Elle est étudiante en faculté des Lettres à l’université de L***. Là, elle y rencontre de charmants jeunes hommes, mais d’habitude ils ne cherchent qu’à coucher. Sarah est en réalité un peu victime de son physique. Un jour pourtant elle rencontre un homme sympathique dans un bar. Celui-ci lui offre un verre et discute avec elle, de tout et de rien. Elle aime beaucoup sa compagnie et lui donne son numéro.
Marc, car il s’appelle ainsi, la rappelle. Ils se voient alors souvent et bavardent, de son travail, il est comptable, d’elle. Tous les sujets sont bons. Pour une fois, c’est un homme qui attend avant d’agir. Un peu trop tout de même. Leur relation est toujours ambiguë, mais ils ne se sont toujours pas embrassés.
L’été arrive et Marc propose à Sarah des vacances à la montagne, dans un chalet à lui. Elle accepte gaiement, se demandant s’il va faire le premier pas à ce moment. Elle attend impatiemment les vacances d’été.
Les examens passent, leur relation continue à être platonique. Puis, enfin, le moment des vacances vient. Marc vient chercher Sarah chez elle, pour l’emmener à son chalet. Il ne lui a pas dit exactement où c’était. Dans le sud, dit-il.
Ils font un long voyage et Sarah est fatiguée. Marc lui propose alors de dormir sur la banquette arrière. Elle le fait volontiers et rêve à son prince charmant, l’emmenant dans un beau château… Cet homme est vraiment idéal !
À son réveil, elle est dans un lit, double. Elle voit autour d’elle une jolie chambre de chalet. Elle ouvre les rideaux et s’aperçoit que le chalet est entouré de forêt, à perte de vue. Une petite route part à travers les arbres. Le coin a l’air sympathique, tout est calme. Il est déjà tard et le soleil ne va pas tarder à se coucher. Sarah voit avec beaucoup de contentement que le lit est double. Elle se dit que les choses vont aller plus vite. Marc, son ami deviendra peut-être plus qu’un simple confident, même si c’est le meilleur qui soit.
Sarah descend les escaliers et voit Marc à la cuisine. L’odeur est délicieuse. Il lui a préparé un très bon repas. La table est mise, nappe en dentelles blanches, vaisselle en cristal, Sarah croit rêver. Le dîner se déroule à merveille, les deux jeunes gens discutent à nouveau de choses merveilleuses et commencent à devenir plus proches, aussi bien physiquement que moralement. Marc s’approche de Sarah et lui pose la main sur la sienne. Il lui dit :
– Viens, allons faire un tour dehors, l’air est si doux !
Joignant le geste à la parole, il l’emmène dehors en la prenant par la main, chose qu’il n’avait jamais fait avant. Ils se promènent aux alentours du chalet, à la lisière de la forêt. Ils arrivent à une cabane en bois dans les arbres. Marc fait monter Sarah dans l’arbre à l’aide d’une échelle, et lui explique qu’il jouait là étant jeune. Ils se racontent alors leurs histoires d’enfants, tendrement et la complicité s’installe. Il lui explique qu’étant jeune il jouait avec des amis avec des amis dans les bois et que les prisonniers étaient attachés dans la cabane qui servait en fait de prison.
– On les mettait là haut et on enlevait l’échelle qui est en bas, expliqua Marc.
– Et cela suffisait pour qu’on ne s’évade pas ? Moi je peux sans problèmes descendre, rétorqua Sarah.
– Oui c’est vrai qu’il y avait quelques évasions. Alors on les attachait avec de la corde. Les gens pouvaient partir mais il fallait d’abord qu’ils se détachent. Cela nous laissait un peu de temps. Certains se détachaient vite, d’autres moins.
– Ah ? Il y avait donc des Houdinis ?
– Oui, comme moi, j’étais assez fort. Tu veux faire un concours ?
– Quel genre de concours ? demanda Sarah, étonnée.
– Eh bien, chacun est laissé attaché en haut de l’arbre, avec juste une corde et doit se défaire puis descendre et aller au chalet. Celui qui le fait le plus vite a gagné.
– Ok, répondis Sarah qui aime bien les concours, et qui voyais l’image de son prince charmant attaché dans l’arbre, mais c’est moi qui commence à t’attacher.
-D’accord, je vais chercher la corde, qu’offre t’on au gagnant ?
– Je propose que le perdant doive préparer le petit-déjeuner demain matin au gagnant, sympa non ?
– Bonne idée !
Marc partit dans le chalet et revint avec une corde blanche d’un mètre environ.
– Voilà ! Je te laisse m’attacher, dit-il en tendant les bras.
Sarah lui lia les mains dans le dos, se demandant comment le brave pourrait se détacher. Ensuite, profitant de l’occasion, l’embrassa d’un langoureux baiser. Marc fut assez surpris mais plutôt content. Sarah lui glissa alors la main dans le pantalon, et lui caressa brièvement les parties, ce qui ne manqua pas de faire de l’effet à notre homme. Elle lui susurra à l’oreille :
– Ne fais pas long mon chou…
Elle descendit de l’arbre, enclencha le chronomètre et dit :
– Je te laisse là, Houdini ! Il est 22 heures, je calcule le temps que tu vas mettre.
Elle le regarda dans son arbre, ligoté. Cette vision était assez agréable, puis regagna le chalet. Finalement ce petit jeu était sympathique. Elle avait pu se lancer et Marc avait l’air d’avoir apprécié. Elle attendait impatiemment qu’il revienne, mais pas trop vite quand même, car elle voulait avoir son petit-déjeuner préparé !
Elle n’eut pas à attendre longtemps. Marc mit exactement 16 minutes à se libérer. Il arriva dans le chalet tout heureux :
– Voilà !
– Tu as mis 16 minutes, bravo.
– À toi, maintenant, dit Marc en l’embrassant.
–
Cette fois c’était fait, il avait répondu. Ils étaient aux anges ! Sarah se réjouissait de pouvoir se libérer. Quoique Marc pouvait peut-être profiter également de la situation, ce qui émoustillait Sarah. Ils allèrent dans l’arbre, montèrent et Sarah se laissa ligoter solidement. Marc lui mis les mains devant attachées ensemble et laissa ensuite continuer la corde jusqu’à ses pieds pour les lier également. Il s’enfuit ensuite, non sans embrasser Sarah avant de partir.
Elle restait là, attachée dans son arbre. Il semblait que les liens étaient plutôt solides. Elle tenta de se libérer, tira sur la corde, mais rien n’y fit. Et autour d’elle, rien de coupant pour l’aider. Sarah tira de toute ses forces, essayait de s’aider de ses dents (elle du pour cela se coucher et plier les jambes), mais les liens étaient bien solides et la corde aussi. Elle était encore en train d’essayer lorsque Marc arriva en lui disant
– C’est fait, tu as fait plus long, tu as perdu !
– Oh non, dis Sarah, j’ai presque terminé à me libérer !
– Je voudrais bien voir ça, dit Marc en ricanant, tu n’as pas l’air très avancée.
En lui disant cela, il s’avança vers elle, la prit dans ses bras et commença à l’embrasser dans le cou, puis avec ses mains il caressa de manière très exquise son dos et descendit sur les fesses. Il eut un sourire mi-narquois, mi-excitant.
– Laisse-moi un peu de temps et tu verras ! répondit-elle en souriant également, plutôt heureuse de le voir la caresser. Elle appréciait ces quelques gestes.
– Bon, d’accord, je te laisse là jusqu’à ce que tu puisses te libérer. Je t’attends dans la maison.
Il dit cela, posa ses lèvres sur son front et descendit l’échelle rapidement. Sarah n’eut pas le temps de reprendre ses esprits qu’il était déjà en bas et lui tendit un dernier « À tout à l’heure mon chou. Ne fais pas trop long. » Elle était encore perdue dans les rêves que son étreinte avait fait naître.
Le temps de sortir de cet état euphorique, Sarah se rendit compte qu’il était bien difficile de se détacher. Elle voulait pourtant le plus rapidement possible y arriver, se disant que Marc devait l’attendre avec une belle surprise. Elle était toute heureuse de ces événements et se réjouissait de continuer ces ébats avec l’homme de ses rêves.
Après un bon moment où elle tentait de se détacher tout en rêvant, elle se rendit compte qu’elle n’y arrivait pas et se dit alors qu’elle essaierait de descendre l’échelle ainsi, toute ligotée. Ça paraissait bien difficile, mais c’était sa seule solution.
Sarah se tourna alors, dos au vide et se plia en deux, pouvant toucher ses pieds avec ses mains. Elle se tint au premier barreau avec les mains et elle descendit un pied pour aller toucher le second barreau. Mais la corde entre ses deux pieds l’obligea d’amener les deux pieds ensemble au deuxième barreau. Elle glissa alors et se tint de toutes ses forces au premier barreau avec les mains. Ses pieds s’arrêtèrent sur le troisième barreau. Elle voulut alors descendre ses mains mais tout lâcha et elle dégringola l’échelle, qui heureusement n’était pas trop haute et elle tomba dans l’herbe, sur le dos. Il y avait là un matelas qui la soutint dans sa chute ! Marc avait du le mettre ici.
Sarah retrouva ses esprits et alla frapper à la porte. Marc lui ouvrit rapidement et fut étonné de la voir là toute attachée.
– Je croyais que tu n’aurais pas de souci à te détacher ! Eh non, je ne suis pas d’accord de t’accueillir ainsi, détache-toi d’abord, c’est le jeu !
Il lui referma la porte au nez tellement vite qu’elle n’eut le temps de répondre. Elle frappa à nouveau à la porte, tomba à genoux et lorsque Marc lui ouvrit, elle supplia :
– Je t’en prie, laisse-moi entrer, je n’arrive pas à me détacher !
– Bon, dis Marc, c’est d’accord, allons-y.
Il la pris dans ses bras et la porta, l’amena alors sur le canapé et lui dit :
– Je suis gentil de te laisser entrer alors que le jeu ne le permettait pas. Seulement, ne crois pas que le jeu s’arrête ainsi, tu devras tout de même réussir à te détacher, je te laisse encore un ou deux jours ainsi pour t’apprendre l’art de l’évasion !
– Oh, s’il te plaît, dit-elle d’une voix toute douce et craintive.
– Non ! répliqua Marc, tu joues à un jeu et tu continues le jeu. Ça ne nous empêche pas de continuer un peu ce que nous avions commencé…
Il s’avança vers elle et passa sa main dans sa chemise, tout doucement, puis lui dit :
– Mais tu as tout de même triché, et ça mérite une punition, je reviens.
Il s’en alla dans une des chambres du chalet, derrière Sarah et revint tout doucement. Elle ne l’avait pas entendu et sentit tout à coup un tissu sur sa bouche. Il lui avait ramené un foulard avec lequel il la bâillonnait.
– Voilà, tu seras punie ainsi cette nuit !
Il vit dans ses yeux suppliants qu’elle voulait de tout cœur qu’il lui ôte cela, mais il resta impassible.
Marc se mit alors assis devant elle sur le canapé et lui déboutonna sa chemise. Il passa ses mains sur sa poitrine puis glissa dans le soutien-gorge et sur les tétons. Sarah sursauta.
– Tu aimes ? demanda-t-il.
Elle répondit oui de la tête. Il continua alors avec ses mains en malaxant ses seins de manière très sensuelle, elle commença à défaillir et à se laisser aller complètement. Il défit ensuite son jeans et passa sa main dans sa culotte. Il lui caressa le pubis, ce faisant, il lui demanda d’un air complice
– Je peux continuer ?
Elle répondit à nouveau oui de la tête, elle ne savait plus où elle était et tombait de plaisir. Il défit alors son pantalon, sorti son pénis et l’enfila dans son vagin, en évitant la corde avec son corps. Il la pénétra de toutes ses forces et ils jouirent ensemble d’un orgasme de folie.
Tous deux retombèrent alors à la renverse.
-Tu vois, on peut faire plein de choses tout en étant ligotée, dit-il d’un air espiègle. Il la prit alors dans ses bras, la porta jusqu’à la chambre et la déposa sur le lit. Il lui enleva son bâillon et lui donna un langoureux baiser, qu’elle ne sera pas prête d’oublier…
Il se colla alors à elle, dans son dos et lui dit :
– Bonne nuit petite coquine.
Sarah se débattit un peu, voulut dire quelque chose, mais Marc l’interrompit:
-Chut, tu vas bien dormir ainsi.
Elle compris qu’elle ne pourrait pas être détachée ce soir et qu’elle devrait dormir ainsi, habillée, attachée et dans les bras de Marc.
Sarah avait la tête pleine d’images. Elle était à la fois mal à l’aise d’être toujours ligotée et avait peur de voir Marc la laisser ainsi. Mais d’un autre côté elle avait pris un plaisir immense ce soir, comme elle n’avait jamais eu l’occasion et c’était avec l’homme qu’elle idolâtrait depuis tant de temps. Pesant le pour et le contre, elle s’endormit finalement avec le sourire.
Le lendemain matin, le soleil frappa à la fenêtre et réveilla Sarah. Marc était là devant elle, debout et lui dit :
– Debout le loir, tu as un petit-déjeuner à me servir !
– Détache-moi, je ne peux pas te faire de petit-déjeuner ainsi !
Elle croyait avoir trouvé l’argument qui lui permettrait de se détacher. Mais Marc lui répondit :
– Oh, bien sûr, on a fait bien pire hier soir. Allons, j’attends. Fais vite ou je te remets le bâillon !
Il la pris et la leva puis la porta dans les escaliers et l’amena devant la cuisine.
-Tu trouveras facilement ! dit-il en partant dans les escaliers.
-Attends ! Implora-t-elle, mais c’était trop tard, il était déjà loin.
Sarah se demandait ce qu’elle faisait là, puis se dit machinalement, pourquoi ne pas essayer. Elle avait les mains attachées devant elle, c’était possible d’ouvrir les armoires. Elle sortit des couverts, les mis sur la table et porta également les confitures, le beurre et le pain. Le temps d’ouvrir les armoires, de chercher et de mettre cela sur la table, elle était déjà bien fatiguée et s’assis à la table. Marc arriva et lui dit :
– Eh bien, tu apprends vite ma grande. Merci pour ce beau petit-déjeuner.
Il ouvrit les pots et commença à faire les tartines. Sarah voulait dire quelque chose mais cet univers était tellement surnaturel, elle ne pouvait rien sortir d’intelligent. Finalement elle lâcha un :
– Tu attaches toutes tes nouvelles conquêtes ?
– Mais non ma petite Sarah, tu es la première et je sens que cela te va à ravir, tu ne trouves pas ?
À ce moment, il lui mit une tartine de confiture dans la bouche. Elle la prit avec les mains, croqua un bout et le ressorti.
– J’ai trouvé cela amusant c’est vrai. C’est à la fois excitant et embarrassant. J’aurais bien envie que tu me détaches tout de même.
– Ne dis pas de bêtises, tant que tu ne peux pas te détacher tu resteras ainsi. C’est le jeu et c’est comme ça, j’aimerais bien que tu le comprennes et ne me demandes plus de te détacher. Tu ne veux pas essayer ?
– D’accord, je me laisse faire, dit-elle, commençant à se prendre au jeu.
– De plus, tu es tellement sexy ainsi, belle et sans défense.
– J’aimerais bien prendre une douche, dit-elle.
– On va voir cela tout à l’heure, pour le moment, déjeune, dit-il en lui donnant à manger une autre tartine.
Sarah ne savait plus comment prendre Marc, elle ne savait pas s’il s’agissait d’un jeu ou pas et comment cela continuerait. Elle aurait aimé dire des choses sensées et se sortir de cela, mais rien ne vint. De plus, intérieurement, elle avait envie de continuer, de voir ce que Marc ferait d’elle. Il lui parla de choses banales sur la maison et les alentours et elle répondit tout aussi banalement. Ils discutèrent un bon moment à table, comme si de rien était, comme au bon vieux temps et elle se perdit à nouveau dans ses yeux, en oubliant totalement ses liens.
Après une bonne heure de discussion, Marc se leva et lui dit :
– Bon, allons-y, tu vas prendre une douche.
Ils se levèrent tous deux et il l’emmena jusqu’à la salle de bains qui était au même étage. Les liens qui l’empêchaient de marcher la ramenèrent à la réalité et à sa condition. Ils arrivèrent devant la douche et elle lui dit :
– Il va falloir que tu me détaches je crois.
– Bon, c’est d’accord, mais une fois ressortie de la douche, je te remettrai tes liens, car tu n’as toujours pas réussi à te délivrer.
Il lui enleva les cordes avec un couteau et lui enleva également les habits. Il lui dit alors :
– Que tu es belle !
Il enleva également ses habits et tous deux s’enlacèrent puis il lui embrassa tout le corps et passa sur son pubis. Il lui enfila la langue dans le vagin et joua également avec son clitoris. Elle adora cela. Puis il se releva et lui enfila son pénis. Ils la plaqua contre la fenêtre et la fit monter au plafond, jusqu’à l’extase. Puis, Marc pris tous les habits, l’embrassa langoureusement et lui dit :
– Je t’attends dehors.
Elle prit une douche, toute heureuse de ce qui s’était passé et d’avoir retrouvé sa liberté. Elle oublia complètement les liens qui l’avaient accompagnés la nuit passée et les paroles de Marc de tout à l’heure. Elle s’imagina ressortir de la douche et continuer à filer un bel amour avec cet homme si magique, avec quelques liens de temps en temps. Sarah se perdit à nouveau dans ses rêves et sortit ensuite de la douche trempe. Elle ne vit pas de serviette. Elle cria alors :
– Marc, il n’y a pas de serviette !
– Je sais, il y en a une dehors, je t’attends, répondit-il.
Elle sortit alors de la salle de bain, nue et trempée, et arriva dans le corridor. Elle ne vit pas Marc, qui lui lança :
– Viens, je suis là, à la cuisine.
Lorsqu’elle arriva dans la cuisine, elle ne le vit pas. Il surgit alors depuis derrière elle et lui pris les bras, les tenant derrière elle, il commença à lui lier les mains avec une corde. Elle se débattit et il lui dit :
– Laisse-toi faire, tu sais bien que le jeu n’est pas terminé. Tu n’as pas encore gagné le droit d’être détachée !
– C’est vrai, répondit-elle, mais cette fois-ci, je vais y arriver, c’est promis !
– On va voir ça ma grande.
Il lui lia les mains dans le dos, lui passa un collier de cuir, relié à une laisse et tira dessus pour l’emmener dehors, en plein soleil. Il attacha la laisse à une barrière devant la maison et lui dit :
– Bon, je te laisse essayer, j’espère que tu vas me montrer tes talents !
Il partit alors en courant à l’intérieur, la laissant dehors, au soleil, nue et toute mouillée. Elle dégoulinait sur le sol. Elle commença à essayer de se libérer, mais ce ne fut pas chose aisée. Sa condition, attachée dehors et nue l’excita au plus haut point. Si bien que quand Marc revint, elle n’était toujours pas libérée, avait séché grâce au soleil, mais pas partout…
Il lui demanda :
-Je vois que tu n’es toujours pas libre, mais ça n’a pas l’air de te déranger.
-Non, effectivement, je commence à me prendre au jeu. N’as-tu rien d’autre à me proposer ?
-Ah, ah ! Je vois que tu en redemandes ! Pourtant tu n’as pas gagné le jeu, ce n’est pas à toi de demander quelque chose.
-J’ai bien compris, reprit-elle en se mettant à genoux.
Elle se mit alors à lui lécher les bottes, en lui disant :
-Fais de moi ce que tu veux mon cher Marc, je suis à toi !
Il ne se fit pas prier, alla chercher du matériel. Il revint avec un bandeau noir et le lui mis sur les yeux. Il lui mit également un bâillon et après quelques caresses lui pénétra l’anus, elle toujours à genoux sur le sol. Ils jouirent ensemble, complices et heureux.
Marc voulut détacher Sarah, mais celle-ci lui dit :
-Ah non, je n’ai toujours pas réussi ! Laisse-moi y arriver.
Il s’en alla alors, lui laissant un doux baiser avant de partir. Elle se mit alors à la tâche, n’ayant pas forcément envie d’y arriver, le jeu étant si bon…
Amusant, sans plus