Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 10 – La pierre des précurseurs par Nicolas Solovionni
Le récit du docteur Levkovich
Etant étudiant en médecine sur la planète Hakura, j’étais passionné par tout ce qu’on écrivait à propos des précurseurs et du seul vestige difficilement retrouvé à l’époque, la fameuse Colonne de Kékolo (voir Vargala Station 3 – La Maison Parme du même auteur) qui n’avait jamais révélé son secret.
Après avoir assisté à une conférence passionnante sur le sujet, j’adhérai à un fan-club où je rencontrais d’autres passionnés, certains étaient limites illuminés, mais l’un d’eux possédait un charisme extraordinaire, un dénommé Laburo avec lequel je me liais d’amitié avant que nos vies professionnelles ne nous séparent.
On me proposa plusieurs postes après l’obtention de mon diplôme, mais j’étais ambitieux et je voulais ma propre clinique. Un concours de circonstances me fit racheter pour une bouché de pain une clinique sur Vargala-Station. L’établissement était pourri mais le hasard m’a fait soigner et opérer l’un des caïds locaux sévèrement blessé au cours d’une rixe. Il m’a remercié généreusement en me permettant d’équiper la clinique et d’en faire un lieu digne de ce nom.
L’ambiance de la planète me plaisait bien, des voyous, des jolies filles, bref tout allait bien…
Et voilà qu’un jour, dans un club de strip-tease je tombe nez à nez avec Laburo.
– Toi ici ! L’espace est vraiment petit !
– J’allais dire la même chose !
– Et qu’est-ce qui t’amène ici ?
– Le boulot ! Je suis représentant en alcool de luxe, alors je vais de planète en planète, ce n’est pas la demande qui manque…
On papote, on s’échange des anecdotes et puis :
– Tu t’intéresses toujours au précurseurs ?
– Ça m’intéresse toujours, mais j’ai un peu lâché l’affaire, il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent ici…
– Tu veux que je te raconte des truc inédits ?
– Volontiers !
On a laissé tomber le club au grand désespoir des filles qui nous aurait volontiers gratifié d’un lap-dance érotique et plus si affinités. Pas bien grave, je pourrais toujours revenir demain… Et nous avons été chez moi.
– J’ai deux informations qui devraient t’intéresser ! Commença Laburo, la première c’est que l’armée a découvert plusieurs sites avec des vestiges des précurseurs…
– On s’en doutait un peu…
– Oui, les planètes en question sont placées sous embargo par l’armée… je passe… j’en arrive à la seconde info : L’armée continue de prospecter à droite et à gauche pour trouver des sites…
– Ce n’est pas un scoop, ça !
– Le scoop c’est le protocole. La prospection est entièrement sous-traitée à partir d’une dizaine de planètes portuaires dont Vargala-Station. Voilà comment ça se passe, ce sont des équipes de dix personnes, trois sont des scientifiques, un architecte, un géologue et, un biologiste. Ils ne font rien, ils attendent, ils ont des couvertures et glandent à l’Hôtel central. Et puis il y a sept membres de l’armée dont un chef de mission, qui travaillent également sous couverture, joueurs professionnels, serveurs, putes… En fait ces personnes sont à l’affut de tout renseignement sur les précurseurs, ils s’informent notamment à chaque atterrissage d’un vaisseau….
– Et ça marche ?
– Je n’en sais rien, je ne suis que de passage ici, mais je t’expliquerais mon rôle après. Toujours est-il que s’ils détectent quelque chose, il ne leur reste plus qu’à payer grassement un capitaine, à ce moment-là toute l’équipe embarque, les militaires étant là pour protéger les scientifiques.
– Et donc ton rôle ?
– Les repérer ! C’est assez facile, j’ai de quoi pirater les spacephones de presque tout le monde, je cible ensuite les locataires des hôtels de luxe, enfin bref : j’ai les trombines des trois scientifiques, les militaires ce n’est pas indispensable. Le souci, c’est que j’ai d’autres planètes à visiter… Alors justement je cherchais quelqu’un, on m’avait donné un nom mais le type n’a plus l’air d’être là… Ça t’intéresserait ?
– Mais attends, tu fais ça à quel titre ?
– Je ne peux pas tout te dire, mais disons que je fais partie d’une organisation qui défend les intérêts des précurseurs !
– Les intérêts des précurseurs ?
– Leur civilisation n’est pas morte, elle est loin, ils ont eu de gros problèmes à résoudre ce qui les a obligés à se replier sur leur planète d’origine, mais ils sont présents dans certains de leurs avant-postes. Personne ne les a vu, mais ils ont envoyé des messages hallucinatoires aux militaires en mission sur les sites. Evidemment tout cela est sous censure militaire, mais il y a eu des fuites. Les précurseurs sont pacifiques et altruistes, il peuvent nous aider à sauver la Terre avec leur technologie très en avance, par forcément tout de suite, peut-être dans 10 ans ; dans 20 ans, mais il viendront. Sauf que…
– Sauf que quoi ?
– Ils n’admettent pas que les terriens interférent dans leur projet, nous ne sommes pas les bienvenus sur les sites où ils ont laissé des vestiges. Et ça peut se comprendre, imagine des mecs sans scrupules tombant sur des armes de destruction massive… Donc on leur rend service en empêchant des explorateurs débiles d’aller profaner leur site.
– Putain, c’est passionnant ce que tu me racontes !
– J’ai le pouvoir de te coopter à notre association, je devrais dire au noyau central de notre organisation, ça te tente ?
– Pourquoi pas, mais mon rôle ?
– Je te file le logiciel pour pirater les spacephones des trois connards, quand tu t’apercevras qu’il y a des préparatifs de départ dans l’air, tu t’arrangeras pour glisser dans leur bagage une mini bombe que je vais te donner.
– Ça va faire exploser le vaisseau ?
– Oui !
– Tu veux vraiment me faire tuer des innocents ?
– Dans ce cas, on en parle plus !
– Je n’ai pas dit que je ne ferais pas, mais ça me pose un problème moral.
– On ne fait pas d’omelette sans…
– Je sais, mais bon si c’est pour la bonne cause… Mais dis-moi je serais récompensé comment ?
– Une visite sur un site des précurseurs, ça te dirait !
– Bien sûr !
– Mais ça ne sera pas pour tout de suite, ça demande une sacrée mise en place, mais j’y travaille depuis des mois…
Bref, j’ai accepté, il m’a laissé deux mini bombes, me disant que ce serait largement suffisant jusqu’à son retour. Il m’a aussi expliqué comment une personne munie d’instruction spéciale pouvait me contacter en utilisant un simple code : « Trébussy »
C’était il y a 15 ans (en équivalence terrienne). J’ai eu à utiliser deux fois une mini bombe, la première fois quelques semaines après le départ de Laburo, l’autre fois c’était il y a deux ou trois ans, je ne sais plus le temps passe si vite.
Fin du récit du docteur Levkovich
– Voilà, vous êtes content ? Demanda ce dernier.
– Disons que c’était instructif. Bon on va dans le sas enfiler nos scaphandres.
– Je viens aussi ? Demande Dyane.
– Non, tu dirigeras la deuxième expédition avec Nadget et Gundula.
– N’importe quoi, les hommes d’un côté, les femmes de l’autre ! Comme dans les enterrements siciliens !
– Ne t’inquiète pas, on aura l’occasion de se mélanger…
Et cette fois on est sorti, pour « de vrai » ! Cette structure précurseuse est une merveille, La lumière de l’étoile et l’absence de nuage ce jour rend ses parois rouges lisses et brillantes. Ce n’est pas la première fois que je touche un vestige précurseur, mais c’est la première fois que je vois quelque chose d’aussi beau.
On s’approche, je touche la pierre, regrettant que ma combinaison ne puisse me permettre d’en éprouver la lisseté.
Devant la porte, je cherche l’endroit où a été prélevé la pierre. Le problème c’est comment la faire tenir.
– Tenez, Levkovich, le trou est là, vous pouvez y placer votre pierre.
Il dépose la pierre à l’endroit où elle a été prélevée, mais il aurait fallu du ciment, le caillou dégringole.
Le tête qu’il nous fait ! Il s’attendait sans doute à tout sauf à ce détail débile.
– Posez-le par terre, près du mur, l’important ce qu’il ait été restitué.
– Oui, vous avez sans doute raison ! Admet le toubib sans grande conviction.
On a ensuite visité l’intérieur en se limitant au rez-de-chaussée. Pas grand-chose à voir, à part la porte par laquelle nous sommes entrés et une autre située en vis-à-vis, il n’y a aucune ouverture permettant de faire entrer la lumière, c’est donc avec nos torches que nous découvrons l’endroit. C’est tout rouge, les murs font quatre mètres de haut, il n’y a aucune canalisation, aucun câble, pas d’escalier, l’étage supérieur n’est accessible que par un trou rectangulaire, peut-être y avait-il un escalier dont il ne reste rien ? Peut-être ces créatures se déplaçaient-elles en volant ? Allez savoir ? Au sol, il n’y a rien sinon une épaisse couche de poussière fine que nos chaussures déplacent. Je remarque que par endroit la poussière est plus dense que dans d’autres, les hommes de Dernoul où les mystérieux habitants du coin étant passés par là.
– Il faudra revenir avec du matos pour balayer toute cette poussière, il y a peut-être quelque chose en dessous. On va rentrer, on est sorti un peu tard, on dirait que la nuit ne va pas tarder à tomber.
– Je ne crois pas ! Me dit Dilos, l’étoile était au zénith.
On sort, effectivement ce n’est pas la nuit, mais l’arrivée d’un épais brouillard. Pas grave les phares de nos combinaisons nous permettent d’y voir clair. J’avance en premier en compagnie de Levkovich vers notre vaisseau, Dilos se planque entre la porte du bâtiment et Nerren. Ce dernier après avoir vérifié que le toubib ne le regarde pas, ramasse promptement la pierre et la fourre dans sa poche.
Le tour est joué, on peut rentrer.
J’ouvre la porte avec ma télécommande de sécurité, on se débarrasse de nos combinaisons et on entre dans la coursive. Logiquement les filles auraient dû nous accueillir à bras ouverts et nous bombarder de questions, mais elles ne sont pas là ! Bizarre !
– J’aimerais me rendre à l’infirmerie et choisir un poison rapide ! Nous dit Levkovich.
– Pas maintenant, on vous garde en vie jusqu’à ce qu’on s’en aille d’ici.
– Mais le deal ?
Je n’ai pas répondu. Et nous l’avons laissé enfermé dans sa cabine. L’urgence du moment était de savoir ce que fabriquait les filles.
Elles ne sont pas en salle de contrôle, on file au mess… et là …
Les salopes !.
Sur l’une des bannettes du mess, Dyane se fait lécher la minette par Gundula qui est couchée sur le dos, tandis que Nadget lui prodigue une feuille de rose.
– Eh bien quand le chat n’est pas là…
Mais revenons un tout petit peu en arrière si vous le voulez bien.
Dyane se pointe fortuitement devant Gundula :
– Tu sais que tu m’excites avec tes gros seins !
– T’es souvent excitée, toi !
Dyane ne répond pas et la pelote à travers son tee-shirt..
– T’aimes, ça me tripoter, hein ? Lui lance Gundula.
– Oui, j’aime bien, mais pour le moment j’ai envie de pisser, tu m’accompagnes ?
– J’ai pas envie !
– T’as pas envie de me regarder ? Ça t’avait pourtant bien plu l’autre fois
– L’autre fois, c’était l’autre fois !
– Tu ne veux pas me faire plaisir ?
– Si c’est pour te faire plaisir, je veux bien faire un effort.
Les toilettes sont exiguës et il est difficile d’y entrer à deux… mais il suffit de laisser la porte ouverte…
Dyane baisse son pantalon et sa culotte et s’assoit sur la cuvette, mais non pas comme il conviendrait de le faire pour y uriner à l’intérieur, mais sur le bord.
– Baisse-toi devant moi, je vais t’en offrir un petit peu ! C’est mon jour de bonté !
– Tu as vraiment décidé de me pervertir ?
– Oui !
– Et pourquoi donc ?
– Ça m’amuse, ça m’excite…
– Et si c’était moi qui te pissais dans la bouche, tu dirais quoi ?
– Je boirais tout !
Gundula se baisse sans un mot, plaçant son visage à quelques centimètres de la vulve de sa camarade, puis elle ouvre une large bouche.
– Attention, ça vient !
Dyane a stoppé son jet de façon à ce que l’infirmière n’en reçoivent pas trop. Cette dernière avale l’offrande accompagnée d’un petit sourire narquois.
– Pas mauvais, un peu particulier, mais pas mauvais !
– Encore une tite goutte ?
– Si tu veux !
Dyane lui envoie une seconde giclée, puis se recule :
– Je vais finir de pisser et tu m’essuieras avec ta langue !
– Ben voyons !
– Tu ne veux pas ?
– Si, si !
Mais voici Nadget qui se pointe comme une fleur !
– Ah ! Je me demandais où vous étiez cachées ? Quand vous aurez fini vos cochonneries, je pourrais peut-être pisser ?
– Attends une seconde, Gundula va m’essuyer avec sa langue !
– Oui, ben tu te fera lécher la moule après ! Si tu ne dégages pas, je te pisse dessus.
– Chiche.
Nadget pousse alors Gundula, s’avance vers Dyane, baisse sa culotte et arrose ma seconde de vaisseau..
– Mais t’es givrée, il va falloir que je me change, maintenant !
– Tu t’en remettras ! Gundula, puisqu’il parait que tu es préposé au nettoyage de chatte, je t’offre la mienne.
– Vous êtes aussi tarées l’une que l’autre ! Répond cette dernière.
Mais ses récriminations sont de pures formes, Gundula qui décidemment prend goût à ces jeux particuliers, vient se régaler des quelques gouttes d’urine qui ruissellent de la chatte de Nadget.
– Alors c’est laquelle la meilleure ?
– La tienne est plus épicée, je trouve !
Les trois femmes regagnent le mess en rigolant, Dyane se débarrasse de ses vêtements.
– On la viole ? Suggère Nadget à l’oreille de Gundula.
– Bonne idée.
Cela va très vite, les deux femmes se jettent sur Dyane qui ne fait même pas semblant de se défendre. Gundula se retrouve allongée sur le dos sur la bannette, Dyane est au-dessus d’elle à l’envers ce qui permet à l’infirmière d’investir sa minette; qui au passage n’a toujours pas été rincée, tandis que Nadget vient lui butiner le trou du cul à grands coups de langue gourmande.
Je serais rugbyman, je serais entrée dans cette mêlée, mais j’ai préféré me souvenir des sages conseils de Sainte-Ramona, la sainte patronne des libertins qui disait fort sagement : « on ne dérange pas des femmes qui baisent ensemble ».
Je suis donc resté dans l’encoignure de la porte avec Nerren et Dilos et évidemment je me suis mis à bander. Instinctivement je me suis caressé la braguette. Nerren qui était derrière moi s’est aperçu de mon manège est venu remplacer ma main par la sienne. Ce gros cochon m’a ensuite sorti ma bite, la d’abord branlé un petit peu, puis s’est baissé pour me la sucer. Il suce trop bien, ce cochon, sa langue est magique et sa fellation me procure des frissons de plaisir partout !
Nadget n’a porté aucune attention à notre présence quand elle s’est levée pour extraire du placard un godemichet qui quelques secondes plus tard allait et venait dans le trou du cul de Dyane, Ainsi sollicitée et par devant et par derrière, ma seconde ne tarda pas à jouir comme une malade, puis à se retirer du trio, laissant Nadget et Gundula se gamahucher dans la joie et l’allégresse.
Et pendant ce temps-là je crachais mon foutre dans la bouche de Nerren. Il a tout avalé ce cochon !.
– Ça va les gouines, vous vous êtes bien amusées ? Lance Dilos à l’adresse des filles.
– T’es bien content de la trouver ta gouine ! Lui répond Dyane du tac au tac.
– Ils sont pédés comme des phoques et ils nous reprochent d’être gouines, c’est la meilleure ! Se gausse Nadget.
– Hé, j’ai rien fait, moi ! Se défend Dilos !
– Ben t’aurais dû, ça t’aurais décoincé !
– Bon, on se calme, tout le monde ! Intervins-je
A suivre
Je vais essayer un truc, je vais faire un saut temporel jusqu’à époque où se déroule cette histoire et je vais me faire engager sur le vaisseau de Stoffer… Il y a plein de foufoune à lécher, plein de bites à sucer…
Un festival de coquineries cosmiques
C’est quand même plus intéressante que Stat Wars version Disney LoL
Mais elles sont déchaînées !
Toujours les mêmes personnages (forcément !) mais l’auteur parvient à renouveler les situations pour notre plus grand plaisir