Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 5 – Béatrice en chaleur
Lundi 21 avril
En fait de coordonnées Jodie avait maintenant en poche celles de notre bon professeur Martinov que nos lecteurs connaissent bien.
Et les voilà donc face à face à Louveciennes…
Martinov et Béatrice ne sont pas insensibles à l’étrange beauté de Jodie Keller, qui pour sa part déshabille Béa du regard. (ben oui, quand on a des tendances lesbiennes, ça ne disparaît pas comme ça…)
– Les passages secrets, ce n’est pas trop notre truc ! Intervient Martinov.
Béatrice lui envoie un coup de pied dans la jambe et reprend la parole.
– Le professeur veut dire que nous n’avons pas eu souvent l’occasion de résoudre des problèmes de passages secrets, mais une affaire récente nous a obligé à nous pencher sur le sujet (voir Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne). Aussi je me fais fort de résoudre votre cas.
– Il faudra vous déplacer…
– J’entends bien. Nous allons vous faire un devis et vous l’adresser par mail.
– C’est que je suis assez pressée, l’affaire a fuité et deux aigrefins sont sur l’affaire, j’ai dû faire intervenir la préfecture pour fermer provisoirement l’église, mais on ne va pas la laisser fermer éternellement.
– Alors, allez boire un petit café, il y a un bistrot à 200 mètres sur votre gauche et revenez dans une heure, le devis sera prêt.
– D’accord, le devis sera accepté de toute façon, c’est le ministère qui paie.
Martinov attend que Jodie soit partie pour faire part de son incompréhension à Béatrice.
– Mais qu’est-ce qui t’a pris ? On ne sait pas faire ça ! Je te rappelle qu’à Bourg-la-Nonne, (voir l’épisode n°28) on n’a rien trouvé du tout…
– Tu veux vraiment savoir, mon petit professeur ? Cette Jodie, j’ai envie de me l’envoyer et je vais me mettre à bouquiner tout ce qu’on peut trouver à propos des passages secrets. Et je trouverais, c’est un défi que je me lance à moi-même !
– Tout ça pour la sauter ? Je rêve !
– Eh oui !
– Ben fais comme tu le sens, moi, je ne m’en mêle pas.
– Alors je vais lui facturer deux jours d’intervention à partir d’après-demain…
– Pourquoi après-demain ?
– Parce qu’il me faut bien une journée entière pour essayer de potasser un maximum de trucs au sujet des passages secrets.
– Humm
– Dis donc mon petit professeur tu ne vas pas me faire la gueule, si t’es stressé je peux t’arranger ça ! lui dit-elle en lui portant la main sur la braguette
– Mais veut tu laisser ma bite tranquille ! Fait-il mine de protester.
– Je ne touche pas à ta bite, je touche à ta braguette
– Oui mais il se trouve que ma bite est juste derrière !
– Sans blague ?
– T’as qu’à pas me croire !
– Je vais vérifier ça !
Béatrice dézippe la fermeture éclair, s’en va farfouiller et fait prendre l’air à la bite demi-molle du professeur.
– C’est malin !
– Je ne sais pas si c’est malin, mais ça me donne envie de sucer !
Et joignant le geste à la parole, Béatrice opère une flexion des genoux et embouche la bite du professeur Martinov.
– Hum, c’est trop bon la bite.
– C’est l’autre pétasse qui t’a excitée comme ça ?
– C’est bien possible, et dis-moi franchement, tu te la serais bien envoyé la pétasse, non ?
– S’il fallait que je m’envoie toutes les femmes qui m’excite…
– Ben voyons ! Alors tu sais ce qu’on va faire, tu vas me prendre par derrière en pensant que c’est cette Jodie que tu encules !
– Et on ferait ça où ?
– Ben comme d’hab’, à l’étage !
Et les voilà qu’ils grimpent jusque dans la chambre à coucher du professeur. Nos deux libertins se déshabillent.
– Tu crois qu’on a le temps ? Demande le professeur qui a conservé son bracelet-montre.
– Mais oui, mais oui !
Le professeur a beau connaître par cœur les seins de Béatrice quand il les voit, il ne peut s’empêcher de les tripoter, de les lécher…
– Tu les aimes, mes nichons, hein mon petit professeur ?
– Ils sont si beaux !
– Alors régale toi, gros cochon ! Mais ma petit chatte, elle ne t’intéresse pas ?
– Si, si !
– Alors lèche là, je suis toute mouillée !
Et Béatrice était tellement excitée que quelques coups de langue bien placés de la part du notre vert professeur suffirent à la faire jouir intensément.
Martinov après avoir déposé un chaste bisou sur le nez de sa collaboratrice ouvre le tiroir de son chevet en extrait un joli gode très réaliste.
– Tu me le mets ? Propose-t-il à Béa !
– Je me disais aussi que ça manquait. Allez mets-toi en levrette, que je m’occupe de ton cul.
Béa commence par lui prodiguer une savante feuille de rose, elle adore ça, Béatrice, lécher des trous du cul, puis elle s’autorise à y enfoncer un doigt et le faire aller et venir.
Puis elle tend le gode au professeur
– Allez lèche le ! Lèche-le comme si c’était une vraie bite.
Martinov adore ce jeu, et pratique une véritable fellation à cette bite en plastique.
– T’aimes ça sucer des bites, hein, mon petit professeur ?
– J’avoue !
– Et tu n’as pas honte ?
– Ah non !
– Alors je vais te le foutre dans le cul, ce bon gode !
– Oh oui ! Oh oui !
Et c’est exactement ce que fait Béatrice, le gode est entré tout seul, il faut dire que depuis pas mal de temps notre sympathique professeur à rendu le passage facile, adepte de la pénétration anale il n’hésite pas à se goder lui-même les soirs de grande solitude.
– C’est bon, hein, de se faire enculer !
– Ouuiii !
– Evidemment ça ne vaut pas une vraie bite !
– Je n’ai pas si souvent l’occasion…
– Humm, tu sais que j’adore te regarder quand tu te fais enculer !
– Oui continue. Non te branles pas, je veux ta bite en forme pour après.
Et c’est maintenant au tour de Béatrice de se mettre en levrette. Le professeur ne peut résister à la tentation de lui faire feuille de rose, puis après s’être encapoté, il sodomise la belle tandis que la radio diffuse fort à propos, la marche militaire de Franz Schubert.
Le professeur y met une telle frénésie qu’il fait jouir Béatrice en deux temps et trois mouvements.
Il décule, retire sa capote dévoilant une bite gluante de sperme que Béatrice s’empresse de nettoyer de sa jolie bouche gourmande.
– Merde on sonne !
– Déjà !
Eh oui, le temps passe bien plus vite quand on baise que quand on attend l’autobus !
Le professeur revêt prestement une robe de chambre et c’est dans cette tenue qu’il ouvre à Jodie qui n’en croit pas ses yeux
– Excusez-nous on a eu un petit problème, un dégât des eaux, c’est arrangé, je vais vous demander de patienter 10 minutes dans le petit salon, votre devis sera bientôt prêt
Et quand Jodie voit Béatrice redescendre l’escalier, rhabillée mais totalement ébouriffée, et avec le Rimmel qui a coulé, elle se demande qui sont vraiment ces deux étranges bricoleurs !
– Je suis descendue à l’hôtel du Cerf Je vous réserve un chambre… ou deux ? Demande-t-elle
– Une seule mais avec des lits jumeaux, dans un premier temps je vais me déplacer seule ! Lui répond Béatrice.
Mattéo et Augusto se sont débrouillés pour obtenir chacun 15 jours d’arrêt maladie… et les voilà revenus à Grimpeau-Ridot.
Et quand ils se pointent devant l’église, ils découvrent un panneau indiquant sa fermeture temporaire
– Merde ! On va faire quoi ! Demande Mattéo.
– Ils ont indiqué « quelques jours ». On va attendre. Répond Augusto.
– Quelle perte de temps !
– On fait quoi en attendant ?
– Et si on allait chez la bonne femme qui a la clé ? Propose Mattéo
– D’accord et sur place on fait quoi ? On ne va tout de même pas la menacer, ça va nous retomber sur la gueule.
– On improvisera… je peux par exemple jouer les gigolos, ça peut marcher !
– Et moi, là-dedans ?
– Je te dis, on improvisera.
Et les voici qui sonnent au large portail de la villa des Anges, au 133 de la route de Dijon…
Sara, la soubrette antillaise vient leur ouvrir
– C’est pour l’annonce ? Demande-t-elle.
– Oui ! Répond Mattéo sans réfléchir.
Sara les accompagne jusqu’à la somptueuse villa, sous le regard peu amène d’un grand doberman.
Et après avoir franchi la grande allée menant à la villa les voici devant la baronne.
– Bien, je vais vous recevoir l’un après l’autre ! Vous, attendez sur le banc dans le couloir pendant que je m’entretiens avec monsieur.
C’est donc Augusto qui fait banquette. Normal Mattéo lui a tapé dans l’œil.
– Je suppose que vous avez des références ?
– Non pas vraiment ! Répond Mattéo complétement largué.
– Et vous vous figurez vraiment que je vais embaucher une personne sans référence ?
– Je tentais ma chance !
– Vous faisiez quoi avant ?
– J’étais éclairagiste dans un théâtre.
– Eclairagiste dans un théâtre ! Et maintenant vous postulez un poste de jardinier ! En voilà un profil de carrière qu’il est surprenant.
Mattéo vient de comprendre le quiproquo. Il peut maintenant baratiner à l’aise.
– Pour être très franc, je m’ennuyais à mourir dans mon ancien boulot et puis l’ambiance était détestable. Moi ce que j’aime c’est la nature. Je voulais partir depuis un moment et un jour j’ai eu des mots avec le directeur du théâtre. Je suis parti sur un coup de tête, vous comprendrez que je n’ai pas demandé de certificat.
– Hum ! Vous savez vous servir d’une tondeuse à gazon au moins ?
– Bien sûr madame.
– Et vous occuper des rosiers ?
– Aussi !
– Bon, je veux bien vous prendre à l’essai, vous pourriez commencez quand ?
– A votre convenance. Et même de suite si vous le souhaitez.
– OK, on va passer aux choses pratiques, mais avant je vais libérer l’idiot qui attend dans le couloir, je ne le sens pas celui-ci !
La baronne interpelle Augusto.
– La personne que je viens de recevoir fait parfaitement l’affaire. En conséquence, je vous libère et Sara va vous accompagner jusqu’à la grille. Bonne chance monsieur.
Comme un zombi il se laisse raccompagner. Ce n’est qu’un peu plus tard qu’il recevra un message de Mattéo :
« Elle vient de m’embaucher comme jardinier, je te tiens au courant… »
– Il y a une petite baraque sur la gauche, c’était le studio du régisseur, mais je n’ai plus de régisseur. Vous pourrez y coucher. Sara va vous installer. Pour les repas vous verrez avec elle. Le matériel est dans la cabane de jardin, Sara va vous montrer tout ça, je vais vous laisser avec elle.
– Euh, je vais chercher mon sac à dos, je reviens dans une petite heure…
Ben oui, il fallait qu’il récupère au moins son chargeur de téléphone…
Il ne voit pas Augusto (c’est vrai qu’il n’a pas le double des clés de la bagnole) et lui envoie un message (voir plus haut)
Dans la voiture, il fait une rapide recherche sur Internet. Comment faire démarrer une tondeuse ? Comment l’arrêter ? Parce que des tondeuses à gazon, il n’en a jamais touché une de sa vie.
A suivre
Il n’y a pas de ma à être coquine, la vie est si courte…
En fait, elle est souvent en chaleur 😊