Résumé des épisodes précédents : Stéphanie est une soubrette mâle qui accompagne Maîtresse Clara aux sports d’hivers. Outre quelques «outrages» imposés par sa Maîtresse dès le matin de leur arrivée dans la station, Stéphanie est amenée à sucer un moniteur de ski en revenant d’un grand magasin et faire plus ample connaissance avec la jeune Isabelle. L’éducatrice qui accompagne Isabelle et ses condisciples s’est blessée à ski le jour même ; elle a été placée en observation. Maîtresse Clara décide que Stéphanie doit aller faire un brin de ménage dans leur appartement…
Moi qui espérait une petite soirée en tête à tête avec maîtresse Clara, j’ai de quoi déchanter en pénétrant dans l’appartement qui héberge ces demoiselles ! L’ambiance s’y révèle déjà relativement «chaude» sans être réellement survoltée. Elles sont une petite dizaine dans ce salon, les unes assises dans des sofas, tandis que d’autres se tiennent à proximité de la grande table. Elles portent pour la plupart des tenues relax du genre survêtements de sport, des trainings colorés de marque ou des collants et je crois en avoir aperçu une ou deux en petite culotte. Les discussions vont manifestement bon train mais je ne peux pas en distinguer la teneur compte tenu du brouhaha de fond. Il est néanmoins question de l’accident dont a été victime une certaine Monique, qui doit être l’éducatrice. Je discerne également pas mal de gobelets en circulation et tous ne contiennent manifestement pas que de la limonade… Il est temps alors pour Isabelle, qu’il convient que j’appelle Maîtresse Isabelle, de me présenter à cette joyeuse assemblée. A cet effet, j’ai revêtu ma tenue de soubrette tout ce qu’il y a de plus classique (et indémodable !) avec la robe noire évasée, le petit tablier blanc en dentelle sur le devant, des bas unis tout aussi noires montés sur un simple porte-jarretelles. Maîtresse Clara a rajouté un collier de chienne et Maîtresse Isabelle me tire jusqu’au centre de la pièce centrale avec une laisse en cuir cloutée.
– Les filles, je vous présente Stéphanie ; elle est là ce soir pour faire le ménage et plus si on le lui demande pas trop gentiment !! Sa propriétaire est une amie et viendra la récupérer en fin de soirée.
Des regards amusés et intéressés, quelques cris de surprise et une vague clameur accompagnent cette présentation pas très habituelle en ces lieux !
– Mets toi à 4 pattes et vas baiser les pieds de mes copines.
Je n’ai pas à décider par laquelle commencer puisque, dès que j’ai adopté la position ad hoc, je suis mené par cette laisse vers différentes paires de pieds. Je me dis en moi-même que ce n’est pas la façon idéale pour faire connaissance, mais que cela reste un moyen tout de même original. J’embrasse successivement les grosses chaussettes norvégiennes de Laure, les bas de Carole, Manuelle et Béatrice, les pieds nus d’Emilie, Aurélie et Tina avant de terminer par les chaussures de ski »Rossignol » que Nathalie a remis l’insu de tout le monde. Ce qui déclenche un vaste éclat de rire généralisé et fort contagieux ! Je suis ensuite dirigé, toujours tenu en laisse à quatre pattes, vers la cuisine où Maîtresse Isabelle me donne finalement l’autorisation de me relever.
– Voilà Stéphanie, tu connais tout le monde, au boulot maintenant
J’attaque la montagne de vaisselle qui traîne dans l’évier ; ou du moins une partie, car il y a un lave vaisselle qui me parait sous-employé ! Je reçois rapidement mes première commande : un Martini pour Carole et une bière pour Manuelle. Il n’est guère aisé de s’y retrouver dans une cuisine que l’on ne connaît pas et je suis contraint d’ouvrir de multiples armoires pour trouver ce que l’on me demande. Ce retard d’exécution ne plait guère à ces demoiselles qui me le font savoir de façon non équivoque.
– Stéphanie, qu’est-ce que tu fous, tu rêves ou quoi ? Me lance Manuelle au moment de lui donner son verre.
– Soulève ta jupe ! M’ordonne Carole qui me donne l’impression d’avoir un taux d’alcoolémie un peu plus élevé que celui de ses copines, au même moment ! Je m’exécute sur le champ sous le regard malicieux de Manuelle qui semble néanmoins un peu surprise.
– Montre ta zigounette. Réclame-t-elle ensuite.
De l’autre main, j’extirpe alors mon sexe et attend la suite des injonctions. Malgré l’incertitude quant à la suite des événements, la situation commence réellement à m’exciter et je ne peux le dissimuler. Quelques visages se sont tournés vers nous, manifestement intéressés par la tournure des événements. C’est le moment que choisit Maîtresse Isabelle pour intervenir.
– Laure, t’es pas la seule à avoir soif ! Laisse Stéphanie continuer son boulot, bon sang ! On s’occupera d’elle plus tard. Stéphanie, remballes moi ta marchandise !
Je range donc prestement la marchandise dans mon slip, rabaisse ma jupette et retourne vite vers le seul refuge potentiel : la cuisine ! Enfin, refuge, c’est un bien grand mot car je n’y suis pas toute seule dans cette kitchenette ; on s’y bouscule même ! Face au retard pris dans le service, Tina et Béatrice ont sortis des verres et quelques bouteilles d’alcool. Isabelle me demande de préparer quelques plats de chips et autres victuailles, histoire de diluer un peu l’alcool consommé dans cette pièce. Se faisant, je sens dans mon dos une main qui entre en contact avec mes fesses. Je fais mine de rien en poursuivant ma tache mais je constate que le pelotage s’intensifie et que ces doigts se font de plus en plus inquisiteurs. Je suis dans l’incapacité de bouger, acculé contre le rebord du comptoir de cette petite cuisine.
– Bouge pas et continue ce que tu fais !
Je crois, sans en être certain, que c’est la dénommée Béatrice qui a parlé ; mais il faudrait que je voie ses chaussettes pour la reconnaître avec plus de certitude !
– Je suis certaine que t’aurais bien voulu me foutre ta bite dans la chatte, eh bien c’est moi qui vais te bourrer le cul, p’tite tapette ! Me susurre-t-elle à l’oreille.
C’est très crûment dit, mais a au moins le mérite d’être sans ambiguïtés. Je m’attends dès lors à un doigtage en règle, et peut-être un engodage, si je suis sage… Il n’y a pas de raison de compliquer l’action entamée par (la très probable !!) Béatrice ; à cet effet, je me penche légèrement vers l’avant, écarte les jambes et bascule le bassin vers l’arrière. Les chips au sel à gauche, les verres de vin rouge au milieu, les zakouskis au fromage à droite et un doigt féminin qui écarte la ficelle de mon string, parcours ma raie inter fessière, franchit la timide barrière anale et s’enfonce dans mon rectum tout de go…Je dois reconnaître que la stimulation est fort agréable, qu’elle s’y prend avec brio et me demande dans quelles circonstances elle a pu expérimenter une telle pratique. Béatrice utilise ensuite deux doigts pour me pistonner avec toute la poigne voulue. Pendant ce temps, Tina ne reste pas inactive. Elle a saisi mon sexe à pleine paume et me branle par devant aussi énergiquement que sa copine me défonce le cul. A ce régime, je crains de ne pouvoir tenir encore longtemps. Je fais défiler dans ma tête une série d’images désagréables afin de retarder… ce qui arrive inexorablement : j’éjacule sur le plan de travail, aïe, aïe, aïe (!!) et sur la main de Tina.
– Petite salope, tu vas lécher tes cochonneries maintenant ! M’intime Tina.
Je me baisse un peu plus fort et tente de faire disparaître toutes les traces de mon méfait. Il y a même du sperme sur des toasts ! Ca fait tache, je le concède !
– Lèches mes doigts avant ! Me crie Tina.
Et elle me donne sa main à nettoyer en la pressant intensément sur ma bouche.
– Et les miens ! Enchaîne Béatrice.
Dans la foulée, les deux doigts qui ont servis à mon doigtage ont également droit à une toilette personnalisée dans ma bouche…Le regard narquois qu’elle me porte en dit long sur la satisfaction qu’elle doit éprouver à ce moment…Le nettoyage terminé, il me faut poursuivre le service à la cuisine et «en salle». C’est en effet dans le salon, à chacun de mes passages, que chacune en profite pour me toucher : cela se fait parfois avec beaucoup de discrétion mais d’autres entament un véritable pelotage en règle. Je ne compte plus les pincettes sur les fesses, les étirements de ma verge et les pincements de mes nichons. Mon string ne constitue qu’une barrière illusoire et bien trop fragile face aux agissements ces jeunes furies. Maîtresse Isabelle me le confisque d’ailleurs rapidement et peu de temps après, ma robe de soubrette suis le même chemin. C’est en bas et porte jarretelles (et des petites chaussures ouvertes à talon), avec la floche à l’air, que je poursuis mon travail durant cette belle soirée…
– Stéphanie, Carole a besoin de toi !
C’est Manuelle qui m’accoste.
– Suis-moi .M’intime-t-elle et elle me tire en empoignant mon pénis.
Je la suis tant bien que mal, manquant de trébucher à chaque pas, dans le couloir des chambres et nous arrivons devant une salle de bain et des toilettes. Carole est assise sur le WC, le regard encore un peu plus vague que tout à l’heure et me dit :
– Y a plus de papier, essuies moi avec ta bouche.
J’aperçois bien quelques rouleaux de papier cul sur l’étagère de gauche mais pense qu’il ne vaut mieux taire leur existence ! Carole qui ne porte plus qu’un tee-shirt pour tout vêtement, s’est entre-temps relevée de la cuvette et m’ordonne tout simplement de remplacer le papier… Malgré ses cheveux blonds en désordre, sa chemisette pas très nette et le manque de romantisme du lieu, Carole en impose. Elle a de très longues jambes, un pubis dépourvu de la moindre pilosité, un ventre plat et musclé, une paire de seins superbe et un petit minois à faire pâlir d’envie le Vatican tout entier… Je me faufile jusqu’à son entrejambe. Le sol de la toilette n’est manifestement pas sec et je la suspecte d’avoir pisser par terre. Elle n’est d’ailleurs peut être pas la seule… A genoux, ma bouche arrive juste à la hauteur de son sexe qu’elle avance vers moi. J’entame le nettoyage (le mot me parait plus adapté que séchage !!) des parties intérieures de ses cuisses qui me paraissent bien humides. Son minou est également trempé et dégage des effluves assez puissantes. A mon avis, elle ne s’est pas lavée après sa journée de ski et l’alcool consommé a entraîné de nombreux aller-retour au petit endroit ! Ma langue s’insinue avec avidité entre ses grandes lèvres et ma bouche absorbe un maximum de jus. L’urine résiduelle se mêle maintenant à un liquide qui possède une consistance plus visqueuse et qui sort en droite ligne de son vagin. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, cet essuyage buccal fait manifestement mouiller Carole… Cela ne l’empêche pourtant pas de me balancer encore deux ou trois petits jets de pisse fraîche à la figure. Elle a alors poussé un gémissement et je pense qu’elle a joui…
A suivre…
Stéphanie
Malgré la beuverie et la multiplicité des personnages, j’avoue avoir été très excitée à la lecture de cette histoire très cochonne.