Paris Montparnasse par Jacques Compostelle

Paris Montparnasse
par Jacques Compostelle

Dans un sex-shop de la rue de la Gaieté.

J’ai choisi une cassette de pipes. J’aime voir des éjaculations, j’aime le regard des femmes à genoux, ces regards dirigés vers l’homme offrant sa bite, l’homme de qui bientôt jaillira la laitance…

Je suis dans une cabine, généralement la n°7, je suis nu, des pieds à la tête. Ma porte est ouverte au vu et au su du premier inconnu venu. Je débouche mon tube de gel lubrifiant, j’en mets une petite noisette sur mon index. Je pose mon pied droit sur l’étagère qui supporte le téléviseur, j’approche mon doigt de mon anus. J’enduis mon anneau en dessinant un mouvement circulaire. Mon dieu que cette zone est érogène. Ma bite encore molle mais grossissante trahit un début d’émotion. Je mets une noisette de gel à nouveau au bout de mon doigt. Cette fois je me l’enfonce dans l’anus en ayant soin de lubrifier profondément mon intimité. Je vais et je viens avec ce doigt à la dimension d’un petit pénis. Je l’agite en mon intérieur. Ma bite est maintenue fièrement dressée. Me voici prêt.

Je sors de la cabine… Léon tu es là, tu me souris. Tu as toujours cet air timide et réservé, l’atmosphère de ce lieu te dérange. Je te sens nerfs tendus. Je m’approche de toi et ‘offre ma queue à serrer en signe d’amitié. Ta main s’en empare. Tu me décalottes. Aussitôt tu me masturbes et me tire par la pine pour me faire venir dans ta cabine. Nous y sommes. Tu veux fermer la porte mais je la laisse entrebâillée pour être vu. Je veux aussi que si quelqu’un d’autre vienne tu puisses me voir m’exhiber, devant lui.

Tu es debout et baisse ton pantalon. Je me mets accroupi face à toi. Je fais glisser ton caleçon. Ton sexe encore petit et mou reflète ton malaise… Je vais remédier à cela. Je t’embrasse le gland, la hampe. Je passe ma langue sous ton prépuce… Mon dieu que c’est bon. De la main je te décalotte complètement et introduit ton gland dans ma bouche. L’obscénité de cet acte et la chaleur de ma langue font que ton gland durci petit à petit. Je le sens. Je te prends complètement. Je t’aspire. J’aspire très fort et tire sur ton sexe. Il s’allonge. Je l’agace avec ma langue le parcourant en tous sens. Je le sens qui gonfle en moi. Tu bandes. Tu bandes dans ma bouche. Moi en te faisant ces trucs je titille ma verge, mon espèce de gros clitobite. Tu es maintenant suffisamment dur pour que je puisse te pomper plus violemment. Ma tête va et vient sur ta queue. Je fais exprès de t’engloutir à fond de telle manière que tu viennes buter au plus profond de ma gorge. Le fond de ma bouche est pour toi comme un nouvel orifice à prendre. Je te garde enfoncé en moi jusqu’à ce que je sois obligé de respirer de nouveau. Alors je te retire, respire, embrasse ton gland, te lèche la hampe et les couilles. Et je te repompe, et, te replante à nouveau en moi. Tu pousses, tu pousses en me tenant la tête pour avancer encore plus loin dans mon larynx… C’est littéralement un viol… Des grognements sourds sortent de ma gorge. Est-ce du plaisir ou de la douleur ? Les deux ?

Tu pinces la pointe de mes seins. Je te susurre « plus fort, plus fort »… Ce raz de marée de sensations que je ressens dans mes tétons : Est-ce du plaisir ou de la douleur ? Les deux ?

Je me redresse abandonnant pour un instant ma fellation. Je te tourne le dos et love ta pine entre mes fesses. Je te la caresse avec mes deux hémisphères que je serre et que je desserre. Je te fais une cravate de notaire avec mon cul. Tu as l’air d’apprécier, humm… Tu continues à me torturer les tétons.

J’ouvre un sachet de préservatif. Tu as compris. Je déroule le caoutchouc le long de ta hampe. Je m’assure qu’il est bien positionné. Toujours dos face à toi je me mets en avant, jambes écartées. De ma main droite je dirige ta bite, la pose sur ma rondelle anale. Léon tu vas m’enculer. OUI !!! Je sens les petites pressions de ton gland sur mon anus. Tu y vas par petites secousses de tes hanches. Mon dieu je sens mon trou qui peu à peu s’ouvre, ton gland qui s’immisce millimètre par millimètre. Continue, je me retiens pour ne pas hurler comme une chienne en chaleur. Putain, je sens maintenant tout ton gland enfourré dans mon cul, mon pauvre petit anus. Ton gland dans mon anus. Je me resserre au maximum comme pour t’étouffer. Je me déhanche pour le cajoler. Et toi… Toi, mon dieu tu continue à progresser, tu continue tes coups de hanches, mon dieu ils se font de plus en plus violent, mon dieu tu entres en moi, tu m’encules, ce sont maintenant de véritables coups de boutoir, mon dieu j’ai toute ta bite en moi, je sens ton bassin contre mes fesses, tout mon corps est agité sous tes coups répétés. Ma grosse bite bat la cadence entre mes cuisses. Mon intimité anale me brûle, je suis déchiré, distendu, écartelé par ta chair conquérante.

Tu te retires brusquement, c’est pour moi une sensation d’une rare violence, une rare violence dans le plaisir. Et subitement tu te replantes en moi, puis te retires, et te replante à nouveau. Maintenant tu me pistonnes comme un beau diable, tu me besognes, tu me défonces, je te sens littéralement en transe. En transe je le suis également, tout mon corps, toute mon âme ne se réduisent plus qu’à ce temple du stupre profané qu’est devenu mon cul. Il faut que je t’arrête, il faut que tu viennes dans ma bouche. Comme je te sens au bord de l’extase, je te retire de mon fourreau anal. Je m’accroupi à nouveau. Mon dieu je dois faire très vite car je te sens sur le point de cracher ta jute, tu me le dis d’ailleurs. Je fais sauter la capote en vitesse et te reprends avec précipitation dans ma bouche. J’ai à peine le temps de te pomper une fois que je sens un flot de ton foutre m’envahir. Une giclée, deux giclées, trois giclées… Puis quelques spasmes qui se traduisent par quelques petites noisettes de sperme supplémentaires, d’ultimes petits grumeaux de ta semence. Je conserve ma bouche hermétiquement fermée autour de ta hampe pour ne rien perdre de ta liqueur de couilles… Je sens ta bite comblée qui commence à s’amollir… Je te retire doucement.

Je saisis ma bite qui est sur le point d’exploser, une simple pression un peu forte sur mon gland suffira à me faire cracher mon foutre. Toujours accroupi j’écarte bien mes jambes pour que tu puisses bien mater le spectacle que ma queue de salope va t’offrir. J’ouvre ma bouche afin que tu puisses voir la semence que tu y as déposée… Putain, cette vision t’excite, ton foutre dans ma bouche te rend fou. Tu te baisses et commence à me laper la langue pour récupérer ta jute… C’en est trop pour moi, trop de vice, trop d’obscénité, mon cul perforé en feu… Ta langue venant laper la mienne pour que tu avales ton jus, c’en est trop, sans même que j’ai à intervenir et au moment même où tu me repinces un téton, alors que je ne l’ai plus en main, ma bite est agitée d’un violent spasme, puis un autre, puis encore un autre et alors un formidable jet de foutre en jailli et va s’écraser sur le carrelage en un floc obscène, sonore et lubrique, puis c’est un deuxième jet, tout aussi puissant, puis un troisième… Je n’en peux plus… Je suis à toi, tu m’as pris…

J’en veux encore et encore….

J’en veux plein mon cul et plein ma bouche…

Je ne veux que me donner…

Jacques Compostelle

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Une réponse à Paris Montparnasse par Jacques Compostelle

  1. assurbanipal dit :

    L’hsostoire et (trop) classique. Le style lourd

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