Tant va le Temps…Tant va le Cul… 14 – Orgie… Satyre… dans tous les coins ! par Verdon

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 14 – Orgie… Satyre… dans tous les coins ! par Verdon

Si entre deux branlettes, vous avez perdu le fil de mes histoires précédentes, je m’en vais vous rappeler que notre ami Adrien qui était puceau au départ malgré bientôt ses 20 ans, s’est fait dépuceler par Louise, une bonne patiente de son père qui apprécie apparemment davantage les bons coups de queue du jeune homme, que les soins du toubib.

Boosté à l’action par ce dernier, Adrien réalise combien ce genre d’exercice peut lui apporter du bien-être de part et d’autre. Ça lui permet de confirmer ses bonnes aptitudes à flatter l’entre-jambes d’une Dame et de découvrir entre les siennes les mêmes émotions.

Inutile de vous dire que la pompe à garnements étant bien enclenchée, elle n’est pas près de se tarir. Notre fier à pine, ne se contente pas du cul de la Louise pour faire d’autres découvertes et bien des dames vont y passer, à commencer par Berthe, la seconde femme de son père ainsi que de nombreuses autres patientes qui sous prétexte de se faire soigner la rosette, accourent chez le bon proctologue. Mais en même temps que les bons soins de ce dernier, elles sollicitent les attentions de l’apprenti qui sous la conduite de son père, fait de jour en jour d’immenses progrès. Le jeune homme qui poursuit ses études de vétérinaire a le toupet de faire quelques analogies délicieusement grotesques, entre la croupe de ces Dames et celle de pouliches bien moins dociles. (Non ! Mais il faut le voir hennir notre pseudo étalon quand une de ces Dames, se pointe dans le cabinet médical !…).

Cependant les années passent et Adrien tout naturellement, vu ses études, fait son régiment dans la cavalerie. Bien sûr en bon citoyen, il accomplit son devoir comme les autres. Certes, il va en voir des vertes et des pas mûres notre soldat. À travers quelques bizutages encore en vogue à cette époque, il découvre des facettes de la vie en garnison, qui ne sont pas toujours très tendres (même que par la suite il aura quelques difficultés à aller aux tinettes).

Et par ailleurs en apprenant le métier, il va se surprendre à chanter en marchant au pas cadencé : une, deux, une, deux….

Il est ovale
Mon trou de balle
Il est ovale
Le trou de mon cul… Une, deux, une, deux…

Affranchi, il aura pas mal d’occasions de s’octroyer de bonnes parties entre ses potes et toutes les filles des bordels où ils vont traîner leurs guêtres.

Il est fier l’Adrien quand il parade avec sa troupe dans la ville en liesse, pour le défilé du 14 juillet. Droit comme une bite, sur la selle de son cheval et harnaché tel un hussard, il regarde du haut de l’animal les jolies femmes qui applaudissent et lui envoient des bises tout en ouvrant largement leur chemisier gonflé d’un éloquent poitrail. La soirée qui suit est merveilleuse, d’autant que ces filles avinées se lâchent sans complexe. Elles offrent bien plus que leur large poitrail dénudé, mais surtout le coin le plus secret de leur anatomie pour profiter de leurs belles dispositions, sans se faire engrosser.

Fini le régiment, le jeune homme décide d’aller faire un tour chez son père avant de retourner à ses études et ses occupations. Il en profite pour revoir sa chère et fameuse belle-mère qui lui manque depuis bien des mois et se promet de découvrir d’autres nouvelles et bonnes patientes qui gravitent autour de son père.

Il invite Hervé, un de ses bons copains de régiment, à se joindre à lui pour fêter ensemble ces retrouvailles.

– Tu verras, une sacrée gourmande qui adore les jeunes gens. Avec mon père, pas de problème, il te donnera un coup de main le vieux !

Vous pensez bien que le copain est enthousiaste à l’idée de rencontrer cette bonne famille qui ne semble pas s’encombrer de considérations incongrues, quant à un coup de main du papa, s’il s’en réfère à ce que lui a raconté Adrien, il n’y a là apparemment pas matière à l’inquiéter, bien au contraire.

Quand ils arrivent à destination, la maison leur semble déserte. Point de bruit, les volets sont baissés, la voiture du paternel n’est pas devant la porte. Il doit être en visite à domicile.

Ils frappent. Personne ne répond. Ils poussent la porte qui n’est pas verrouillée et pénètrent dans la salle de séjour. Au fond de la pièce, une porte entrebâillée donne accès à une chambre illuminée de soleil et dans laquelle il semble qu’il y ait une certaine agitation car quelques petits cris de réjouissance parviennent aux oreilles de nos deux visiteurs.

Surpris ils comprennent tout de suite qu’il se passe quelque chose de bien singulier en cet endroit et subrepticement ils s’approchent.

– Oh ! Vois-tu ce que je vois. Chuchote Adrien à son copain tout en mettant son doigt sur ses lèvres pour lui intimer l’ordre de faire silence.
– Putain ! Les conasses….oh ce cul !

Il cherche à s’avancer, mais Adrien le retient, et ils restent tous les deux-là, en silence pour admirer le joli spectacle.

Deux femmes sont là, allongées en 69 sur un lit sans bordures, en train de se gougnotter l’entre-jambes comme deux grosses cochonnes.

Le cul de l’une fait face aux regards de nos deux indiscrets qui serrés l’un contre l’autre n’en croient pas leurs mirettes. En dessous de ce superbe postérieur, une chevelure rouquine et bouclée, batifole un peu comme la tête de loup d’une ménagère qui ferait la poussière sous un punching-ball. Elle monte et elle descend entre les volumineuses cuisses qui la surplombent. A part les mèches rousses et la rondeur des fesses on ne voit pas grand-chose à vrai dire, si ce n’est que de temps en temps devant elle, ce dos qui se redresse laissant apparaître un râble bien lisse et épais, surmonté par des épaules robustes et une boule de chevelure plus claire.

– Humm ! c’est bon …continue…oui comme ça…oh que c’est bon ta langue ma chérie…
– Oui !….Ahhh !…Oui sur le cul !

Elles miaulent les gourmandes et poussent de petits cris en relevant la tête et en faisant trépider leurs jolis culs.

Subjugués par la scène les deux larrons sont prêts à sauter sur elles, mais respectueux ils ne bougent pas, attendant avec une impatiente fébrile, la suite des événements.

La dame du dessus se retourne et couchée sur le dos, elle reçoit la rouquine qui lui enfonce son visage dans le creux de son ventre et par la même occasion offre aux garçons la superbe expression d’un cul resplendissant de rondeur et d’insolence.

Trop occupées par leur jouissance et leurs gesticulations elles n’ont pas remarqué les deux jeunes qui les dévorent des yeux dans l’entrebâillement de la porte. Ils ne tiennent plus nos deux gars !

– Putain mais ce petit cul je le connais, réalise soudain Adrien…et cette chevelure rousse…mais oui, c’est celui d’Anita, la petite bonne qui, a vingt ans et plaît tellement à papa !
– Il a bon goût ton père !…Il partage ?
– Chut tt !

Il a chuchoté ces quelques mots à Hervé qui la braguette ouverte se tape déjà une sacrée branlette, décidé de partir à l’assaut d’un si joli petit trou qui scintille maintenant à 2 ou 3 mètres de son bout du nez.

– Ah que c’est bon !…s’écrie alors la soumise en écartant ses cuisses.

La soubrette plaquant son museau contre ce minou trempé de mouille lui lèche à grandes lapées la moelleuse muqueuse. Ce faisant elle redresse son petit cul qui se fend de toute sa profondeur laissant au grand jour et lumineuse, sa rondelle étoilée.

Il n’en faut pas plus pour qu’Hervé se redresse, mais rattrapé par Adrien, et le pantalon déjà sur les chevilles, ils basculent tous les deux et s’affalent au pied du lit de ces dames.

Voilà qui coupe court à la fougue des deux chaudes femelles.

Anita, ‘c’est donc bien elle’, affolée, s’entortille dans un drap et va se réfugier dans un coin de la pièce. La seconde femme se redresse sur le lit et là, Adrien reconnaît sa belle-mère.

Loin d’être effrayée, passé la surprise et l’étonnement elle est plutôt flattée de se trouver nez à nez avec son cher beau-fils accompagné d’un inconnu. Flagorneuse elle se rit de les voir gauchement se relever sans même cacher leur bite raide comme un bâton de berger (Ce n’est pas elle qui va se laisser démonter devant de telles dispositions !). Elle leur sourit.

Cependant elle va vite rejoindre la servante, la prend dans ses bras pour la rassurer et lui faire comprendre que c’est Adrien. Il est accompagné sans doute d’un copain de régiment. Elle peut lui faire confiance. Ils n’ont sûrement pas de mauvaises intentions…

– Regarde d’ailleurs, leurs superbes montures ! Ils n’ont pas l’air très méchants !…Qu’en dis-tu ?

Cajolée, le trouble passé, la jeune femme se trouve vite honorée par de si belles dispositions. C’est la première fois qu’elle se retrouve devant deux si jolies bites. Elle laisse tomber le drap et s’abandonne dans les bras de Berthe, peau contre peau en se bécotant voluptueusement.

Nos deux troublions ont tôt fait de se retrouver complétement à poils et collés, l’un et l’autre contre les fesses des deux femmes. Une pour chacun, ils les enserrent à tour de rôle et les pelotent comme on pétrit de la bonne pâte.

– Oh putain qu’elles sont bonnes !…Ah les Salopes…qu’il s’écrie l’invité.
– Voyons Messieurs !

Anita a déjà deux grosses bites dans les mains…

Sur ce, arrive notre cher monsieur Bytthedur de retour de cette tournée où il n’a pas dû s’ennuyer, au regard de sa braguette mal boutonnée et de ces tâches sur le bas de son froc. Mais qu’importe, lui aussi est très agréablement surpris par la présence de ces deux jeunes gens qui sont apparemment joliment disposés. Loin de s’inquiéter de la présence de ce nouveau venu, il se dit que finalement son fils sait se faire accompagner de personne de qualité.

Il va tout droit bécoter sa chère Anita en lui tapotant le cul…

– Eh bien ma chérie, je vois là des messieurs bien disposés à te gâter ton beau petit cul, je crois bien !
– Ah non ! Pas mon cul ! ils l’ont bien trop grosse, Monsieur…pas mon cul !
– Allons ne fait pas la mijaurée, il en a vu d’autres ton petit trou ! tu ne vas pas décevoir nos invités ?
– Non, je ne veux pas… j’ai le trou trop petit…! (non ! mais est-ce qu’elle l’a seulement déjà vu son p’tit trou, la grincheuse ! le bienfaiteur n’est-il pas mieux placé pour apprécier l’alésage?).
– Bon voilà qu’elle fait des simagrées ma sauterelle…eh bien pour aujourd’hui tu n’auras rien au cul…tant pis pour toi.
– Après tout, (il s’adresse au nouveau venu), je te conseille le cul de mon épouse, elle est bonne sais-tu, va s’y franco, tu ne perdras rien au change…je te parle en connaissance de la chose.
– Oh et pourquoi pas le tien…lui dit Berthe, avec un regard de louve en chaleur…
– Ok, ça lui fera un bonus, s’il te fait bien la chose et qu’il garde la forme. Mais voyons d’abord comment il va te bourrer, ma cochonne !
– Hi !.. .Hi…Chouette !…je veux voir cela, s’écrie Anita … la patronne et le patron … Quel festival !
– Petite garce…
– Chic ! Ajoute Berthe qui meurt d’envie de voir son mec se faire chahuter la rondelle ! Mais en attendant elle est déjà prête à se le faire mettre par un si beau jeune homme. Elle veut bien passer en premier pour profiter du beau membre au maximum de sa forme.

Vous pensez bien qu’il ne se le fait pas dire deux fois Hervé, d’autant que Berthe a déjà la croupe en l’air sur le bord du lit conjugal.

Depuis quelques années, elle a le cul qui s’est bien arrondi, la mature. Elle présente des chairs fermes et grasses et la raie du cul bien tranchée. Son anus encore tout brillant des dernières léchouilles que lui faisait sa boniche quelques minutes auparavant, semble s’entrouvrir tout seul tellement la salope désire se faire troncher (il y en a, comme ça, qui savent bien ce qu’elles veulent, les salopes !) par un inconnu devant son époux.

Anita qui se mêle toujours de tout, s’empresse d’aider à la manœuvre. A cheval sur le dos de sa maîtresse, elle lui écarte les fesses et saisissant le joli membre étranger, elle dépose le gland vermillon sur l’anus quémandeur. Hervé, d’un seul coup encule la bonne dame, ça pénètre comme dans une motte de beurre et malgré le poids de sa servante, elle fait des sauts de cabri et gémit.

Alors il y va l’inconnu. Il le fourre ce bon cul. Il entre, il ressort complétement, remet ça dans la petite ouverture ébahie, tout en bécotant Anita qui lui fait face. Elle s’amuse tellement à tapoter le cul de sa patronne qu’elle en finit par pisser sur son dos. La bonne pisse de la soubrette, s’engouffre dans la raie des fesses de Berthe et arrose le sexe d’Hervé. Ça facilite le passage du gros sexe et ça fait des « flocs, flocs !…et des prouts en série, comme une pétoire.

– Oh putain ! elle en veut la cochonne qu’il s’écrit le fouteur….Et tiens salope, prend cela, ouvre ton troufignon…tiens encore…
– Va s’y ! qu’elle ajoute la vicieuse soubrette…elle aime ça ma patronne !
– Oh oui, encore, encore…

Pour compléter le joli trio, Adrien qui n’est pas de reste, s’est agenouillé devant sa belle-meuf qui lui avale la pine comme chatte un gros rat. Et laissez-moi vous dire qu’elle en passe un goûteux moment la morfale. D’autant que son mari est entrain de lui courtiser le menton en joignant sa pine à celle de son fils, couilles contre couilles. Certes elle ne peut plus rien dire, mais elle fait déjà bien assez de bruit avec son cul, sans compter les cris de bonheur d’Hervé et les rires d’Anita qui sautille sur son dos.

Tout ce petit monde finit par se lâcher. Qui, jute grassement dans le cul de la mature, qui sert sa livrée dans le palais de sa belle doche et qui vide ses couilles sur le nez de l’épouse. La servante se prend sur les nichons, les humeurs laiteuses d’Hervé dont la pine merdeuse s’échappe du p’tit trou boudiné de la Berthe rassasiée.

Ouf ! Voilà un quinté qui n’a pas lésiné dans les détails…mes amis !

Berthe assise sur son cul (mais peut-on l’être ailleurs ?…) en travers du lit, ne sait plus trop où elle est. Elle ruisselle d’humeurs, bave, se passe la langue sur les lèvres. Anita qui s’essuie les nénés vient la réconforter, tandis que le fils et son paternel, satisfaits et fiers comme les machos qu’ils sont, se congratulent en se tripotant les couilles.

Il est fier de son rejeton le papa…

– Putain tu as un beau nœud, fiston !…

Mais Berthe qui finit par reprendre conscience et qui n’a pas perdu la mémoire, coupe court aux épanchements du paternel et se tournant vers Hervé :

-Eh, bonhomme ! Tu as une promesse à réaliser, il me semble ! Je te sens encore assez bien en forme pour dégommer le trou du cul du patron…regarde il n’est pas aussi beau que le mien mais il est bien charnu que je sache ! Fais-moi le plaisir de l’enculer à la hussarde !
– Holà ! pas comme ça, il a la bite un peu trop charbonneuse. Il faut montrer pine blanche pour entrer chez moi, jeune homme !
– Tiens va voir Anita…c’est une bonne ménagère et puis elle va te requinquer en même temps ma soubrette.
– Ah non s’écrie cette dernière…non Monsieur, il est tout sale !
– Comment ça, il est tout sale ? Mais voyons petite délicate, tu étais bien en train de le bouffer son cul à ta patronne quand je suis arrivé tout à l’heure…alors oserais-tu dire qu’il était dégoûtant le cul de mon épouse.
– Non Monsieur, je n’oserais pas. Il était très bon…un peu fort et piquant, mais très bon je vous l’avoue… et puis si parfumé et tout boudiné, un vrai plaisir Monsieur, vous le savez bien vous qui lui enfoncez la langue au plus profond du petit trou ! C’est elle qui me l’a dit…qu’est-ce qu’elle aime ça !
– Mais de quoi te mêles-tu, petite garce ? Alors ne néglige pas cette belle pine qui sort toute droite de ce bon cul. Regarde comme elle est si joliment laquée de bonne crème d’homme, agrémentée de quelques pépites de chocolat.

Elle ne se fait pas prier davantage la gourmande et goulûment la voilà qui absorbe le délicieux éclair au chocolat-vanille.

Ce qu’elle est charmante avec ce gros pénis qui lui transperce les babines juste au-dessous de son petit nez relevé.

– Oh oui, Monsieur vous avez bien raison…elle a le goût de votre Dame cette bonne pine !

Et elle s’acharne la chipie sur le beau muscle du garçon. Elle fait rouler sa langue sur la voilure du gland et glisser ses lèvres sur les veinures bleutées de la tige bien raide. Il bande dur Hervé. Les mains sur sa tête il lui baise à fond le gosier et elle roule des gros yeux tout blancs.

– Putain que tu suces bien !…
– Holà ! Doucement qu’il s’écrit Bytthedur, elle est bien bonne cette bite mais elle m’est réservée, alors tire-toi de là et passons aux choses sérieuses ! Monsieur notre invité c’est à vous de jouer !…

Aussi Hervé repousse-t-il sa suceuse qui dépitée reste à genoux devant lui la bouche ouverte, déçue de la tournure de l’événement.

Mais il sait bien jouer le pourfendeur…oh oui, comme il joue bien…

D’abord il fout au trou du cul du quémandeur, son index pointu et baveux de salive. Il sent de suite que ce n’est pas un cul douillet. C’est un habitué apparemment, un docile qui n’a pas peur du loup, loin de là… et s’il est un peu serré ce n’est pas de trouille, oh non c’est plutôt d’envie, de désir, de plaisir comme quand on resserre son cul après une bonne crotte (n’est-ce pas, vous qui vous y connaissez !…)…il s’ouvre.

En suçant son doigt, Hervé apprécie ce goût un peu âpre et sauvage de bouquetin en rut (mais dans quel trou du cul d’un bouquetin des Alpes, a-t-il bien pu mettre son nez, votre romancier, pour en connaître le goût !… il dérape c’est sûr !…), oui, bon en tout cas ça ne sent pas la savonnette mais le trou de l’ancien a ce fumet, ce piquant qui vous booste la libido et vous fait monter la biroute au plafond

Le gland fièrement empanaché d’une bonne noix de beurre (un cadeau d’Anita), Hervé cherche donc à engrosser notre ancien bien chanceux.

Anita (encore elle !) est là pour veiller à la manœuvre.

Les roustons dans une main, dans l’autre la tige, elle guide le maladroit trop pressé par l’envie. Hervé pousse un bon coup et… hop ! Le postulant est enculé !

Putain qu’il est heureux le brave homme ! Oh oui qu’il est heureux… enfin c’est surtout son épouse qui est heureuse. Elle jouit de le voir se faire sodomiser son pédé de mari.

– Hi ! Hi…c’est beau une queue dans ton cul mon chéri…hi, hi ! Dis-moi que c’est bon ma tapette ! Il te bourre bien fort ce cochon d’Hervé…et tu aimes ça, bien sûr ! Mais pourquoi fais-tu des grimaces ?…ça fait mal ?…mais non voyons, quelle idée…il fait cela si bien le pote à Adrien…Oh putain ta rondelle ! Oh si tu la voyais ta rondelle mon chéri…toute boudinée…il va te l’exploser le salaud…va s’y pousse mon garçon, c’est gratis !

Et bien sûr qu’il pousse Hervé. Certes ça n’a pas le moelleux de l’épouse, mais c’est quand même du serré, c’est ferme tout ça et puis c’est aussi du robuste. Ça résiste aux bons coups de boutoirs que lui adresse le jeune homme qui lui fourre son vireton jusqu’à la garde.

En levrette, il ne se sent pas très à l’aise l’enculé, alors il demande à Hervé de l’enfiler en missionnaire. Ce que fait volontiers ce dernier en le faisant basculer sur le dos. Ça a du charme comme cela. Avec les jambes grandes ouvertes, il se sent femme…et l’autre couché sur son ventre qui le bourre comme quand lui-même baise Berthe…et il lui mordille les tétés l’enfoiré…

– Aye, mes nichons !…
– Ta gueule !…

Et pour clôturer ses bavardages il te lui fait un de ces patins comme jamais on ne lui en a fait au cocu… il lui bouffe la langue !

– Putain mon cul et ma langue !… Si mes patientes me voyaient !…

Ensuite son fiston d’un côté, Anita de l’autre lui écartent les cuisses pour faciliter la tâche au bon ouvrier qui se l’encule de nouveau et lui vide ses couilles en poussant un grand cri de réjouissance.

Assise au-dessus de lui, en lui collant sa pacholle sur le bout du nez, Berthe avec beaucoup de charité se met à branler son chéri avec tant d’ardeur qu’il en bande le Monsieur et même éjacule dans tous les sens. Il y en a pour tout le monde. Il crache le bon jus sur son ventre et sur les seins des filles et le nez de son fils.

Ouf ! De nouveau c’est la pause. Chacun reprend ses aises et se détend.

Comme elle se doit, Anita reprend son ‘cher-vice’. Serviable et disciplinée c’est à grands coups de langue qu’elle écope la mayo sur les corps de ces messieurs, dames. Avec un gant de toilette humide, elle rafraîchit les visages, les lolos et la raie des fesses de chaque personnage, non sans insister, la friponne, sur certains petits trous un tant soit peu agréablement malmenés (elle a du doigté la soubrette !). Par retour de bonnes manières, quelques mains chapardeuses lui trouent le derrière ou lui pincent les fesses (infatigables ces cochons !).

Bon c’est fini, chacun en a eu pour son grade, il est temps maintenant d’aller se pomponner un peu et de mettre les pieds sous la table pour se refaire une santé et sabler le champagne.

Mais quel est ce chahut qu’on entend là-bas dans les toilettes.

Tout le monde accourt.

Mais c’est cette garce d’Anita qui hurle en se recevant une bonne trempe sûrement bien méritée sur son petit cul. Allongée en travers des genoux de Bytthedur qui est assis sur la cuvette des WC elle bat des jambes avec pourtant sur son visage, ce petit air pervers d’une insolente jouissance.

– Mais voyez-vous donc cette petite Salope qui cache son jeu en faisant la paresseuse !
– Ben non ! Ce n’est pas mon heure de service, qu’elle réplique en se recevant une tape supplémentaire sur son gélatineux.

Mais où n’a-t-on jamais vu cela !…une insolente ménagère se refuser de faire la poussière sur les miches de son bon patron !

Heureusement, un peu de mollesse sur les charmes de l’indocile, finit par la convaincre d’approprier l’anale cachotterie qui se doit d’être correctement briquée quand on a passé une soirée entre gens de bonne compagnie. Et tout un chacun de féliciter la cabotine et de lui proposer quelques gorgées de pipi pour se rincer la gorge, sans compter de bonnes coupes d’un bon Champagne que le patron a mis au frais et qu’apprécie particulièrement la douce personne.

Mais elle va être complétement pétée Anita, avant la fin de la soirée !…

…Non, non…ne craigniez rien…

On va aller la coucher la grande fille !
Euh !…Qui est-ce qui commence ?…..
Mais si je ne me trompe, Adrien n’a pas encore tiré son coup ce soir !…

01/03/2023

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *