Tant va le Temps…Tant va le Cul… 028 – Entre bons Amis… par Verdon

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 028 – Entre bons Amis… par Verdon

Juliette et Charles font partie de ces couples qui mènent apparemment une vie tranquille, dans un milieu serein, assez bourgeois, quelque peu conformiste (ça ne se disait pas à notre vieille époque), mais beaucoup hypocrite et en tous cas discret, chacun menant sa vie à l’ombre des feuillages qui encadrent leur pavillon de banlieue.

Lui je le connais depuis l’université. On s’est toujours très bien entendu. Souvent complices dans des petites parties coquines qui nous ont permis de mettre en valeur nos sens, notre sexualité et d’aiguiser notre esprit et notre appétit pour la recherche de bien des plaisirs soi-disant interdits.

On commence par nous-mêmes, profitant de certaines soirées dans un même lit, à se faire des tripotages qui n’ont rien de désagréable. On se trouve des dispositions communes pour partager mutuellement des galanteries qu’on croyait réservées qu’aux Dames.

Ensuite les filles viennent s’ajouter à nos plaisirs. De la jovialité, beaucoup d’espièglerie et bien sûr des corps de sirènes avec des seins voluptueux, des fesses chaudes et rebondies, et je ne vous dis pas la douceur de leur minou… quand elles veulent bien se faire baiser.

Comme tous les jeunes, on tombe amoureux de ces nymphettes. Ce qui n’arrange pas forcément les choses car parfois, les sentiments restreignent les plaisirs et des jalousies comme un virus, viennent au détriment de nos petites fantaisies dans le groupe.

Arrive le beau jour où, sollicités par des femmes plus âgées qui ont dépassé le temps des amourettes, on largue ces demoiselles. À leur foufoune acrimonieuse et à leur cul revêche, on préfère s’enfoncer dans la douce moiteur des chairs voluptueuses de ses Dames accomplies. Pour notre bonheur et pour les faire profiter de nos vigoureux équipements : mamans, belles-mamans, belles-sœurs, voisines de tous bords, les unes plus débridées que les autres, elles y passent toutes. Sans compter, parfois, leur bon cocu très content de se faire élargir la boutonnière par des jeunes gens.

Juliette, c’est Charles qui me la présente un jour, après avoir quelques temps caché ce trésor dont il était tombé amoureux et avec laquelle il se marie, affecté justement par cette fameuse bactérie sentimentale (dont je parle plus haut), qui nous a éloignés l’un de l’autre.

Je les retrouve quelques années plus tard au cours d’une rencontre fortuite, dans un grand magasin. Ils m’invitent chez eux pour fêter l’événement et c’est à ce moment-là que je fais bien connaissance de sa superbe épouse.

Brune, les cheveux longs, une taille moyenne, elle est très distinguée, porte des lunettes et son corps magnifiquement moulé dans une robe chatoyante, ajoute à sa beauté. Agrémentée d’un chaleureux sourire elle est rayonnante, légère et terriblement séduisante.

Elle est très belle, la trentaine mûrissante et de belle corpulence, c’est une jolie femme. Je me dis que Charles a fait le bon choix, et je l’en félicite. Mais j’avoue être un peu jaloux du bonheur que doit partager mon ami avec cette femme. Cette dernière m’inspire de l’attirance physique plus que du sentiment, d’autant qu’elle m’a éloigné de mon ami. (ben oui, je me dis : Quel beau cul ! Quel veinard !).

Mais passons. Je n’habite pas loin de chez eux. On se rencontre de nouveau. On sort un peu ensemble, l’amitié se forge entre nous comme avant mais avec une certaine retenue et de la discrétion par rapport à ce que l’on faisait avant. Ça pourrait indisposer son épouse qui me semble assez cul pincé.

Aussi vivent-ils apparemment, une vie assez classique, mais plate malheureusement

Cependant moi, je continue à courir un peu la prétentaine et à soulever des jupes ou à baisser des caleçons de ci, de là. Je n’en parle pas à Charles qui vit dans les nuages avec sa petite femme qui lui donne tout sauf la fantaisie et en particulier son cul !

Oh chocking ! Allez-vous me dire. Comment je sais cela ?

Eh bien, c’est lui qui m’en parle, un jour en aparté.

– Je suis heureux, me dit-il. J’ai tout ce qu’il faut à la maison. J’ai la plus belle femme du pays et j’en suis amoureux fou, mais voilà… il me manque quelque chose.
– Mais que te manque-t-il mon pauvre, qui puisse gêner ton bonheur ?
– Elle fait l’amour platoniquement, toujours sur le dos, a peur des jeux de bouche et surtout ne veut pas que je la sodomise. C’est du vice dit-elle… Je suis vicieux ? Te rends-tu compte… (oh ! si peu…je lui dis cela avec un sourire de circonstance…) et elle oublie la bagatelle…ma garce !
– Mais tu l’aimes, bon sang ! Elle t’adore. Vous faites souvent l’amour, alors le cul ! Eh bien le cul il faut savoir s’en passer en attendant qu’elle se soumette à de plus douces fantaisies, nom de dieu ! Et un Vicieux comme toi doit savoir s’y prendre pour l’amener à découvrir le plaisir anal ! Du tact et de la soumission et tu l’auras son petit trou, si elle le veut. Je ne connais de braves dames qui n’ai jamais tenté l’aventure, ni de messieurs qui ne se soit jamais trompé de trou…Hi, hi !
– Oui mais elle me dit que je l’ai trop grosse, que je suis une brute et que je vais la déchirer… et elle se refuse, ma salope ! Moi, je ne tiens plus en place, aussi de temps en temps je vais voir les Dames dévouées du ‘Tamarin’ ou même parfois les tapettes, chez Lulu… c’est tellement beau de voir sa bite forer un petit cul !… Le cul, depuis le temps où on forniquait ensemble, je ne peux plus m’en passer !
– Eh bien voilà une bonne façon de régler ton affaire. Il n’y a pas de mal à faire cela, si non le bien et le soulagement que tu en retires ! Tu as raison de te défouler avec des nanas bien disposées et tel que je te connais tu dois bien profiter de leurs accueillants postérieurs !
– Oui mais quand j’encule une Nénette, j’ai toujours l’image de Juliette dans ma tête, ça me perturbe, je n’en retire pas du profit.
– Même quand c’est avec un mec ?
– Moins, mais ce n’est pas aussi tendre ou bien c’est toi qui fais image !
– Ah ! Merci beaucoup pour la référence !… je t’en suis très reconnaissant bien que pas très impliqué sur le tas ! mais… bon conseil, je penserai à toi en de mêmes occasions… Hi !, hi !

J’ai bien compris que cette affaire de sodo allait empoisonner la vie de mon ami et commençait à dégrader la bonne entente de ce couple. Etant vraiment peiné pour Charlot, j’engage une conversation sérieuse avec lui pour savoir comment sauver son couple en amenant l’un ou l’autre à une solution qui leur convienne.

Finalement n’ayant abouti à aucune décision, je lui propose d’en parler seul à seul avec sa Juliette et d’essayer de lui faire comprendre le désarroi de son homme, en cherchant une solution avec elle. (Bof et puis après tout si ça ne marche pas je pourrais toujours me la sauter la grincheuse…hi ! hi !…je suis un vrai salaud quand même, n’est-ce pas ?).

– Il faut la dégourdir, que je lui dis.
– Oui, me dit-il. Il n’y a que toi pour le faire, je connais tes talents (eh bien en voilà des flatteries qui me touchent !… et pour cause…). Ça tombe bien, dans un mois je pars une semaine à l’étranger, pour mon travail. Je te laisse les clés de la maison et mon épouse à l’intérieur. Elle est à ta disposition et je compte sur toi pour utiliser tous les moyens possibles pour la convertir, l’éduquer et lui apprendre l’amour charnel comme nous le pratiquions si souvent il y a quelques années. Je veux retrouver une poupée vicieuse à mon retour et je t’en récompenserais vivement (ben oui je le vois où il veut en venir dans ses remerciements…le bon salaud !).

Mais il est fou mon Charlot ! Il déraille ! Vous rendez-vous compte : m’offrir sa Belle en paquet cadeau ! Il a perdu la tête ! Et moi, je ne vais quand même pas abuser de son épouse ! Je ne peux pas faire ça !

Quoi que ! C’est pour lui rendre service, après tout… je ne vais pas le laisser dans son marasme le chéri… allons, un peu de courage. Je sens que je vais me dévouer, n’est-ce pas là, une véritable entraide pour le bien d’un copain…

Mais quand même, il va me falloir faire don de mon corps pour sauver son mariage !

(… et puis zut ! n’est-elle pas cul mettable sa chérie ? elle n’a pas encore compris la valeur de son capital amoureux la chochotte… les filles c’est comme ça, elles manquent d’éducation : ça remue le cul mais ça ne sait pas ouvrir les fesses… .Oups !…enfin certaines…).

Bon, me connaissant vous savez bien que je ne vais pas résister longtemps. Je suis un homme faible, n’est-ce pas ?…Alors, allons-y. (et vous qu’auriez-vous fait, bande de petits hypocrites !).

C’est ainsi que ce samedi matin je me présente chez Juliette, un bouquet à la main, le sourire charmant et l’œil peut-être un peu coquin.

C’est dans le début de la matinée. Un peu tôt vous allez me dire.

Non, pas du tout, c’est exprès. Les Dames au réveil, c’est là qu’elles sont le plus naturelles et le plus malléables. Pas de maquillage, aucun chichi, la coiffure libérée et bien souvent les seins en vadrouille sous une robe de chambre mal ajustée et légèrement ouverte, laissant apparaître des commissures profondes tout en haut, ou bien un entrechat délictueux entre des genoux graciles et ravis de prendre un peu le large en se ballottant l’un contre l’autre, sous des envies pressantes et des yeux intéressés.

Et puis il y a surtout ces bouffées intempestives de parfums qui s’exhalent de l’entrebâillement imprudent d’une gorge voluptueuse ! Ou ce merveilleux fumet de ce jus qui bouillonne entre les cuisses d’une femme au saut du lit. Des volutes d’effluves d’humeurs, de sueur, de pisse et d’autres petites odeurs plus ou moins agressives de femme qui se néglige. Ce sont de véritables aphrodisiaques qui vous embaument les narines et font bouillir votre bas-ventre.

Et si vous avez la chance ou le toupet d’arriver juste après le départ de son cher cocu (ou bien de son amant…hi, hi !), vous vous réjouissez en plus, de sa petite mine fatiguée mais repue. Vous découvrez ses joues pâles, ses petits yeux éperdus, ses lèvres meurtries et ce mélange d’odeur mâle et femelle qui embaume la peau satinée de son corps. Sans parler de ces quelques séquelles outrageuses qu’elle a du mal à camoufler et qui restent encore accrochées à sa chevelure ou qui dégoulinent sur la face intérieure de ses cuisses brûlantes…

Encore éperdue par la violence de ses derniers ébats, elle a du mal à resserrer son trou du cul et continue ses rêves de jouissance illimitée, de dominations vigoureuses, de soumissions bestiales, livrée à la voracité de plusieurs mâles déchaînés.

C’est souvent le moment de l’achever, là, tant elle vous désire et avant qu’elle ne sorte de ses rêves, allongée et comblée sur son lit, bras en croix, souriante et le ventre maculé de vos délicieuses outrances.

C’est beau une femme satisfaite… (c’est chaud, plat et délicieux comme une pomme rainette qu’on sort du four!).

C’est à peu près dans cette configuration que je la trouve quand elle m’ouvre sa porte la Juliette. Elle m’accueille avec un immense sourire au-dessus d’un décolleté à faire fondre une barre de glace. Ses pieds sont nus et sa robe de chambre entrouverte.

On se connaît déjà, donc on s’embrasse gentiment, je la serre dans mes bras, elle recherche mes lèvres et colle son ventre contre le mien. (il a raison le Charlot : c’est une garce sûrement, car je ressens bien un soupçon de salope sur les bord des lèvres de sa chérie !).

Elle n’est pas de bois. Elle se joue de Charles mais n’hésite pas à m’aguicher, la chipie. Il faut que je me méfie. Je suis là pour accomplir un bienfait, alors soyons sérieux, commençons par le début. Chacun à sa place.

Pour une fois je vais déroger à mes habitudes. Je la sens nerveuse, attentive. Charles l’a prévenue que je lui rendrai des visites de courtoisies pour savoir si tout allait bien et qu’elle n’avait besoin de rien. Comme un simple rapport de bon voisinage, en somme.

Donc, d’après l’empressement de ses lèvres, je sens qu’elle s’attend à autre chose. Elle est impatiente. Ce n’est pas le moment de faiblir. Elle n’est pas froide du tout, je sens qu’elle languit. Eh bien on ne va pas se précipiter ma Belle.

Elle perçoit ma retenue. Elle s’incline, passe à autre chose. Elle m’offre un café dans la salle de séjour et va dans sa chambre se rhabiller. Elle revient assagie, comme la bonne et honnête ménagère qu’elle est… elle s’assoit les jambes écartées. J’ai un sourire insidieux, elle resserre aussitôt ses genoux et attend béatement mes paroles. (c’est déjà un petit signe d’obéissance. Je trépigne…j’ai marqué un premier point.)

Je commence par m’excuser de venir si tôt. Puis je la flatte sur sa tenue sur l’agencement de sa maison, sur sa gentillesse, on parle de la pluie et du beau temps… et puis on en vient à parler du mari, de son absence, de la difficulté d’être toute seule…

– Il doit te manquer Charles ?
– Oh oui, je suis trop seule, merci d’être venu, il me manque beaucoup…

Elle a des larmes aux bords des paupières.

Je la cajole un peu pour la consoler, elle se glisse contre ma poitrine et me réclame un petit bisou sur la joue. Je lui donne en lui disant que Charles aussi doit se sentir seul…

– Il t’aime beaucoup, il voudrait être contre toi ! il voudrait te faire un gros amour, un tas de choses, des fantaisies coquines qu’il aimerait partager avec toi.
– Oh mais c’est un dégueulasse.. .des petites fantaisies !… tu crois toi ?, non, il veut me maltraiter… faire des choses sales !
– Ben voyons, en amour il n’y a rien de sale. Que des bonnes choses, des douceurs des creux, des bosses, de la vivacité, un peu d’aveuglement, un partage avec beaucoup de finesse !
– Parle-moi de finesse ! Avec lui c’est plutôt l’inverse ! il faut le voir quand il me baise en me bousculant comme un sac de pomme de terre !
– Oh oui j’aimerais voir !…. Oups !
– Cochon !
– Pardonne-moi, mais l’amour c’est cela, ma Belle…’est cochon !
– Ne me dit pas que tu es comme lui !.. .non mais je vous soupçonne tous les deux d’avoir fait ensemble des choses pas très nettes, il me semble !
– Oh ! si peu, si peu. On aime la nature, c’est tout.
– Eh bien dans la nature il y a des cochons… ce sont des mecs pas propres. Moi je n’aime pas les cochons !
– Allons donc je suis sûr que tu aimes le jambon.
– Oui, mais ça n’a rien à voir…
– Ben si, que je lui dis en lui tapotant l’arrière-train !

Mais c’est qu’elle réagit bien la gonzesse ! Elle ne fait plus la chochotte, bien au contraire elle me le tend son popotin elle le courbe même un peu facilement… alors je lui mets une bonne seconde tape, et ça l’amuse.

– Toi t’es un bon cochon me dit-elle sournoisement… ah quelle chipie !

Alors je lui soulève la jupe… elle n’a pas de culotte la ‘voyouse’… je la penche sur mes genoux et elle a droit à une bonne petite fessée de courtoisie qui tant l’amuse qu’elle en pisse sur mon pantalon la vilaine…

Ah si je m’attendais à cela !

Du coup c’est une bonne tripotée que je lui fous, jusqu’à ce qu’elle couine comme une chatte en chaleur et que ses fesses rougissent comme des pommes mûres.

– Maintenant tu me retires mon froc, tu le sèches et tu le repasses.
Quitte ta jupe, je veux te voir évoluer le cul nu et gare à tes fesses si tu n’obéis pas.
– Oh pas le cul nu…j’ai honte !
– Vlan ! Tu en veux d’autres ?

Ouah ! Elle n’en mène pas large la petite garce ! Elle file droit et il faut la voir s’activer à remettre en ordre mon falzar tout en serrant ses fesses et en me jetant des œillades plus curieuses qu’effrayées (c’est du lard ou du cochon ?…je crois qu’elle aime les deux !), elle remue son petit cul écarlate d’une façon diabolique !

Ensuite elle me remonte mon pantalon comme une soubrette bien éduquée, (voilà un nouveau point de marqué…je sens qu’elle va vite se faire docile la nana de Charlot !).

Putain ! Elle en profite pour plonger sa main dans mon caleçon la salope et me saisit le sexe !

Je cherche à lui faire lâcher prise. Ma pine sous la pression de sa main chaude se prend une telle érection, qu’avant que je puisse la libérer, elle te lui envoie en pleine figure une sacrée purée de pois qui la laisse pantoise, la Juliette !

Ah ! La salope ! Elle a osé… mais de quel droit se croit-elle autorisée à se servir directement dans la soupière l’impolie ! Voilà qui mérite une bonne correction, me semble-t-il.

Je me redresse, je saisi ma ceinture qu’elle n’a pas eue le temps de rattacher. Je la prends à bras le corps la vilaine, pour lui flageller son beau petit cul … oh qu’il est beau son petit cul qu’elle remue en cherchant à s’esquiver.

– Oh non ! Aïe !… Pas la ceinture… ça fait mal… ce n’est pas bien !…
– Comment ce n’est pas bien ? Et qui est-ce qui s’est mal comporté ? Qui est-ce qui a oublié son petit mari qui souffre de solitude loin de sa Chérie qui veut le tromper avec son plus cher ami !… Eh bien voilà qui mérite une bonne fessée…
– Oh oui c’est moi… tu as raison … punit moi, je le mérite !… mais pas avec la ceinture !

Aussi je pose la ceinture (je ne suis pas un sauvage !) et avec vigueur je lui tambourine le derrière en descendant bien, jusqu’en bas à la commissure des cuisses, là où se cache son beau petit trou qu’elle ne veut pas offrir à son homme. Et vlan, de bons petits soins qui vont lui assouplir le bel endroit, j’en suis sûr… il va être content le Charlot !

– Tiens ! Salope, Putain d’infidèle, tu vas voir ce qu’il va te faire ton mec quand il va revenir avec les couillons trop plein !…

Finalement, feignant l’indifférence et sans l’embrasser, je quitte fièrement la maison sous son regard décontenancé et soumis. Je remarque qu’elle porte ses mains sur son visage, l’essuie avec ses doigts. Elle lèche langoureusement la bonne crème que j’y ai déposée et dans ses yeux je crois déceler un délicieux regard d’envie et une complaisante soumission…

Debout devant moi, dans l’entrée, les jambes écartées, le con broussailleux entrouvert et luisant de mouille, elle me regarde partir avec regrets…
putain qu’elle est belle !

– A la prochaine, poufiasse !… je t’en ferais manger du cochon !

Et je me tire, fanfaron mais terriblement décontenancé dès que je suis dehors… (merde ! que je suis con… elle avait pourtant la main chaude et un putain de cul !… Bon mais j’espère qu’elle aura compris la leçon, cette pétasse !).

Troublé par la façon dont s’est finie cette première rencontre avec Juliette, je suis un peu déboussolé, contrarié je marche au hasard, puis je me décide d’aller voir la Rosette. Elle n’est pas très jolie cette dernière, mais elle est très rigolote et de plus elle a de beaux abats qui vont me permettre d’oublier mes soucis en décompressant mes roustons.

Manque de pot, la place est prise. On est au milieu de l’après-midi et elle reçoit cinq mecs, rien que ça…

– Viens, je t’invite gratis, tu feras le sixième… j’ai besoin de fraîcheur… ils sont complétement vides ses cons là…

Elle me dit cela tout en me fourrant sa main dans la braguette… ( toutes les mêmes ces vicieuses… de suite la main au panier !).

Elle a ouvert la porte du séjour, ils sont tous avachis les uns sur les autres, pas un qui bande. Je n’ai pas envie de faire le lèchefrite toute la soirée…

– Alors bonsoir, ma Belle, je vais voir ailleurs.
– Oh tu sais je te retiendrais bien pour ce soir, mon choux, j’ai le cul en chou-fleur !
– Je te comprends, on l’aurait à moins que ça…
– Un peu de vaseline et ça ira mieux demain…
– Et si tu me lèches un peu la rosette !…

Alors je me dévoue, une fois de plus. Je lui enfourne ma langue dans son trou de balle farci à la crème d’hommes comme un coq en pâte et un doigt dans sa chatte je la fais jouir comme une midinette !

Et mission terminée…

– Tu es la meilleure ! …by, by.

Bon, c’est la guigne aujourd’hui, moi je n’ai pas joui. Aussi, rentré chez moi et je m’installe dans la baignoire pour prendre un bain chaud tout en me branlant… Ah ! La veuve poignet elle est toujours de bon secours !

Je repense au cul de Juliette. Quelle occasion manquée ! Mais non elle est à Charlot, je ne peux pas lui faire ça… Je lui réserve, j’ai le devoir de l’éduquer (un beau métier !…). Je vais lui faire découvrir l’amour sauvage.

D’ailleurs Charlot, il faut que je vous dise,…

Eh bien il n’est jamais parti à l’étranger !…

Non, il se prend des jours de détente dans un quartier voisin, près de la mer. Ça lui permet de rencontrer des filles ou des gars bien disposés à lui rendre les services que son épouse ne lui rend pas, le salaud ! Et il y va de la quéquette et du trou de balle l’insatiable. Même qu’il en redemande encore quand je vais le retrouver tous les soirs pour lui raconter l’avancement de mes travaux d’entretien sur le dos de son épouse, ça l’excite, ça l’excite… et à tous les deux, on en fait plus que la Rosette avec ses cinq tantouzes réunies !

– Alors tu lui as foutu une trempe à ma garce …
– Ben oui, la salope, elle m’a pissé dessus !
– Pourtant je t’ai vu mettre le nez sous des fontaines beaucoup moins jolies que celle-ci et tu avais l’air d’apprécier, il me semble…
– Oui mais ce n’était pas le moment… sur mon froc tout neuf, bon sang ! et puis le respect dit-donc… on ne pisse pas sur un honnête ami qui vous cajole le popotin pour vous entretenir son délicieux sourire naturel… nom d’un chien !
– Tu as eu raison, je te comprends, elle a besoin d’une sérieuse éducation…vas-y , tu as carte blanche, il te faut la dresser, me la rendre bien souple, aguerrie et bonne salope… avec gentillesse et beaucoup d’amour évidemment. Je te fais confiance…

Donc voilà, tous les soirs on se retrouve. Il me torture le sagouin avec toutes ses questions sur l’avancement de mes travaux avec sa poupée. Est-ce qu’il lui manque ? Tu la touches ? Est-elle vicieuse, tu lui mets la main au cul ?… Elle mouille ?… Il veut tout savoir ! Eh bien attends, tu le sauras la prochaine fois, vicieux impatient !

Et lui il me raconte ce qu’il fait de ses soirées, en attendant que sa Belle se dégourdisse.

– Hier soir je me suis dégotté un vieux pépé moustachu… Oh le con comme il suçait bien le routard nom de dieu ! Et avec ses broussailleuses sous son nez si tu savais combien il m’a bien chatouillé le trou de balle !…
– Bon ! Couillon, tu vois bien qu’on bande comme des porcs, avec tout ça!

Finalement on se couche, nus et durs, côte à côte, Humm ça excite !…

Fatalement, au petit matin on se réveille avec la bouche pâteuse et le cul bien graissé…
Bon sous la douche ça ne paraît plus, par contre côté burnes…

– Putain on en a de belles ! qu’on s’écrie tous les deux en se tapant sur le ventre…

À bientôt les amis…il y a une coquine qui m’attend !…………

03/11/2023

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Une réponse à Tant va le Temps…Tant va le Cul… 028 – Entre bons Amis… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Encore un délicieux délire ne l’ami Veron qui se conclue en apothéose comme sur la photo. Ah, tenir une bonne bite dans la main, prélude è tant de folies !

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