Tant va le Temps…Tant va le Cul – 02 – En ces temps-là… par Verdon

Tant va le Temps…Tant va le Cul – 02 – En ces temps-là… par Verdon

Donc vous voilà bien assis et prêts à lire ces fameuses histoires que j’écris et qui sortent de la bouche d’Ernestine.

Votre dame vadrouille et la bonne vous pompe le nœud comme sait si bien le faire une bonne ouvrière qui va se prendre au cul la pine qu’elle suce. Mais n’allons pas trop vite, passons à notre histoire, le décor est posé.

Il y a bien longtemps, les gens menaient une vie pas très agréable. Aucun confort, pas de bien-être et beaucoup de misère. Les mœurs sont différentes de celles de nos jours. La vie est rude et l’amour assez brutal et sans finesse. Un peu bestial pour tout dire (voilà qui ne doit pas forcément déplaire à certaines coquines et coquins qui fouinent sur ce site…). Le peuple ne s’embarrasse pas trop de morale. La vie s’écoule vaille que vaille et en circuit fermé.

Debout à l’aube Madame va traire la vache, Monsieur cure l’étable, fauche les foins l’après-midi. Patates ou betteraves aux repas, et après la veillée il encule sa bonne femme, histoire de lui faire sentir qu’il en a une grosse et de ne pas lui faire un gosse. De temps à autre il se fait un bonus avec le cul de la bonne (Une bonne c’est bien pour… je vous l’ai dit plus haut !)… une brave servante en général qui profite de son gros gagne-pain pour une solide gâterie et pour mettre un peu de beurre dans son ordinaire (mais non… pas dans son cul, dans les é-p-i-n-a-r-d-s ! Ah j’en vois des p’tits vicieux qui ont du mal à suivre… et d’ailleurs le beurre ça coûte beaucoup trop cher pour le gaspiller dans un trou de cul, alors il lui crache à l’anus c’est plus rigolo et assez poétique!). La grand-mère bien sûr réclame ses droits quelques fois, mais elle ne baise pas, elle suce… avec sa bouche édentée, ce n’est que du bonheur pour le bonhomme ! Le frère, la sœur, le tonton, la tata, tout ce monde s’arrange entre eux et les cris qu’on entend quelque fois dans la grange ne sont pas paraît-il, toujours le beuglement des vaches.

Les gens se marient tôt et plus ou moins entre eux, incestes et cocufiages étant assez courants, ça crée pas mal d’animation et ça fait des dingos…ça égaye l’ambiance.

Ne parlons pas de l’hygiène (au risque de tout gâcher). Comme la rivière est gelée six mois de l’année vous pensez bien que la fermière ne va pas y tremper son cul tous les jours, aussi ça cocotte un peu paraît-il… Boff entre le tas de fumier, les vaches et les poules, ça n’y paraît pas trop et il y en a à qui ça plaît… grand bien leur fasse !

Chez les bourgeois les choses se passent à peu près pareillement sauf qu’imprégnés d’une culture de façade, ils se font plus discrets, distants et hypocrites.

Les nobles eux vivent pareillement mais avec plus de confort, enfermés dans leurs grands châteaux, souvent dans de gros bourgs, ils sont à l’abri de la misère et des regards et ils ont des valets qui viennent leur laver le cul… Ils côtoient les bons chanoines de la cathédrale toujours prêts à distribuer leurs saintes grâces aux bonnes paroissiennes. Généreux ils peuvent pardonner les gros péchés de ces Messieurs de la ‘Haute’, lorsque ceux-ci se sont glissés par inadvertance entre les cuisses en ébullition d’une nonette qui, apparemment avait oublié de les serrer, jurant qu’ils ne recommenceraient pas, du moins… pas tout de suite. Par dévotion et pour soulager leur âme, ils gratifient en cachette les pontifes, de leur service trois pièces tout en prenant un ticket pour la prochaine arrivée d’autres sœurs bienfaitrices. Et si les bons pères boitent un peu à l’heure des vêpres, c’est dû certainement à ses foutus rhumatismes qui tant leur font souffrir surtout le bas du dos.

Dans les villages il y a souvent un seigneur plus ou moins fortuné, propriétaire d’un château et de presque toutes les terres des environs. Il fait entretenir son domaine par une cohorte de paysans et tout un petit monde de servantes et serviteurs dévoués à leur maître tant que la pitance ne manque pas et qu’ils peuvent disposer d’un petit lopin de terre. Ce qui fait que tous ces braves laboureurs ne sont pas très regardant sur les petites visites de courtoisie que peut rendre le seigneur à leurs dames pendant qu’eux plantent les choux, d’autant qu’elles n’ont pas l’air de trouver la chose désagréable…

Des fois dans ces sombres manoirs il se peut que très tard le soir, un carrosse arrive. Une ou deux femmes en descendent accompagnées d’un galant homme en général. Elles s’engouffrent dans un escalier qui descend apparemment dans la cave, aussitôt suivies du cocher et d’un laquais qui referment la lourde porte derrière eux. Quelqu’un qui suivrait en cachette ce manège pourrait s’apercevoir que ces Dames et leur compagnon, de par leur tenue vestimentaire, font sans doute partie de la haute société. Par contre les deux bougres qui accompagnent ce joli monde semblent sortir directement des écuries d’une auberge malfamée.

Pour qui par hasard aurait l’oreille assez fine, il pourrait entendre au bout d’un instant, du bruit, des cris dont on ne peut distinguer s’ils sont de douleur ou de joie, ponctués tout de même de quelques doux échos de profondes jouissances féminines ou de gros rires et grasses éructations masculines…….

– Mais c’est qu’il s’en passe de bien drôles de choses dans ce château me laisse entendre Ernestine, non sans un petit sourire malicieux.

Mais pour l’instant elle ne veut pas m’en dire davantage la chipie…

(Elle veut me faire languir mais ne vous en faites pas j’ai les moyens de la faire parler la garce, je vais me la torturer ma vicieuse, à coups de langue, ou de bites…je ne sais pas …ou je vais lui laisser sécher son petit cul au soleil…Hi, Hi !..Oh et puis la fessée ! Oui la fessée, j’allais oublier…).

En fin de compte tout ce petit monde vit calmement et est heureux. C’est la bonne vie. Le dimanche, après la messe l’épouse retourne au fourneau tandis que son homme va au café en face de l’église. Il remet ça pendant qu’elle va aux vêpres. Il se tape des canons et les câlins de la soubrette de service qui, en fait de canon n’est pas la dernière à se le faire briquer. Il rentre tard et un peu gai à la maison pour talocher le cul de son épouse qui a dû sûrement faire une bêtise pendant son absence. (D’ailleurs si lui ne sait pas pourquoi, elle, elle le sait et elle ne doit pas être la seule à le savoir…). (S’ils n’avaient pas de films de cul en ces temps-là, ils avaient au moins le cul en version originale !).

Enfin un bon paysan s’acquitte régulièrement de sa dîme annuelle au bureau du collecteur d’impôts, le jour du marché. Et gare au cul-terreux qui ne paye pas… il ressort toujours de l’officine à la nuit tombée par une petite porte dérobée en se tenant le pantalon des deux mains et se sauve en rasant les murs.

Nous le voyons la vie n’est donc pas très rose à cette époque, mais quand même bien animée. Il y a malgré tout des moments de sérénité, voire d’agitation et même de folie à l’occasion de certaines fêtes religieuses ou patronales. Les mariages offrent justement l’occasion de grandes liesses, de beuveries et de manifestations paillardes. Surtout si c’est un riche bourgeois qui marie sa fille.

La pauvre fille est foutue dans le lit d’un homme qu’elle ne connaît pratiquement pas. Qu’importe, ce sont les parents qui décident. Il n’y a jamais eu d’histoire d’amour avec le prétendant, ni même une amourette avec d’autres. Souvent la fille n’a même jamais vu une pine. Sauf peut-être celle du baudet (putain ! Ce qu’elle est longue celle-là !) quand il saute sa femelle (et ça a l’air de lui plaire à la bourrique !) Mais elle a vu aussi celle de son père quand il se fait la voisine. Qu’est-ce qu’elle crie celle-là ! Ce qui intrigue beaucoup la Mariette c’est qu’il la prend par le trou du cul. Peut-être qu’avec les humains c’est différent qu’avec les animaux !

– Purée ! ce gros machin dans un endroit si petit… ça fait déjà si mal quand je fais une grosse crotte… (Elle en frissonne la pauvrette).

Bon ce sont des questions qu’on ne pose jamais. Les mémés ou les copines racontent des monstruosités qui font à la fois peur mais aussi envie… quand on est nunuche on est curieuse de savoir ce que ça fait… on rêve de douceurs… de gros machins moelleux et on finit par l’apprendre à ses frais, non sans pousser des cris au moment opportun.

Toutefois elles ne sont pas toutes nunuches ces filles bonnes à marier. La plupart poussent leur curiosité avant le mariage en fricotant avec de petits gars dans les meules de paille. Elles se font bousculer. Ils leur font découvrir leurs couilles. Elles adorent certaines, elles tripotent, mais parfois sont vexées de recevoir sur le nez les effets de ces bons tripotages. D’autres se sauvent en courant quand elles sentent un gros truc impatient s’immiscer en leurs cuisses. Coquines et excitées, les mamans les consolent ou les rabrouent, c’est selon, mais en tous cas elles mouillent de jalousie ces matures salopes.

En fait, pour faire un bon mariage l’important est que le promis soit un tant soit peu charmant, qu’il plaise aux beaux-parents, qu’il soit riche, honorable et possède un bon patrimoine… D’autre part il lui faut avoir aussi de bonnes références sur ses dispositions envers les Dames avec des qualités pouvant assurer une bonne descendance familiale.

Pour la fille on ne se pose pas autant de questions. Il faut qu’elle ait un beau visage si possible mais surtout un beau cul. C’est là-dessus que tout repose. On ne peut concevoir une maîtresse de maison qu’avec un gros derrière, ça en impose ! Et pour le repos de son homme on n’a pas trouvé mieux, sans oublier de gros nichons bien-entendu. (Moi j’aime bien les deux !).

Quelque fois, paraît-il, surtout dans les milieux cossus, le futur beau-père demande à voir et à tâter lui-même les bourses du promis, histoire de se rassurer sur la qualité de l’outil. (Il a du métier le vieux. Il juge sur pièces, comme quand il va tâter les couilles du taureau au marché à bestiaux).Ce n’est pas non plus de refus que la future belle-mère se permet de vérifier les talents de son futur beau-fils. Histoire de se refaire laquer gratuitement le mirliton un peu trop poussiéreux.

C’est un très bon moyen de conforter les liens familiaux et de s’assurer de bonnes distractions pendant les absences de Monsieur et les couches de l’épouse (se permet d’ajouter judicieusement ma coquine voisine. Elle jubile la garce en me racontant cela… Elle a de l’expérience).

– C’est beau la famille ! Qu’elle me dit Ernestine.
– Goûter à son futur gendre ! Voilà une bonne affaire pour la maman ! Qu’en dis-tu mon chéri ?
– Oh quelle Salope la maman ! Et le papa ne crois-tu pas qu’il se soit fait enfiler lui aussi ?
– Ben sans doute, ça lui permet au papa de savoir si sa fille sera bien entretenue de ce côté-là par son fier à bras !

( » En voilà une qui va bien se faire débourrer demain! », peut dire alors en connaissance de cause, ce salaud de père tout en baisant son épouse. Elle n’en jouit que plus, la meuf en pensant à ces grands coups de pine qu’il lui avait foutus au cul en de mêmes circonstances il y a maintenant si longtemps… hélas!).

(C’était une petite pause pour permettre à votre poignet de se détendre, mes amis…ne jutez pas de suite… elle est bavarde Ernestine !).

Maintenant retournons à notre histoire…

Le jour de la noce la fête bat son plein. La promise en robe princière entourée de sa famille, de ses amis et de nombreux invités, sort de l’église, en grande pompe… Les filles sont belles, les toilettes vaporeuses. Les poitrines opulentes gonflées comme des soufflets dans des corsets trop serrés, semblent prêtes à exploser et font briller les prunelles des copines et craquer le froc des messieurs.

La mariée est splendide. Jouissant de l’ambiance et éblouie par les nombreux cadeaux qu’elle reçoit elle en oublie même la raison de la fête. Le repas est copieux, le vin coule. Tout le monde rit et chante. On fait des discours et on pousse des chansonnettes qui font rougir les Dames et éclater de rire grossièrement les Messieurs. Monsieur le curé fait semblant de ne rien entendre, mais il n’en perd pas une, d’ailleurs s’il a sa main dans la poche de la soutane, ce n’est sûrement pas pour feuilleter son bréviaire !

Elle est la Reine la mariée, elle danse dans les bras de son chéri puis chacun veut aussi l’entraîner à son tour en la serrant, le nez dans son corsage non sans quelque complicité de sa part qui apprécie de se faire flatter de si près.

(C’est que ça sent bon le décolleté d’une jeune mariée ! sublime parfum d’une rose qui s’ouvre. Délicieuses effluves de ces chairs laiteuses embaumées de sueur, d’hormones, de miel et puis de thym, accompagnées encore de quelques bouffées du parfum sauvage et tendrement agressif de ses dernières menstrues).

La journée est merveilleuse et enchante la mariée qui appréhende toutefois, au fur et à mesure que le temps s’écoule, le moment où elle va devoir passer à un tout autre genre d’occupation lorsque la féerie va s’estomper.

Quand la nuit vient et que le jour décline, les plus jeunes sont partis se coucher.

Au fur et à mesure que la clarté diminue, l’ambiance progressivement s’échauffe. On danse, on se tripote, on s’embrasse, on se pelote. Seuls quelques flambeaux éclairent encore la cour du château et la pénombre autorise de plus francs tripotages entre les bons fêtards.

Le père de la mariée, généreux pour l’occasion, offre aux demoiselles de service, des petites pièces d’or qu’il glisse entre leurs seins bouffis. Surexcitées elles affectionnent la délicatesse de l’aimable donateur en le laissant farfouiller dans l’antre de leurs gros nichons aux tétons frétillants. Et ses mains qui s’égarent sous leurs jupes ouvertes pour taquiner leur chatte toute fraîche et humide, leur procurent des frissons et un joyeux fou rire.

Le Maître d’hôtel lui, besogne le cul de deux ou trois larbins, en profitant de la graisse d’oie qui traîne encore au fond d’une marmite… (Une bien agréable façon de faire apprécier in situ ses bonnes recettes en laquant grassement le bas du dos de ces jeunes gens qui, nous en conviendrons, auront de bonnes raisons d’apprécier la méthode. Ils finiront sûrement la nuit dans la grange à partager entre eux la bonne recette, à l’abri des regards).


– Oh putain que c’est bon ! ça glisse comme dans du beurre que s’écrient les garçons qui à la queue leu, leu s’engrossent joyeusement.

Quant à la mère de famille on ne sait pas ce qu’elle est devenue, mais comme par hasard le beau-père de sa fille a disparu lui aussi, ainsi que le curé qui a sans doute trouvé le moyen d’offrir ses saintes huiles à ces deux bons chrétiens qui, soyons-en persuadés, ont dû se retrouver avec lui pour une action de grâce dans une union solennelle et quelque peu charnelle.

Les derniers flonflons s’arrêtent pour laisser la place à un charivari endiablé où les invités, les domestiques avinés, les musiciens et des jeunes femmes surexcitées se mélangent et baisent à gogo sur les tables ou sur des bottes de paille, quand ce n’est pas sous des barriques… Tout le monde baise tout le monde… sans savoir vraiment qui… tellement la nuit est noire. Car, comme on dit, la nuit tous les chats sont gris et… les dames aussi. C’est pour cela qu’Adrien, le garde champêtre du village, pousse soudain un chapelet de jurons en s’apercevant que le cul qu’il enfile est agrémenté d’une paire de roustons…

C’est qu’il a pris pour une robe… la soutane du curé !

La grosse Gertrude saoule comme une Polonaise, à quatre pattes sur une table se fait ramoner le trou de balle au clair de lune, par une demi-douzaine de braves soudards. On ne distingue que son gros cul blanc solide comme un roc et large comme une citrouille sur lequel bataillent et tournicotent les roupettes des joyeux gaillards, comme des mouches autour d’un pot de miel. Entre deux fellations elle chante à tue-tête de grivoises chansons…

– Ah ! Que c’est bon, que c’est chaud, que c’est rond
Quand il m’la cal’ dans l’oignon !’

Elle va ensuite vider ses intestins dans la soupière, la dégueulasse, tandis que le Bertrand le froc sur les chevilles, lui pisse sur les nichons et arrose gratis l’assemblée qui s’est pressée autour du beau spectacle.

Mario qui cherche à récupérer sa catin, tourne autour d’un inconnu qui est en train de l’enfiler. Il a beau tirer le fouteur par son froc celui-ci ne ‘décule’ pas. Désespéré il décide de lui foutre au cul une andouillette encore chaude qui traîne sous la table. Ce qui coupe tous ses effets à l’enculeur qui s’enfuit avec en prime son trophée fumant dans le trou de balle. (Encore un qui apprécie la bonne cuisine).


– Viens qu’il lui dit Mario à sa poufiasse, viens à la maison j’ai les mêmes dans mon pantalon !

Des petits vieux décatis, rigolent et bavardent en faisant des allusions gratuites et grivoises sur le sort imminent de la jolie mariée. Ils lancent des regards et parfois même leurs mains baladeuses sous ses jupes et cherchent à dénicher la jarretière ou voir le fond de la culotte encore immaculée de la vierge en sursis. Le marié ivre rigole tout en essayant de protéger sa Belle, non sans envoyer de-ci, de-là, sa main sur le cul complaisant d’une soubrette en délire.

Plus tard dans la nuit, sous les yeux des derniers invités, l’heureux élu embarque sous son bras sa jeunette plus effrayée qu’émue et qui tente désespérément de s’accrocher à la compagnie qui applaudit et pousse bêtement des hourras concupiscents et envieux. Elle aurait préféré continuer à s’amuser et laisser sa place à une autre.

– Aller Zou, au turbin, que lui dit son mari en lui cajolant l’arrière-train.
– Hé Martin ! Si tu as besoin on est là ! Crient certains en direction des amoureux qui s’éloignent.
– Il va lui clouer le croupion !… que dit un autre.
– Elle a de la chance se disent entre elles des femmes un peu matures et affligées. Avec envie elles ont remarqué la grosse bosse qui déjà encombre le falzar du jeune époux.

Ben oui elle va les ouvrir ses cuisses la mariée, comme on le lui a recommandé. La coutume étant ainsi et la dot justifiant sans doute bien la chose, l’offrande prête à être consommée se retrouve donc sur le lit nuptial, allongée cuisses encore serrées, pour le plus grand plaisir du mari impatient et à poil, qui va se payer le kif de les écarter et de ne rien gaspiller.

Elle découvre soudain l’énorme instrument avec lequel il compte en faire sa femme. C’est qu’il est monstrueux le bel outil. Raide et tendu vers le ciel il n’a pas la timidité de la jeune promise qui la main sur son pubis cherche à en interdire le passage.

Effrayée elle reste bouche bée, elle ne sait plus que faire, supplier, se sauver, crier ou finalement se soumettre comme ont fait toutes ses copines. Mais puisqu’ainsi va la règle et que par ailleurs certaines lui ont dit que dans le fond la chose n’était pas si désagréable que ça…alors elle ne se dégonfle pas…elle sera femme comme les autres !

Mon Dieu ! Ce qu’elle est grosse s’extasie la jeunette…

Voyant sa bouche ouverte, le Martin en profite pour lui taquiner la luette en y enfonçant son pieu comme une brute, le mal élevé.

– Une si grosse bite dans une si petite bouche, que je dis à Ernestine ! Oh le salaud !
– Ben oui que veux-tu vous êtes comme ça vous les hommes, des impolis !…Bon mais il ne faut pas qu’elle fasse la bêcheuse la novice…un bijou comme celui-là ça ne se refuse pas !

– Si c’était à refaire, moi je prendrais bien sa place, ajoute encore la salope d’Ernestine !

Finalement elle a choisi de les ouvrir ses cuisses…la mariée.

Alors il se la trousse la Dame, tout comme une païenne et vas-y que je te pousse, adieu tendresses, caresses et la délicatesse. Docile elle est vouée pour le meilleur et pour le pire à cet Olybrius affamé de chair fraîche et goujat on ne peut plus. Bien sûr tout y passe. Elle est là pour ça…par-dessus, par-dessous, assise, debout… et que je te bourre le troufignon et les seins et le con… il veut tout essayer le débauché et si elle n’a jamais connu une pine, lui il sait se servir de la sienne et il va lui faire découvrir, cette nuit, à quoi ça sert.

Hi, HI…je voudrais bien voir ça ! qu’elle dit encore mon impossible narratrice qui s’excite toute seule.

La tête coincée dans l’oreiller, le bonhomme sur son dos, la jeune mariée sent dans son corps le gros engin qui la travaille, qui la transperce. Elle se laisse faire, il se déchaîne le vaurien, il lui cogne les fesses, il lui troue le cul, il veut aller plus loin… mais il n’en finit pas !… Soudain elle pense à ce que lui a dit sa mère :

– Fais semblant et tu cries bien fort… ça va lui plaire à ton gars, il va s’agiter encore plus… très vite il va juter en criant. Ça va mieux coulisser et ce sera plus doux et paf il va tomber sur le côté groggy et tout ramolli le fanfaron ! Mais attention il va vite remettre ça… Tu verras, au deuxième coup ça ira mieux. Il est moins dur, tu es toute mouillée et hop ! Le voilà de retour. Tout étonnée tu vas geindre un peu parce qu’il le faut, mais aussi parce que ça te fait du bien… c’est le plaisir qui vient… ça fait floc ! floc ! et tes cuisses s’ouvrent en grand…ça va te faire du bien au con.

Alors si l’on entend des cris ils sont sûrement de joie vous diront les jaloux…ils n’ont peut-être pas tort… Cachés derrière la porte ils écoutent en se frottant le nœud.

– Oh là elle braille… c’est qu’il la baise…elle a dû ouvrir les jambes !……entends-tu les grincements du sommier ?… qu’est-ce qu’il doit lui mettre ! sûr qu’elle aime ça la cochonne !
– Sûr que ça doit être bon, renchérissent les autres en se tripotant leur chichi en vadrouille.
– Aller vas-y le Martin !

Silence……..

– Hé ! elle ne dit plus rien !…. ce n’est pas normal s’inquiète le benjamin…
– Mais non couillon elle pompe, elle ne peut plus parler, elle a la bouche pleine….

…et chacun de rigoler….

Que des salauds ces mecs …mais tout à coup ça crie de nouveau et plus fort…

Ça y est, il lui a mis qu’il s’écrie le bossu…putain ça doit serrer !
– Mais quoi ? Mais où ? veut savoir le benjamin…
– Oh putain…demande à ta mère…

Pendant ce temps, dans un coin de la cour, des dames abandonnées depuis des lustres mais vicieuses patentées, se rient avec méchanceté des déboires de la pauvre novice. Salopes, elles se remémorent en pouffant de rire, les quelques turpitudes qu’elles ont vécues lorsqu’en soirée pareille elles se sont fait dépuceler la chagatte et affranchir la rondelle.

– Allez bourre-la, ta pouliche, mon con, que dit la plus vieille…fais-en une femme…elle en veut la petiote !
– Moi il me l’a foutue dans le cul sans même me demander pardon… dit l’une…Hi, Hi…elles se bidonnent les garces !
– Et moi un coup dans le cul, un coup dans le con le salaud et il a remis ça le sauvage !…
– Et après dans la bouche, hi, hi …le dégueulasse ! que rajoute une troisième.
– Oh oui fais-lui ça !… qu’elle s’écrie la grosse Gertrude, apprend-lui le métier à ta nunuche !
– Vas-y bouffe-lui l’écoutille, que rajoute un vieux déglingué (qui se mêle soudain de la conversation en pointant ses petits yeux vicieux sur les jambes décharnées de ces dames prolixes)….même que la mienne elle m’a crotté sur le nez…la salope !

(Bon sang avec Ernestine, ce n’est pas les détails qui manquent, c’est comme si on y était !…il manque l’odeur et la couleur…ça la fait jouir elle ! elle serait passée par là, que ça ne m’étonnerait pas…et ça n’a pas l’air de la traumatiser …la cochonne…).

Après la sarabande, la fête s’éteint, les gens rentrent chez eux en titubant et en s’accrochant aux arbres. Ils sont nombreux ceux qui ont mal au cul. Tiens…il y a encore la Gertrude qui pisse sur un banc publique… D’aucuns se disent que ce fut une belle fête, que la mariée était jolie et que ce salaud de Martin il doit drôlement se la tire-bouchonner sa gloriette !

– Ah sûr que ce fut une belle fête qu’elle me dit Ernestine. Elle souffle un peu, elle m’a raconté tout ça d’une seule traite. Excitée comme une pie… elle jouit, j’en suis sûr ! Quelle dévergondée tout de même !… une bonne vicieuse… une jouisseuse… chapeau ma Belle !
– Au moins ils savaient s’amuser de ce temps-là… tous ces braves gens !…

Le meilleur étant pris, le brave est content. Il a défloré sa vierge et assouvi son propre plaisir en l’engrossant sans doute, pour assurer l’avenir.

Toute décontenancée, pelotonnée dans un coin du lit, le ventre éclaboussé, le visage démaquillé et les reins démolis, la docile épousée termine la nuitée plus hébétée que ravie, ayant perdu ses rêves qui se sont effondrés en même temps que sa virginité… elle commence à couver à côté de son fauve qui dort lui en cuvant son vin et ses grosses émotions. Il rote, il pète, il ronfle comme un porc…elle a une larme à l’œil…

Petites taches de sang au matin sur les draps, ravissent les mamies qui tricotent déjà le trousseau du bébé, laissant le mari impudent vaquer à ses affaires content d’avoir une épouse au fourneau et l’assurance d’avoir tous les soirs une femme dans son lit pour lui vider les couilles.

Au petit matin, debout dans la cuisine la nouvelle mariée a du mal à ouvrir les yeux. Elle se frotte le dos. Les cheveux en broussailles, la chemise de nuit froissée elle est entourée de sa mère et de sa grand-mère qui envieuses et curieuses se complaisent avec un petit sourire faussement compatissant à imaginer la nuit que vient de passer la jeune femme encore embaumée des parfums de l’amour.

Elles ont préparé dans la cuisine une grande bassine d’eau chaude. Elles invitent la jeune femme à s’y glisser et avec un bon gros savon elles la frictionnent la chérie, de haut en bas, en instant bien partout où le mari lui a démontré son affection. Elle retrouve vite son joli visage débarrassé des démonstrations poisseuses qui encombraient encore ses cheveux et les commissures de ses lèvres. Puis ces bonnes dames lui ont flatté son opulente poitrine aux bouts de seins rutilants d’avoir été longuement sucés par son fauve de mari. Elles lui ont aussi rafraîchi la chatte toute rouge et brûlante comme l’intérieur d’un four. Et son cul…oh le pôvre…qu’est-ce qu’il a pris celui-là ! Élargit, meurtrit, tout rouge aussi et encore décoré de sombres ciselures.

Elles l’ont remise à neuf la p’tite dame, les mémés ! Et puis bien rhabillée, pomponnée, réconfortée elle a eu droit à un bon déjeuner et plein de considération de toute la maisonnée.

– Après une si belle nuit tu es Femme maintenant lui a dit sa grand-mère. Prend bien soin de ton homme et sois lui reconnaissante, serviable, ardente aux travaux des champs et dévouée tous les soirs pour le bien de son corps.

….et dès le petit matin les jours suivants :

– Allez, debout, il faut sortir les vaches et aller traire la ‘Marie’ qu’il dit à sa femme le Martin en lui tapant sur le cul avec ses grosses paluches de cul-terreux…pour lui donner du cœur à l’ouvrage.

Elle file… le meilleur est fini, c’est le pire qui commence…

Ça va être dur mais elle va s’y faire à sa nouvelle vie. Bien obligée, elle va s’endurcir la pauvrette. Comme beaucoup de femmes de ce temps-là elle va accomplir ses tâches sans rechigner et en prenant des coups au profit de son bougre d’époux.

Après le boulot, le soir elle lui tend son cul et il se la bouscule l’ouvrière.

Elle finit même par en prendre l’habitude et à y prendre goût au gros machin qui maintenant a fait sa place et lui procure quelques plaisirs. D’ailleurs si on écoute les petites vieilles, ne disent-elles pas qu’elles ont fini par y prendre goût à la chose, les cochonnes !

– Ah les salopes ! Heureusement que les temps ont changés…

C’est au cours de ce genre de débauches que le peuple oubliait sa misère. Les gars avaient des couilles et les filles de beaux culs. Gare à celles qui n’ouvraient pas leurs cuisses. Heureuses étaient les gourmandes qui jouissaient du cul en faisant des heureux et de joyeux cocus. Tandis que dans les granges, de vieux garçons dodus se faisaient enfiler comme des moussaillons.

Donc après ces bonnes orgies le réveil était dur mais les choses rentraient dans l’ordre jusqu’à la prochaine fête.
– Sauf que nombreux étaient ceux qui couraient chez l’apothicaire du coin pour se faire soigner les petits boutons qui leur poussaient de partout… et les filles allaient se faire gratter les ovaires avec un brin de persil les malheureuses.
– Ben au moins ils savaient s’amuser de ces temps-là. Les femmes étaient déverrouillées rudement, c’était dans l’air du temps, elles avaient la vie dure, c’était ‘le boulot et faire des gosses pour la ‘Patrie et pour l’Eglise’. Mais très vite endurcies elles devenaient solides et savaient mener sans faiblesse leur existence, leur mecs et gérer aussi leurs affaires de cul.
– Eh bien toi Ernestine tu es une vraie salope ! ça t’aurait plu une vie pareille ?
– Pas vraiment car elles étaient quand même très maltraitées les nanas… et bonjour le confort !… mais côté cul ça avait son charme, toi le premier comme je te connais, tu n’aurais pas perdu ton temps dans de telles orgies…hein ! mon salaud ? Aller viens mon coco on va essayer de faire pareil

Boff ! Toujours le dernier mot la garce !…mais c’est vrai qu’elle a du métier bon sang !… Et un cul !…oui je l’adore… Ah oui ! La vie est belle quand on sait la prendre du bon côté !

– Ok ma Belle, tu as raison on va se la faire notre petite orgie !

Tiens on frappe à la porte !…

02.05.2022

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Une réponse à Tant va le Temps…Tant va le Cul – 02 – En ces temps-là… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Ah les belles histoires de tonton Verdon qu’on lit le soir au coin du feu e se touchant la bite

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