Souvenirs de jeunesse
4 – Métamorphose
par Gérald
Elle me demanda de me mettre à quatre pattes et, ayant obtempéré, je sentis quelque chose de froid me rentrer dans l’anus.
« C’est un suppositoire à la glycérine dit elle, essayes de le garder 15 minutes et quand tu ne pourras plus tenir, tu iras aux toilettes, ainsi ton rectum sera propre et je pourrais te défoncer le cul à mon tour ».
Elle me demanda si je m’étais déjà fait prendre, comme je lui répondais que non, elle ajouta :
« Alors je serais la première, je n’irais pas trop fort au début mais après c’est toi qui en redemandera, tu verras comme c’est bon ».
Elle retourna à la cuisine remettre les suppositoires au frigo puis se dirigea vers la chambre, elle revint avec une grande boîte, s’installa sur le canapé et commença à déballer le contenu sur la table basse.
« Ceci est le gode-ceinture que j’emploie pour les débutants » dit elle en prenant en mains un engin bizarre, cela ressemblait à un string de cuir avec du côté intérieur un petit gode et du côté extérieur un autre gode, plus long fixé par des pressions métalliques.
« C’est avec celui-ci que je t’ouvrirais la rondelle, 16 cm de long pour 3 de large puis, quand le passage sera fait, je te prendrais avec celui-là dit elle en saisissant un godemiché en forme de matraque avec un manche, il fait 20 cm de long et 4 cm de large, grâce à son manche on l’a bien en main et on peut faire du bon travail ».
Prenant un troisième engin elle continua :
« Celui-ci s’adapte sur le gode-ceinture à la place de l’autre, il fait 22 cm de long pour 5,5 de large, c’est pour les gens ayant déjà une certaine expérience ».
Elle prit alors le dernier accessoire qui était énorme et dont la base se terminait par une ventouse et dit en riant :
« lui c’est pour les gourmands, il fait 26 par 6,5, on peut le coller par terre grâce à sa ventouse ou même contre un mur carrelé et ainsi s’empaler tout seul mais on en est pas encore là avec toi ».
Eprouvant soudain un besoin d’aller à la selle, je me dirigeais vers les toilettes, après avoir évacué, je revins au salon.
« ces suppos c’est génial, dit elle, non seulement ça te nettoie bien l’intérieur mais en plus ça lubrifie en profondeur et en douceur, maintenant mets toi vite à quatre pattes que je te dépucelles ta petite rondelle de salope ».
Elle installa le string de cuir sur elle en se mettant le petit gode dans la chatte avec un gémissement de plaisir puis se mit à genoux derrière moi. Elle positionna alors le gland contre mon anus en disant :
« Il faut que tu apprennes la technique, surtout ne te crispe pas et pousses comme pour faire tes besoins, tu verras ça rentrera beaucoup mieux ».
J’essayais de me décontracter mais j’étais tout de même un peu inquiet.
« Vas y, pousses dit elle en enfonçant le gode ».
Je sentis mon anus s’ouvrir et une sensation étrange m’envahit au fur et à mesure qu’elle forçait.
« Pousses encore, ça rentre, je m’enfonces, ça y est tu as tout pris, tu le sens bien dans ton petit cul de pédé hein ? ».
Effectivement, je le sentais bien mais heureusement la sensation désagréable du début commençait à disparaître.
« Maintenant, je vais te limer, te ramoner le petit trou, pendant ce temps vas t’occuper de Bruno, avances vers le canapé et suces le ».
Ce dernier, assis sur le canapé, écarta les cuisses pour me laisser passer, je prie sa verge molle en bouche et commençais à le pomper tandis que Sylviane me pénétrait en douceur mais en faisant ressortir le gode presque entièrement à chaque fois avant de l’enfoncer à nouveau. A mon grand étonnement, je commençais à ressentir un certain plaisir à ces va et vient. Lâchant la bite de Bruno qui commençait à grandir j’en fis part à Sylviane.
« J’étais sûre que tu aimerais ça dit elle mais ce n’est que le début, suces salope pendant que je te défonces ».
Je repris la bite en bouche et le pompais avec vigueur pendant que Sylviane accélérait la cadence.
« Putain que tu suces bien dit Bruno, tu es le roi de la turlutte mais vas doucement, fais durer le plaisir sinon tu vas me faire décharger ».
Sylviane se retira subitement en disant :
« Bruno, prends ma place »,
Elle dégrafa son gode et s’installa sur le canapé, cuisses grandes ouvertes, elle me plaqua la bouche sur sa chatte trempée et dit :
« Lèches moi sale chienne pendant que Bruno va t’ouvrir un peu plus le cul ».
Il prit position derrière moi, son gland s’appuya contre ma rondelle et je la sentis s’ouvrir sous la poussée puis céder pour accueillir la totalité de son pieu. Sa bite était un peu plus grosse que le gode mais elle rentra sans trop de difficultés et sa chaleur contrastait avec l’engin de latex, il resta immobile quelques secondes puis entama des va et vient lents et profonds, quand il s’enfonçait à fond, ses couilles venaient taper contre les miennes.
Je ne sais si ce sont les aller retours de plus en plus rapides de Bruno dans mon cul ou bien l’odeur et la mouille de la jolie chatte rousse qui m’excitait le plus mais je bandais de plus en plus fort et gémissais de plaisir, Sylviane qui venait de prendre son plaisir en m’inondant la bouche de sa liqueur gluante et épicée dit alors à son mari :
« Arrêtes toi, on change à nouveau de place, puisqu’il a l’air d’avoir des capacités d’accueil dépassant ce que j’avais prévu au départ on va pouvoir pousser plus loin dès maintenant ».
« Tu aimes ça hein salope, te faire défoncer le cul, eh bien je vais t’en donner moi dit elle ».
Bruno prit sa place et me présenta sa bite devant la bouche.
« Suces le dit elle, tu vois, il est propre, mais simplement un peu plus parfumé que tout à l’heure, pompes le à fond et goûtes à ton propre cul pendant que je t’ouvres pour de bon ».
Elle reprit son gode-ceinture et retira le gode fixé dessus puis elle le remplaça par le modèle de 22 cm par 5,5, elle vida sur le gland de latex une bonne dose de lubrifiant en disant :
« Là, vu l’engin, il vaut mieux lubrifier correctement pour que ça passe ».
Je lui fis remarquer que je trouvais ça un peu gros mais elle répondit d’un ton sec :
« Ta gueule et suces, je vais te défoncer ton cul de pédé et tu vas tout prendre jusqu’à la garde ».
Elle pointa alors l’énorme gland contre ma rosette et commença à pousser, elle l’enfonça de quelques centimètres puis recula un peu avant de l’enfoncer à nouveau un peu plus. Cette fois cela forçait beaucoup et je cru que mon anus allait craquer, mais rien ne la ferait renoncer et je fis le maximum pour me décontracter et pousser pour laisser le passage à son engin. Le sphincter finit par s’ouvrir et elle me le mit entièrement.
« Ça y est, c’est rentré, tu as tout pris salope »,
Puis elle se retira lentement me faisant ressentir l’importance de l’engin et le renfonça très lentement à fond en disant :
« Tu la sens bien là ma grosse bite, tu aimes ça sale pute, je vais te le défoncer ton petit cul, je vais bien te l’ouvrir ».
Elle commença alors à limer avec lenteur mais bien à fond, l’anus désormais complètement ouvert laissait coulisser le gode sans problème, je suçais Bruno avec plus de rapidité et par moment, ressortant sa bite, je passais la langue sous le gland en titillant les zones sensibles sous la couronne, sa queue était de plus en plus raide et prise de contractions par moment, je l’engloutis alors jusqu’aux couilles en pratiquant des va et vient profonds, j’arrivais maintenant sans peine à maîtriser le réflexe nauséeux provoqué par le frottement du gland au fond de ma gorge, soudain il se mit à gémir et prit ma tête à deux mains en criant :
« Ha, ça vient, tiens, bouffes tout ».
Un jet frappa mon palais puis un flot gluant m’envahit la bouche, j’attendis qu’il ait fini de se vider pour tout avaler,
« putain dit il tandis que je lui nettoyais la bite à coups de langue, je me demande comment tu fais pour pas être dégoûté après tout ce que tu as ingurgité tout à l’heure, tu n’es jamais rassasié toi ».
Sylviane me bourrait avec de plus en plus de vigueur et cela commençait à me chauffer le boyau, le petit gode qu’elle avait dans le vagin la fouillait en même temps et l’excitait vivement, ses coups de reins de plus en plus rapides déclenchèrent ma jouissance et j’éjaculais par terre tandis qu’elle s’affalait sur mon dos en proie à son propre plaisir.
« Tu y prends goût dit elle en haletant en recouvrant ses esprits, tu as joui du cul pour la première fois et je suis sûre que ça a été très fort n’est ce pas ? ».
Je lui avouais qu’effectivement c’était très bon, il y avait une zone sensible à l’intérieur et que le frottement du gode à cet endroit déclenchait des sensations exceptionnelles. Elle me dit que c’était dû au frottement sur la prostate et qu’en fin de compte la sodomie était sans doute plus agréable pour un homme que pour une femme, puis me retirant son engin elle contempla mon cul en disant :
« Putain je t’ai bien ouvert, à l’avenir tu n’auras aucun problème à te faire prendre par un mec sauf s’il est monté comme un âne ».
Elle se releva et se débarrassa du string puis porta le petit gode qui l’avait fouillé à sa bouche, puis s’enfonçant deux doigts dans la chatte, elle les ressortit tout gluant et me les fit sucer en disant :
« Tiens, regardes comme j’ai joui en te défonçant »,
J’ouvris la bouche et lui suçais les doigts.
« un de ces jours dit elle, je te présenterais un couple d’amis, tu ne seras pas déçu, et si tu trouves que je mouille beaucoup ce n’est rien en comparaison de ma copine, c’est une véritable femme fontaine, quand elle joui elle éjacule comme un homme mais en quantité énorme, parfois près d’un litre, c’est très impressionnant mais en revanche cela n’a aucun goût, quant à son mari il est monté comme un cheval, une bite énorme et de près de 30 cm, c’est quasiment pas humain une bite pareille, mais avant de te les faire rencontrer j’ai encore du travail à faire sur toi, 3 ou 4 ramonages comme celui que tu viens de subir et ensuite tu pourras prendre n’importe quel calibre ».
Contemplant l’énorme gode qui trônait sur la table, je me demandais comment il était possible de recevoir un tel morceau dans le cul sans se faire déchirer.
« Je te sens perplexe dit elle en m’observant, mais je t’assure que cela rentre et Bruno et moi l’avons pris à plusieurs reprises, il suffit de bien se préparer avant ».
Après nous être douchés et avoir lavé le matériel nous allâmes au restaurant, ils me raccompagnèrent ensuite chez moi et je me couchais rapidement après m’être passé une crème apaisante sur l’anus car j’avais tout de même un peu mal.
La semaine qui suivit nous avions décidé de prendre quelques jours de vacances ensemble. Le premier jour, Sylviane m’emmena chez une de ses copines esthéticienne car elle voulait me faire épiler intégralement.
Ayant une pilosité assez peu abondante, les bras et les jambes ne posèrent pas trop de problèmes, le torse, très peu velu, non plus, mais le plus délicat et assez douloureux ce fut le sexe, la raie des fesses et les fessiers.
La séance dura plus de deux heures et à l’issue, je me retrouvais complètement glabre. Mon sexe entièrement dépourvu de poils, à l’exception d’un tout petit triangle sur le pubis, paraissait plus long et plus gros, l’esthéticienne me fit ensuite un soin hydratant, ses mains étalaient le lait sur ma peau lisse et quand elle s’occupa de mon sexe, je fus pris d’une belle érection qui s’accentua encore lorsqu’elle passa ses doigts dans la raie des fesses en me frôlant l’anus, je ne pus m’empêcher de pousser un gémissement de plaisir.
« Il est très sensible dis donc dit-elle à Sylviane ».
« Oui répondit Sylviane, je lui ai fait découvrir les plaisirs de la sodomie hier et crois moi, non seulement il a très apprécié, mais en plus il a des capacités très prometteuses ».
« Intéressant, j’aimerais bien voir ça, si vous êtes libres demain soir, j’organise une partouze géante chez moi, il y aura beaucoup d’amis antillais et si vous voulez être de la partie, venez à partir de 20 heures ».
« Ok répondit Sylviane, j’en parlerais à Bruno tout à l’heure, et si rien d’autre n’est prévu, ce sera avec joie ».
Tandis que je me rhabillais, elles s’embrassèrent longuement à pleine bouche puis nous sortîmes.
« Maintenant, il faut que je t’habilles dit Sylviane ».
Je la remerciais en lui disant que c’était gentil de sa part mais que j’avais tout ce qu’il me fallait, mais elle me répondit qu’elle voulait me vêtir à sa façon. Quand nous entrâmes dans une boutique de lingerie féminine, je compris ce qu’elle avait en tête. Sylviane dit à la vendeuse qu’elle voulait essayer plusieurs modèles de string, bas et porte jarretelles. Quand elle lui demanda quelle taille il fallait, Sylviane lui dit que c’était pour moi, la vendeuse fut un peu surprise, mais sans plus, et c’est avec un petit sourire aux lèvres qu’elle nous présenta pour commencer plusieurs modèles de strings féminins en faisant remarquer qu’il fallait tout de même en choisir qui soit assez large sur le devant pour pouvoir placer les testicules. Elle disait cela à haute voix et j’étais un peu gêné car il y avait deux autres clientes dans la boutique qui se retournèrent surprises.
Pendant près d’une heure je fis des essayages, quand, accoutré de bas et porte jarretelles, Sylviane appelait la vendeuse pour réclamer un string et un soutien gorge assortis, celle-ci ne manquait pas de prendre son temps pour mater ma queue épilée qui commençait à grandir, en effet le fait d’essayer toute cette lingerie et de contempler mon image renvoyée par les miroirs disposés sur les murs de la cabine avait sur moi un effet excitant.
Epilé et vêtu ainsi, ayant une musculation plutôt fine et des cheveux longs frisés naturellement, on pouvait me prendre pour une femme si ce n’est le manque de poitrine et la déformation du string due à ma bite.
Quand Sylviane eut fait son choix, je me rhabillai tandis que la vendeuse préparait nos paquets. Elle me les tendit et nous raccompagna à la porte avec un sourire en coin en nous souhaitant une bonne soirée.
De retour à son appartement, elle fit part à son mari de l’invitation pour la soirée et elle me demanda de faire un essayage devant lui pour qu’il donne son avis, elle fit un choix parmi les différents modèles et je me déshabillais, je passais une paire de collant faisant à la fois porte jarretelles et laissant ainsi accessible les fesses et la verge, puis je mis par dessus un string en voile noir transparent qui ne cachait absolument rien, et un petit caraco également noir. Bruno siffla d’admiration en me voyant ainsi vêtu.
« c’est très bandant dit il, tu vas attirer tous les regards au cours de la soirée, mais prépares bien ton petit cul car les amis de Clémentine sont pour la plupart bien montés et bisexuels, ils vont tous vouloir t’essayer, c’est sûr ».
Elle demanda à Bruno d’apporte des escarpins pour compléter ma panoplie.
Il apporta une paire de chaussures de femme avec des talons de 5 cm.
« Enfiles les me dit elle et si c’est trop petit j’en ai d’autres paires en réserve ».
La première paire étant trop petite, j’en essayais une seconde dans laquelle mes pieds entraient mais j’avais du mal à marcher à cause des talons,
« Tu t’habitueras vite dit Sylviane ».
Puis elle demanda à Bruno d’aller chercher les suppositoires de glycérine au frigo. Elle nous en enfila deux chacun et s’en mit également un.
« En attendant que ça agisse, vas te raser de façon à ce que je puisse te maquiller un peu ».
A peine avais je fini de me raser que je ma précipitai aux toilettes pour évacuer, tandis que je me lavais les fesses pour être impeccable, j’entendis successivement Bruno et sa femme se soulager à leur tour. Quand je revins au salon, elle me fit asseoir sur une chaise en face d’elle et elle me poudra le visage, me fit les yeux et mit du rouge sur mes lèvres.
« Comme ça c’est parfait dit elle satisfaite de son travail, vas te voir dans la glace ».
Je me levais et le miroir du hall d’entrée me renvoya une image étonnante, je me reconnaissais à peine. Sylviane revêtit sa tenue de cuir qu’elle avait lors de notre dernière rencontre et son mari avait un string pour homme en cuir noir laissant la raie accessible, c’est à dire qu’à la place de la traditionnelle ficelle dans la raie des fesses, il y en avait deux, une de chaque côté passant sous chaque fessier.
Puis Sylviane passa une mini jupe en cuir et un petit blouson, tandis que Bruno enfila un ensemble en jeans. Ainsi vêtue toute de cuir, Sylviane avait le look de la parfaite dominatrice. J’étais encore en dessous et elle me dit :
« Toi, tu ne peux tout de même pas sortir comme ça, je vais te trouver quelque chose ».
Elle ouvrit la penderie et me tendit un manteau mi-long en fourrure.
« Essayes ça, cela devrait aller ».
Je passai le manteau, la largeur d’épaules allait à peu près mais il m’arrivait à mi-cuisses, contemplant mon image dans la glace, je trouvais que je faisais un peu pute.
« C’est pas mal, on peut voir tes cuisses et d’ailleurs on ne va pas boutonner les deux boutons du bas de manière à ce qu’on puisse apercevoir ce que tu portes en dessous à chaque enjambée, marches un peu pour voir ».
Je fis quelques pas avec précaution car je ne m’étais pas encore habitué aux talons.
« C’est parfait comme ça, on voit juste ce qu’il faut ajouta-t-elle ».
En sortant de l’appartement je ressentis une certaine gêne de me retrouver dans cette tenue dans l’entrée de l’immeuble, mon angoisse ne fit que s’aggraver quand on se retrouva dans la rue, Sylviane s’en aperçu et me rassura en me disant que j’étais très belle, puis elle me donna un petit baiser sur la bouche et me prit par le bras. La voiture était garée à environ 500 mètres de l’immeuble, les gens qui nous croisaient sur le trottoir ne pouvaient que nous remarquer. A chaque pas, mon manteau s’ouvrait, et je surpris à plusieurs reprises des regards d’hommes peu discrets fixer mes cuisses, je me demandais s’ils étaient dupes ou s’ils devinaient le travestissement.
A suivre…
Mignon et excitant