Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 10 – Le donjon de la baronne

Vendredi 25 avril.
– Non, non ! Explique le maire ! L’autrefois je vous ai accordé l’autorisation parce qu’il s’agissait d’une porte blindée qui ne faisait pas vraiment partie de l’église, mais là si on vous voit avec un serrurier tripoter l’entrée principale, je vais me faire allumer par l’opposition municipale. Et ce n’est pas la peine de me montrer vos nichons, sur ce coup je serais inflexible.
Dépitée, Jodie téléphone à la préfecture, après avoir raconté son histoire à quatre interlocuteurs différents et avoir supporté un temps d’attente interminable, un peigne cul lui répond.
– Monsieur le préfet ne peut accéder à votre demande, il est néanmoins disposé à motiver son refus auprès de votre ministère.
– Et là tout de suite, vous ne pouvez pas motiver ?
– Non, Madame, aurevoir, Madame !
« Bon c’est foutu, je n’en mourrais pas, sauf que s’il y vraiment un trésor, il va me passer sous le nez ! »
– On considère que ma mission est terminée, alors ? Demande Béatrice.
– On laisse passer la journée, on ne sait jamais, l’esprit d’escalier fera peut-être changer le maire d’avis… Et toi, Valentine ?
– Je vais faire comme vous, je partirais demain matin
Matteo et Augusto en ont marre. Il se sont pointés devant l’église fermée et tente d’obtenir des renseignements auprès de quelques paroissiennes qui tentent en vain d’y rentrer… Mais personne ne semble savoir ce qui se passe.
– On ne peut pas entrer dans l’église ! On ne peut pas passer par derrière ! On fait quoi ? On se barre ? Se désole Augusto.
– Et cet Igor qui devait nous rappeler, il a mon numéro, mais je n’ai pas le sien…
– On n’est plus un jour près, mais j’y crois plus trop à cette affaire.
Les trois femmes dinent ensemble. L’ambiance n’est pas vraiment à la fête, ce n’est pas toujours facile de digérer un échec, cela vaut surtout pour Jodie et Valentine. Béatrice pour sa part s’en fout un peu, elle n’a aucun intérêt personnel dans cette affaire et n’est là que pour remplir son contrat.
Chacune monte ensuite dans sa chambre…
Vers 22 heures, Valentine se rend compte qu’elle n’a plus de cigarettes. Elle descend donc et profite de la fraicheur de cette belle nuit…
Pour se rendre au café-tabac il faut passer derrière l’église. Et là elle aperçoit devant la porte blindée un petit groupe de sept ou huit personnes plutôt bien habillées… Et dans ce groupe, elle reconnait Igor.
« Mais qu’est-ce qu’ils foutent ? Ah on dirait qu’ils attendent quelqu’un pour rentrer ! Mais ils vont faire quoi là-dedans ? C’est peut-être une secte ou un groupuscule de je sais pas quoi ? Il y a même un chien… Je fais quoi, je préviens les collègues ? »
Elle n’arrive pas à se décider, et décide de jouer aux connes. Elle s’approche du groupe et gratifie les gens d’un grand bonjour…
Igor qui est aux côtés de la baronne lui souffle à l’oreille.
– C’est une copine de l’emmerdeuse de Paris, faites gaffe !
– O.K, on va bien s’amuser.
La baronne s’approche de Valentine :
– Ah ! Vous êtes Erika, je suppose ?
« Elle me prend pour une autre, jouons le jeu… »
– Eh oui !
– Je me demandais si vous alliez venir, je n’ai pas reçu de réponse à mon message.
– Ah ? je ne l’ai pas reçu.
– Pas grave ! On attend Gaby et on rentre… Ah la voici.
Et Valentine se retrouve à l’intérieur d’un petit donjon ! Avec tout ce qu’il faut, deux croix de St André, des chaines, et des étagères remplies d’une petite collection d’objets utilisés dans les séances sado-maso.
Les participants ne perdent pas de temps, certains se changent, allons-y pour le cuir et le latex… certains s’assoient sur des sièges réservés aux spectateurs. Igor se revêt d’un masque noir d’un ridicule achevé et la baronne un moment nue se revêt d’une guêpière laissant les seins et la chatte découverts…
Valentine se demande quoi faire, s’échapper, mais la porte blindée a été refermée de l’intérieur… Prétexter un malaise…
– Tu ne vas pas rester habillée ! Lui dit la baronne.
– C’est que je n’ai rien apporté…
– Apporté quoi ? Tu n’as besoin de rien, mets-toi à poil et reste comme ça, on va bien s’occuper de toi !
La baronne pensait alors que cette fouineuse paniquerait devant l’ambiance de la salle et réclamerait de pouvoir sortir. Ce qui lui serait refusé dans un premier temps, une situation propre à amuser la petite assemblée. Ensuite viendrait le temps des explications… Puis on la virerait… Une petite diversion amusante avant que la véritable soirée commence.
Sauf que la baronne ne s’attendait vraiment pas à ce que cette importune accepte sans sourciller de se mettre nue devant l’assistance. Son regard d’incompréhension croise celui d’Igor.
– Il nous ont envoyé une soumise pour nous espionner ? Lui chuchote Igor.
– Mais ça ne tient pas debout, voyons, comment aurait-elles su ? On va bien voir comment elle va réagir… Vous deux, passez-lui un collier de chien autour du cou et attachez-moi cette pute sur la croix…
Valentine se laisse attacher docilement.
« Puisque ça ressemble à un club sadomaso, je vais jouer la soumise de service, ça ne pouvait pas mieux tomber… » se dit-elle. Espérons simplement que ce ne soit pas des sauvages !
De sa position elle peut visualiser l’assistance, deux hommes et une femme blonde sont agenouillés, nus et collier de chien autour du cou.
– C’est qui cette nana ? Demande Gisèle, une grande perche brune au visage recouvert d’un loup et dont le seul vêtement est un bustier noir en vinyle qui laisse tout voir.
– Ben c’est Erika ! Répond la baronne
– Oui, mais tu l’as trouvé où ?
– Sur Internet, j’ai trouvé son profil intéressant… elle m’a dit qu’elle aimait bien les petites misères et les humiliations, n’est-ce pas Erika ?
– Oui madame !
– On dit « oui maîtresse », conasse !
– Alors… oui maîtresse.
– Allez on commence ! Regarde ses jolies pinces, je suis sûre qu’elles seront du plus bel effet accrochés à tes tétons de pute.
La baronne accroche les pinces faisant geindre la soumise, mais elle geint encore bien davantage quand une autre paire de pinces vint meurtrir ses grandes lèvres.
– Toi, viens la fouetter ! Dit-elle en s’adressant à Emile, un grand moustachu en caleçon à fleurs.
Emile s’avance et va pour se saisir de la cravache que lui tend la baronne.
– Tu ne vas pas la fouetter en caleçon quand même… tu as la trouille de montrer ta bite ou quoi ?
Vexé, Emile retire son caleçon, puis cravache en main, s’avance vers Valentine qui retient son souffle. Certes elle est maso, mais ça n’empêche pas l’appréhension. Après tout personne ne sait qu’elle est ici et on ne sait jamais ce qui peut arriver.
– Il y a un mot de sécurité, c’est Cactus qu’il faudra répéter deux fois, mais on serait tous très contrariés si tu l’utilisais pour un oui ou pour un non. Lui précise la baronne. Bon alors toi tu la fouettes ou tu attends le jour du débarquement ?
– On aurait peut-être dû la retourner ? Suggère le type.
– Bon tu commences à m’énerver, mets-toi à genoux ! Cédric va te remplacer !
Celui-ci est complétement nu et comme il a un peu joué avec sa bite, il bande comme un mulet de compétition !
Il arme la cravache et vise les cuisses de Valentine qui se contente de grimacer vilainement. Plusieurs coups suivent toujours au même endroit avant qu’il choisisse de viser le ventre.
Valentine supporte toujours, se contentant de pousser de petits cris de douleur… Mais voilà que l’homme lui vise les seins. Ça fait très mal, des larmes se mettent à couler sur le visage de la soumise emportant le rimmel dans la foulée.
Elle serre des dents se demandant si elle doit invoquer le mot de sécurité… La baronne en fine psychologue s’aperçoit de la situation et d’un geste indique au bourreau de lui fouetter le pubis. Il le fait, puis toujours sur l’ordre de la maîtresse de cérémonie range la cravache.
– Faut pas pleurer comme ça, ma bibiche, il t’a fait bobo à ta chachatte, le vilain monsieur. Un peu de salive de chien devrait arranger ça. Vient Moebius, viens lécher la dame !
Le gros labrador beige s’avance en remuant de la queue et se faufile entre les cuisses de Valentine, complétement tétanisée mais acceptant l’acte. On lui a déjà fait subir ce genre de choses dans un club parisien, mais elle a cependant une petite appréhension (ben oui, encore !). On ne sait jamais comment un chien peut réagir même si dans le cas présent il s’agit d’un labrador, une race peu agressive.
Le chien lèche lui procurant une sensation de bien être complétement insoupçonnée.
– Et maintenant c’est toi qui va lécher le chien ! Igor, détache-moi cette morue ! Gisèle (Gisèle est la grande perche brune) et Sara préparez le chien.
Les deux femmes couchent le chien sur le flan et sortent sa bite du fourreau qu’elle lèchent ensuite de conserve.
– Allez suce !
Ce n’est pas un problème pour Valentine qui vient lécher la bite rougeâtre et visqueuse du quadrupède. Elle se demande si on va lui demander de se faire couvrir par le chien. Mais non !
Eh, oui, il ne faut pas rêver, Valentine ne va pas être la seule esclave de la soirée, d’autant qu’on ne l’attendait vraiment pas. Elle est priée de se mettre en position d’attente, agenouillée.
– Emile, debout !
L’esclave se relève de sa position et se présente devant la baronne qui l’accueille d’une bonne paire de gifles.
– Ouvre la bouche, connard ! Lui ordonne-t-elle avant de lui cracher dans la bouche.
– Merci Maîtresse ! balbutie-t-il encore sonné par les gifles.
– Et maintenant tu vas me lécher le cul ! Tu sais que je ne m’essuie jamais avant de venir ici… Alors je veux que tu me fasses un cul tout propre. Allez lèche moi mon cul plein de merde !
Cela ne doit pas être une corvée pour cet esclave qui manifestement prend grand plaisir à lui taquiner le troufignon avec sa langue.
– Votre cul est délicieux, maîtresse.
– Bien sûr qu’il est délicieux. Et maintenant tu vas sucer la bonne bite de Cédric. Regarde comme elle bande bien.
– Oui maîtresse.
– Parce que tu n’es qu’un suceur de bites, c’est bien ça ?
– Oui maîtresse ! J’adore ça !
Cet acte n’a rien d’un corvée pour Emile qui se régale de cette fellation mais qui se demande quelle turpitude est en train de préparer la baronne.
La turpitude est arrivée derrière Emile. Sur un geste de la baronne, Igor s’est approché, bite en avant et après avoir écarté les globes fessiers d’Emile l’encule sans rémission.
– ,Aïe !
– Ta gueule ! Lui répond la baronne, quand on aime les bites on les aime partout. Allez Igor défonce lui le cul !
Emile est aux anges, il souffre de cette sodomie non préparée, mais n’est-il pas là pour souffrir ? Et puis cette bite qu’il a en bouche n’est-elle pas une jolie consolation ?
Cette bite est d’ailleurs si bien sucée qu’elle n’en peut plus et bientôt la bouche d’Emile se remplit du sperme pâteux de Cédric.
– Avale tout ! Connard !
– Glups !
Et pendant ce temps-là, Sara se défoule sur le cul de Gisèle en la gratifiant de violents coups de ceinturon.
– Il suffit, toutes les deux, il faut que je jouisse ! Venez vous occuper de moi ! Leur ordonne la baronne.
Gisele se jette sur les tétons érigés de la maîtresse des lieux, le suçant comme les plus subtiles des friandises; tandis que Sara fait jouer ses doigts, l’un dans le cul, un autre dans la chatte.
– Mieux que ça ton doigt… prend un gode, encule-moi avec.
Sollicité de la sorte, la baronne commence à gémir, son corps se tétanise, elle hurle sa jouissance et enlace Gisèle en lui roulant un patin bien baveux.
– C’est si bon de se sentir salope ! N’est-ce pas les filles ?
– C’est bien vrai, ça ! Approuve Gisèle
Le temps passe vite quand on se livre à ce genre de choses, la séance fut intense. On détache Erika mais en lui intimant l’ordre de s’agenouiller bouche ouverte. Vous aurez bien sûr deviné que la baronne qui n’en pouvait plus de se retenir lâcha son urine dans le gosier d’Erika qui savoura comme il se doit ce précieux breuvage.
A suivre
Y’a pas de mal à se faire du bien même quand ça fait mal
Des petites misères qui font du bien