Chanette 33 – L’escroc de Bourges 6 – Tripotages automobiles

Sylvana est arrivé à 11 heures à Bourges, elle téléphone à Max qui lui précise l’emplacement de sa voiture.
Elle trouve facilement et Max l’invite à monter à ses côtés.
– Je suppose que Madame D’Esde vous a tout expliqué. Commence Sylvana.
– Elle a juste oublié de me préciser que vous étiez charmante !
– Vous n’allez pas me draguer, tout de même ?
– Ce n’est pas l’envie qui m’en manque, mais nous ne sommes pas là pour ça !
– Certes, mais dites-moi, nous allons collaborer de quelle façon ?
– On verra, mais disons qu’il y a des choses qui sont plus faciles à faire à deux que tout seul.
– D’accord, mais vous avez un plan ?
– En gros, le coincer quelque part et exiger qu’il restitue l’argent.
– Mais il va le restituer comment ?
– Je n’hésiterais pas à employer des méthodes que la morale réprouve.
– Au moins c’est clair.
– J’espère qu’il n’a pas quitté l’hôtel, j’ai fait une belle connerie hier soir (il raconte)
Bref ils papotent, puis un moment Max demande à Sylvana si ça ne la dérangerait pas d’aller acheter des sandwichs et de la bière.
– Attendez, je vais vous donner des sous…
– On verra ça plus tard !
Ils dévorent le casse-croûte en parlant (la bouche pleine) de banalités.
– Ça vous dérange si je fais un petit roupillon ? demande Sylvana.
– Mais je vous en prie, roupillez ma chère !
Et Max se retrouve seul à surveiller l’entrée de l’hôtel où rien ne se passe.
Vers 14 heures la donzelle consent enfin à se réveiller.
– Oh là là, j’ai dormi longtemps ?
– Pas mal, oui.
– Je n’ai pas ronflé ?
– Non vous êtes très belle quand vous dormez !
– Allons bon !
– Si, si ! Mais j’ai un truc un peu délicat à vous demander ?
– Dites !
– Quand il va sortir, il ne faut pas qu’il se doute de quelque chose, alors à ce moment-là, ce qui serait bien c’est de jouer aux amoureux en se serrant tendrement l’un contre l’autre. Suggère Max sérieux comme un pape.
– Vous croyez vraiment ?
– Ce n’est qu’une suggestion !
– Si c’est pour la bonne cause…
– Bien sûr ! Euh… Si on faisait une petite répétition, juste pour voir si on est au point.
– Vous êtes gonflé quand même !
– Alors tant pis pas de répétition, ça aurait été mieux, mais je n’aurais pas la lourdeur d’insister.
– J’ai dit que vous étiez gonflé, mais je n’ai pas dit non !
– Alors allons-y !
Alors ils s’enlacent, Max approche sa bouche de celle de Sylvana qui ne refuse pas ce baiser, elle aurait même tendance à en redemander.
Les mains se font baladeuses, celles de Max sur les seins de la femme, et les mains de celle-ci sur la braguette de l’homme.
– On fait pas les cons, hein, on continue à surveiller l’entrée de l’hôtel d’un œil ! Tient à préciser Max.
– Surveille, surveille, c’est toi qui est du bon côté !
Et Silvana dézippe la fermeture éclair, s’en va fouiller à l’intérieur du pantalon, écarte le slip et sort la bite de Max toute bandée.
– Oh ! La jolie quéquette que voilà ! Mais veut-tu laisser mes tétons tranquilles !
– Ah bon ! Tu n’aimes pas ?
– Si, si ! Mais c’est pas ça !
– C’est quoi alors ?
– Si tu m’excites trop, je vais mouiller ma culotte !
– Je t’en achèterais une neuve, il y a une boutique de fringues 100 mètres plus loin.
– Alors ça va ! Attention je vais me baisser !
– Pourquoi ? T’as perdu quelque chose ?
– Non, Mais pour sucer, c’est plus pratique !
Que voulez-vous répondre à ça ?
Et Sylvana se penche pour gober l’organe viril de Max Minet… et elle fait ça comme une cheffe, usant de ses lèvres et de sa langue, pressant les couilles de la main…
– Je vais… balbutie l’homme
– Je sais, je gère !
La bite tressaute dans le palais de Sylvana, elle laisse faire, avale tout et ne relâche l’organe qu’après un dernier nettoyage.
– Wh ! T’est une bonne suceuse !
– T’as vu, hein ! Le souci, c’est que je ne suis pas rassasiée ! T’aurais pas un gode ?
– Ben non, je n’ai pas de gode dans ma voiture !
– C’est pas bien !
– T’avais qu’à en emporter un, toi !
– Bon je vais me palucher, caresse-moi pendant ce temps-là !
Sa main droite revient sur le téton gauche de la fausse blonde… Mais que fait donc la main gauche ? Celle-ci s’est débrouillé pour aller s’égarer du côté des fesses et plus précisément entre les fesses. Que voulez-vous ? Il adore, ça, Max, doigter les trous du cul !
Et après que la belle eut joui en évitant de faire trop de raffut, les deux amants s’embrassèrent tendrement.
– Reste à surveiller, je vais aller t’acheter une culotte, je prends quelle taille ?
– Du L.
La journée se passe, Max meuble la conversation en relatant (et en les enjolivant honteusement) ses exploits. Sylvana n’est pas dupe mais apprécie les talents de conteur de son interlocuteur.
– Si on est obligé de le suivre à pied, il ne faudrait pas qu’il te reconnaisse, va donc acheter un grand chapeau et des lunettes noires, je t’attends.
– Oui chef ! Et je vais en profiter pour m’acheter un eskimo.
– Ah, t’as encore faim ?
– Non, mais j’aime bien sucer !
– Ah ! Alors prend en un aussi pour moi !
– Ah ?
– Ben quoi ?
Et le temps continue de s’écouler…
– Il est 19 heures, hier il est sorti à 19 h 30, on ouvre l’œil !
A suivre
Spermophilie, doigtage anal féminin,