidence en proche banlieue. Une fois dans son appartement, les jouets qui traînaient çà et là confirmaient la présence des enfants, mais l’endroit était désert.
« Je suis seul pour les vacances, m’annonça-t-il, ma femme et les gosses sont partis à la montagne. Moi le ski ça ne me branche pas trop alors je vais rester ici pour bricoler… Attends moi dans le salon je vais te chercher les cours. »
Comme il tardait à revenir je me suis approché d’une sculpture qui me tournait le dos dans un endroit de la pièce. Elle était modelée avec une infinie délicatesse et représentait un couple. Un homme aux épaules larges tenait par la taille ce qui semblait être une jeune fille aux frêles épaules et aux petites fesses rondes. Il émanait de ce geste une grande sensualité. En faisant le tour de l’œuvre je me suis rendu compte que ce que je prenais pour une jeune fille était en fait un jeune garçon au physique d’éphèbe androgyne qui se tenait d’une façon équivoque contre le corps musclé de l’homme qui le tenait par la taille.
L’homme était barbu, des poils étaient esquissés sur son torse et son pubis, l’adolescent lui était imberbe, aux cheveux mi-longs, au visage délicat, sa poitrine était lisse et presque galbée comme celle d’une jeune fille, son ventre doux et rond, son sexe imberbe plus petit que celui de l’homme. Malgré la sobriété de l’œuvre, je ne pouvais m’empêcher de spéculer sur la nature des relations qui unissaient ces deux êtres. Le corps de l’adolescent était comme un reflet de ma propre image et la représentation de cette proximité physique avec un homme d’âge mûr me troublait.
Monsieur E… (Jean-Pierre de son prénom), m’arracha à mes rêveries :
« Elle te plaît cette sculpture ?
– Oui je trouve le thème original et le traité d’une grande sensibilité, c’est une reproduction d’antique ?
– Non, rigola mon professeur, c’est moi qui l’ai faite ! Le plâtre a été moulé d’après un modelage que j’ai réalisé. »
Sur le coup j’étais impressionné par une telle maîtrise, moi qui pensais que les enseignants des matières théoriques étaient nuls en pratique !!! Il poursuivit :
« Tu sais, j’ai beau enseigner l’histoire de l’art, ma vraie passion c’est la sculpture. J’ai d’ailleurs écrit ma thèse sur le thème de la relation Maître-Élève dans les ateliers de sculpture à Athènes dans l’Antiquité. Cette sculpture est inspirée d’une poterie peinte que j’ai eu l’occasion de photographier dans les réserves du musée de l’Acropole. Tu veux voir la photo ? »
J’acceptai aussitôt, trop heureux de partager le secret de fabrication de cette jolie pièce.
Mon professeur repartit dans son bureau et revint une minute plus tard avec un petit album de photo ouvert qu’il me tendit. En effet, sur une poterie couleur terre était peint en noir, avec des rehauts ocre, un homme et un adolescent se tenant par la taille. Mais je dois avouer, en comparant que la sculpture de mon professeur était mieux exécutée, plus vivante, plus sensuelle aussi.
Machinalement je tournai la page de l’album : un autre dessin apparut, il s’agissait de la même poterie vue sous un autre angle. L’homme mur était debout, de profil, et le jeune homme, à genoux, lui prodiguait ce qui, de toute évidence, était une fellation. Très gêné par ce que je venais de voir j’ai prestement tourné la page, sauf que la suivante était encore plus explicite : le jeune homme était à quatre pattes et l’homme, à genoux derrière lui, le sodomisait.
J’ai prestement refermé l’album et l’ai rendu à mon professeur qui, comme moi, était un peu embarrassé.
« Tu sais, dans la Grèce antique, ce type de relation était courante. L’homme, l’Éraste, prenait sous son aile un éphèbe, souvent assez jeune et l’initiait pendant plusieurs années. Il pouvait lui apprendre les arts, les lettres mais aussi la sexualité. Il paraît que la fellation était pratiquée de façon rituelle, symbolisant la façon dont l’élève se nourrissait de la connaissance et de la virilité du maître. Cette initiation avait pour but de le faire devenir un homme. Elle se terminait quand le jeune commençait à avoir de la barbe, ce qui signifiait qu’il quittait le monde de l’androgynie et pouvait fonder une famille. »
Il passa le revers de sa main sur ma joue :
« Tu ne te rases pas encore, à ce que je vois, ta peau est douce… Tu pourrais donc postuler… »
Il rigola de sa plaisanterie et moi aussi, bien qu’un peu gêné par sa remarque…
Je décidai de changer de sujet :
« Et vous sculptez toujours ?
– Oui, bien sûr, me répondit-il. D’ailleurs je vais mettre les vacances à profit pour bosser comme un fou. Tu aimerais voir mon atelier ? Il est à cinq minutes à pied d’ici. »
J’acceptai avec grand plaisir, je pris la chemise de cours sous mon bras et nous partîmes aussitôt.
L’atelier était un ancien local industriel, bien éclairé, isolé dans une arrière-cour. Il était encombré de blocs de terre et de sculptures, au centre une estrade tournante permettait de disposer des modèles. Il y avait également un coin douche et toilettes, un réchaud pour se faire à manger et il avait aménagé une mezzanine avec un matelas pour dormir lorsqu’il passait toute la nuit à sculpter. Un des murs était recouvert d’un grand miroir qui agrandissait la pièce et donnait de la lumière tout en lui permettant de voir sa sculpture sous plusieurs angles tout en la travaillant. Je me suis tout de suite senti bien dans l’endroit. Mon professeur alluma un chauffage au gaz butane, car l’endroit était un peu frais et s’exclama :
« Je te présente mon petit paradis, l’endroit où je me réfugie dès que j’ai un peu de temps pour moi ! »
J’errai un peu entre les sculptures, passant ma main sur l’une ou l’autre, ravi de partager un peu de l’intimité de mon professeur dont, décidément, j’admirais beaucoup le travail. Puis je suis monté sur l’estrade et me suis amusé, comme un enfant sur un manège, à la faire tourner avec moi dessus. Mon professeur s’est alors approché :
« Vas y assied toi dessus !
Il éteignit l’éclairage général et alluma des spots qui étaient orientés vers l’estrade. De la main il imprima une rotation lente puis fit deux pas en arrière, le menton dans la main :
« Oui, c’est bien ça… Allonge toi sur le côté, genoux légèrement repliés. Oh non plutôt, mets toi à genoux et assied-toi sur tes pieds… Oui, comme ça, c’est bon… »
Je me pliais de bonne grâce à ses requêtes, sentant qu’il était en train de créer.
« Superbe… Tu ferais un parfait modèle, tu es cambré, tu as un beau port de tête et le cou fin… Je me demande comment est ton dos. »
« Voulez-vous que je me mette torse nu ? » Lui ai-je proposé machinalement
« Oui vas-y, comme ça j’en aurai le cœur net ».
J’ai enlevé mon pull-over et mon t-shirt en même temps et les ai lancé sur une chaise non loin de là. J’étais torse nu. Le maître s’est approché et a stoppé la rotation de l’estrade. Il a posé une main sur mes reins :
« Cambre-toi légèrement, là. Bien. Tiens toi plus droit, bombe légèrement le torse et baisse légèrement la tête et la tournant vers le côté. Voilà, ne bouge plus maintenant.
Il s’est mis à me faire à nouveau tourner devant lui, très doucement :
« Superbe, tu es superbe… »
Il s’approcha si près que je sentais son souffle sur ma peau.
« C’est cela qui me manquait : un jeune modèle. »
Avec une infinie lenteur il passa sa main sur mon cou puis sous mon menton qu’il releva doucement. « Regarde-toi dans le miroir : ton cou si fin, ton épaule encore ronde, ton dos cambré… »
Sa main effleurait mon corps, s’attardant sur chacun des endroits qu’il citait. Il fit tourner l’estrade circulaire de façon à se trouver derrière moi. Nous étions tous deux face au grand miroir.
« Regarde ta poitrine, légèrement enflée : on dirait celle d’une jeune fille pré pubère… »
Ses deux mains s’attardaient maintenant sur ma poitrine, la massaient doucement en pinçant légèrement les tétons. Pour pouvoir tenir cette position, mon professeur devait coller son torse contre mon dos. Je sentais également la bosse de son sexe contre mes fesses et le souffle chaud de ses paroles murmurées à mon oreille. Il a commencé à mordiller mon oreille. Le pincement sur mes tétons envoyait des éclairs électriques jusqu’à mon ventre et mes fesses et dans un étrange réflexe, je me cambrais davantage pour rechercher le contact avec son bas-ventre qu’il frottait contre mes fesses. Il murmura à mon oreille :
« Tu as la peau si blanche et si douce, tu aimes que je te touche ? »
Dans un souffle, je lui ai répondu :
« Oui… ».
Ses mains sont descendues sur mon ventre, ont dégrafé ma ceinture, déboutonné mon pantalon. Nos lèvres se sont cherchées et nos bouches se sont rejointes alors que d’une main il caressait mon sexe tendu et de l’autre il malaxait ma poitrine.
Les sensations que j’éprouvais étaient délicieuses, j’avais l’impression d’une révélation, comme si toute ma vie j’avais attendu ce moment-là. Je me sentais bien, désiré par cet homme fort et viril. Sa main puissante et experte qui masturbait mon sexe avec douceur, ses bras qui m’enveloppaient, son menton râpeux et ses joues, sa langue qui envahissait ma bouche, chacun de ces gestes me submergeaient de sensations nouvelles. La peur de la transgression était balayée par le désir, plus fort encore de lui appartenir. Nous nous sommes embrassés passionnément pendant quelques minutes devant ce miroir et il m’a entièrement dénudé.
Je voyais ses mains courir sur mon corps, j’entendais ses commentaires élogieux :
« Oh, tu as la peau si douce, si ferme, tu bouges bien sous mes caresses, et ces petites fesses bien rondes, mmmh… ».
Il avait lui aussi commencé à se déshabiller, son torse était large et puissant, recouvert de poils.
Nous sommes montés sur la mezzanine, pour nous mettre à l’aise car il y avait un lit là-haut. Je me suis assis sur le lit, tandis qu’il enlevait son pantalon, debout devant moi. Entre ses jambes, au milieu d’une forêt de poils noirs et au-dessus de deux couilles rondes de beau diamètre, se dressait un sexe magnifique, qui devait bien faire une fois et demi la taille du mien, dur et raide, au gland violet et luisant. Je ne pus m’empêcher de tendre la main vers lui. Jean-Pierre s’approcha en tendant son bassin vers moi, sexe à la hauteur de mon visage :
« Tu penses à la peinture sur le vase Athénien ? ».
J’ai juste fait « oui » de la tête, il posa sa main sur mes cheveux :
« Alors vas-y, fais-le ma petite chérie, je te guiderai, n’aie pas peur. »
Son ton affectueux et l’emploi du féminin ont fini de me convaincre et de me séduire et c’est tremblant d’émotion que je pris son sexe en bouche. Lentement je me mis à sucer son gland épais. Je me concentrais pour ne pas qu’il sente mes dents. Lui, par de légères pressions sur ma tête et par des mouvements de reins appropriés me donnait la cadence. Au fur et à mesure, j’entendais sa respiration devenir plus forte et il accélérait le rythme. Ses mouvements de reins se faisaient plus amples, il maintenait ma tête de façon à enfoncer sa verge le plus profondément possible au fond de ma gorge. Je ne voulais pas le décevoir, j’en avais le souffle coupé et parfois des haut-le-cœur mais je le laissais s’enfoncer plus profondément à chaque allée et venue. Il appréciait beaucoup ma docilité, je le sentais et c’était un plaisir pour moi de lui offrir ma bouche. Il s’est mis à accélérer le mouvement en gémissant. À chaque coup de rein son gland atteignait le fond de ma gorge. Puis il s’est mis à ralentir :
« Oh putain, je vais jouir, c’est à toi de me finir et de me boire jusqu’à la dernière goutte… ».
Il était debout, les bras le long du corps, sexe tendu et gorgé de sève et c’était maintenant moi qui faisait aller et venir mes lèvres autour de sa hampe. Je ne tardai pas à recevoir ma récompense. Sa main se crispa dans mes cheveux pour me maintenir fermement tandis qu’il se vidait de sa semence dans ma bouche dans un long gémissement. Les puissants jets de foutre me surprirent par leur force et leur quantité, mis à part une petite goutte qui suinta de la commissure de mes lèvres et coula sur ma joue, j’ai tout avalé avec fierté. Mon maître retira son sexe de ma bouche, le passa sur mes joues, ramassa la goutte qui s’était échappée et enfourna à nouveau son gland entre mes lèvres pour que je le nettoie bien.
Son sexe commençait à se ramollir, il s’est allongé sur le lit, sur le dos et je me suis blotti entre ses bras, je caressais sa large poitrine velue et nous nous sommes embrassés. Tandis qu’il me donnait ce baiser, sa main caressa ma poitrine, mon ventre et vint se poser sur mon sexe tendu. Sans cesser de m’embrasser tendrement, il me masturba doucement jusqu’à ce que je jouisse entre ses doigts. Puis il goûta mon sperme, qu’il trouva très bon et me fit lécher le reste dans le creux de sa main. Ensuite, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre…
Le procédé est limite. Dans ce récit le jeune protagoniste ne s’est jamais rasé, on peu donc deviner a peu près sa tranche d’âge. Manque de pot, il y a la charte… Alors l’auteur pas gêné veut nous faire croire qu’il vient tout juste d’avoir 18 ans ! Et mon œil ? E vous vous tombez dans le panneau.
Ce n’est pas de la pédophilie puisque le jeune est pubère, mais ce que ça décrit c’est du détournement de mineur !
Merci de tenir compte de ce message !
Euh ! Merci pour le signalement… Mais … Le bénéfice du doute, vous n’avez jamais entendu parler ?
1 – Ce récit est là depuis 2005 et c’est la première fois qu’on m’en fait un signalement (vous me direz, ça ne prouve rien…)
2 – On peut très bien ne s’être jamais rasé à 18 ans, à mon avis ce doit être rare, mais pourquoi pas ?
3 – Il est possible que vous ayez raison et que les 18 ans proclamés ne soit qu’un accommodement facile avec la charte (d’autant qu’il a « refait le coup » avec un autre de ces récits « Initiation d’un androgyne ».)
Je le laisse pour l’instant au bénéfice du doute comme indiqué plus avant, mais si un second avis corrobore le votre je n’hésiterais pas à supprimer les récits de cet auteur de ma base.
Wait and see