Tant va le Temps… Tant va le Cul… Quadrille érotique… par Verdon
– J’en ai marre des nanas… marre des nanas, c’est notre ami Nestor qui nous répète cela à tout vent (comme dit la chanson), depuis que sa Nana est partie avec son voisin, un vilain personnage qui lui a fait du rentre dedans en l’aguichant avec un outillage, prétendait-t-il, pas ordinaire.
Alors bien sûr comme toutes les femmes (euh non, pardon mes amies, pas toutes les femmes… ), dès qu’on leur présente un nouveau joujou, elles mettent la main dans le sac ! … .Et la voilà partie notre Eloïse (l’épouse,), avec qui vous savez.
Bonjour, moi c’est Firmin. Vous me connaissez, peut-être, mon bon auteur ayant eu dernièrement, le toupet de vous raconter sur ce site, une de mes aventures épiques avec notre soubrette Marinette qui se permet, voyez-vous de nous montrer son cul tout en faisant la petite offusquée dès qu’une main a la bien séance de lui tripoter l’encombrant.
Bon, ça n’a pas duré longtemps car comme vous le savez, si vous avez lu la petite histoire, avec moi, son joli cul a perdu rapidement sa timidité, comme savent le faire toutes ses Dames de bonne compagnie, qui l’entourent.
Aujourd’hui, c’est l’histoire d’un jeune homme dont je vais vous parler, un timide, qui a déjà usé sa pine sur le dos de deux nanas qui l’ont laissé tomber.
Il vient nous trouver parce qu’il en est au même point avec la troisième qui vient de se barrer.
Quand je dis ‘nous’, c’est par ce que nous sommes trois bons copains. Un peu matures, bien mariés, et amoureux de nos douces et belles épouses.
On en est tellement amoureux, qu’on les aime tous ensemble et qu’on se fait des petites soirées très intimes, pour bien les remercier. Histoire aussi de bien les éduquer aux plaisirs de la vie et de les satisfaire pour leur couper l’envie d’aller voir ailleurs.
C’est fou comme elles apprécient la chose et nous aussi, n’en doutez pas…
Quant à savoir si ça leur coupe vraiment leurs envies lubriques… on s’en fout. On sait très bien, qu’après une si bonne éducation, on ne peut pas lâcher une horde de femelles, dans la nature, sans prendre le risque de les voir se faire frotter le croupion par quelques bons mâles qui se détendent gentiment dans les prés. (la nature et ainsi faite… ).
Bon, on s’y fait et ce n’est pas grave, pourvu qu’elles reviennent bien sages à la maison, le cul propre, et toujours amoureuses.
Vous voyez, ce n’est pas méchant et tout le monde y trouve son plaisir.
D’autre part, notre devoir conjugal une fois bien rempli, il ne nous déplaît pas de rendre service à quelques bons cocus dont la femme est chiante (ça arrive aussi… ) On la distrait un peu, le temps qu’elle revienne à de meilleurs sentiments, avant de retourner au foyer, joyeusement fourrée de tous côtés par notre dévouement. (il paraît que ce n’est pas très efficace, car au retour elle est pire qu’avant et toujours partante, pour une session de rattrapage… Hi ! Hi !… )
Mais là ce ne sont pas nos distractions les plus courantes, même s’il faut avouer que ça a un charme certain ! Il nous sied plus souvent d’user entre nous, nos libidineuses natures.
Nous ne sommes pas pédés, ni travelos, (mais non, mais non … Hi ! Hi !) Certes, ils ont des manières … (Oh ! Mon chou !)… qui ne nous sont pas désagréables, on n’a rien contre, et ça peut permettre quelques petits en-cas, mais ça ne nous empêche pas d’aimer les nanas.
Attention, nous ne sommes pas vicieux. Ça se passe entre nous, entre mâles bien sûr. On ne dérange personne. On n’en parle pas à nos épouses… très curieuses, comme toutes les nanas, elles savent tout de toute façon. On se fout complétement de ce qu’elles peuvent bricoler, par ailleurs.
Nous sommes des messieurs aux idées larges et un peu fofolles, mais sérieux (n’ayez pas peur… on sait se tenir… ) Tout doucement, nous avons appris à nous connaître et à exercer nos plaisirs, sans cours particuliers… c’est inné.
Bonnes bouffes et libations, quelques histoires paillardes et on en est vite venu à nous découvrir intimement. On se tape sur le ventre (et même ailleurs, me semble-t-il !)…on joue à touche pipi, et on se fait des choses !
Bon, attention, quand je dis « des choses »… Eh bien oui, ce sont ces choses… que vous allez découvrir tout au long de cette invraisemblable histoire. ( si vous voulez en faire autant, ça ne tient qu’à vous) Hi Hi !
Eh bien figurez-vous qu’entre nous, je veux dire entre hommes… on a trouvé le paradis !
Fini les amourettes (sauf avec nos épouses toujours quémandeuses), pas de romantisme, rien que du cul, le véritable délassement.
Les femmes, c’est différent. C’est la tendresse, le sentiment et puis le stress… le « tu me fais mal »… ou bien… le traditionnel « j’ai mal à la tête »… et puis les pipis… oh bonne mère, qu’est-ce qu’elles pissent … .nos pisseuses !
Et le cul… « Mon cul, c’est à moi ! »… Ben oui, mais nous on préfère quand elles disent : « parle à mon cul, ma tête est malade » (voilà qui est plus raisonnable !)
D’ailleurs, c’est bien pour cela qu’elles nous tournent le cul, dans le lit quand on a une petite embrouille !… Ne croyez-vous pas ?
Donc, elles ont raison et laissons-les se dévergonder au milieu de quelques bonnes quilles, ou bien se faire quelques petites lichettes entre elles, en attendant leurs retours, empressées, dans le lit, avec les jambes au plafond !
– Non, non ma petite Dame, va voir d’abord, à la cuisine il y a la vaisselle qui attend ! … Oups !
Ah oui ! Les femmes c’est bien bon… point final !
Avant d’entre dans le vif du sujet (ou des sujets si vous préférez… ), je dois vous dire que cette gentille fiction se déroule dans un temps où on n’avait pas le besoin de s’encapoter le biniou comme aujourd’hui, par risque d’attraper un vilain virus, si ce n’est quelque blennorragie ou autre microbes colportés par des clampins malpropres. C’est pour cela que vous ne verrez pas mes braves gens, se camoufler le bout du nœud, avant d’aller en besogne.
Donc maintenant, retournons à nos oignons… Euh !… (Oui, après tout, on peut dire cela comme ça !… C’est si bon l’oignon !)
Une bite aussi, c’est bien bon !… .Humm !
Vous n’allez pas me dire le contraire ! Qu’est-ce que vous faites à l’instant, petits coquins, si vous n’êtes pas en train de vous branler !
Humm ! Continuez… ne changez pas de main…
Nestor, notre copain, n’en est donc pas à sa première désillusion… (Il ne doit pas savoir y faire !), il en a marre de sa Nana.
Je lui ai suggéré un compromis avec l’amant… ne peuvent-ils pas la contenter à deux…
– C’est bien à deux, que je lui dis… elle peut être amoureuse de l’un par devant, pendant que l’autre lui chauffe les reins… .pff !
Ce n’est pas toujours désagréable d’être cocu… il suffit de choisir sa place.
Oui, mais l’amant, il n’est pas forcément très aimable. Il veut l’infidèle tout entière. Il n’est pas à la foire à la bricole, ni à la vente au détail… « Je t’en prends la moitié, je mets le reste au rebut… si … ça te dit ! »… Oh le con !… ça ne se fait pas dans ce genre d’affaires !
Des fois, si le cocu est un peu coopératif… Hi ! Hi !… ça peut marcher… C’est un bonus… Et il peut servir de serpillière… Oups !
– Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire… tout de même ?… Marre des nanas… Marre des nanas !
Pauvre Nestor !
– Tu sais si elle rentre un peu tard à la maison, il ne faut pas lui poser de questions… elle file direct au lit et te présente son cul, pour se faire pardonner…
Après tout quand elle revient, ça économise le beurre ! Hi ! Hi !
– Beurre ou pas… j’en ai marre des nanas…
Ok on a compris. Le têtu, il ne veut plus de nanas.
– Alors puisqu’il ne veut plus des nanas, on va lui proposer autre chose…
– Mais quoi ?
– Eh bien un homme, par exemple !…
Ça, c’est une idée de Pierrot, notre aîné.
Et pourquoi pas ! Ce n’est pas si farfelu que ça en a l’air… (demandez à vos femmes… Oups !)
Nous on a l’habitude et nos épouses nous foutent la paix !
Pas sûr qu’il accepte notre paumé. Il faut qu’il s’y fasse.
Pour lui, l’amour se fait qu’avec une femme. C’est chiant, on l’a vu, mais il faut s’y faire ou changer de crémerie.
Un homme ce n’est pas pareil…
C’est différent. On peut se rencontrer, mais c’est le sexe qui compte, pas le romantisme.
(Ben oui, embrasser un moustachu… Boff… il y a mieux à faire… )
Pour l’homme, l’important c’est la ‘Chose’, la bite, je veux dire… vous le savez tous…
Et puis, tout ce qui entoure notre cher membre… et les couilles en particulier… un particulier qui vous plaît bien, mesdames…
C’est ce particulier qui fait l’homme, n’est-ce pas ?
Ah les roustons !… Vous avez remarqué comme c’est beau une paire de couilles pendues juste au-dessous de l’œillet d’un monsieur en levrette, devant vous ! (oui, j’en vois certains et certaines qui ne tiennent plus en place !)
Bon, bien sûr, il faut que ça plaise… il ne faut pas être trop coincé… en fait, ça s’apprend tout cela… si on veut… si on ose… si on n’est pas trop con !
Hélas, le Nestor, tout bon gars qu’il est, il n’est malheureusement, pas encore sorti de son bac à sel, le malheureux. Il est du genre timide. Pas trop entreprenant quoi ! Si sa bergère ne lui tripote pas les roubignolles, ce n’est pas lui qui va lui gratouiller le clair de lune… Vous comprenez !
Alors sa Nana, au Nestor, pas étonnant qu’elle aille chercher ailleurs pour se faire foutre entre les jambes. (ce n’est pas gentil, mais on les connaît les bestioles… quand il n’y a pas de fantaisies, elles ne restent pas longtemps en place, plantées sur la même quille)et puis elles ont droit elles aussi à la diversité… il ne faut pas t’affoler mon ami !
Donc, on va essayer de le divertir, le Nestor. De le dessaler… Pierrot a bien raison.
Avec Nestor, on est donc quatre. Il nous connaît déjà. Mais honnêtement, il sait qu’on est un peu bargeots. Car, quelque fois, avec des dames et bien souvent entre mâles, on fait des petites cochonneries, auxquelles il n’a jamais participé.
Ce n’est pas sûr qu’il n’ait pas eu envie, parfois de nous rejoindre et sa Nana aussi d’ailleurs, mais elle a déjà son terrain de jeux. C’est dommage, car elle a un joli provoquant sous ses jupes, la garce ! Dans son malheur, il a quand même la chance de pouvoir y tremper son marjolin, notre bon ami !
Et tout ça pour quelle en fasse cadeau au premier hurluberlu venu !
Ah, quel couillon, notre ami !
On se retrouve donc chez Nestor. Pierrot l’a convaincu de faire une petite fête pour oublier ses chagrins et tenter de le lui redonner le goût des bonnes choses en retrouvant le moral entre ses fesses.
C’est un sacré bonhomme le Pierrot. Plus âgé que nous, il a de l’expérience dans tout ce qui est friponnerie-and. Co, avec les Dames et justement aussi, avec des Messieurs.
Pas très grand il a une bonne bedaine qui n’est pas désagréable quand il vous la colle au cul lors de soirée intimes… putain, il sait y faire le bonhomme ! (poilu comme un orang-outang, le rustre ! Alors… ça vous affole la raie du cul, évidemment !)
C’est qu’il abrite entre ses cuisses du matériel de bonne allure qui plaît bien aux Dames et qu’il prête facilement à des mâles de bonne fréquentation.
Son idée première, c’est de se faire tripoter les burnes par notre pauvre complexé. Ce dernier ne peut pas rester indifférent devant une si belle paire de couilles. Grosses et lourdes, elles pendent sous son insolent trou d’évent. Elles sont la belle expression de sa puissance masculine prête à plomber le moindre petit trou passionné de soumission.
Donc on y va pour l’ambiance. Une bonne collation, quelques bouteilles, des histoires cochonnes et des chansons grivoises du genre :
« Après l’ dessert, on s’encule en couronne,
Enculons-nous, c’est le plaisir des Dieux !
Après l’ dessert, on s’encule en couronne,
Enculons-nous, c’est le plaisir des Dieux !»…
L’atmosphère est à son comble, tout le monde chante et se tape sur les cuisses, et même le Nestor se marre et chante plus fort que les autres.
Aussi, bientôt, Pierrot lui demande :
– Dis-donc Néné (c’est Nestor)tu n’as jamais touché une bite ?
– Euh !!! oui, la mienne !… J’me la tripote, je me la gigote, je me la branle, même que des fois elle gicle ma quéquette sur le cul d’Eloïse ! ( vous savez bien, c’est le petit nom de sa scélérate… )
Eclats de rire…
– Non, mais pas ta… bite !… ça tu sais faire, bougre d’andouille !
– La bite d’un autre… celle d’un copain, d’un oncle… du curé… je ne sais pas quel autre clampin ?
– Boff !
– Tu ne veux pas toucher la mienne ?
– Oui, oui touche la bite à Pierrot, s’écrie-t-on, tous ensemble…
Après l’ dessert, on s’encule en couronne…
Du coup, Néné n’est pas très à l’aise. Il balbutie des phrases pas très claires. Il ne veut pas passer pour un con, mais toucher une bite… ben ça l’interpelle !… il serre les fesses… Quoiqu’il sourit timidement.
Mais pendant ce temps et dans l’agitation que ça provoque, Pierrot a déjà ouvert sa braguette d’où il sort un matos à rendre jaloux un âne, bien que pas encore bandé.
Presque effarouché, voilà Néné qui rougit. Gêné il bouge son cul sur sa chaise, nous regarde, mi honteux, mi stupéfait, mais émoustillé, il ne se rebiffe pas quand Pierrot lui fourre sa bite dans la main droite.
Putain ! Toucher la bite d’un autre ! Ça ne lui est jamais arrivé… C’est con !
Pourtant, c’est drôle. C’est doux. C’est chaud. C’est comme la sienne, il peut même, avec mon aide, faire des allées et venues sur le gros membre, le décalotter, faire sortir le gland rubicond !
Il devient dur le pénis ! Il grossit… c’est vivant !… C’est comme un petit animal !…Il lui caresse la tête chauve !…Oh ! Il fait le beau… il devient raide ! Il n’en fait pas le tour avec le poignet !…
Maintenant Nestor continue à le masturber lentement. Il le décalotte. Ça devient intéressant, dirait-on !
Le pantalon descendu, la verge étant bien dégagée, notre pionner découvre les couilles qui pendent comme de gros fruits bien murs, et ça l’intéresse tellement qu’il les prend directement dans les deux mains, étonné de leur souplesse et aussi de leur poids.
Il touche, il tâte, il roule les deux boules, heureux comme une poule qui a trouvé un œuf !
Et l’odeur, bon sang ! C’est fort… c’est enivrant cette odeur pareille. Ça sent le mâle ! Ce n’est pas l’aigre relent de la cramouille d’Eloïse ! (la cochonne elle ne doit pas souvent se rincer la pachole, sa Nana ! quoique, moi j’y mettrais bien le nez… Oups !)
Ça lui plaît, à Néné, ça l’excite. Il est content de découvrir cette belle pine ciselée de veines bleues et agrémentée par un superbe gland rutilant, qui pavoise avec insolence au bout de la belle cambrure !
Subjugué, il ne s’aperçoit pas que nous nous sommes tous mis à poil et qu’on lui présente nos pines sous son nez.
On est là nus, fiers et empressés de lui présenter nos pines serrées les unes contre les autres.
On se branle… C’est à celui qui bandera le plus… Humm… et ces odeurs ! Putain… ça sent le troupeau de boucs… il devient chèvre le Nestor !
Pas dégonflé, finalement, il attrape à tour de rôle chaque membre. Il les compare, les renifle, les masturbe délicatement, tâte nos couilles… il en fait des découvertes, il va même, le saligaud, jusqu’à emboucher la pine d’Hervé, (l’autre copain), en lui glissant la main sous les couilles ! Putain ! le bon morceau !
– Alors tu les trouves belles nos pines ? Elles ne te font plus peur ?
– Ben oui, ben non ! Putain c’est la première fois… mais qu’elles sont belles !
– La tienne aussi est belle, d’après ce que je vois tu bandes bien mon cochon !
– Et sais-tu ce qu’on peut faire avec une bonne bite ? Lui demande Pierrot.
– Eh bien on peut baiser, pardi !
– Baiser quoi ? baiser les mouches ? Rajoute Hervé.
– Mais non… baiser une femme…
– Que la baiser… Sacrebleu !
– Peut-être la sodomiser aussi, si elle veut.
– Tu ne l’enculais pas la tienne, non ?
– Oui.
– Et elle se laissait faire ?
– Oui, un peu. Au début elle ne voulait pas trop… mais en forçant… putain ! c’est qu’elle a le petit trou si serré, que j’ai eu le gland échauffé pendant deux jours… nom de dieu !
– Ben voilà, c’est rentré, je parie que la deuxième fois tu lui as mis du beurre, mon salaud !
– Juste une noisette, avec le doigt… elle a dit que c’était dégueulasse !
– N’empêche qu’elle ne te l’a pas dit deux fois ! Bien beurré, c’est entré comme une lettre à la poste. !
– Elle a aimé ton infidèle ?
– Oh oui, même qu’elle en redemandait.
– Ben voilà… Le trou s’est agrandi… et le plaisir avec !et je parie que tu lui léchais la pastille, ensuite !
– Elle avait le goût du beurre…
– Que du beurre ?… Tu m’étonnes…
– Et les hommes alors… tu peux faire quoi avec les hommes ?
Là, Néné hésite. Il sait bien, mais avec ces trois bites tendues vers lui il craint. Il craint il ne sait quoi… mais peut-être !… oh non ces grosses bites !
– Les hommes ils n’ont pas un trou du cul aussi ?
– Oui. Il y en a qui se font sodomiser aussi !
– Ben voilà ! S’écrie Pierrot, à la bonne heure ! il a compris qu’il y a des hommes qui s’enculent…
Ils s’enculent parce qu’ils aiment ça… c’est comme ta Nana, elle aimait bien que tu l’encules.
– Oh oui la garce… toujours à me le présenter son cul !
– Alors si les femmes aiment, pourquoi pas les hommes ?
– C’est vrai !
– Tu veux voir comment ça s’encule deux mecs ?
– Oui, oui… mais pas moi !
– Mais non, pas toi, on n’est pas des sauvages ! On est trois, alors on va le faire entre copains.
Tiens, moi je vais enculer Firmin … Tu veux bien que j’encule Firmin devant toi ?
– Je veux bien, juste pour voir.
– Ok, tu vas voir.
Hé Firmin ! Tu peux te mettre en levrette, il y a Monsieur qui veut voir…
Non mais il est jobard ce Pierrot ? Et le Nestor ‘il veut bien’ … Moi, juste moi !… Ils ne me demandent pas si j’ai envie de me faire partouzer, moi !… les salauds ! M’enfin !
C’est vrai qu’il est gentil le Pierrot… Je lui dois bien ça, l’autre jour, il m’a prêté sa meuf !… Il était en panne. Juste un jour où elle avait le cul chaud. Aussi, vous comprenez… par camaraderie, bien sûr… Ben oui c’est une belle personne bien potelée là où il faut et aussi gourmande que son mec. Mais elle a ses heures, et quand c’est le moment, il ne faut pas traîner !… Dans le fond, ce n’est qu’un prêté pour un rendu…
Bon, allons-y pour la démonstration… Mais putain, c’est qu’il l’a grosse !
Alors les dames ou les messieurs à qui ça ne plaît pas, vous n’êtes pas obligés de regarder, n’est-ce pas ! (hé, là-bas, j’en vois qui font semblant de fermer les yeux !)
– Je dis cela parce que il y en a qui ont honte… bof, moi je n’ai plus honte, on m’a dit que c’était bon la honte… et de toute façon, moi je ne vois rien. Je sens, mais je ne peux rien voir… j’ai la tête dans l’oreiller… .Sniff !
Ouille !… Ah ça y est ! … il a le décor sous les yeux, le Nestor… il est au spectacle et il se régale… moi un peu moins, c’est vrai.
Il ne perd pas de temps le Pierrot. Il y va de bon cœur… putain, les amis… .
Et c’est dur, et ça dure… et ça n’en finit pas.
Il en a plein la vue le voyeur, même qu’il se penche, à droite, à gauche, en-dessous et en dessus, même qu’en dessus il m’écarte les fesses le vilain curieux…
C’est sûr, si on veut voir… il faut tout voir :
Et la pine qui s’enfonce dans la petite rondelle de chair rose, et le gland qui ressort tout fier un peu crado (ben il ne m’avait pas prévenu, l’artiste !) … et le trou, putain le trou qui baille, nom de dieu ! Et moi qui ne voit rien, qui ressent, oui ça je vous l’ai déjà dit… mais ce n’est pas tout de le dire… et il remet ça.
Putain, les roustons de Pierrot qui tapotent les miens et Néné qui se les tâte et qui lui met un doigt au cul ! (il fait vite des progrès ce mec si timide !)
Du coup, Pierrot, il envoi la sauce. Il me remplit le colon le pompier !
Ben ça va mieux… il y met la dose le vaurien ! … j’en ai plein le pot !
C’est rafraîchissant, ça glisse, ça fait du bruit… .Oh quels bruits… excusez-moi, ce n’est pas forcément charmant, mais ça fait du bien…
Ça y est, il dégaine. C’est fini. J’ai l’œillet en entonnoir ! Il clignote, reprend du souffle, lâche une larme, se referme. Ouf ! Ça coule un peu partout, je lève la tête.
Tiens je sens qu’on me lape la boutonnière… Oui c’est ce brave d’Hervé… Quel gourmand !
Ça y est, je me relève, Pierrot me tend les bras, on se serre, debout, l’un contre l’autre, nos bites bord à bord et nos mains sur les fesses… politesses d’usage entre gens bien qui ont fait une bonne affaire ! (comme deux bouseux, sur le marché, qui se crachent dans la main quand ils ont vendu une vache !)
Et Nestor, qu’est-ce qu’il fait le Nestor ?
Eh bien, debout lui aussi, il a une trique, quelle putain de trique, nom de dieu !
Je sens qu’il veut enculer quelqu’un… Ah surtout pas moi, non, j’ai déjà payé… .
Eh bien s’il en a décidé comme ça, Pierrot… Il est vraiment gonflé ce mec-là !
– Ben oui, vois-tu, qu’il me dit (en me tapotant le cul), tu as le fion bien graissé, (ben oui j’ai le cul qui déborde… ), alors pour Nestor ce sera plus facile, tu vas voir comme il va godiller le brave !
Bon, allons-y, la place est chaude et le conduit alézé, profitons-en, on remet la gomme !
Je me couche sur le dos, je relève les guibolles jusqu’aux oreilles. J’ai la rondelle étoilée qui baille au soleil… humm pas pour longtemps…
C’est que, guidée par la bonne main de Pierrot, la bite de Nestor fusille mon petit trou !
Ouille ! D’un seul coup d’un seul, le salaud… (il ne perdra rien pour attendre… celui-là !)
Bon, heureusement, ça glisse, Hervé n’avait pas fini la vaisselle, et puis tant qu’à faire on ne va pas faire la mauviette… c’est du bon et d’autant plus bon que Hervé encule mon amoureux en même temps que Pierrot lui donne l’estocade en lui plombant l’entrée des artistes !
Alors ça pousse à trois… et va s’y qu’ils s’enculent tout en m’enculant les salauds.
Bon, ce n’est pas évident d’emboîter tout cela. Ça glisse, ça dérape, ça cogne… .
Hé ! Doucement les gars… je suis au bout, Moi !
Ils me poussent tous au cul, comme des bougnats sur un sac de charbon… Je souffre de leurs bontés… Si je ne suis pas engrossé aujourd’hui !
Nestor est donc en train de me faire du bien.
Derrière lui, Hervé lui rend la pareille, tandis que Pierrot qui n’a plus la grande forme, a du mal à fourguer son obus dans le trou du canon !
Ça entre, ça sort, ça s’écrase dans la raie d’Hervé… et ça rebondit sur ses fesses.
– Eh merde ! Ne bouge pas comme ça… écarte-toi !
– Bande la, ta biroute, nom de dieu…
– Attends J’arrive… .salaud, recule au lieu d’avancer !
– Mets-moi le doigt dans le trou… ouvre-moi la rondelle !… Qu’il lui crie Hervé.
Du coup, Hervé en sentant le doigt dans son anus, bourre d’un bond Nestor et décharge dans son colon, tandis que moi j’ai les pieds dans le lustre !
Eh oui, je vous l’ai dit… à trois, ce n’est pas gagné… ça avance, ça recule… et ça décule plus que ça ne s’encule…
Pierrot finit par sortir des fesses d’Hervé et s’achève en jutant sur son dos.
Finalement, moi j’ai ma dose. C’est Norbert qui m’en a fait cadeau, tout en se faisant débridé le coccyx par Hervé qui lui s’est fait laquer le postérieur par un Pierrot déconfit.
Puis l’envie de pisser lui prenant, notre ami Pierrot fait la lessive en arrosant à la cantonade le dos de ses camarades qui poussent des cris comme des pisseuses !
Nestor est au comble !
Il est comblé de bonheur car vraiment s’il n’osait pas, il la souhaitait cette aventure.
Alors il jouit… (c’est une nouvelle tournée pour mon trou de balle !)
Il gueule, bon sang ! Il est heureux !
Il crie : « Eloïse !… si tu me voyais… . (c’est sa régulière, la troisième… Oui celle qui se fait enculer gratis et qui va se payer une nouvelle fournée chez le voisin !)…
Eh bien Eloïse, le croirez-vous !…
Elle est là, plantée devant son mec qui fiché entre deux pines, se tait… se fige… ne sait plus quoi faire ou quoi dire.
Elle est entrée sans frapper, la porte était ouverte et elle lui fait une sacrée surprise !
– Oh mon pauvre Loulou, qu’est-ce qu’ils te font ces bons messieurs ?
– Merde !… Ton trou du cul… Ah les salauds !…ça doit faire mal, mon Loulou !
– Ah ! Non !… Putain… il est gros mais il entre bien.
– Oh ! Ça doit être bon !
– Et toi tu t’encules une nana ! Elle lève bien ses guibolles la conasse…
Ah, c’est un mec ! J’avais pas remarqué… une tapette !
– Tu te payes une tapette… Oh mon chéri que c’est beau ! Va s’y bourre-la, on dirait qu’elle aime ça !
Hi !… Hi… Mon mari qui se paie une tapette !
-Oh là ! Arrêtez… Que je m’écrie… J’en prends plein mon grade, Moi ! … conasse !… tapette !… Rien que des mots doux !… Et qu’est-ce qu’elle vient foutre là, cette morue.
Je t’en flanque, moi, des pédés… mais c’est qu’elle continue, la salope !
– Oh « Comme tu es bien mon chéri », « tu as la meilleure place », « ils sont gentils ces Messieurs… tu n’as pas trop souffert au moins ! »
Va s’y encule-la bien, casse-lui le troufignon !
Viens, viens dans mes bras… tu es un homme comme j’aime… qu’elle ajoute.
Il se relève le chéri, tout dégoulinant des services que nous lui avons rendus…
Honteux et heureux il se jette dans les bras d’Eloïse qui le bécote à pleine bouche en se serrant contre lui.
On se relève, on les entoure, on les embrasse, on s’embrasse comme des gonzesses et il y a des mains qui se glissent sous la jupe d’Eloïse qui, ma foi, n’a pas l’air de serrer les cuisses.
Je vois qu’elle aussi, elle prend des bites dans ses mains, et comme on a tous un peu la bite qui se redresse, elle soulève sa robe, arrache sa culotte et à chacun son tour, mais juste pour un petit tour, elle nous offre sa chatte trempée de ses grasses humeurs.
Etant quand même vexé par ses allusions précédentes, je lui dis, tout en la baisant, toujours debout :
– Merci pour la tapette et tous tes petits mots gracieux !
Alors elle me présente ses excuses, mais moi je me retourne et je lui dis :
– C’est à mon cul, que tu dois des excuses !
Elle ne s’est pas dégonflée. Elle se penche et elle me rend mon honneur à coups de langue la bonne garce… oh qu’elle est bonne sa langue, surtout que son mari me suce en même temps…
Waouh !… Du coup, je lui lâche la purée… et il apprécie.
Pour terminer, on lui pisse au cul au novice. Il est vachement content… on lui a fait la totale, aujourd’hui !
Il peut repartir tout fier, le Chéri, le cul propre et la queue nette, bras dessus, bras dessous, avec sa bonne Salope d’Éloïse !
Finalement elle n’est pas si mal, sa greluche !
Je vous l’ai dit, on est entre braves gens !
Mais si notre histoire se termine si bien…
Si nos deux amoureux se retrouvent heureux,
Si la porte est restée ouverte…
Vous avez deviné, les amis, qu’il y avait anguille sous roche…
C’est le Pierrot (avec nous) qui a manigancé tout cela, pour dessaler le premier et faire revenir la seconde à de meilleurs sentiments…
Ça n’a pas failli !
Ça vous en bouche un coin… Hi !… Hi !….
… à moi aussi, mais j’y suis passé avant vous !…………… Pff !…
07/09/2025
*Quadrille : Danse du XIX -ème siècle qui se jouait à l’origine, entre quatre couples.
Mais où va-t-il chercher tout ça ?