Une douce surprise pour la Saint-Valentin
par Pacsou
J’avais passé toute la journée à faire du ski. J’étais épuisée, mais c’était le 14 février, et mes amies et moi avions prévu de nous retrouver, chez Ammy, vers les six heures du soir. Mon frère devait assurer mon transport ainsi que celui de ma meilleure amie Debby, mais ce soir là, une tempête de neige sévissait à l’extérieur et elle décida, comme ça, à la dernière minute, de rester à la maison. Je tenais à cette soirée et il était hors de question que je reste chez moi. C’est donc furieuse contre mon frère et armée de courage que je me rendis à l’arrêt d’autobus. Bien entendu, avec la température, je m’attendais bien à ce que les transports en commun ne soit pas à l’heure, mais tout de même, c’est aux alentours de cinq heures trente, que j’arrivai devant le bureau de Debby. Heureuses de nous voir, nous nous étreignirent, et ensemble nous nous dirigèrent chez Ammy parlant de tout et de rien.
Toute la soirée, Ammy, Alexandra, Marilyne, Debby et moi-même échangèrent des histoires sur nos vies, nos amours et nos chagrins. Minuit passé, nous décidâmes d’organiser la chambre de Nadia de façon à pouvoir accueillir cinq personnes. Nous étions couchées depuis à peine vingt minutes quand Ammy, Alexandra et Marilyne décidèrent d’aller manger un petit quelque chose à la cuisine. Je restai donc seule, dans la chambre avec ma meilleure amie, Debby. J’étais assise en indien le dos calé au mur. Couchée sur le dos, Deb avait la tête sur mes jambes. Tout en lui jouant dans les cheveux, Debby me racontait ses interminables échecs amoureux avec les hommes. Pleurant dans mes bras, j’essayai de la réconforter du mieux que je pouvais en la berçant. Il faisait noir et notre intimité était totale.
Tout à coup, je remarquai la proximité de sa bouche sur la mienne. Je n’avais qu’à entrouvrirent les lèvres pour l’embrasser. Ma tête tournait sous l’émotion et je n’arrivais pas à comprendre ce qui se passait.
– Que se passe-t-il ?, me dit-elle.
– Je ne sais pas…
J’avais une envie terrible de l’embrasser mais je n’osais agir. La peur et cette soudaine réalité me clouaient littéralement sur place.
– Promets-moi que ça ne changera rien entre nous ?, me demanda- t-elle.
-Je te le promets.
Tout doucement je posai mes lèvres sur les siennes, l’embrassant timidement, mais rapidement la passion eue le dessus sur nous deux. Elle glissa sa main sur ma nuque, m’amenant vers elle, me dominant. Notre baiser d’abord timide, devint rapidement furieux et impatient. Elle tournait et taquinait ma langue avec la sienne. Amoureusement, elle jouait dans mes cheveux.
Rapidement la fièvre s’emparait de nos deux corps. Mes mains jusque là immobiles se mirent à l’exploration de son corps sous son petit chemisier de nuit. Je caressais ses jolis seins fièrement dressés sous mes doux assauts. Un à un, je détachais les boutons de son pyjama. Je pris l’un de ses seins dans ma bouche et taquinai doucement son mamelon. Sa respiration s’accentua. Elle gémissait sourdement. Nerveusement, je fis glisser son string, prenant bien soins d’effleurer son sexe. Elle frissonna de plaisir.
Lentement, je descendis vers sa toison pubienne et gentiment je posai ma langue sur son clitoris. Surprise, elle sursauta et j’hésitai à continuer, mais rapidement elle s’empara de ma tête de ses deux mains et me dirigea là où quelques instants plutôt, j’avais posé ma langue. Je l’embrassais avec fougue encouragée par ses gémissements de plaisir. Tendrement, je pénétrai de mon doigt sa douce moiteur et doucement, je commençai un mouvement de va-et-vient. Elle se mit à bouger son bassin de plus en plus vite. Je sentais de plus en plus son désir longtemps refoulé. J’étais complètement trempée d’excitation devant ce spectacle grandiose. Elle était d’une beauté hallucinante, là, se mouvant sous mes doigts, au bord de la jouissance. Je décidai de la pénétrer d’un deuxième doigt. Elle m’enlaça, m’embrassa avec passion et là je sentis dans un ultime spasme, la jouissance prendre totalement possession de sont corps.
Elle retomba sur le dos et je me couchai à son côté, l’enlaça tout en l’embrassant. Je lui redonnais son string et son chemisier. Je boutonnai chaque bouton un à un avec grand soin. Je tirai la couverture sur nous, puis la prit dans mes bras où elle s’endormit juste après m’avoir chuchoté …
– Je t’aime…
Pacsou
Un peu de douceur dans ce monde de brute (je ne fais pas allusion au site)
Beaucoup de tendresse, ça change un peu des bites surdimensionnées et des saute-au-paf