Voilà mon histoire:
Je suis marié depuis dix ans avec Sandrine, une jolie petite blonde bien
sympathique, mais un peu coincée sexuellement. Je m’explique: il m’a fallu
trois ans de vie commune avant de bénéficier de ma première fellation.
D’abord discrète évidemment, mais de plus en plus poussée, avec le temps.
Quelques années plus tard, je fus autorisé à enculer ma dulcinée. Cela n’a
pas été facile: mais n’ayant pu la dépuceler, c’est de cette manière-là que
je dus m’imposer comme son premier homme. Du moins, le premier à ouvrir les
portes de son cul. Mais ce plaisir-là, je ne pouvais y goûter qu’en de rares
occasions, pour fêter dignement mon anniversaire par exemple.
Avec mon patron, cela nous faisait rire. Puisque discuter des histoires de
cul était l’une de nos occupations. C’est au cours d’un de ces moments de
rigolade, qu’André me fit effrontément le pari de baiser ma femme, puis de
l’enculer. Sachant qu’arriver à ce niveau m’avait personnellement pris 5
ans, c’est immédiatement que j’ai relevé ce pari:8000 euros si dans le mois
en cours, le cul de ma femme n’avait pas accueilli la bite de mon patron.
Mais je ne risquais rien: Sandrine était d’une fidélité absolue, ce dont
j’étais certain.
C’était en été, les clients du magasin ne se bousculaient plus à l’entrée.
Et la secrétaire et moi, nous nous retrouvions seuls pour fermer la
boutique. André n’y mettait les pieds qu’occasionnellement.
Pour tuer le temps, je déchargeais souvent dans l’accueillante bouche de la
secrétaire, une sale blondasse à lunettes, qui vouait pour le sperme une
passion sans limites. Parfois avec André, nous la prenions à deux, en
sandwich comme il disait, et nous finissions tous deux par nous délivrer
dans sa bouche. Ainsi peinte, elle semblait si heureuse, maculée de sperme
et de désirs satisfaits.
Le magasin fermé, la bite vidangée, je rentrais à la maison. Et quelle ne
fut ma surprise de surprendre André et Sandrine, à poils, Sandrine en
levrette, fesses écartées et comblées par la bite ruisselante d’André. Tout
en poursuivant ses va et vient dans le postérieur béant de Sandrine, il
m’annonça que je lui devait 8000 euros… Sandrine ne disait rien, honteuse
de ce qui se passait. Mais quand la bite salie d’André se présenta devant sa
bouche, elle réfréna un mouvement de recul. Tenue par les cheveux, elle ne
put qu’accepter le présent qui lui était fait. André éjacula grassement dans
la bouche de ma femme.
Comblé, il se tourna vers moi : Je viens d’enculer ta femme, tu me dois 8000
euros. Que fait-on ?
Furieux, je giflais Sandrine :
– Pourquoi, sale putain, me trahir ainsi ? Tu te fais enculer par le premier
venu ?
La gifle me revint dans la figure, par retour de manivelle :
– C’est parce que grâce à la webcam installée dans le magasin, j’ai pu me
masturber en regardant tes ébats avec ce vide-couilles qui te fait office de
secrétaire à lunettes.
J’étais abasourdi, cocu, ruiné, et désespéré
– Que fait-on maintenant ? Esquissai-je timidement.
C’est André qui prit la parole. Je viens, dit-il, d’asperger ta donzelle de
mon foutre. Je ne tiens pas à ton fric, puis que je pourrais me prétendre
satisfait. Je t’épargne donc tes 8000 euros, mais après avoir nické ta
gonzesse, c’est toi que je vais baiser: je pense, à juste titre, que vous
formez un couple de vrais putains.
Sur ce, il se présenta devant moi, en m’ordonnant:
A genoux. !
– Sandrine ! Dit-il alors. Montre à ton mari, comment on redresse la
situation.
La situation dont il parlait, c’était sa verge. En un tour de langue, elle
repris de la vigueur. Sandrine la présenta alors à ma bouche. Et André
l’introduisit vigoureusement. C’était la première fois que je faisais une
fellation. Cette bite qui raclait dans ma gorge était encore imprégnée des
sucs et des odeurs de ma femme. Mon excitation grandissait. Ma propre bite
désirait être satisfaite et je la sortis de son fourreau.
Sandrine me lécha l’anus, puis commença à le doigter, alors qu’André
poursuivait ses va et vient dans ma bouche.
Le moment était donc venu: mon propre cul fut ainsi dépucelé violemment.
André finit à son habitude, en éjaculant dans la bouche, la mienne plus
précisément.
Profondément excité, je suivis son exemple en jutant sur la figure
accueillante de Sandrine. Celle-ci m’embrassa alors. Deux spermes différents
se mélangeaient dans nos bouches respectives. Etrange situation, non?
Mais André n’était pas encore satisfait de notre humiliation: j’ai une
excellente idée dit-il, en prenant le téléphone: il appela tour à tour
quatre de ses amis, et leur annonça qu’une orgie était lancée, mais que l’on
manquait de partenaires.
Une demi-heure après, ils étaient tous réunis devant nous: André fit les
présentations. Et chaque bonjour était suivi d’une intense séance de
fellation.
Puis Sandrine et moi fûmes mis en levrette, mais en sens inverse. Et ce fut
alors une immense valse de bites, qui tournoyaient dans tous les sens, dans
tous nos trous. Chacun passait allègrement du cul de Sandrine à ma bouche,
de mes fesses définitivement ouvertes jusque dans la vulve de ma femme.
Tous cela finit par une douche de sperme. Du lait crémeux dégoulinait de nos
deux visages.
Comme c’est à genoux que nous prîmes notre douche, André eut l’idée stupide
de nous pisser dessus. La douche fut bien plus chaude, mais en vérité, aussi
délicieuse. Sandrine, à mes côtés, accueillait, bouche ouverte, le présent
qu’on lui faisait. Et je fus forcé de l’imiter.
Ainsi, vaincus, comblés, nous fumes libérés par nos bienfaiteurs.
Nous nous retrouvâmes seuls, tous nos trous avaient été méticuleusement
ouverts, engloutis dans un mélange de salive, de sperme, et de pisse.
Humiliés, mais heureux.
J’ai léché le sexe de Sandrine, le sperme qui y était encore emprisonné, se
déversa à gros flots dans ma bouche. Puis ma femme se mit alors à me pisser
dans la bouche. J’ai bu ce champagne de la réconciliation jusqu’à la lie.
Elle était si fière, de me pisser ainsi dessus.
– Heureuse, petite pute, me disait-elle. Oui, c’est vrai: étrange
expérience, mais j’étais heureux. !
C’est ainsi que commencèrent pour ma femme et moi-même, des années de
plaisir insoupçonnés jusque là.
Nous n’avions plus aucune fierté, et André nous offrit l’un comme l’autre à
tous ses amis. Ma femme et moi ne comptons plus maintenant le nombre de
bites sucées. Nos culs respectifs furent ouverts à toutes les propositions,
méthodiquement défoncés.
Avis aux amateurs.
C’est un peu comme au cinéma, il y a beau avoir les ingrédients, quand le scénario n’est pas bon, ça ne fonctionne pas !
Sucer des bites ! N’est-ce pas là le plus agréable des passe-temps ?
Improbable histoire mais très excitante et écriture sympa
C’est vraiment très bourrin!
Non, on ne tire pas une femme par les cheveux pour l’obliger à prendre le sperme en bouche ! On n’est pas des Cro-Magnon, que diable !
Non, une femme réservée n’accepte pas n’importe quoi avec un autre sous prétexte que le mari l’a fait cocu !
Non on ne devient pas bisexuel par enchantement !
Je suppose que l’auteur a bien dû s’exciter en écrivant ce récit.
Mais moi le lecteur, les énormités qu’il contient m’ont fait sortir du récit et je n’ai même pas bandé